Travaux publics 1
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2019 dans la catégorie Plus on est
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Travaux publics 1
Travaux publics 1
Depuis quelques temps, je lis les histoires sur ce site. A mon tour de raconter ce qui m'est arrivé lorsque j'ai travaillé quelques mois dans une entreprise de chantiers publics. Disons que, sans la nommer, c'est une entreprise spécialisée dans les réseaux.
Je me présente, Laurent, 24 ans cette année là, assez beau gosse, brun, corps galbé, entretenu, air viril. Sexuellement, je ne suis pas farouche, femmes, hommes, le plaisir avant tout.
Cette histoire est pourtant du genre hétéro et un poil homo.
Ce jour là, nous sommes en pleine campagne, dans un endroit, il faut le dire, un peu paumé. Je suis avec 2 collègues.
Roger, mon formateur, sénior, marié et 3 grands enfants, un pur macho, qui parle de femmes assez cru toute la journée, très sympa, chauve, superbement musclé et bien conservé pour son âge. Pas timide du tout et près à rendre service.
L'autre collègue, Florent, le bon gars aussi, un beau gaillard bien taillé de 90kg, moins bavard, 30 ans, célibataire.
C'est l'été, il fait chaud. Nous avons enlevé nos tenues de travail pour la pause du midi. Le camion est à l'ombre et nous avons presque fini de manger.
Le coin est très tranquille avec une seule maison sur le secteur. Une voiture arrive soudain: une femme bien en chair, la trentaine, habillée trop légèrement à mon idée, de façon plutôt provocante.
Elle vient nous voir et nous demande ce que nous faisons là. Roger, pas timide, lui explique notre travail et, toujours aussi chaud avec les femmes:" Pour la visite du camion, je prend un droit de cuissage, ma chérie.
Elle rit et ne semble pas farouche.
" Nous trois, c'est possible aussi, mon petit cœur.
Elle repart vers la maison. Nous rions et finissons de manger. Nous avons encore du temps avant de reprendre le taf. Elle revient soudain, avec trois bières.
" Merci ma chérie.
Roger nous passe les bières.
" Viens avec moi visiter le camion, ma chérie. Tu vas voir, on va se faire du bien.
Aussi surprenant soit il, la voilà qui monte avec Roger. Il lui passe déjà la main aux fesses pour l'aider à monter et la prend aussitôt dans ses bras sans qu'elle proteste. Mon collègue et moi sommes scotchés et aussi ravis, surtout que la porte latérale coulissante est restée ouverte, pour mieux profiter de la scène.
Elle se trémousse sous les assauts de Roger qui ne perd pas de temps et lui a déjà mis la main sous la robe. Elle semble facile, se prêtant à sa volonté, l'aidant même à se dévêtir. La voilà maintenant sans culotte et les seins à l'air. Une superbe paire de seins volumineux, que Roger palpe sans hésitation.
" Oh, ma chééérrriiiee…..
Il saisit une couverture qu'il pose sur un petit établi prévu pour bricoler. On dirait que ce meuble a été prévu pour ça tellement la hauteur convient. Instinctivement, elle se positionne dessus et écarte les cuisses. Elle est chaude, en demande de sexe. Roger est aux anges. Il lui roule une pelle pendant que ses doigts lui chatouille le clitos. Elle bouge du cul, mouille comme une pute et semble attendre autre chose que les doigts de Roger. Elle gémit et ronronne de plaisir.
Roger n'est pas né de la dernière pluie et connais la marche à suivre.
Il enlève son teeshirt…Putain, il est poilu comme un bouc le Roger!...
et enlève le reste en un tour de main. Sa bite est raide, prête à entrer en action. Une bite superbe, taillée pour la baise au long court, droite, dressée, un gland comme un miracle, une paire de couilles pendantes que l'on aperçoit dans une énorme touffe de poils.
Lorsqu'il saisit sa bite, je comprends tout de suite qu'il va la fourrer. Il ne s'inquiète pas de savoir s'il doit prendre une capote.
Elle a vu la manœuvre et écarte encore plus les jambes. Il l'aide à lever ses jambes et prendre appui sur des étagères. La voilà offerte, prête à se faire féconder, à recevoir une bite de mâle.
Sans délai, il positionne son appareil reproducteur entre ses lèvres humides et brûlantes et l'embroche sans façon. Quel savoir faire ce Roger!
Elle crie sans retenue son bonheur à l'introduction du mandrin et soulève son cul pour mieux le recevoir tellement elle a apprécié. Il lui a logé tout son matos dans la chatte. Je bande comme un fou devant tant de maîtrise et ce résultat à la hauteur.
" C'est bon, hein, ma chérie, tu aimes bien, ma chérie.
S'ensuit, pendant qu'il la besogne, des OUUUIIIIiiiiii à ameuter tout un quartier.
C'est un régal de voir ce vieux bouc, bien monté, faire hurler de plaisir cette femelle en rut.
Elle bouge du cul comme pas possible tellement elle apprécie d'être ainsi prise.
Le Roger se régale, allant et venant dans cette chatte offerte, lui tripotant les seins et frottant son ventre super poilu contre elle. Le plaisir est intense des deux côtés. Elle s'offre à son corps, lui caressant les reins, pour qu'il besogne encore plus en elle, qu'il n'arrête pas et continue de tisonner le feu qui est en elle.
La scène est admirable, excitante. Mon collègue Florent bave lui aussi d'excitation et montre son intérêt pour la baiser à son tour.
Roger la nique sans retenue, en vieux mâle expérimenté, nous donnant là une démonstration de son savoir faire. Tout ce qu'il disait, c'était donc vrai, lorsqu'il parlait des femmes qu'il baisait.
Après un bon moment à la niquer, Roger me propose de profiter, de passer un petit moment sympa avec elle. Pour ne pas passer pour un idiot ou faire voir que je pourrais être à moitié pédé (si c'est pas plus) , je me positionne et lui enfile mon sexe bien à fond dans la chatte.
J'ai déjà baisé des filles mais là, chapeau, elle reçoit bien, c'est large, super bien mouillé, un véritable délice pour ma queue. Elle remue du cul, ce qui est encore plus excitant. Elle en veut. Ses seins lourds et gros sont durs, chauds. Tout est chaud en elle.
Pendant que je la baise, je sens qu'elle me veut. Ses mains s'agrippent à mon corps, m'attirent. Ses seins durs contre moi finissent par m'exciter. Mes mains les malaxent, les pétrissent. Les amateurs de gros seins doivent se régaler avec elle. Elle hurle de plaisir. Roger m'envoie un flot de paroles obscènes mais je ne l'entend pas. Je sens que je vais venir, que je vais décharger tout mon sperme avant de la calmer.
Je donne toute mon énergie à la baiser mais je manque d'expérience pour rassasier ce genre de femme.
Mes 2 collègues m'encouragent. Roger me passe même la main au cul, ce qui a le don de m'exciter encore davantage et de me faire perdre le contrôle. S'il savait, le Roger, c'est pas sa main qui me plait. S'il savait….
Roger a compris que je vais cracher et, devant le plaisir qu'elle prend, je lui envoie toute ma semence sans me reculer.
Lorsque je me retire, une goute de sperme au bout du gland, Roland pavoise:" Elle t'a fait cracher, et elle en veut encore, la chérie.
Florent, en rut lui aussi, une bite courte mais assez large qu'il branle, en rapport avec le bonhomme, brûle d'impatience de participer au festival.
D'habitude si gentil, il lui présente sa bite, un beau morceau, de la bite de bûcheron, du matos de pro. D'une voix autoritaire, il lui dit:
" Suce moi la bite.
Apparemment ravie, elle se met à dispo et obéit. Il lui loge alors son braquemart et lui pistonne la bouche avant de la laisser le sucer. Elle suce admirablement bien au point de lui arracher des gémissements. Je suis en admiration sur sa façon de sucer. Elle arrive par moments à prendre en entier son gourdin et lui prodigue des bienfaits hors du commun.
Trop excité sans doute, lui aussi, le bassin de Florent se tend soudain et on devine qu'elle va réussir à le faire jouir. Lorsqu'il pose sa main sur sa tête, le moment est imminent. Sans la prévenir, il lui décharge tout son foutre dans la bouche. Elle déguste, imperturbable, ronronnant sa satisfaction d'un si bon goûter.
Dès qu'elle a reçu la dernière giclée, pendant qu'il est encore raide, il la redresse et la repose le cul sur le meuble et vient lui fourrer son énorme queue dans la chatte.
Son cri de jouissance est admirable. Elle prend son pied. Je pense qu'elle en avait envie dès le départ, de sa grosse queue, pour lui chatouiller les lèvres enflammées. Pendant qu'il se finit, il lui roule une pelle bien baveuse. Après tout, c'est son sperme.
Son corps trésaille sous les coups de bite de cette force de la nature. Elle est heureuse.
Lorsqu'il se retire, Roger, excité par tout ce qu'il vient de voir, veut absolument lui donner l'estocade. Elle n'est pas hostile, bien au contraire, et se tend pour se faire saillir. Elle en veut encore, la bougresse.
A peine la partie de jambes en l'air finie avec Florent, Roger lui a déjà enfilé son magnifique gland dans la chatte et la coulisse sans complaisance. Elle vient pourtant d'être graissée mais elle en veut encore.
" La salope, elle a bien avalé. J'avais pas baisé depuis plus d'une semaine."… Florent est encore sous de coup de son éjaculation et a hâte de rebander pour la tringler à nouveau.
" Je vais lui juter dans la chatte à cette pute….Oh, Putain..
Il boue d'impatience de profiter encore.
Pendant ce temps, Roger lui fouille les entrailles et la pistonne comme une bête. Elle ne peut plus crier, leurs langues sont mêlées et ils prennent tous les deux un plaisir certain à rassasier leur corps.
Ce vieux mâle expérimenté lui envoie des coups de butoirs admirables. Il jouit de la baiser ainsi et ne lui donne aucun répit. Quelle résistance. Je suis en admiration devant Roger, qui me fascine. Jamais un mec ne m'a baisé ainsi. Elle commence à vaciller et son corps donne les prémices d'un orgasme. Les couilles trempées de mouille de cette femme en manque, il sent les spasmes monter en elle et redouble d'ardeur" Je vais t'en donner une bonne dose, ma chérie" Ouuuiiii….OuuuiiiiRoger, toujours agréable et à l'écoute des copains, a compris que Florent voulait la rebaiser et n'y voit aucun inconvénient.
" C'est bon, ma chérie? Tu aimes bien?
" Ouuuiiiii…..Ouuuuuiiiii" Le copain va t'en redonner une dose, après moi, ma chérie.
" Ouuuuuiiiii
Le plaisir l'emporte soudain et elle pousse un immense cri de jouissance, en même temps que son corps est parsemé de convulsions érotiques. Son bassin offert encore plus, elle laisse Roger jouir en elle et répandre toute sa semence au fond de son vagin.
La scène est d'une rare beauté, tant leurs corps sont accordés. Ce vieux bouc reste en elle jusqu'à la dernière goutte de sperme qu'il peut cracher, la bite bien à fond. La sueur coule sur lui tant il a donné de sa personne pour la satisfaire.
Lorsqu'il se retire, il est encore raide, la bite luisante, les poils collants, dégoulinants de mouille et sans doute aussi de mon sperme.
Encore secouée par ce coït infernal, elle reste les jambes ouvertes, les lèvres gonflées, la chatte ouverte, attendant la grosse bite de Florent qui lui a tant fait plaisir. Il rentre en elle tel un cerf et lui arrache un cri de plaisir digne d'un film porno.
Florent la nique avec sa grosse pine de façon bestiale sans qu'elle proteste. Au contraire, ce corps de jeune en pleine force de l'âge et s'apprêtant à se reproduire en elle lui a redonné un second souffle.
" T'aimes bien la bite, salope.
Seuls des Ouuuiiii sortent de sa bouche tant elle apprécie de se faire saillir par cet étalon. Il lui ramone la chatte et va arriver à ses fins. Elle s'abandonne, livrant son corps à sa merci. Son énorme bambou va et viens dans cette chatte en feu.
" Salope….
Roland, remis de ses émotions, est subjugué par les prouesses du collègue, se découvre un concurrent en tant que mâle dominant mais leur amitié résistera sans problème à cet état.
" Putain, il te la nique, la chérie.
Un dernier spasme indique à Florent qu'elle est à bout, qu'elle a tout donné et il se prépare à exploser en elle.
" Fais moi juter, salope.
Elle met alors ses dernières forces pour le recevoir, lui vider les couilles, tant ce jeune étalon lui plait. Ses mains viennent lui pincer les tétons au point de lui faire mal.
" Salope…..grosse pute" OOOUUiiiiiiiPuis elle ne dit plus rien, elle subit…
Florent ne réfléchit plus, il la baise tel un mort de faim. On sent qu'il va envoyer. On n'entend plus dans le camion que le bruit de ses couilles qui arrivent en butée.
Soudain, à bout, sa bite énorme à fond, il hurle:
" SAAAlllllloooooopppe
Il ne bouge plus. Il lui envoie ses dernières salves de semence au plus profond d'elle-même. Haletant, en sueur, il décharge. Elle a eu raison de cet étalon et l'a fait cracher une seconde fois.
" Oh, putain, tu m'as bien vidé les couilles.
Il se retire, la bite ramollie, la laissant perdre au passage un peu de sperme nacré. Elle passe sa main sur sa chatte encore ouverte afin de constater les dégâts.
Roger l'aide à remettre sa robe en place et garde sa petite culotte….quel farceur.
" Tu as aimé, ma chérie?
" Tu m'as bien excitée, j'avais trop envie.
" Merci pour les bières, ma chérie.
" C'était trop bon, les mecs. Bon après midi.
Dès sa robe ajustée, elle repart, riante, heureuse et….bien graissée, la donzelle.
Florent, couvert de sueur, s'essuie la bite et se rhabille lui aussi….avant qu'on reprendre le travail.
Et pourtant, l'après midi va nous réserver une autre surprise….
Caramel* Protégez vous…. prenez des capotes.
Depuis quelques temps, je lis les histoires sur ce site. A mon tour de raconter ce qui m'est arrivé lorsque j'ai travaillé quelques mois dans une entreprise de chantiers publics. Disons que, sans la nommer, c'est une entreprise spécialisée dans les réseaux.
Je me présente, Laurent, 24 ans cette année là, assez beau gosse, brun, corps galbé, entretenu, air viril. Sexuellement, je ne suis pas farouche, femmes, hommes, le plaisir avant tout.
Cette histoire est pourtant du genre hétéro et un poil homo.
Ce jour là, nous sommes en pleine campagne, dans un endroit, il faut le dire, un peu paumé. Je suis avec 2 collègues.
Roger, mon formateur, sénior, marié et 3 grands enfants, un pur macho, qui parle de femmes assez cru toute la journée, très sympa, chauve, superbement musclé et bien conservé pour son âge. Pas timide du tout et près à rendre service.
L'autre collègue, Florent, le bon gars aussi, un beau gaillard bien taillé de 90kg, moins bavard, 30 ans, célibataire.
C'est l'été, il fait chaud. Nous avons enlevé nos tenues de travail pour la pause du midi. Le camion est à l'ombre et nous avons presque fini de manger.
Le coin est très tranquille avec une seule maison sur le secteur. Une voiture arrive soudain: une femme bien en chair, la trentaine, habillée trop légèrement à mon idée, de façon plutôt provocante.
Elle vient nous voir et nous demande ce que nous faisons là. Roger, pas timide, lui explique notre travail et, toujours aussi chaud avec les femmes:" Pour la visite du camion, je prend un droit de cuissage, ma chérie.
Elle rit et ne semble pas farouche.
" Nous trois, c'est possible aussi, mon petit cœur.
Elle repart vers la maison. Nous rions et finissons de manger. Nous avons encore du temps avant de reprendre le taf. Elle revient soudain, avec trois bières.
" Merci ma chérie.
Roger nous passe les bières.
" Viens avec moi visiter le camion, ma chérie. Tu vas voir, on va se faire du bien.
Aussi surprenant soit il, la voilà qui monte avec Roger. Il lui passe déjà la main aux fesses pour l'aider à monter et la prend aussitôt dans ses bras sans qu'elle proteste. Mon collègue et moi sommes scotchés et aussi ravis, surtout que la porte latérale coulissante est restée ouverte, pour mieux profiter de la scène.
Elle se trémousse sous les assauts de Roger qui ne perd pas de temps et lui a déjà mis la main sous la robe. Elle semble facile, se prêtant à sa volonté, l'aidant même à se dévêtir. La voilà maintenant sans culotte et les seins à l'air. Une superbe paire de seins volumineux, que Roger palpe sans hésitation.
" Oh, ma chééérrriiiee…..
Il saisit une couverture qu'il pose sur un petit établi prévu pour bricoler. On dirait que ce meuble a été prévu pour ça tellement la hauteur convient. Instinctivement, elle se positionne dessus et écarte les cuisses. Elle est chaude, en demande de sexe. Roger est aux anges. Il lui roule une pelle pendant que ses doigts lui chatouille le clitos. Elle bouge du cul, mouille comme une pute et semble attendre autre chose que les doigts de Roger. Elle gémit et ronronne de plaisir.
Roger n'est pas né de la dernière pluie et connais la marche à suivre.
Il enlève son teeshirt…Putain, il est poilu comme un bouc le Roger!...
et enlève le reste en un tour de main. Sa bite est raide, prête à entrer en action. Une bite superbe, taillée pour la baise au long court, droite, dressée, un gland comme un miracle, une paire de couilles pendantes que l'on aperçoit dans une énorme touffe de poils.
Lorsqu'il saisit sa bite, je comprends tout de suite qu'il va la fourrer. Il ne s'inquiète pas de savoir s'il doit prendre une capote.
Elle a vu la manœuvre et écarte encore plus les jambes. Il l'aide à lever ses jambes et prendre appui sur des étagères. La voilà offerte, prête à se faire féconder, à recevoir une bite de mâle.
Sans délai, il positionne son appareil reproducteur entre ses lèvres humides et brûlantes et l'embroche sans façon. Quel savoir faire ce Roger!
Elle crie sans retenue son bonheur à l'introduction du mandrin et soulève son cul pour mieux le recevoir tellement elle a apprécié. Il lui a logé tout son matos dans la chatte. Je bande comme un fou devant tant de maîtrise et ce résultat à la hauteur.
" C'est bon, hein, ma chérie, tu aimes bien, ma chérie.
S'ensuit, pendant qu'il la besogne, des OUUUIIIIiiiiii à ameuter tout un quartier.
C'est un régal de voir ce vieux bouc, bien monté, faire hurler de plaisir cette femelle en rut.
Elle bouge du cul comme pas possible tellement elle apprécie d'être ainsi prise.
Le Roger se régale, allant et venant dans cette chatte offerte, lui tripotant les seins et frottant son ventre super poilu contre elle. Le plaisir est intense des deux côtés. Elle s'offre à son corps, lui caressant les reins, pour qu'il besogne encore plus en elle, qu'il n'arrête pas et continue de tisonner le feu qui est en elle.
La scène est admirable, excitante. Mon collègue Florent bave lui aussi d'excitation et montre son intérêt pour la baiser à son tour.
Roger la nique sans retenue, en vieux mâle expérimenté, nous donnant là une démonstration de son savoir faire. Tout ce qu'il disait, c'était donc vrai, lorsqu'il parlait des femmes qu'il baisait.
Après un bon moment à la niquer, Roger me propose de profiter, de passer un petit moment sympa avec elle. Pour ne pas passer pour un idiot ou faire voir que je pourrais être à moitié pédé (si c'est pas plus) , je me positionne et lui enfile mon sexe bien à fond dans la chatte.
J'ai déjà baisé des filles mais là, chapeau, elle reçoit bien, c'est large, super bien mouillé, un véritable délice pour ma queue. Elle remue du cul, ce qui est encore plus excitant. Elle en veut. Ses seins lourds et gros sont durs, chauds. Tout est chaud en elle.
Pendant que je la baise, je sens qu'elle me veut. Ses mains s'agrippent à mon corps, m'attirent. Ses seins durs contre moi finissent par m'exciter. Mes mains les malaxent, les pétrissent. Les amateurs de gros seins doivent se régaler avec elle. Elle hurle de plaisir. Roger m'envoie un flot de paroles obscènes mais je ne l'entend pas. Je sens que je vais venir, que je vais décharger tout mon sperme avant de la calmer.
Je donne toute mon énergie à la baiser mais je manque d'expérience pour rassasier ce genre de femme.
Mes 2 collègues m'encouragent. Roger me passe même la main au cul, ce qui a le don de m'exciter encore davantage et de me faire perdre le contrôle. S'il savait, le Roger, c'est pas sa main qui me plait. S'il savait….
Roger a compris que je vais cracher et, devant le plaisir qu'elle prend, je lui envoie toute ma semence sans me reculer.
Lorsque je me retire, une goute de sperme au bout du gland, Roland pavoise:" Elle t'a fait cracher, et elle en veut encore, la chérie.
Florent, en rut lui aussi, une bite courte mais assez large qu'il branle, en rapport avec le bonhomme, brûle d'impatience de participer au festival.
D'habitude si gentil, il lui présente sa bite, un beau morceau, de la bite de bûcheron, du matos de pro. D'une voix autoritaire, il lui dit:
" Suce moi la bite.
Apparemment ravie, elle se met à dispo et obéit. Il lui loge alors son braquemart et lui pistonne la bouche avant de la laisser le sucer. Elle suce admirablement bien au point de lui arracher des gémissements. Je suis en admiration sur sa façon de sucer. Elle arrive par moments à prendre en entier son gourdin et lui prodigue des bienfaits hors du commun.
Trop excité sans doute, lui aussi, le bassin de Florent se tend soudain et on devine qu'elle va réussir à le faire jouir. Lorsqu'il pose sa main sur sa tête, le moment est imminent. Sans la prévenir, il lui décharge tout son foutre dans la bouche. Elle déguste, imperturbable, ronronnant sa satisfaction d'un si bon goûter.
Dès qu'elle a reçu la dernière giclée, pendant qu'il est encore raide, il la redresse et la repose le cul sur le meuble et vient lui fourrer son énorme queue dans la chatte.
Son cri de jouissance est admirable. Elle prend son pied. Je pense qu'elle en avait envie dès le départ, de sa grosse queue, pour lui chatouiller les lèvres enflammées. Pendant qu'il se finit, il lui roule une pelle bien baveuse. Après tout, c'est son sperme.
Son corps trésaille sous les coups de bite de cette force de la nature. Elle est heureuse.
Lorsqu'il se retire, Roger, excité par tout ce qu'il vient de voir, veut absolument lui donner l'estocade. Elle n'est pas hostile, bien au contraire, et se tend pour se faire saillir. Elle en veut encore, la bougresse.
A peine la partie de jambes en l'air finie avec Florent, Roger lui a déjà enfilé son magnifique gland dans la chatte et la coulisse sans complaisance. Elle vient pourtant d'être graissée mais elle en veut encore.
" La salope, elle a bien avalé. J'avais pas baisé depuis plus d'une semaine."… Florent est encore sous de coup de son éjaculation et a hâte de rebander pour la tringler à nouveau.
" Je vais lui juter dans la chatte à cette pute….Oh, Putain..
Il boue d'impatience de profiter encore.
Pendant ce temps, Roger lui fouille les entrailles et la pistonne comme une bête. Elle ne peut plus crier, leurs langues sont mêlées et ils prennent tous les deux un plaisir certain à rassasier leur corps.
Ce vieux mâle expérimenté lui envoie des coups de butoirs admirables. Il jouit de la baiser ainsi et ne lui donne aucun répit. Quelle résistance. Je suis en admiration devant Roger, qui me fascine. Jamais un mec ne m'a baisé ainsi. Elle commence à vaciller et son corps donne les prémices d'un orgasme. Les couilles trempées de mouille de cette femme en manque, il sent les spasmes monter en elle et redouble d'ardeur" Je vais t'en donner une bonne dose, ma chérie" Ouuuiiii….OuuuiiiiRoger, toujours agréable et à l'écoute des copains, a compris que Florent voulait la rebaiser et n'y voit aucun inconvénient.
" C'est bon, ma chérie? Tu aimes bien?
" Ouuuiiiii…..Ouuuuuiiiii" Le copain va t'en redonner une dose, après moi, ma chérie.
" Ouuuuuiiiii
Le plaisir l'emporte soudain et elle pousse un immense cri de jouissance, en même temps que son corps est parsemé de convulsions érotiques. Son bassin offert encore plus, elle laisse Roger jouir en elle et répandre toute sa semence au fond de son vagin.
La scène est d'une rare beauté, tant leurs corps sont accordés. Ce vieux bouc reste en elle jusqu'à la dernière goutte de sperme qu'il peut cracher, la bite bien à fond. La sueur coule sur lui tant il a donné de sa personne pour la satisfaire.
Lorsqu'il se retire, il est encore raide, la bite luisante, les poils collants, dégoulinants de mouille et sans doute aussi de mon sperme.
Encore secouée par ce coït infernal, elle reste les jambes ouvertes, les lèvres gonflées, la chatte ouverte, attendant la grosse bite de Florent qui lui a tant fait plaisir. Il rentre en elle tel un cerf et lui arrache un cri de plaisir digne d'un film porno.
Florent la nique avec sa grosse pine de façon bestiale sans qu'elle proteste. Au contraire, ce corps de jeune en pleine force de l'âge et s'apprêtant à se reproduire en elle lui a redonné un second souffle.
" T'aimes bien la bite, salope.
Seuls des Ouuuiiii sortent de sa bouche tant elle apprécie de se faire saillir par cet étalon. Il lui ramone la chatte et va arriver à ses fins. Elle s'abandonne, livrant son corps à sa merci. Son énorme bambou va et viens dans cette chatte en feu.
" Salope….
Roland, remis de ses émotions, est subjugué par les prouesses du collègue, se découvre un concurrent en tant que mâle dominant mais leur amitié résistera sans problème à cet état.
" Putain, il te la nique, la chérie.
Un dernier spasme indique à Florent qu'elle est à bout, qu'elle a tout donné et il se prépare à exploser en elle.
" Fais moi juter, salope.
Elle met alors ses dernières forces pour le recevoir, lui vider les couilles, tant ce jeune étalon lui plait. Ses mains viennent lui pincer les tétons au point de lui faire mal.
" Salope…..grosse pute" OOOUUiiiiiiiPuis elle ne dit plus rien, elle subit…
Florent ne réfléchit plus, il la baise tel un mort de faim. On sent qu'il va envoyer. On n'entend plus dans le camion que le bruit de ses couilles qui arrivent en butée.
Soudain, à bout, sa bite énorme à fond, il hurle:
" SAAAlllllloooooopppe
Il ne bouge plus. Il lui envoie ses dernières salves de semence au plus profond d'elle-même. Haletant, en sueur, il décharge. Elle a eu raison de cet étalon et l'a fait cracher une seconde fois.
" Oh, putain, tu m'as bien vidé les couilles.
Il se retire, la bite ramollie, la laissant perdre au passage un peu de sperme nacré. Elle passe sa main sur sa chatte encore ouverte afin de constater les dégâts.
Roger l'aide à remettre sa robe en place et garde sa petite culotte….quel farceur.
" Tu as aimé, ma chérie?
" Tu m'as bien excitée, j'avais trop envie.
" Merci pour les bières, ma chérie.
" C'était trop bon, les mecs. Bon après midi.
Dès sa robe ajustée, elle repart, riante, heureuse et….bien graissée, la donzelle.
Florent, couvert de sueur, s'essuie la bite et se rhabille lui aussi….avant qu'on reprendre le travail.
Et pourtant, l'après midi va nous réserver une autre surprise….
Caramel* Protégez vous…. prenez des capotes.
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