Titre de l'histoire érotique : Ma coloc' Nina - Ch. 5

- Par l'auteur HDS Markpm -
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Ma coloc' Nina - Ch. 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma coloc' Nina - Ch. 5
CHAPITRE 5: LE DERNIER REMPART

Dix minutes plus tard, nous étions de retour de notre promenade matinale, et déjà dans le hall de l’immeuble, les festivités ont commencé. J’ai poussé Nina contre les boites aux lettres et ai commencé à l’embrasser. Les lèvres, puis le cou, puis les épaules. Ma main est directement descendue entre ses cuisses, et j’ai pu constater que sa fente était toujours aussi poisseuse que depuis notre aventure sur les quais. Du coup je n’ai eu aucun mal à glisser deux doigts dans son sexe, puis à remonter sur son clitoris. Je l’ai branlée jusqu’à ce qu’elle se mette à gémir et à avoir des soubresauts.
_ Interdit de jouir sans ma permission, désormais, lui ai-je dis en retirant rapidement mes doigts. Allez, monte.
J’ai laissé sa jupe remontée sur ses hanches et lui ai fait monter les deux étages ainsi, au risque de croiser un voisin. La suivant de très près, je lui caressais la croupe et par moment, lui donnait une fessée. Une fois dans l’appartement, je lui ai ordonné de m’attendre dans la chambre, nue et à quatre pattes sur le lit. J’ai récupéré des sangles dans un placard du salon, et quand je suis arrivé dans la chambre, Nina m’attendait comme je le lui avais demandé. Entièrement nue, elle faisait face au mur, tandis que ses deux orifices me faisaient face à moi. J’ai souri mais n’ai pas prononcé un seul mot. Je me suis seulement avancé vers elle, et minutieusement, l’ai mise dans la position que je désirais. Ses jambes écartées étaient, chacune, attachées par une sangle aux pieds du lit, tandis que ses poignets étaient attachés à ses chevilles. Dans cette position, sa poitrine reposait lourdement sur le matelas, mais son cul pointait outrageusement vers le plafond. J’ai achevé mon œuvre en sortant le string que j’avais encore en poche, et l’ai enfoncé dans sa bouche. Non pas que je ne voulais pas entendre ses bruits, puisque je trouvais ça terriblement excitant. Mais je voulais qu’elle s’habitue. C’était le genre de dégradation et d’humiliation qu’elle allait subir. Je l’ai laissée mariner un moment, tandis que je me déshabillais moi aussi. J’ai fait le tour de son corps, la frôlant du bout de mes doigts, et je lui ai envoyé une fessée. Puis une autre. A genoux derrière elle, ma main gauche gentiment posée sur l’intérieur de sa cuisse, je faisais claquer la droite sur son cul à un rythme grandissant. Je ne me suis arrêté que lorsque sa peau a commencé à rosir. J’ai passé mon doigt entre ses cuisses pour vérifier, et en effet, Nina était toujours aussi humide. Les claques reçues ne l’avaient pas refroidie, c’était même surement le contraire. Aussi j’ai continué à jouer avec ses fesses, en les malaxant, sans précaution, en les griffant. Mais dans le même temps, je n’ai pas su résister à l’invitation de ces deux orifices, et j’ai plongé la tête la première entre ses jambes.
C’était la première fois que je goutais à son sexe directement. C’était plutôt étonnant, car en temps normal, dans une relation dite normale, ce serait sûrement la première chose que j’aurais faite. La déshabiller, la lécher, et ensuite tout peut commencer. Voilà mon ordre habituel des choses. Avec Nina, les choses étaient différentes, j’en avais presque oublié de la goûter, mais je n’étais pas déçu. Mes mains agrippaient fermement ses fesses, que j’écartais autant que possible, tandis que ma langue se baladait de son anus à sa fente, descendait titiller son clitoris, puis remontait s’enfoncer entre ses lèvres. Je l’ai léchée de l’intérieur, goûté et avalé sa mouille, et j’ai essayé de pénétrer son petit trou du bout de ma langue. J’entendais Nina qui gémissait de plus en plus. Des gémissements étouffés par la culotte dans sa bouche, mais cela rendait la chose encore plus excitante. J’ai fini par mettre deux doigts en elle, tandis que mon pouce branlait son clitoris, mais j’ai dû m’arrêter, un peu à contre-coeur, lorsque je l’ai sentie se tendre petit à petit. J’ai retiré mes doigts, et lui ai donné une fessée.
_ Interdit de jouir, ai-je seulement dit sèchement.
Je suis venu me présenter face à elle, mon sexe pointant fièrement vers son visage, et je lui ai ordonné d’ouvrir la bouche en grand. J’ai retiré la culotte trempée de salive et l’ai remplacée par mon membre. Elle a commencé à me téter, à agiter sa langue, comme par réflexe, tandis que je posais mes deux mains sur sa tête. Puis j’ai poussé. Il était temps pour elle d’apprendre à me sucer comme il fallait. Alors quand j’ai senti mon gland titiller sa luette, j’ai poussé encore, et Nina a toussé. Elle a essayé de se dégager, mais j’ai poussé jusqu’à ce que son nez soit écrasé contre mon pubis. Je lui ai dit de bien respirer par le nez pour ne pas s’étouffer, et elle m’a regardée apeurée, mais a réussi à respirer assez vite. Je me suis retiré peu de temps après, un long filet de bave épaisse reliait mon gland à ses lèvres. J’ai essuyé mon sexe sur son visage qui, avec les larmes qui y coulaient, était devenu un carnage. Bien sûr, cela m’excitait encore plus, et très vite, j’ai replongé dans sa gorge. Au plus profond. Nina a encore toussé, et craché un flot de salive et de bile sur mes testicules, mais je ne me suis pas retiré cette fois, j’ai au contraire commencé à baiser sa bouche. Je la tenais par les cheveux comme je l’aurais tenu par les hanches, et j’allais et venais dans sa gorge comme si je la prenais en levrette. Sans fioritures. Parfois bien sûr je me retirais pour la laisser respirer comme il faut, et cracher le surplus de salive, mais j’y retournais aussitôt. C’était plutôt douloureux, pour Nina. Elle n’était pas habituée à ce genre de traitement, mais pour une novice, elle s’en sortait très bien. J’ai continué jusqu’à sentir la sève monter, et me suis alors arrêté. J’avais d’autres projets pour elle à ce moment-là. Je l’ai laissé reprendre son souffle, puis j’ai remis la culotte dans sa bouche et elle a enfoui son visage souillé dans l’oreiller sous elle. Je suis retourné derrière elle, et j’ai caressé son cul, et plus particulièrement son petit trou. J’ai ramené un peu de son jus, qui coulait encore de ses lèvres, jusqu’à son anus, et j’ai lentement poussé un doigt à l’intérieur.
_ Il ne me reste plus qu’un trou pour que ton corps m’appartienne entièrement, lui ai-je chuchoté en tentant d’enfoncer un deuxième doigt.
Le passage était très serré, même pour deux doigts. Comme je m’y attendais, la lubrification naturelle n’allait pas suffire. J’ai donc pris dans ma table de chevet un flacon de lubrifiant et j’en ai barbouillé son anus, mes doigts, et mon sexe. J’ai repris là où je m’étais arrêté, deux doigts dans son cul. C’était beaucoup plus simple avec l’aide du lubrifiant, mais toujours aussi serré. Je me demandais si elle n’allait pas se déchirer au passage de mon membre. Alors j’ai testé.
_ Prête ?
Nina a remué la tête de haut en bas pour me montrer son accord. J’ai posé mon gland sur sa rondelle, et j’ai poussé, très légèrement. C’était un dépucelage, et je n’avais aucune intention de lui faire trop de mal. Mais aucune intention de m’arrêter non plus. Alors j’ai poussé encore, jusqu’à ce que mon gland soit passé. Je la sentais qui se contractait, et j’avoue que cela me donnait envie de jouir sur le coup. Pour la rassurer, je la caressais, son dos, ses cheveux, en lui disant que j’allais être très doux. Et dans le même temps, je poussais, centimètre par centimètre. Nina grognait, et pas forcément de plaisir, son corps se cabrait, mais au bout de quelques minutes, je suis arrivé à entrer entièrement en elle. Là, je me suis arrêté un moment de bouger. J’ai pris le temps d’embrasser ses épaules, son dos, et je lui en ai donné à elle, du temps, pour qu’elle s’habitue à ma présence dans son fondement. Et puis doucement, j’ai commencé à onduler du bassin, et progressivement, j’ai démarré les va-et-vient. Ma main est descendue sur sa fesse, puis sa hanche, et a glissé sous elle, entre ses jambes. J’ai pu constaté l’état d’excitation de Nina, malgré ses plaintes étouffées, puis j’ai posé mon doigt sur son clitoris. J’ai commencé à la branler, en rythme avec mes lentes poussées dans son anus. Au fur et à mesure que j’accélérais, mes doigts accéléraient également. Parfois je les glissais en elle, souriant en sentant mon sexe la pénétrer, là, de l’autre côté de la fine paroi qui séparait ses deux orifices. Mais c’est sur son bouton que je me suis concentré.
_ Ne te retiens surtout pas, lui ai-je dis à l’oreille. Je veux que tu jouisses pendant que je t’encule.
J’ai accéléré mes doigts et mes coups de reins, et ai fini par la sodomiser en bonne et due forme, faisant claquer mon corps contre le sien. Nina gémissait, mais cette fois, j’avais du mal à discerner le plaisir de la douleur. Elle gémissait, et a fini par jouir sur mes doigts. Le corps tremblant, je l’ai sentie se contracter, m’inonder, se tordre sous le plaisir, tandis que j’enfonçais mes doigts en elle, le plus profondément possible, en continuant de la pénétrer. Et j’ai continué jusqu’à ce que je sois sur le point de jouir, moi aussi. Alors je me suis retiré, et comme la veille, je me suis mis face à elle, et en quelques coups de poignet, ai recouvert son visage de sperme. Le tableau final valait le détour: Nina, encore attachée, avait la tête à moitié enfoncée dans l’oreiller, ses cheveux en bataille, sa culotte dans la bouche, son maquillage éparpillé sur ses joues, dégoulinante de bave et désormais de sperme.
Après avoir retrouvé mon souffle, je l’ai détachée, mais elle ne bougeait pas, définitivement cassée par cette séance de baise. Alors je l’ai prise dans mes bras et portée jusqu’à la salle de bain. Je l’ai installée dans la baignoire, où je l’ai rejointe, et je l’ai lavée, de fond en combles. On a passé une bonne heure dans l’eau. Comme promis, je prenais soin de mon nouveau jouet. Je lui ai juré que j’allais la laisser tranquille, et la laisser récupérer, au moins jusqu’au lendemain. Mais à partir de ce moment-là, l’aventure commençait réellement.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mark, ça devient de mieux en mieux même si j'aurais préféré que ce fut sa femme à qui il apprenait à apprécier les plaisirs de Sacher-Masoch...
Merci encore pour ce récit très excitant.

Didier

Histoire Libertine
Tu m'as bien fait jouir, j'aimerais bien que tu t'occupes de mon petit trou à moi aussi.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Ma coloc' Nina - Ch. 5
Histoire sexe : Une rose rouge
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