Tel est pris qui croyait prendre
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Tel est pris qui croyait prendre
Je voyais cette scène telle que je l’avais imaginée. Aline menait les ébats et prenait tout en main. Paul grimaçait de plaisir. Les yeux mi-clos, ses mains tantôt sur les seins de sa partenaire, tantôt sur ses hanches pour lui donner la cadence et mieux la guider. Leurs bouches s’entremêlaient, se fouillait, engendrant des bruits de succions et de souffles courts couplés aux gémissements et au râles de bonheur.
Aline, avait changé sa position pour se retourner, elle chevauchait toujours Paul mais elle offrait son postérieur à la vue de son amant. Elle prenait équilibre sur ses cuisses, ses mains parcouraient son corps, se caressait les seins, la nuque. Elle relevait ses cheveux, tête en arrière pour chercher de la fraîcheur, ce qui lui donnait une grâce et une sensualité divine. Ses seins bougeaient de haut en bas, ses fesses claquaient sur les cuisses musclées de Paul.
Paul s’évertuait à bien la posséder, à l’aide de petits coups de rein, il replaçait son sexe de façon à aller le plus loin et le plus profondément possible, ce qui déclenchait chez Aline des cris de volupté soudains et intenses. Paul bouche ouverte haletait et éructait de satisfaction. Aline jouait avec son clitoris pendant que Paul s’obstinait à titiller sa petite rosace anale, d’un pouce expert, il lissait cet orifice tant innervé et tant sensible si souvent délaissé par de nombreux amants ou amantes. Il n’y pénétrait pas mais, simplement pour l’agacer et le préparer à recevoir.
Je suis dans un rêve, c’est sûr, ce n’est pas possible, tout ce que je vois est irréel. Je me voyais en lieu et place de Paul, c’était moi, non pas lui. Je ne peux me résoudre à croire ce que je vois. Je me refuse à admettre l’évidence. Et pourtant, ce sont bien Aline et Paul qui s’accouplent devant moi. Ce spectacle attise mon excitation à un point tel, que mon érection se fait sentir et déforme le short que je porte.
Aline s’est penchée vers l’avant, d’une main, elle joue avec les testicules de Paul, pendant que ce dernier écarte davantage sa raie pour pouvoir savourer la vue de son membre aller et venir au sein de cette crevasse. Il constate également que l’anus d’Aline se contracte et se détend alternativement. Elle est prête, elle le veut à cet endroit. Paul n’a pas un sexe énorme, il est très fin et court mais suffisamment calibré pour arracher des plaintes sensuelles à sa complice.
On ne pense plus à la vengeance, ils partagent, ivres de volupté, ils se donnent, s’offrent sans retenue, comme envoutés. Dans un état second, ils s’affairent à partager un plaisir constant et progressif. Aline a volontairement retiré le sexe de Paul s’est avancée légèrement d’une main, elle a positionné le gland de Paul sur sa petite rondelle, elle tente de faire entrer le casque dans son orifice mais c’est trop sec, les manipulations de Paul ont asséché l’endroit. Elle ne peut pas insister, elle a trop mal.
Je ne peux rester insensible à la scène qui se déroule sous mes yeux, je racle ma gorge et deux têtes se tournent concomitamment :- Micke !!!!! s’écrient de concert Paul et Aline.
- Alors, comme ça tu te rinces l’œil ! voyeur en plus…, mais ça t’excite dis donc, ajoute Paul, en fixant la bosse manifeste sous mon short. Tu veux participer ?
- Pourquoi pas ?! ajoute Aline, complètement exaltée.
Je suis déconcerté par la proposition de mon épouse, je n’aurais jamais osé lui proposer un plan à trois. Je la respecte trop. Ma trahison avec Laure, n’est que le fruit de la passion envers notre amie commune, de pulsions sexuelles inavouées et jamais concrétisées. Les années passent, l’usure du couple sur le plan sexuel se fait jour et ma maturité ont contribué au passage à l’acte. Je ne le regrette pas, au contraire eu égard à la proposition inattendue et avancée par ma moitié.
- Détends-toi, rétorque Paul, depuis le temps que l’on se connait, on peut tout partager !
Non ?
- Paul a raison, partageons, je crois que tu ne me connais pas encore totalement mon chéri, surenchérit Aline … .
- J’accepte que si Laure nous rejoint, répondis-je.
- Mais je suis là, répliqua Laure !
Je n’avais pas vu Laure derrière moi. Ses larmes avaient séché, Sa tristesse avait fait place à une attitude concupiscente et malicieuse. Sa robe d’été très légère laissait deviner ses formes séduisantes et non moins convoitées. Un scénario inimaginable encore ce matin venait de chambouler tout un pan de nos vies passées, du moins à ma connaissance. Malgré notre amitié éprouvée depuis de si longues années, nous n’avions jamais évoqué, ni même pensé à ce quatuor. Nous avions des avis sur la politique, la culture, la philosophie en générale qui se rejoignaient, avec des nuances et des divergences nonobstant, nous n’avions jamais parlé de nos relations amoureuses intrinsèques à nos couples respectifs. Jamais de discussion ou insinuation n’avait été évoquée lors de nos nombreuses rencontres.
C’est Laure qui pris les commandes, elle me pris par la main et me déshabilla, elle se dévêtit également, nous étions nus comme des vers. Elle effleura succinctement mon sexe tendu, me poussa vers Aline. Je me retrouvais face à Aline, mon épouse à quatre pattes sur le lit et moi debout au bord du lit, sexe au garde à vous, à quelques millimètres de la bouche d’Aline. Elle posa ses lèvres sur mon gland et l’embrassa délicatement. Elle bécotait et picorait mon prépuce, ce qui m’électrisait et me faisait sortir le précum abondement. Ses mains lui servaient seulement à se maintenir, elle ne jouait que de sa bouche. Mes mains caressaient son visage.
Laure, quant à elle s’affairait sur le sexe de son homme. Elle goûtait son pieu à l’instar d’un « Mister freeze ». De sa langue, elle lustrait ce fin bâton, l’enroulait délicatement autour du gland. Elle le masturbait très lentement pour dégager le gland qui perlait, étirant au maximum le prépuce à la limite de la douleur. Paul allongé sur le dos fermait les yeux et se délectait de cette pratique.
Soudain, Laure abandonna sa prise en bouche et s’approcha du postérieur d’Aline, elle colla ses lèvres sur ses fesses, ne s’y attarda pas et se dirigea vers sa vulve déjà bien rougie par les coups de boutoir précédemment donnés par Paul.
Elle pratiquait un cunnilingus sur Aline, toujours à quatre pattes, la bouche pleine du sexe de son mari Mike. Aline se prêtait allègrement à cette offrande. Laure buvait cette mangue juteuse, de sa langue, elle lapait ce fruit avec ardeur et passion. Elle contournait volontairement les bords de la vulve pour taquiner l’anus de son amie, elle le lubrifiait de salive et de mouille. La rosace se détendait sous les coups de langue avisés de cette experte.
Aline pouffait, soufflait, les narines dilatées pour pouvoir respirer. J’en profitais pour lui flatter les seins afin de me rendre utile. Quant à Paul, frustré d’avoir été lâché par son épouse, s’est levé et s’est placé à mes côtés, pour offrir son membre à Aline. Elle allait d’un sexe à l’autre, l’intensité de ses succions s’étaient accélérés, la cause, la jouissance procurée par Laure.
Paul s’allongea sur le dos, Laure vint se placer sur lui pour être prise, elle guida la bitte de Paul dans son paradis. Laure vint plaquer sa vulve sur le visage de Paul pour y recevoir sa langue tant sur son clito que sur son petit trou. Ce spectacle me foudroyait, je me plaçai derrière Aline, son postérieur tendu ouvrant de ses mains ses fesses et de facto, dégageant son anus. A l’aide de ma salive, je badigeonnai mon chibre, je le posai sur sa rosace. Je demandai à Aline de pousser pour détendre son sphincter, dès que j’ai vu gonfler et ressortir son trou, je poussai sans heurt mon dard au fond de sa grotte. La brûlure se fit sentir et Aline échappa un cri de douleur, alors que Paul maintenait sa verge dans son vagin.
Laure jouissait grâce à la bouche et la langue de son époux. J’allais et venais dans le fondement de ma femme. Aline criait sa jouissance, elle jouissait par le cul et par la chatte. Laure jouissait en se masturbant pendant que Paul lui léchait le cul. Je sentais le membre de Paul lorsque je m’enfonçais dans Aline.
Le sexe de Paul s’échappa du vagin de ma femme, sous mes coups de rein. Son sexe toujours dressé vint heurter mon anus. Je m’immobilisais aussitôt au fond d’Aline. Je ressentais aussitôt sa tige chatouiller l’entrée de mon anus. J’avais envi, j’étais excité comme jamais, ma prostate pompait, je voulais jouir, je poussait pour que Paul me prenne le cul, enfin, il était en moi, sa fine verge, coulissait et me brûlait. J’échappais des râles de bucherons. Je fourrais ma femme qui mangeait la chatte de Laure, Les va et vient de Paul dans mon cul ont provoqué mon éjaculation dans le cul d’Aline. Paul éjaculait contre ma prostate engendrant un double orgasme anal et prostatique. Aline allait trouver ses orgasmes grâce à mes doigts dans sa chatte et ma queue dans son cul. Enfin, Laure jouissait grâce aux coups de langue d’Aline sur sa rosace et ses doigts dans son con et sur son clito.
Je retrouvai Aline dans mes bras et Paul enserra Laure. Nous étions fourbus mais repus de sexe et de jouissance. Nous avions dépassé nos retenues et nous étions parvenus à assouvir des désirs enfouis depuis trop longtemps. L’expérience de ce soir sera sûrement renouvelée et modifiée. Les vacances se terminaient, nous avions hâte de nous retrouver pour d’autre scenarii.
Mais ça fera l’objet d’un autre récit.
Réalité, fiction, fantasme ?... A votre entière discrétion !
Aline, avait changé sa position pour se retourner, elle chevauchait toujours Paul mais elle offrait son postérieur à la vue de son amant. Elle prenait équilibre sur ses cuisses, ses mains parcouraient son corps, se caressait les seins, la nuque. Elle relevait ses cheveux, tête en arrière pour chercher de la fraîcheur, ce qui lui donnait une grâce et une sensualité divine. Ses seins bougeaient de haut en bas, ses fesses claquaient sur les cuisses musclées de Paul.
Paul s’évertuait à bien la posséder, à l’aide de petits coups de rein, il replaçait son sexe de façon à aller le plus loin et le plus profondément possible, ce qui déclenchait chez Aline des cris de volupté soudains et intenses. Paul bouche ouverte haletait et éructait de satisfaction. Aline jouait avec son clitoris pendant que Paul s’obstinait à titiller sa petite rosace anale, d’un pouce expert, il lissait cet orifice tant innervé et tant sensible si souvent délaissé par de nombreux amants ou amantes. Il n’y pénétrait pas mais, simplement pour l’agacer et le préparer à recevoir.
Je suis dans un rêve, c’est sûr, ce n’est pas possible, tout ce que je vois est irréel. Je me voyais en lieu et place de Paul, c’était moi, non pas lui. Je ne peux me résoudre à croire ce que je vois. Je me refuse à admettre l’évidence. Et pourtant, ce sont bien Aline et Paul qui s’accouplent devant moi. Ce spectacle attise mon excitation à un point tel, que mon érection se fait sentir et déforme le short que je porte.
Aline s’est penchée vers l’avant, d’une main, elle joue avec les testicules de Paul, pendant que ce dernier écarte davantage sa raie pour pouvoir savourer la vue de son membre aller et venir au sein de cette crevasse. Il constate également que l’anus d’Aline se contracte et se détend alternativement. Elle est prête, elle le veut à cet endroit. Paul n’a pas un sexe énorme, il est très fin et court mais suffisamment calibré pour arracher des plaintes sensuelles à sa complice.
On ne pense plus à la vengeance, ils partagent, ivres de volupté, ils se donnent, s’offrent sans retenue, comme envoutés. Dans un état second, ils s’affairent à partager un plaisir constant et progressif. Aline a volontairement retiré le sexe de Paul s’est avancée légèrement d’une main, elle a positionné le gland de Paul sur sa petite rondelle, elle tente de faire entrer le casque dans son orifice mais c’est trop sec, les manipulations de Paul ont asséché l’endroit. Elle ne peut pas insister, elle a trop mal.
Je ne peux rester insensible à la scène qui se déroule sous mes yeux, je racle ma gorge et deux têtes se tournent concomitamment :- Micke !!!!! s’écrient de concert Paul et Aline.
- Alors, comme ça tu te rinces l’œil ! voyeur en plus…, mais ça t’excite dis donc, ajoute Paul, en fixant la bosse manifeste sous mon short. Tu veux participer ?
- Pourquoi pas ?! ajoute Aline, complètement exaltée.
Je suis déconcerté par la proposition de mon épouse, je n’aurais jamais osé lui proposer un plan à trois. Je la respecte trop. Ma trahison avec Laure, n’est que le fruit de la passion envers notre amie commune, de pulsions sexuelles inavouées et jamais concrétisées. Les années passent, l’usure du couple sur le plan sexuel se fait jour et ma maturité ont contribué au passage à l’acte. Je ne le regrette pas, au contraire eu égard à la proposition inattendue et avancée par ma moitié.
- Détends-toi, rétorque Paul, depuis le temps que l’on se connait, on peut tout partager !
Non ?
- Paul a raison, partageons, je crois que tu ne me connais pas encore totalement mon chéri, surenchérit Aline … .
- J’accepte que si Laure nous rejoint, répondis-je.
- Mais je suis là, répliqua Laure !
Je n’avais pas vu Laure derrière moi. Ses larmes avaient séché, Sa tristesse avait fait place à une attitude concupiscente et malicieuse. Sa robe d’été très légère laissait deviner ses formes séduisantes et non moins convoitées. Un scénario inimaginable encore ce matin venait de chambouler tout un pan de nos vies passées, du moins à ma connaissance. Malgré notre amitié éprouvée depuis de si longues années, nous n’avions jamais évoqué, ni même pensé à ce quatuor. Nous avions des avis sur la politique, la culture, la philosophie en générale qui se rejoignaient, avec des nuances et des divergences nonobstant, nous n’avions jamais parlé de nos relations amoureuses intrinsèques à nos couples respectifs. Jamais de discussion ou insinuation n’avait été évoquée lors de nos nombreuses rencontres.
C’est Laure qui pris les commandes, elle me pris par la main et me déshabilla, elle se dévêtit également, nous étions nus comme des vers. Elle effleura succinctement mon sexe tendu, me poussa vers Aline. Je me retrouvais face à Aline, mon épouse à quatre pattes sur le lit et moi debout au bord du lit, sexe au garde à vous, à quelques millimètres de la bouche d’Aline. Elle posa ses lèvres sur mon gland et l’embrassa délicatement. Elle bécotait et picorait mon prépuce, ce qui m’électrisait et me faisait sortir le précum abondement. Ses mains lui servaient seulement à se maintenir, elle ne jouait que de sa bouche. Mes mains caressaient son visage.
Laure, quant à elle s’affairait sur le sexe de son homme. Elle goûtait son pieu à l’instar d’un « Mister freeze ». De sa langue, elle lustrait ce fin bâton, l’enroulait délicatement autour du gland. Elle le masturbait très lentement pour dégager le gland qui perlait, étirant au maximum le prépuce à la limite de la douleur. Paul allongé sur le dos fermait les yeux et se délectait de cette pratique.
Soudain, Laure abandonna sa prise en bouche et s’approcha du postérieur d’Aline, elle colla ses lèvres sur ses fesses, ne s’y attarda pas et se dirigea vers sa vulve déjà bien rougie par les coups de boutoir précédemment donnés par Paul.
Elle pratiquait un cunnilingus sur Aline, toujours à quatre pattes, la bouche pleine du sexe de son mari Mike. Aline se prêtait allègrement à cette offrande. Laure buvait cette mangue juteuse, de sa langue, elle lapait ce fruit avec ardeur et passion. Elle contournait volontairement les bords de la vulve pour taquiner l’anus de son amie, elle le lubrifiait de salive et de mouille. La rosace se détendait sous les coups de langue avisés de cette experte.
Aline pouffait, soufflait, les narines dilatées pour pouvoir respirer. J’en profitais pour lui flatter les seins afin de me rendre utile. Quant à Paul, frustré d’avoir été lâché par son épouse, s’est levé et s’est placé à mes côtés, pour offrir son membre à Aline. Elle allait d’un sexe à l’autre, l’intensité de ses succions s’étaient accélérés, la cause, la jouissance procurée par Laure.
Paul s’allongea sur le dos, Laure vint se placer sur lui pour être prise, elle guida la bitte de Paul dans son paradis. Laure vint plaquer sa vulve sur le visage de Paul pour y recevoir sa langue tant sur son clito que sur son petit trou. Ce spectacle me foudroyait, je me plaçai derrière Aline, son postérieur tendu ouvrant de ses mains ses fesses et de facto, dégageant son anus. A l’aide de ma salive, je badigeonnai mon chibre, je le posai sur sa rosace. Je demandai à Aline de pousser pour détendre son sphincter, dès que j’ai vu gonfler et ressortir son trou, je poussai sans heurt mon dard au fond de sa grotte. La brûlure se fit sentir et Aline échappa un cri de douleur, alors que Paul maintenait sa verge dans son vagin.
Laure jouissait grâce à la bouche et la langue de son époux. J’allais et venais dans le fondement de ma femme. Aline criait sa jouissance, elle jouissait par le cul et par la chatte. Laure jouissait en se masturbant pendant que Paul lui léchait le cul. Je sentais le membre de Paul lorsque je m’enfonçais dans Aline.
Le sexe de Paul s’échappa du vagin de ma femme, sous mes coups de rein. Son sexe toujours dressé vint heurter mon anus. Je m’immobilisais aussitôt au fond d’Aline. Je ressentais aussitôt sa tige chatouiller l’entrée de mon anus. J’avais envi, j’étais excité comme jamais, ma prostate pompait, je voulais jouir, je poussait pour que Paul me prenne le cul, enfin, il était en moi, sa fine verge, coulissait et me brûlait. J’échappais des râles de bucherons. Je fourrais ma femme qui mangeait la chatte de Laure, Les va et vient de Paul dans mon cul ont provoqué mon éjaculation dans le cul d’Aline. Paul éjaculait contre ma prostate engendrant un double orgasme anal et prostatique. Aline allait trouver ses orgasmes grâce à mes doigts dans sa chatte et ma queue dans son cul. Enfin, Laure jouissait grâce aux coups de langue d’Aline sur sa rosace et ses doigts dans son con et sur son clito.
Je retrouvai Aline dans mes bras et Paul enserra Laure. Nous étions fourbus mais repus de sexe et de jouissance. Nous avions dépassé nos retenues et nous étions parvenus à assouvir des désirs enfouis depuis trop longtemps. L’expérience de ce soir sera sûrement renouvelée et modifiée. Les vacances se terminaient, nous avions hâte de nous retrouver pour d’autre scenarii.
Mais ça fera l’objet d’un autre récit.
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