Titre de l'histoire érotique : Baise-moi devant mon mari ! 2

- Par l'auteur HDS Hujambo Korodani -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Baise-moi devant mon mari ! 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Baise-moi devant mon mari ! 2
Deux panneaux publicitaires lumineux accrochés devant et derrière le bâtiment faisait la publicité du club de remise en forme. La salle de sport où travaillait Romain T se situait au centre ville où elle abritait dans un immeuble moyen de trois étages le complexe sportif comprenant une salle de gym des plus classiques, une salle de massage, une salle d’aquagym. Romain y travaillait depuis deux ans comme coach sportif. Il aidait les clients à choisir parmi tous les appareils de sport meublant la salle les plus adaptés à leurs profils sportifs, à leurs objectifs physiques, il établissait des programmes individuels, encadrait souvent des cours collectifs. Le regard de Romain se posa sur la grande horloge qui affichait à ce moment-là dix heures trente minutes. Trois personnes s’activaient dans la salle : un couple de personnes âgées sur deux tapis de course et une femme d’une quarantaine d’année sur le vélo elliptique. Romain se dirigea vers la porte. Au passage il sourit à Linda, une femme d’une vingtaine année chargée de l’accueil et du téléphone.

-Je m’en vais !
-T’as rendez-vous avec une conquête ?
-Non je vais à un rendez-vous disons… administratif.
-C’est ça ! Fous toi bien de ma gueule.
-T’es jalouse ?
-Les black ne sont pas mon style.
-Moi non plus !

On se trouvait au début du mois de Juin. Malgré l’heure matinale soleil et chaleur se partageaient les rues. Romain marcha durant une trentaine de seconde dans le parking puis il atteignit sa voiture, une citadine des plus répandues dans la laquelle il s’installa, laquelle il démarra. Une demi-douzaine de minute plus tard il la gara sur le parking d’un établissement.


L’interphone du portail aussi défraichi que la peinture blanche de la barrière qui l’encadrait grésilla sèchement.

-Oui !
-Bonjour !
-Bonjour !
-Je viens parce qu’on m’a convoqué pour onze heures…
-Oui !
-… Je suis le grand frère de Florian T…
-Oui !
-… Je dois parler avec sa CPE.
-Passez par l’accueil avant de monter !

Un bruit électrique retentit. Romain poussa le portail qui s’ouvrit. Il se dirigea vers l’accueil. Une dame ronde l’accueillit assise au bureau. « On dirait un bulldog ! » pensa Romain. Elle lui tendit un grand cahier ainsi qu’un stylo en lui ordonnant : « marquez votre nom ! La date et l’heure de votre arrivé ! Puis signez ! » Romain se saisit du stylo et du cahier. Il vit qu’il était déjà recouvert par les écritures des autres personnes qui étaient entrées avant lui dans l’établissement les jours précédents. Il marqua son nom, la date et l’heure de son arrivé, puis il signa. Romain déposa le cahier et le stylo sur le bureau de la grosse dame qui le regarda d’une mine satisfaite.

« Le bureau de la C.P.E est par là… » à travers la porte de l’accueil d’un geste de la main elle lui indiquait les escaliers montants « …dès que vous arriverez en haut, tournez à droite, c’est le bureau juste en face ».

-Merci Madame !
-De rien Monsieur.

Plus Romain montait les escaliers plus il se souvenait de manière à la fois vivace et flou l’époque où il vivait dans le corps d’un collégien. Maigre alors, sans muscles, corps complexant, avec le temps il jugeait qu’il avait gagné en confiance en soi, qu’il s’était amélioré, mais que l’époque actuelle avait en quelque sorte suivi le trajet contraire, les gens s’étaient abâtardissés à la fois physiquement et moralement, qu’en quelque sorte la chute du monde malgré sa volonté propre d’y SURVIVRE avait aussi entrainé la sienne mais dans un degré qui lui restait inconnu. Ainsi quelque chose menaçait le collège où fréquentait son petit frère. À son époque collégiale la crainte était que les bandes hostiles s’affrontent devant le collège, aujourd’hui on craignait un attentat terroriste dans le collège, trop d’écarts en si peu d’années ! Il ne savait pas si les précautions de sécurité venaient de l’état d’urgence qui avait cours en ce moment là dans tout le pays ou d’une menace locale.
On y inscrivait ses enfants par défaut ; les quartiers que le politique correct désignent par quartiers sensibles entouraient ce collège ; il squattait les zones d’éducation prioritaire.

Soudain Romain s’aperçut selon des critères subjectifs qu’il s’était mal vêtu pour l’occasion : il portait un jogging noir un peu moulant, des baskets blanches, et surtout, l’élément de sa soudaine discorde, un débardeur noir qui laissait voir les muscles saignants de ses bras, les veines visibles de son corps au taux de graisse ridicule, ses pectoraux gonflés, son ventre très plat, tout cela, lui semblait-il, était inapproprié pour la circonstance de sa visite et pour le lieu surtout. La veille, chez lui, il s’était dit que le lendemain matin à la salle de gym il troquerait sa tenue de travail pour une plus présentable, mais au moment de se rendre au collège tout cela lui était complètement sorti de la tête, ses habits de rechange étaient restés aux vestiaires.

-Bonjour !
-Bonjour !

Sur le banc du couloir près de la quarantenaire qu’il venait de saluer Romain s’assit. Il pensa qu’elle passera surement avant lui. Il voulait en être certain.

-Excusez-moi.
-Oui ?
-Vous avez rendez-vous à quel heure ?
-À onze heures.
-J’espère que se ne sera pas trop long.
-Moi aussi.

On les avait donné rendez-vous à la même heure, un classique des cabinets médicaux qu’on utilisait maintenant en milieu scolaire. Une dizaine de minute plus tard le bureau de la C.P.E s’ouvrit. Un homme en sortit qui souriait. Ce fut au tour de la dame. Romain attendit une quinzaine de minutes puis arriva son tour de disparaitre derrière la porte.

-Bonjour !
-Bonjour !

« Je vous ai convoqué par rapport à Florian. Il se comporte mal, je crois que vous êtes au courant. C’est pratiquement la fin de l’année scolaire…. » Romain écoutait avec très peu d’intérêt les paroles de la C.P.E. Il s’efforçait de la regarder dans les yeux. Mais de temps en temps son regard glissait sur la poitrine de son interlocutrice. C’était une dame qui paraissait âgée d’une quarantaine d’année, elle portait des cheveux blondis, son visage possédait des traits réguliers ; c’était une femme arborant une alliance de mariage, pour une raison obscur, pour romain, cette alliance de mariage la rendait encore plus bandante ; c’était une femme avec qui il aurait aimé coucher. « …vous devez faire tout votre possible pour qu’il change de comportement. Je vous parle pour l’année prochaine, si Florian continue à ce comporter comme il a fait cette année, nous allons l’exclure ! Comme moyen de pression, j’ai réfléchi, on pourra utiliser le football. Il aime jouer au foot et veut devenir footballeur professionnel. On peut s’appuyer dessus. Quand son comportement aura été mauvais durant la semaine, le week-end il ne jouera pas. On s’en servira dès le début de l’année prochaine. Je suis convaincue que son comportement sera meilleur. Mais pour cela vous devez être avec nous ».

-Je suis avec vous !
-Moi aussi je suis avec vous !
Ils échangèrent un éclat de rire.
-Vous allez faire du sport après ?
-Oui.

Cette fois ils échangèrent des sourires. « Je suis coach sportif. Si un jour vous voulez faire du sport je peux vous accueillir gratuitement durant une semaine dans la salle où je travaille ». Il sortit de sa sacoche une carte de visite qu’il tendit à la C.P.E.

-Merci c’est gentil !
-Bon… il va falloir que…
-Oui…
Ils se leva le premier. Elle l’imita. Ils se serrèrent la main.
-Au revoir !
-Au revoir !
-Passez une bonne journée.
-Vous aussi.

Elle l’accompagna jusqu’à la porte. Lorsqu’il disparut derrière l’angle du couloir, elle regarda la carte de visite, une carte noire sur laquelle était photographié un immeuble blanc de trois étages, marqué en jaune olive le nom de la salle de sport, l’adresse, et le numéro de téléphone. Elle rangea la carte dans son sac à main gris. Quelque chose d’inédit venait d’entrer dans sa vie.











L’eau chuta du ciel puis s’écoula en traits raides sur les corps des deux époux complètement nus. Il y’avait assez de place dans la cabine de la douche pour deux, assez d’espace dans la cage de chasteté de Sylvain pour que l’eau y pénètre, même si au fils des paroles de son épouse qui le maintenait chaste, l’espace se faisait de plus en plus rare dans sa cage-bite à cause de son érection grandissante. « C’est un grand black. Un beau black. Il est tout en muscles. Il a une grosse bite ! Je sais qu’il a une grosse bite parce que j’ai aperçu la grosseur de sa bite sous son jogging moulant. Dès qu’on finira de diner on ira dans une chambre d’hôtel. Il enfoncera sa grosse bite noire dans ma chatte blanche. Rien qu’en y pensant ça me fait mouiller. Lèche-moi ! » Sylvain s’agenouilla sous l’averse ininterrompue. Ses genoux s’appuyaient sur le carrelage dure et humide. Il déposa la tête au milieu des cuisses de sa femme puis entreprit de lécher sa vulve, de sucer son clitoris, d’explorer par la langue le canal vaginal étroit. Des dix doigts aux manucures rouges elle le saisit aux cheveux puis serra la tête lécheuse contre son vagin pour amplifier le plaisir oral qu’il lui offrait. Sylvain s’appliqua encore plus dans le but de la faire jouir. Il portait un amour inconditionnel à Élisa. Il faut beaucoup d’amour pour partager sa femme avec d’autres hommes mieux membrés que soi. Lorsqu’elle jouit sous les caresses de sa langue et de ses lèvres, la cyprine et l’eau remplirent sa bouche.

Sylvain s’était relevé. Il appliquait du shampoing sur les cheveux blondis d’Élisa. Déjà, une épaisse mousse au parfum agréable englobait la chevelure de son épouse. Il savonna tout le corps féminin avec du gel douche puis il le frotta entièrement à l’aide d’un gant ensuite il le rinça enfin il s’occupa de son propre corps. Avec une serviette blanche il essuya sa femme puis ils rejoignirent leur chambre conjugale. Élisa se laissa tomber sur le lit. « Masse-moi ! J’ai besoin d’être en forme pour mon rendez-vous avec Romain ». Elle se trouvait allongée sur le ventre. Complètement nu comme elle il s’assit sur le postérieur rond de son épouse puis débuta le massage. Ses doigts parcoururent l’arrière du cou, les épaules, le dos, les fesses charnues d’Élisa qu’ils se mirent à malaxer. Elle se retourna. Il massa ses épaules, ses bras, ses gros seins, son ventre, ses cuisses. Il la fit jouir avec les doigts la cage-bite près de l’explosion.

Sylvain avait fini de vêtir Élisa. Le couple s’était assis sur le tapis de leur chambre. Sylvain ne portait pour unique vêtement que sa cage de chasteté. Élisa décrocha la clé qui ouvrait la cage-bite de son mari, cette derrière était accrochée au collier de son cou qui la faisait pendre au milieu de ses gros seins. Des doigts à la manucure rouge elle saisit la cage de chasteté qu’elle ouvrit. Le pénis de Sylvain se retrouva libre mais entièrement marqué par les empreintes que la pression de la cage portée durant des mois avait forgé sur sa verge quasi en érection. En masturbant son pénis et son gland d’une main aguicheuse elle lui demanda : « tu veux me baiser ? » Il souffla un oui d’excitation. Mais elle répondit « non ! Il n’ya que les hommes bien montés qui ont le droit de me toucher ! Ta petite bite ne mérite que la cage ». Sylvain serra fortement ses paupières closes, s’efforçant de retenir l’éjaculation non autorisée qui pouvait faire en sorte qu’Élisa prolonge sa chasteté d’un mois supplémentaire.

-S’il te plait tu peux arrêter ?
-T’as peur de cracher ?
-Oui.
-Tu sais ce qui t’attend si tu éjacules sans mon ordre ?
-Oui. C’est pour cela que je voudrais que t’arrêtes sinon…
Élisa rigola. Elle arrêta de le masturber.
-Débande ! Je te remets ta cage.

Elle sortit de la chambre. Elle revint quelque instant plus tard avec un sachet de glace qu’elle appliqua sur sa verge. Le froid arracha des frissons à Sylvain qui sentit son pénis ramollir. Elle enferma de nouveau sa verge dans la cage de chasteté, puis elle sortit rejoindre son amant.

Sylvain dormit très peu cette nuit là. Il la passa à bander encagé sur le matelas marital. L’image mental de sa femme couchant avec son nouveau amant noir dans un hôtel pendant qu’il subissait des érections chastes sur le lit conjugal le rendait fou d’excitation ! Elle était allée rejoindre un homme plus viril que lui et n’avait laissé derrière elle que les effluves de son parfum chimique qui lui rappelait à chaque nouvelle inspiration qu’il était cocu.

Le lendemain matin Sylvain après avoir acheté des croissants se rendit dans la chambre d’hôtel où l’attendait Élisa. Quand il entra dans la chambre il la trouva totalement nue. Ils échangèrent un baiser.

-Comment ça été ?
-Merveilleux ! Tu m’as apportée à manger ?
-Oui j’ai pensé que t’aurais besoin de reprendre des force.
-Merci c’est gentil !
-Fais voir ta cage. Tu ne l’as pas ouverte au moins ?
-Non. Je ne l’ai pas ouverte.

Il baissa son froc puis son boxer pour prouver à son épouse qu’il avait été sage.

« C’est bien ! » dit-elle l’air soulagée lorsqu’elle aperçut la cage de chasteté fixée sur sa verge. « Sa bite était tellement longue et grosse ! On a baisé toute la nuit. Il m’a baisée comme un sauvage ! » Élisa saisit dans une main la cage-bite et s’aperçut qu’elle serrait très fortement la verge en érection.

-Elle est vraiment serrée. T’es très excité on dirait.
-Oui. J’ai envie de… Tu peux me libérer s’il te plait ?
-Lèche-moi d’abord !

Elle s’allongea sur le lit puis elle ouvrit les cuisses. Il la rejoignit avec pour une unique habit sa cage de chasteté. Il déposa sa bouche sur le vagin de sa femme pendant qu’elle parlait mi-murmure mi-confession : « il a rempli ma chatte avec son sperme. Il a éjaculé une dizaine de fois en moi… Sa bite était tellement grosse… J’ai joui comme une salope… lèche ma chatte !… » Elle déposa une main sur ses courts cheveux bruns qu’elle caressa dans un mouvement de va et bien comme pour l’encourager à la lèche. « J’ai avalé deux fois son sperme… il a joui une fois sur mes seins… Viens m’embrasser ! » Sylvain abandonna l’entrecuisse d’Élisa pour ses lèvres. Il embrassait la bouche dans laquelle un autre homme avait éjaculé quelque heure auparavant.

Elle décrocha la clé sur son collier puis ouvrit la cage de chasteté. Elle masturba la verge qui banda aussitôt. « Pénètre moi ! Je veux ta bite dans ma chatte ! Je veux que tu ressentes la différence, comment sa grosse bite noire a élargi ma chatte, la chatte de ta femme… » Sylvain monta sur son épouse qu’il laboura. Pendant que son braquemart explorait le canal vaginal de sa femme elle continuait de lui causer de son amant. « il m’a traité comme une pute et j’ai aimé ça… il m’a d’abord embrassé, puis il a enfoncé deux doigts dans ma chatte, ensuite il a introduit sa grosse bite noire dans mon vagin… » Sylvain éjacula bruyamment. En une fraction de seconde il venait de se délivrer de six mois d’abstinence sexuelle.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
€ Hujambo Korodani :
Oui c'est très petit 28 mm, mais c'est le souhait de ma femme. Car ainsi il est totalement impossible d'avoir un semblant de début d'érection. Ainsi ma femme me dépocède totalement de ma nouille qu'elle veut à jamais inutile ....
Il n'est absolument pas question de retirer cette minuscule cage !
Pénétrer ma femme il en est évidemment pas question, plus jamais.
Pourtant mes envies sont toujours aussi fortes et surtout PERMANENTES, je suis en manque permanent et excité en permanence.
Rudy

Histoire Erotique
en ce qui me concerne je porte une cage mais j'ai plus aucun droit de penetrer ma femme

Merci d'avoir commenté. 428 jours c'est beaucoup ! Une cage de 28 mm elle n'est pas un peu trop petite ?

Histoire Erotique
Super, super et super !
En ce qui me concerne cela fait 428 jours que je n'ai pas été autorisé à ouvrir ma minuscule cage de 28 mm de longueur. Et à priori ça risque de durer encore très longtemps. Je ne sais même plus si je suis encore capable d'éjaculer.
Rudy



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