Titre de l'histoire érotique : Souffrance
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Souffrance
Juin. Comme à leurs habitudes saisonnières les journées s'allongeaient chaleureusement. Aux quatre coins du pays les incendies mobilisaient des garnisons entières de pompiers. 19H. Toujours pas endormi le soleil prolongeait sa lente descente. Pour se préparer au rendez-vous charnel un couple complètement nu pénétrait sa douche.
Chutant, l'eau s'écoula sur les longs cheveux blonds, parcourut le visage, les seins, le ventre, l'entrecuisse, les cuisses, les pieds. Le liquide éclaboussa le mari qui frémit un peu ; malgré la canicule il ne s'habituait pas au froid ; mais bientôt c'est avec ravissement qu'il se mit à se mouiller.
Trente minutes plus tard totalement vêtus les membres du couple stationnaient au miroir devant lequel l'époux observait l'épouse ajuster son maquillage. Il n'y comprenait rien au maquillage mais l'appréciait.
-Tu te prépares pour ton amant....
-Oui. Je me fais belle pour lui.
-...J'adore te regarder te faire belle pour lui.
V et P vivait en concubinage depuis une demi-douzaine d'année ; ils menaient une vie qu'un esprit religieux aurait qualifiée « débauche » et qu'un éditorialiste aurait signifiée « d'expérimentations sexuelles ». P portait un petit pénis ; il accompagnait sa femme aux boîtes échangistes ; durant une semaine il s'était essayé au port de la cage de chasteté mais pour des raisons anatomiques il avait trouvé ça désagréable et subissant une relative faiblesse sexuelle, la privation de la cage n'avait pas eu l'effet escompté sur sa libido ; passé les premiers moments extatiques qu'offre la rencontre amoureuse la sexualité au fils du temps décline en saveur et en valeur, cela est d'autant plus vrai dans une société consumériste où l'acte sexuel a pour but principal le plaisir ; si pendant l'époque sauvage l'éjaculateur précoce bénéficiait d'un avantage certain rapport dépense calorifique reproduction, aujourd'hui la surabondance alimentaire, la surpopulation, surtout l'extension pornographique dans toutes les sphères de la société aidant cet avantage de jadis est aujourd'hui une tare. Il y'a quelque chose de machine dans le porno. Quant à elle V, elle kiffait moyennement le sexe ; rencontrer de nouveaux amants biens membrés n'était qu'un moyen pour ralentir la chute inéluctable du désir (peur de vieillir), chute que le Capital attribuait à la vieillesse et non à la philosophie de vie, or s'il y'avait un âge que le Capital méprisait plus que tout c'était le troisième age ; les femmes devaient rester jeunes et actives sexuellement le plus longtemps possible pour soutenir l'économie et subsidiairement pousser les hommes et de plus en plus elles-mêmes vers la course à la fortune ; le Capital demandait aux femmes d'être actrices pornos pour faire consommer encore plus les hommes et encore plus elles-mêmes ; mais à l'arrivée des machines tout ça n'aura plus de sens ! Les grands propriétaires d'humains-machines décréterons l'Homme Bio obsolète ; le Capital n'aura plus besoin des hommes et des femmes bios ; les machines seront plus performantes sexuellement et économiquement ; alors l'Humanité Bio disparaitra ou sera très massivement réduite.
Depuis environs six mois elle jouissait d'un amant régulier. Il s'appelait M, trentenaire, Blanc, génitaux dotés en trop, il faisait grimper à lui seul le taux de cocus du quartier. L'actualité se déroulait dans son vier ! Il ne manifestait pour rien, ne militait pour rien, n'avait aucun projet urgent ; pour l'instant il ne savait pas s'il voulait avoir des enfants, il jugeait les femmes soit trop salopes ou soit pas assez salopes pour porter ses gosses. Il n'avait opinion sur rien. Quand y'avait plan cul, on le téléphonait, il déboulait, il niquait tout, la femme, le mari, le petit poisson rouge aussi, on lui demandait pas d'être poète, il niquait tout c'est tout ! Quand il s'en allait il les laissait le vagin en lèvres nègres.
La nuit s'était étalée sur toute la ville. Au septième étage d'un hôtel, dans une chambre, un couple en compagnie d'un célibataire, forniquait.
Ils sont en position du lotus : assise sur le pénis de son amant, ils se regardent les yeux dans les yeux face à face ; son vagin sous culotte noire en dentelle écrase le braquemart de son amant ; ses seins compresses ses pectoraux ; ses lèvres sucent la bouche mâle pendant qu'il soulève sa culotte noire en dentelle au niveau de ses fesses et caresse sa lune intime tout cela devant son mari. Elle sait combien bande le cocu de voir passivement la main gauche de l'amant caresser l'anus de sa femme et la main droite de l'amant tenir transversalement son dos nu sous les boucles blondes. Il se souvenait le cocu du goût de cet endroit très intime de son épouse qu'il avait l'habitude de lécher passionnément durant leurs séances préliminaires ; voir cet endroit très intime exploré par l'amant devant lui avait quelque chose de déboussolant et d'excitant ; alors il masturbe sa petite bite molle qui ne pouvait rivaliser avec celle dure de son rival.
Elle embrasse son amant devant son mari. D'une main aux ongles violets elle saisit la chevelure courte et sombre de l'amant pendant qu'elle lui introduit à travers leurs lèvres mêlées sa langue gourmande dans la bouche. Elle sait qu'échanger ce baiser féroce devant lui avec un autre excite son mari, que cela fait vibrer sa petite bite précoce. À son tour l'amant introduit sa langue dans la bouche de l'épouse. Il caresse d'une main rude mais douce la chevelure blondie. En matière de démonstration affective envers les femmes M s'arrêtait au sexe ; s'il ne pouvait les prendre sexuellement il les ignorait ; il faisait un majeur à celles qui lui disait « attendons. Ne sois pas pressé. Nous devons nous connaître ! » ou « je veux faire un mariage réligieux !» le marché sexuel était si saturé de vagins insatisfaits et la vie si précaire qu'en matière de chopage il n'accordait qu'une semaine ; au delà de cette durée il passait à une autre ; il n'éjaculait jamais dans un vagin successible de s'accrocher ou de l'engrosser dans le dos ; il portait en horreur les gosses mais kiffait le sexe et avait pleinement conscience de sa vacuité existentielle qu'il chérissait comme une liberté à la fois émotive et matérielle. Babylone s'écroulait de partout il ne ferait rien pour la sauver ou pour précipiter sa chute ; il se contentait de récolter le maximum de vulves sans les féconder avant de disparaître. Ne jamais mettre au monde la souffrance... en plus.
Les deux amants se mettent en position 69 : l'épouse en dessous, l'amant au dessus. En tenant les testicules de son amant elle fellationne le pénis tendu alors qu'il cunite son vagin. Ces préliminaires devant le mari produisent bruits et soupirs plaisants qui remplissent d'excitation le voyeur. La main sur sa petite bite presque molle qu'il branle, il abandonne la chaise où il se trouvait assis à ce masturber, se tient debout, approche le lit pour mieux voir les amants. Il se rapproche du vagin puis observe le visage rival perdu dans le vagin de sa femme pendant qu'elle fellationne l'amant et qu'il se masturbe en les observant. Soudain il se souvient du soir où toute nue elle s'était assise sur son visage, avait chevauché ses lèvres, sa langue, son nez, sa bouche, comme un pénis ! Après avoir crié elle lui avait rempli la bouche de cyprine. Sans qu'on ne sache si cela vient du souvenir ou de la scène devant lui ou d'un mélange des deux, son petit pénis presque molle devient dur ! Une banalité pour beaucoup mais un exploit pour lui.
Elle s'allonge sur le dos. Il s'agenouille devant son vagin. Le cocu voit l'impressionnant pénis rival fouiller le vagin de sa femme. Elle, dessous cuisses ouverte, il, dessus cuisses ouvertes, son braquemart s'enfonce dans le profond vagin jusqu'à la racine testiculaire. Sa femme émet des soupirs plaisants inédits, des preuves plaisantes qu'elle n'émet jamais avec lui. Il se branle pendant qu'elle se fait baiser devant lui par un autre. La cyprine suinte du vagin. Elle pose des ongles violets sur la fesse musclée de son amant puis le griffe pour l'encourager ! Il accélère la cadence. Les coups de reins pilent son vagin. Elle le saisit aux épaules puis s'accroche à lui. Ne pouvant retenir son éjaculation il éjacule dans elle, sous le regard de son mari.
V était allongée sur le dos les mollets repliés contre ses cuisses ouvertes au creux desquelles squattait du sperme. M étendu près d'elle sur les côtes caressait son ventre dans lequel courraient ses spermatozoïdes ; ces derniers comme beaucoup d'autres avant eux courraient en vain un peu comme les humains ; pilule oblige, ils mourront tous sans féconder ; c'était un gaspillage très immense si on le prenait à l'échelle de toutes les éjaculations humaines inutiles ; un gaspillage que le Capital trouverait comment faire fructifier, déjà, on faisait des crèmes au sperme, plus tard on n'en fera du carburant. La main caressant le ventre descendit au pubis puis vers le vagin jauger son état général. Les lèvres vaginales étaient enflées et luisaient, la vulve aussi arborait une couleur vive que venait contraster le sperme blanc et lourd qui s'écoulait de manière fainéant hors du canal vaginal. M ressentit à l'instant où son doigt toucha la chair fiévreuse un soubresaut imperceptible dedans son gland, une légère douleur vaine qui résultait de l’effort corpulatoire. « Les enfants c'est de la souffrance en plus » se dit-il alors qu'il écartait du pouce et de l'index en pince le vagin dans lequel il venait d'éjaculer.
P observait l'entrejambe de son épouse : la vulve luisait sous la semence de l'amant, les lèvres étaient pleines et gonflées, le trop de sperme débordait des lèvres vaginales ouvertes, il s'écoulait en cheminant sur la raie des fesses. Jusque là V et M avaient toujours utilisé un préservatif lors de leurs ébats sexuels. Le fait que le pénis d'M soit entré dans le vagin de V et qu'il y ait répandu sa semence inaugurait une étape franchie dans l’approfondissement de son cocufiage. Le dernier privilège d'époux qu'il possédait d'elle vis à vis des autres mâles venait de sauter sous ses yeux ! La porte de pandore ouverte.
Rempli de désir P sentit son pénis durcir. Sa bite, quoique petite, soutenait une érection digne qu'il ne pouvait perdre sans s'en servir ! Il monta sur le lit, approcha les cuisses ouvertes, son pénis en main il le rapprocha du vagin souriant. S'aidant de la main il l'introduisit dans le canal vaginal. Le tunnel charnel trop large était gorgé du sperme rival ; c'était comme labourer sexuellement une éponge pleine d'eau ; chaque coup de rein émettait un bruit humide et lui faisait ressentir à travers son gland le long de sa verge aussi le sperme de l'amant de sa femme. Que d'exquises que de prendre sa femme alors qu'elle était encore remplie du sperme d'un autre ! Il suçait un sein pendant qu'il la labourait démentiellement. Elle se mit à bruire comme le font les femmes pendant l'amour sans qu'on ne sache si c'est le plaisir ou Hollywood ! Toujours est-il que lorsqu'il l'entendit progressivement grimper les aigus il ne put s'empêcher d'éjaculer. Aussitôt son sperme se mélangea à celui de l'amant dans la matrice de son épouse. Dès qu'il sortit son pénis du vagin cela déboucha le canal vaginal. Le vagin coulait du sperme. À l'intérieur du sexe féminin une guerre que seuls les époux connaissaient se déroulait. Les spermatozoïdes des deux rivaux s’entre-tuaient pour féconder l'ovule, se revivait toutes les guerres humaines imaginables et inimaginables, Marx affrontaient Darwin, Jésus affrontait Mohammad, McGregor affrontait Mayweather, et tout cela produisait une boucherie infinie à l'issue de laquelle un être naîtrait. Ses parents seraient les seuls à savoir son géniteur. Dans tout les cas ils l’élèveraient comme leur enfant. Après tout, la souffrance fait partir de la vie.
Chutant, l'eau s'écoula sur les longs cheveux blonds, parcourut le visage, les seins, le ventre, l'entrecuisse, les cuisses, les pieds. Le liquide éclaboussa le mari qui frémit un peu ; malgré la canicule il ne s'habituait pas au froid ; mais bientôt c'est avec ravissement qu'il se mit à se mouiller.
Trente minutes plus tard totalement vêtus les membres du couple stationnaient au miroir devant lequel l'époux observait l'épouse ajuster son maquillage. Il n'y comprenait rien au maquillage mais l'appréciait.
-Tu te prépares pour ton amant....
-Oui. Je me fais belle pour lui.
-...J'adore te regarder te faire belle pour lui.
V et P vivait en concubinage depuis une demi-douzaine d'année ; ils menaient une vie qu'un esprit religieux aurait qualifiée « débauche » et qu'un éditorialiste aurait signifiée « d'expérimentations sexuelles ». P portait un petit pénis ; il accompagnait sa femme aux boîtes échangistes ; durant une semaine il s'était essayé au port de la cage de chasteté mais pour des raisons anatomiques il avait trouvé ça désagréable et subissant une relative faiblesse sexuelle, la privation de la cage n'avait pas eu l'effet escompté sur sa libido ; passé les premiers moments extatiques qu'offre la rencontre amoureuse la sexualité au fils du temps décline en saveur et en valeur, cela est d'autant plus vrai dans une société consumériste où l'acte sexuel a pour but principal le plaisir ; si pendant l'époque sauvage l'éjaculateur précoce bénéficiait d'un avantage certain rapport dépense calorifique reproduction, aujourd'hui la surabondance alimentaire, la surpopulation, surtout l'extension pornographique dans toutes les sphères de la société aidant cet avantage de jadis est aujourd'hui une tare. Il y'a quelque chose de machine dans le porno. Quant à elle V, elle kiffait moyennement le sexe ; rencontrer de nouveaux amants biens membrés n'était qu'un moyen pour ralentir la chute inéluctable du désir (peur de vieillir), chute que le Capital attribuait à la vieillesse et non à la philosophie de vie, or s'il y'avait un âge que le Capital méprisait plus que tout c'était le troisième age ; les femmes devaient rester jeunes et actives sexuellement le plus longtemps possible pour soutenir l'économie et subsidiairement pousser les hommes et de plus en plus elles-mêmes vers la course à la fortune ; le Capital demandait aux femmes d'être actrices pornos pour faire consommer encore plus les hommes et encore plus elles-mêmes ; mais à l'arrivée des machines tout ça n'aura plus de sens ! Les grands propriétaires d'humains-machines décréterons l'Homme Bio obsolète ; le Capital n'aura plus besoin des hommes et des femmes bios ; les machines seront plus performantes sexuellement et économiquement ; alors l'Humanité Bio disparaitra ou sera très massivement réduite.
Depuis environs six mois elle jouissait d'un amant régulier. Il s'appelait M, trentenaire, Blanc, génitaux dotés en trop, il faisait grimper à lui seul le taux de cocus du quartier. L'actualité se déroulait dans son vier ! Il ne manifestait pour rien, ne militait pour rien, n'avait aucun projet urgent ; pour l'instant il ne savait pas s'il voulait avoir des enfants, il jugeait les femmes soit trop salopes ou soit pas assez salopes pour porter ses gosses. Il n'avait opinion sur rien. Quand y'avait plan cul, on le téléphonait, il déboulait, il niquait tout, la femme, le mari, le petit poisson rouge aussi, on lui demandait pas d'être poète, il niquait tout c'est tout ! Quand il s'en allait il les laissait le vagin en lèvres nègres.
La nuit s'était étalée sur toute la ville. Au septième étage d'un hôtel, dans une chambre, un couple en compagnie d'un célibataire, forniquait.
Ils sont en position du lotus : assise sur le pénis de son amant, ils se regardent les yeux dans les yeux face à face ; son vagin sous culotte noire en dentelle écrase le braquemart de son amant ; ses seins compresses ses pectoraux ; ses lèvres sucent la bouche mâle pendant qu'il soulève sa culotte noire en dentelle au niveau de ses fesses et caresse sa lune intime tout cela devant son mari. Elle sait combien bande le cocu de voir passivement la main gauche de l'amant caresser l'anus de sa femme et la main droite de l'amant tenir transversalement son dos nu sous les boucles blondes. Il se souvenait le cocu du goût de cet endroit très intime de son épouse qu'il avait l'habitude de lécher passionnément durant leurs séances préliminaires ; voir cet endroit très intime exploré par l'amant devant lui avait quelque chose de déboussolant et d'excitant ; alors il masturbe sa petite bite molle qui ne pouvait rivaliser avec celle dure de son rival.
Elle embrasse son amant devant son mari. D'une main aux ongles violets elle saisit la chevelure courte et sombre de l'amant pendant qu'elle lui introduit à travers leurs lèvres mêlées sa langue gourmande dans la bouche. Elle sait qu'échanger ce baiser féroce devant lui avec un autre excite son mari, que cela fait vibrer sa petite bite précoce. À son tour l'amant introduit sa langue dans la bouche de l'épouse. Il caresse d'une main rude mais douce la chevelure blondie. En matière de démonstration affective envers les femmes M s'arrêtait au sexe ; s'il ne pouvait les prendre sexuellement il les ignorait ; il faisait un majeur à celles qui lui disait « attendons. Ne sois pas pressé. Nous devons nous connaître ! » ou « je veux faire un mariage réligieux !» le marché sexuel était si saturé de vagins insatisfaits et la vie si précaire qu'en matière de chopage il n'accordait qu'une semaine ; au delà de cette durée il passait à une autre ; il n'éjaculait jamais dans un vagin successible de s'accrocher ou de l'engrosser dans le dos ; il portait en horreur les gosses mais kiffait le sexe et avait pleinement conscience de sa vacuité existentielle qu'il chérissait comme une liberté à la fois émotive et matérielle. Babylone s'écroulait de partout il ne ferait rien pour la sauver ou pour précipiter sa chute ; il se contentait de récolter le maximum de vulves sans les féconder avant de disparaître. Ne jamais mettre au monde la souffrance... en plus.
Les deux amants se mettent en position 69 : l'épouse en dessous, l'amant au dessus. En tenant les testicules de son amant elle fellationne le pénis tendu alors qu'il cunite son vagin. Ces préliminaires devant le mari produisent bruits et soupirs plaisants qui remplissent d'excitation le voyeur. La main sur sa petite bite presque molle qu'il branle, il abandonne la chaise où il se trouvait assis à ce masturber, se tient debout, approche le lit pour mieux voir les amants. Il se rapproche du vagin puis observe le visage rival perdu dans le vagin de sa femme pendant qu'elle fellationne l'amant et qu'il se masturbe en les observant. Soudain il se souvient du soir où toute nue elle s'était assise sur son visage, avait chevauché ses lèvres, sa langue, son nez, sa bouche, comme un pénis ! Après avoir crié elle lui avait rempli la bouche de cyprine. Sans qu'on ne sache si cela vient du souvenir ou de la scène devant lui ou d'un mélange des deux, son petit pénis presque molle devient dur ! Une banalité pour beaucoup mais un exploit pour lui.
Elle s'allonge sur le dos. Il s'agenouille devant son vagin. Le cocu voit l'impressionnant pénis rival fouiller le vagin de sa femme. Elle, dessous cuisses ouverte, il, dessus cuisses ouvertes, son braquemart s'enfonce dans le profond vagin jusqu'à la racine testiculaire. Sa femme émet des soupirs plaisants inédits, des preuves plaisantes qu'elle n'émet jamais avec lui. Il se branle pendant qu'elle se fait baiser devant lui par un autre. La cyprine suinte du vagin. Elle pose des ongles violets sur la fesse musclée de son amant puis le griffe pour l'encourager ! Il accélère la cadence. Les coups de reins pilent son vagin. Elle le saisit aux épaules puis s'accroche à lui. Ne pouvant retenir son éjaculation il éjacule dans elle, sous le regard de son mari.
V était allongée sur le dos les mollets repliés contre ses cuisses ouvertes au creux desquelles squattait du sperme. M étendu près d'elle sur les côtes caressait son ventre dans lequel courraient ses spermatozoïdes ; ces derniers comme beaucoup d'autres avant eux courraient en vain un peu comme les humains ; pilule oblige, ils mourront tous sans féconder ; c'était un gaspillage très immense si on le prenait à l'échelle de toutes les éjaculations humaines inutiles ; un gaspillage que le Capital trouverait comment faire fructifier, déjà, on faisait des crèmes au sperme, plus tard on n'en fera du carburant. La main caressant le ventre descendit au pubis puis vers le vagin jauger son état général. Les lèvres vaginales étaient enflées et luisaient, la vulve aussi arborait une couleur vive que venait contraster le sperme blanc et lourd qui s'écoulait de manière fainéant hors du canal vaginal. M ressentit à l'instant où son doigt toucha la chair fiévreuse un soubresaut imperceptible dedans son gland, une légère douleur vaine qui résultait de l’effort corpulatoire. « Les enfants c'est de la souffrance en plus » se dit-il alors qu'il écartait du pouce et de l'index en pince le vagin dans lequel il venait d'éjaculer.
P observait l'entrejambe de son épouse : la vulve luisait sous la semence de l'amant, les lèvres étaient pleines et gonflées, le trop de sperme débordait des lèvres vaginales ouvertes, il s'écoulait en cheminant sur la raie des fesses. Jusque là V et M avaient toujours utilisé un préservatif lors de leurs ébats sexuels. Le fait que le pénis d'M soit entré dans le vagin de V et qu'il y ait répandu sa semence inaugurait une étape franchie dans l’approfondissement de son cocufiage. Le dernier privilège d'époux qu'il possédait d'elle vis à vis des autres mâles venait de sauter sous ses yeux ! La porte de pandore ouverte.
Rempli de désir P sentit son pénis durcir. Sa bite, quoique petite, soutenait une érection digne qu'il ne pouvait perdre sans s'en servir ! Il monta sur le lit, approcha les cuisses ouvertes, son pénis en main il le rapprocha du vagin souriant. S'aidant de la main il l'introduisit dans le canal vaginal. Le tunnel charnel trop large était gorgé du sperme rival ; c'était comme labourer sexuellement une éponge pleine d'eau ; chaque coup de rein émettait un bruit humide et lui faisait ressentir à travers son gland le long de sa verge aussi le sperme de l'amant de sa femme. Que d'exquises que de prendre sa femme alors qu'elle était encore remplie du sperme d'un autre ! Il suçait un sein pendant qu'il la labourait démentiellement. Elle se mit à bruire comme le font les femmes pendant l'amour sans qu'on ne sache si c'est le plaisir ou Hollywood ! Toujours est-il que lorsqu'il l'entendit progressivement grimper les aigus il ne put s'empêcher d'éjaculer. Aussitôt son sperme se mélangea à celui de l'amant dans la matrice de son épouse. Dès qu'il sortit son pénis du vagin cela déboucha le canal vaginal. Le vagin coulait du sperme. À l'intérieur du sexe féminin une guerre que seuls les époux connaissaient se déroulait. Les spermatozoïdes des deux rivaux s’entre-tuaient pour féconder l'ovule, se revivait toutes les guerres humaines imaginables et inimaginables, Marx affrontaient Darwin, Jésus affrontait Mohammad, McGregor affrontait Mayweather, et tout cela produisait une boucherie infinie à l'issue de laquelle un être naîtrait. Ses parents seraient les seuls à savoir son géniteur. Dans tout les cas ils l’élèveraient comme leur enfant. Après tout, la souffrance fait partir de la vie.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci d'avoir commenté !
Unn hymne au cocufiage candauliste......