Soirée Pizza Ep01 La commande
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soirée Pizza Ep01 La commande
Soirée Pizza Ep01
La commande
On était le week-end. Le lendemain il n'y avait pas boulot, dehors il faisait froid. Je ne savais pas quoi manger, je réfléchissais longuement avant de tomber sur une pub qu'on avait mis dans ma boite au lettres.
Et pourquoi pas me disais-je.
Vous vous rendez compte ils en font même aux ananas. Mon dieu des pizzas ananas ... N'importe quoi !
J'en prenais une complète. Oui je sais mais dans le domaine de la pizza je reste très classique. Rien d’exubérant, je ne suis pas tenté par ces aventures expérimentales culinaires exotiques. Je prenais mon téléphone et là c'était la catastrophe, ils étaient débordés.
Ils ne pourraient pas me livrer avant une heure, en plus j'étais à la limite de distance. Que voulez-vous ce sont là des choses qui arrivent.
Je les rassurais, expliquant que je venais juste d'arriver chez moi et que donc c'était pas bien grave. '' Mais pas plus d'une heure alors !''. '' Promis ! '' me répondait une voix charmante.
J'avais le temps de prendre une douche et c'est en prenant mon temps que je me préparais, à poil dans un premier temps. Puis je remplissais la baignoire. Oui j'avais parlé de douche mais un bain c'est quand même mieux. Et moi quand je rentre du boulot, j'aime bien mon confort.
Un peu plus tard, avant que la baignoire ne déborde, je me glissais dans l'eau chaude. C'est un moment super agréable, tout mon corps se détendait, je frémissais de plaisir. J'avais tout mon temps, sauf que quand on trempe comme ça, le temps passe vite.
Je me mouillais la tête, je me shampooinais les cheveux et finalement je me tripotais le cuir chevelu avec délectation.
On sonnait à la porte.
– Merde, la pizza ! M'exclamais-je.
Il fallait faire vite. Je ressortais de la baignoire en une fraction de seconde, d'une main j'essuyais le shampooing qui coulait sur mon front. Je dégoulinais et laissais derrière moi une petite rivière, j'attrapais la grande serviette, celle qui fait deux fois mon tour de ceinture, gêné par le shampooing c'est la petite que je saisissais. Je m'en rendais bien compte en arrivant à la porte mais c'était trop tard. La petite fait à peine un tour complet.
J'ouvrais la porte en tenant ma serviette pour qu'elle ne tombe pas.
– Pizza Miam ! S'écriait le livreur sur un ton jovial avec un large sourire.
Me voyant ainsi, il rajoutait.
– J'ai été un peu plus rapide que prévu ! Il me tendait la boite de pizza.
C'est à ce moment que tout s'est un peu compliqué. Je saisissais la boite puis ne sachant pas ou la poser, je la calais sous mon bras et tentais d'attraper mon porte feuille dans la poche de mon blouson. Je le saisissais, il m'échappait des mains au moment ou je tentais de l'ouvrir.
Je le rattrapais avec l'autre main mais là, c'était la pizza qui tombait, remarquez elle tombait à l'endroit, la serviette tombait aussi et je me retrouvais l'air un peu bête, complètement à poil sans pouvoir réagir car du shampooing coulait dans mes yeux.
Il se marrait le mec.
– Et c'est quoi ça ? Me demandait-il en me montrant du doigt mon dispositif de chasteté.
– C'est rien. Lui répondais-je, c'est juste un truc pour rester sage.
– Et ça marche ?
– Pas vraiment ! Lui répondais-je en lui tendant deux billets de dix.
– J'aimerais bien voir ça de plus près. Me déclarait-il.
– Quand tu veux. Lui répondais-je en ramassant ma serviette.
Le Shampoing me piquait vraiment les yeux et il fallait absolument que je m’essuie.
– Je termine dans deux heures, si tu veux je peux repasser …
– Oui si tu veux, mais là il faut vraiment que je rince les yeux.
– A plus ! Me criait-il.
Je refermais la porte et me regardais dans le miroir. Je n'avais pas fière allure. Je ne dis pas que je n'étais pas sexy mais, en fait j'avais plutôt l'air d'un parfait abruti.
Je m'essuyais le visage, ramassais la pizza, rangeais tout et retournais à la salle de bain. Je me glissais de nouveau dans la baignoire, je rajoutais un peu d'eau chaude et …
– Bon j'en était ou ? Ah oui, shampooing.
Je reprenais ou je m'étais arrêté. Je traînais longuement avant de me sécher, et je commençais à me ratatiner quand je décidais de ressortir de mon bain. C'est donc tout propre, tout mouiller, tout imbibé même que je me séchais longuement. J'enfilais ensuite un pantalon de sport très doux et un T-Shirt.
Je n'avais pas prévu de sortir donc je choisissait le grand confort.
Je me détendais et prenais un certain plaisir en traversant l'appartement. J'aime bien sentir mes couilles glisser contre l'intérieur de mes cuisses. Surtout que je m'épile les couilles régulièrement et déjà je sentais ma bite tenter de se relever et luter contre les barreaux de ma cage.
Ça aussi avec le temps ça peut devenir une source de plaisir, ou au moins de satisfaction.
Je m'installais devant la télé, et enfin je mangeais.
On sonnait à la porte, je me levais en râlant.
– Pas moyen d'être tranquille !
C'était le livreur de pizza, là sans le shampooing dans les yeux je pouvais le voir un peu mieux. Et c'est qu'il était mignon, il avait deux boite de pizza dans le mains.
– Je n'ai pas encore mangé alors je me suis pris une pizza. Déclarait-il en me montrant la première boite et continuait. Et j'ai aussi pris une grosse part de tarte comme désert.
Il me montrait la seconde boite avec un large sourire, puis il entrait. Je ne l'avais pas invité à rentrer mais ça ne me dérangeait pas vraiment de recevoir une visite, il m'avait vu à poil, c'était bon signe. Puis je me suis souvenu qu'il m'avait dit qu'il repasserait.
– Tu portes toujours le truc que tu avais tout à l'heure ? Là on ne le voit vraiment pas.
Je lui faisais face et tirais sur mon pantalon, je lui montrait avec une certaine fierté mon dispositif.
– C'est un nouveau dispositif, je l'ai depuis quatre semaines et il est plus petit que le précédent.
– Ouah ! Je trouve ça vraiment superbe et terriblement sexy !
– Tu en veux un aussi ?
– NON ! Je trouve ça terriblement sexy SUR TOI ! Pas sur moi …
Il avait jeté son blouson sur le dossier d'un fauteuil et s'était installé sur le canapé. Il commençait à manger sa pizza.
– Tu m'excuses mais j'ai la dalle ! Tu as de la tarte, si tu veux.
J'avais les couilles qui dépassaient par le haut de mon pantalon.
– Tu peux rester comme ça, s'il te plaît, j'aime bien !
Pour seule réponse je retirait mon pantalon, je me retrouvais nu en dessous de la ceinture, il me faisait un large sourire.
– C'est encore mieux !
– Je te propose un verre, un caca cola par exemple !
– Oh oui, super !
Je me rendais à la cuisine, je le voyais, il ne me lâchait pas des yeux. Mais quand je revenais il était à poil, il mangeait une autre part de pizza.
Il était confortablement installé sur mon canapé, je m'asseyais en face de lui, il avait les les cuisses écartées, et une très belle bite qui s'étalait devant lui, elle était superbe, bien droite, bien large, tout comme je les aime, bien longue.
Il me regardait avec insistance, enfin il insistait sur ma cage pour être précis.
– J'adore ce truc, au moins on connaît les rôles. Sa queue se redressait un tout petit peu.
Il prenait encore une part de pizza …
– Mais ça fait longtemps que tu portes ça .
– Plus d'un an.
Sa queue se relevait encore un tout petit peu.
– Wouasssss ! Terrible. Et depuis ce temps tu n' as rien fait, tu ne t'est pas branlé.
– Non je me suis pas branlé mais j'ai fait des trucs.
Sa queue prenait un peu plus de volume.
– Tu as de super grosse couilles. C'est normal ?
– C'est l'anneau de la cage, ça fait souvent ça !
Tout en avalant sa pizza, il me regardait. Sa bite avait bien grossie et était devenue une grosse molle, elle ne se relevait pas vraiment mais là, c'est moi qui ne le quittait pas des yeux. Elle était encore plus belle, bien plus belle comme ça.
Je me disais que totalement en érection elle devait être vraiment impressionnante. Il terminait sa part de pizza et se penchait en arrière, il allongeait et écartait ses jambes.
Je me suis rapproché et je me penchais sur lui, sur sa queue, je la prenais dans la bouche.
– J'ai failli attendre ! Déclarait-il.
J'ai failli pouffer de rire mais je me concentrais, et c'est en prenant bien mon temps que je lui suçais la queue. Rapidement elle prenait tout son volume. Elle était bien grosse et bien grasse, il était circoncis et son gland brillait, je l'admirais quand je relevais la tête et que je le caressais.
Il me caressais les cheveux et m'encourageait. J'avais plus de mal à me la prendre dans la bouche, heureusement ça rentre plus facilement dans le cul que dans la bouche. Mais ça c'est parce que le cul n'a pas de mâchoire.
On pousse et hop, ça glisse. C'était là mes réflexions pendant que je m'activais à lui faire plaisir. Je l'imaginais me la glisser dans le cul. Elle était tout de même de très belle taille et je me disais qu'on devait la sentir passer. Cette idée me faisait un peu peur mais ne m'arrêtait pas.
Je continuais à faire de mon mieux pour avaler sa bite, il appuyait sur ma tête, et si tout avait commencé en douceur, maintenant il y allait plus fort, il n'y avait aussi plus de douceur, j'aime bien moi aussi quand il n'y a plus de douceur.
Il soulevait son bassin par a coup, je me prenais sa queue dans la bouche, elle était trop grosse mais parvenait à s'y loger, je ne pouvais plus respirer mais ça ne le dérangeait pas …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La commande
On était le week-end. Le lendemain il n'y avait pas boulot, dehors il faisait froid. Je ne savais pas quoi manger, je réfléchissais longuement avant de tomber sur une pub qu'on avait mis dans ma boite au lettres.
Et pourquoi pas me disais-je.
Vous vous rendez compte ils en font même aux ananas. Mon dieu des pizzas ananas ... N'importe quoi !
J'en prenais une complète. Oui je sais mais dans le domaine de la pizza je reste très classique. Rien d’exubérant, je ne suis pas tenté par ces aventures expérimentales culinaires exotiques. Je prenais mon téléphone et là c'était la catastrophe, ils étaient débordés.
Ils ne pourraient pas me livrer avant une heure, en plus j'étais à la limite de distance. Que voulez-vous ce sont là des choses qui arrivent.
Je les rassurais, expliquant que je venais juste d'arriver chez moi et que donc c'était pas bien grave. '' Mais pas plus d'une heure alors !''. '' Promis ! '' me répondait une voix charmante.
J'avais le temps de prendre une douche et c'est en prenant mon temps que je me préparais, à poil dans un premier temps. Puis je remplissais la baignoire. Oui j'avais parlé de douche mais un bain c'est quand même mieux. Et moi quand je rentre du boulot, j'aime bien mon confort.
Un peu plus tard, avant que la baignoire ne déborde, je me glissais dans l'eau chaude. C'est un moment super agréable, tout mon corps se détendait, je frémissais de plaisir. J'avais tout mon temps, sauf que quand on trempe comme ça, le temps passe vite.
Je me mouillais la tête, je me shampooinais les cheveux et finalement je me tripotais le cuir chevelu avec délectation.
On sonnait à la porte.
– Merde, la pizza ! M'exclamais-je.
Il fallait faire vite. Je ressortais de la baignoire en une fraction de seconde, d'une main j'essuyais le shampooing qui coulait sur mon front. Je dégoulinais et laissais derrière moi une petite rivière, j'attrapais la grande serviette, celle qui fait deux fois mon tour de ceinture, gêné par le shampooing c'est la petite que je saisissais. Je m'en rendais bien compte en arrivant à la porte mais c'était trop tard. La petite fait à peine un tour complet.
J'ouvrais la porte en tenant ma serviette pour qu'elle ne tombe pas.
– Pizza Miam ! S'écriait le livreur sur un ton jovial avec un large sourire.
Me voyant ainsi, il rajoutait.
– J'ai été un peu plus rapide que prévu ! Il me tendait la boite de pizza.
C'est à ce moment que tout s'est un peu compliqué. Je saisissais la boite puis ne sachant pas ou la poser, je la calais sous mon bras et tentais d'attraper mon porte feuille dans la poche de mon blouson. Je le saisissais, il m'échappait des mains au moment ou je tentais de l'ouvrir.
Je le rattrapais avec l'autre main mais là, c'était la pizza qui tombait, remarquez elle tombait à l'endroit, la serviette tombait aussi et je me retrouvais l'air un peu bête, complètement à poil sans pouvoir réagir car du shampooing coulait dans mes yeux.
Il se marrait le mec.
– Et c'est quoi ça ? Me demandait-il en me montrant du doigt mon dispositif de chasteté.
– C'est rien. Lui répondais-je, c'est juste un truc pour rester sage.
– Et ça marche ?
– Pas vraiment ! Lui répondais-je en lui tendant deux billets de dix.
– J'aimerais bien voir ça de plus près. Me déclarait-il.
– Quand tu veux. Lui répondais-je en ramassant ma serviette.
Le Shampoing me piquait vraiment les yeux et il fallait absolument que je m’essuie.
– Je termine dans deux heures, si tu veux je peux repasser …
– Oui si tu veux, mais là il faut vraiment que je rince les yeux.
– A plus ! Me criait-il.
Je refermais la porte et me regardais dans le miroir. Je n'avais pas fière allure. Je ne dis pas que je n'étais pas sexy mais, en fait j'avais plutôt l'air d'un parfait abruti.
Je m'essuyais le visage, ramassais la pizza, rangeais tout et retournais à la salle de bain. Je me glissais de nouveau dans la baignoire, je rajoutais un peu d'eau chaude et …
– Bon j'en était ou ? Ah oui, shampooing.
Je reprenais ou je m'étais arrêté. Je traînais longuement avant de me sécher, et je commençais à me ratatiner quand je décidais de ressortir de mon bain. C'est donc tout propre, tout mouiller, tout imbibé même que je me séchais longuement. J'enfilais ensuite un pantalon de sport très doux et un T-Shirt.
Je n'avais pas prévu de sortir donc je choisissait le grand confort.
Je me détendais et prenais un certain plaisir en traversant l'appartement. J'aime bien sentir mes couilles glisser contre l'intérieur de mes cuisses. Surtout que je m'épile les couilles régulièrement et déjà je sentais ma bite tenter de se relever et luter contre les barreaux de ma cage.
Ça aussi avec le temps ça peut devenir une source de plaisir, ou au moins de satisfaction.
Je m'installais devant la télé, et enfin je mangeais.
On sonnait à la porte, je me levais en râlant.
– Pas moyen d'être tranquille !
C'était le livreur de pizza, là sans le shampooing dans les yeux je pouvais le voir un peu mieux. Et c'est qu'il était mignon, il avait deux boite de pizza dans le mains.
– Je n'ai pas encore mangé alors je me suis pris une pizza. Déclarait-il en me montrant la première boite et continuait. Et j'ai aussi pris une grosse part de tarte comme désert.
Il me montrait la seconde boite avec un large sourire, puis il entrait. Je ne l'avais pas invité à rentrer mais ça ne me dérangeait pas vraiment de recevoir une visite, il m'avait vu à poil, c'était bon signe. Puis je me suis souvenu qu'il m'avait dit qu'il repasserait.
– Tu portes toujours le truc que tu avais tout à l'heure ? Là on ne le voit vraiment pas.
Je lui faisais face et tirais sur mon pantalon, je lui montrait avec une certaine fierté mon dispositif.
– C'est un nouveau dispositif, je l'ai depuis quatre semaines et il est plus petit que le précédent.
– Ouah ! Je trouve ça vraiment superbe et terriblement sexy !
– Tu en veux un aussi ?
– NON ! Je trouve ça terriblement sexy SUR TOI ! Pas sur moi …
Il avait jeté son blouson sur le dossier d'un fauteuil et s'était installé sur le canapé. Il commençait à manger sa pizza.
– Tu m'excuses mais j'ai la dalle ! Tu as de la tarte, si tu veux.
J'avais les couilles qui dépassaient par le haut de mon pantalon.
– Tu peux rester comme ça, s'il te plaît, j'aime bien !
Pour seule réponse je retirait mon pantalon, je me retrouvais nu en dessous de la ceinture, il me faisait un large sourire.
– C'est encore mieux !
– Je te propose un verre, un caca cola par exemple !
– Oh oui, super !
Je me rendais à la cuisine, je le voyais, il ne me lâchait pas des yeux. Mais quand je revenais il était à poil, il mangeait une autre part de pizza.
Il était confortablement installé sur mon canapé, je m'asseyais en face de lui, il avait les les cuisses écartées, et une très belle bite qui s'étalait devant lui, elle était superbe, bien droite, bien large, tout comme je les aime, bien longue.
Il me regardait avec insistance, enfin il insistait sur ma cage pour être précis.
– J'adore ce truc, au moins on connaît les rôles. Sa queue se redressait un tout petit peu.
Il prenait encore une part de pizza …
– Mais ça fait longtemps que tu portes ça .
– Plus d'un an.
Sa queue se relevait encore un tout petit peu.
– Wouasssss ! Terrible. Et depuis ce temps tu n' as rien fait, tu ne t'est pas branlé.
– Non je me suis pas branlé mais j'ai fait des trucs.
Sa queue prenait un peu plus de volume.
– Tu as de super grosse couilles. C'est normal ?
– C'est l'anneau de la cage, ça fait souvent ça !
Tout en avalant sa pizza, il me regardait. Sa bite avait bien grossie et était devenue une grosse molle, elle ne se relevait pas vraiment mais là, c'est moi qui ne le quittait pas des yeux. Elle était encore plus belle, bien plus belle comme ça.
Je me disais que totalement en érection elle devait être vraiment impressionnante. Il terminait sa part de pizza et se penchait en arrière, il allongeait et écartait ses jambes.
Je me suis rapproché et je me penchais sur lui, sur sa queue, je la prenais dans la bouche.
– J'ai failli attendre ! Déclarait-il.
J'ai failli pouffer de rire mais je me concentrais, et c'est en prenant bien mon temps que je lui suçais la queue. Rapidement elle prenait tout son volume. Elle était bien grosse et bien grasse, il était circoncis et son gland brillait, je l'admirais quand je relevais la tête et que je le caressais.
Il me caressais les cheveux et m'encourageait. J'avais plus de mal à me la prendre dans la bouche, heureusement ça rentre plus facilement dans le cul que dans la bouche. Mais ça c'est parce que le cul n'a pas de mâchoire.
On pousse et hop, ça glisse. C'était là mes réflexions pendant que je m'activais à lui faire plaisir. Je l'imaginais me la glisser dans le cul. Elle était tout de même de très belle taille et je me disais qu'on devait la sentir passer. Cette idée me faisait un peu peur mais ne m'arrêtait pas.
Je continuais à faire de mon mieux pour avaler sa bite, il appuyait sur ma tête, et si tout avait commencé en douceur, maintenant il y allait plus fort, il n'y avait aussi plus de douceur, j'aime bien moi aussi quand il n'y a plus de douceur.
Il soulevait son bassin par a coup, je me prenais sa queue dans la bouche, elle était trop grosse mais parvenait à s'y loger, je ne pouvais plus respirer mais ça ne le dérangeait pas …
A suivre
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