Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.3

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.3
Après cette réconciliation, et une délicieuse douche très câline, nous sommes allés nous restaurer.

Antoine est très agréable, je sens qu'il a du mal à retenir son envie de me prendre la main, en public.
Mais, c'est mieux ainsi !

On se prélasse ensemble en marchant longtemps.
Puis, il fait un tour d'horizon, et m'embrasse derrière un arbre.
Ce baiser en extérieur me trouble énormément !

Nous rentrons enfin, on se couche l'un contre l'autre, en regardant la TV.
Lentement, au gré de ses caresses, je sens le désir monter en lui.

Son gros sexe est coincé entre mes cuisses, il doit se reculer pour le libérer, à cause de son érection.

"Ah ! Ca va mieux ! Putain ! Pourquoi, je bande sans arrêt moi ?".
"Vas-y !".
"Non, mon bébé ! Ca va passer ! Je te laisse tranquille !".

Je passe une main derrière moi, après l'avoir humectée de salive et me lubrifie l'anus, puis dirige sa verge contre mon œillet.

Je m'empale doucement, alors qu'il apprécie de se faire recouvrir la bite par ma chatte toute humide et chaude.

"Arghhhhhhhh ! Voilà ! Tu es pas mieux dans ma chatte ?".
"Orhh ! Oui ! Je suis désolé ! Mais tu m'excites tellement !".
"Arghhhhhhhhhh ! Laisses toi aller, fais lui ce que tu veux ! On va encore jouir et pouvoir s'endormir après !".

Il m'a limé pendant une éternité, puis m'a inséminé en me déclarant son amour inconditionnel.
J'ai beaucoup taché le drap devant moi, en éjaculant, un peu avant qu'il se libère dans mon cul.

J'étais vidé par le plaisir et me suis effondré ensuite, l'anus plein de foutre !

En se levant vers 7 heures, il a du garder son besoin de baiser, pour lui, on avait du retard !

Il m'a confié une tâche, mais a sous estimé ma rapidité de travail.
Je vais le voir vers 11 h, en lui disant que j'ai terminé. Les ouvriers magrébins sont absents.

"Tu veux de l'aide ?".
"Oui, comme ça ! Je serai tranquille pour le reste !".

En bossant, il me reparle discrètement de nos baises de la veille, et celle avec ses copains routiers.
L'effet est inévitable, il bande en bossant !
Son désir me touche, c'est de moi qu'il a envie ! Depuis qu'il a accepté son homosexualité, il en a encore plus besoin.

Puis, au bout d'un moment, je ne peux que le regarder faire !
Je me recule, et sans bruit, dans son dos, je baisse mes vêtements.

J'humecte mes doigts, pour me dilater l'anus.
Lorsque je me sens prêt, je me couche sur une vielle table ou il a posé ses outils, en la faisant crisser.

Il se retourne et me voit qui me tient les cuisses en l'air, et les fesses nues.

"Viens ! Chéri ! Soulages-toi ! J'en ai envie ! Ma chatte est déjà prête !".

Il vient entre mes fesses et s'enfonce directement.
On râle simultanément, sous le plaisir mutuel de cette pénétration.

Il m'embrasse en me possédant avec amplitude.
Je l'attire à moi, en me donnant sans retenue.

Il s'inquiète pour moi.

"Mon p'tit chat ! Tu le veux ou mon foutre ?".
"Ou, tu veux ! Chéri ! Je veux que tu prennes le plus de plaisir possible !".
"Merci ! Mon p'tit chat ! Mais ? Et toi ?".
"Arhhhhhhhh ! Moi, je jouis déjà ! Arhhhhhhhhhh !".

Après une longue défonce, il me tourne sur le ventre et reprend ma chatte sans retenue, encore.
Malgré le plaisir énorme, je n'ai pas éjaculé ! Mais par contre, il m'a fait vider ma vessie avec abondance !

Cela a déclenché son plaisir éjaculatoire, enfin !
Mon vieux pervers adore me faire gicler ainsi !

"Argggggggghhhhhhhh ! Mon p'tit chat, je te remplis dans la chatte ! C'est ce que je préfère ! Argghhhhhhhh !".
Il me fait bénéficier de ses derniers nombreux spasmes, en assauts profonds et puissants, puis se relâche enfin.

Il est alors libéré de son besoin quotidien, on peut penser à la suite.
Vers 14 heures, on continue notre tâche.

A Toulon, se trame une autre histoire, pendant que je travaille !

Corinne a finit son horaire d'été ! Elle entre dans mon appartement avec Joël !
Il ne se sont pas vus depuis lundi ! Juste après mon départ !
Ma belle baise avec lui, trois fois par semaine, au minimum !

Elle cherche très rapidement sa grosse verge, avec ses petites mains vicieuses.

"Hummm ! J'aime quand elle est dure comme ça !".
"T'es une vraie cochonne ! Tu le sais ?".
"Oui ! Mais je suis comme ça ! J'adore faire l'amour avec Pascal ! Mais, j'ai encore plus souvent envie de baiser ! Finalement, c'est parfait qu'il soit pas là de la semaine ! Ca me défoule !".
"Ouais, et je compte en profiter longtemps, ma belle ! Mais, tu l'aimes toujours ?".

"Oui ! Même si ça ne se voit pas, comme ça ! C'est l'homme de ma vie ! J'espère que, ce que je fais, me passera ! Pour l'instant, j'en ai besoin ! Mais, arrêtes de parler de mon mec ! Baises moi !".

"Mais ! Je vais pas faire que te baiser, Corinne Tu le sais !".
"Oui ! Je le sais !".

Il lui imprime une poussée, pour l'emmener devant sa grosse verge tendue.
Elle le libère avec une énorme envie de lui dévorer la bite.

"Putain ! Joël ! Elle m'excite ta grosse queue ! Orghhhh ! Je suis une salope ! J'aime trop le sexe !".

Il la voit le sucer, en gémissant de plaisir sur sa queue.

"J'ai jamais vu une meuf sucer ma bite avec autant de plaisir, on dirait que tu jouis en me suçant !".
"Mmmm ! je sais pas ! Ca me prend tout le corps ! C'est comme un orgasme !".

"T'es géniale ! Vas-y régales toi ! T'es ma belle petite salope à moi, en attendant de retrouver ton Pascal ! J'espère que ça ne te passera pas trop vite !".

Elle gémit encore davantage, le fait de me tromper l'excite, c'est sur !
Elle m'oublie sur sa bite, et je n'apprendrai tout ça, que bien plus tard !

Mais dois-je lui en vouloir, je suis surement pire qu'elle !

Joël la pose sur mon lit, replace sa grosse verge dans sa bouche et la dénude avec vice en lui écrasant les seins, puis, lui branle la chatte avec ses gros doigts.

Il la fait encore gémir sur sa bite en la masturbant énergiquement.
Elle lui trempe la main en jouissant fortement.

Il enlève ses habits avec empressement, elle a envie de son corps foncé de métis.
Il la transperce enfin, avec force, puis la possède puissamment.

Corinne monte très rapidement vers l'orgasme, elle aime ses enfoncements puissants, qui cognent au fond d'elle.

Il lui parle crûment, la traite de cochonne, salope qui trompe son mec, de petite pute, de folle de la bite, etc...

Il se calme et lui permet de s'empaler sur lui, en la regardant orgasmer, encore et encore.

Il est comme moi, ses orgasmes à répétition l'excitent ! Elle en est à son 7eme ou 8ème, au minimum !

Il la baise alors sur le ventre avec domination, elle jouit encore !

Puis, il la place en levrette et l'encule salement, sans vergogne.
Elle enchaine les orgasmes anaux, et il lui rempli le cul avec sa semence chaude.
Elle est épuisée, mais adore cette sensation de fatigue sexuelle.
Il s'essuie le gland contre son œillet, puis revient en elle pour s'amuser avec son petit anus béant, pendant de longues minutes.

Ils ont l'après-midi, et ils vont donc remettre le couvert jusqu'à 18 h !
Ils se reverront Vendredi, comme d'habitude !

Quand à moi, j'assumerai jusqu'au bout ma féminisation sexuelle, par Antoine, deux à trois fois par jour, minimum.

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