Une belle fille qui sait ce qu'elle veut 3 - histoire érotique

Il faut encore quelques estocades, pour que le beau-père envoie sa semence dans le ventre de sa belle-fille. Soudain, la porte de la chambre s'ouvre brusquement, c'est Myriame qui fait son entrée, son travail a été moins long que prévu, elle reste un moment sans voix avant de rugir.

-Oh les salauds, je n'en crois pas mes yeux, depuis quand que je, tu me fais cocu et en plus, avec ma fille, gros dégueulasse !

Elle regarde sa fille qui est morte de honte, en la pointant du doigt, elle lui dit :

-Toi ma charogne, tu vas te retrouver à l'internat dès le mois prochain, je t'en fiche mon billet, et toi gros salaud, tu vas me le payer et très cher encore, moi aussi, je vais donner mon cul à qui le veut !

Myriame claque la porte et sort, elle entre dans sa chambre et se jette sur son lit en larme. Jacques la rejoint, s'assoit à côté d'elle et lui, pose la main sur l'épaule. Il lui raconte tout sans omettre le moindre détail. Myriame se redresse, renifle et s'essuie les yeux avec ses mains. Elle regarde son mari en lui dit demande :

-Tu me dis que cela fait plusieurs jours qu'elle te provoque, et qu'elle t'a même masturbée sous la table pendant le diner, mon Dieu, j'ai engendré un monstre !

Jacques la prend dans ses bras et s'excuse de ne pas avoir su résister à l'appel des sens, il ajoute qu'il n'est pas de bois, qu'il n'est qu'un simple pêcheur. Entre deux reniflements et sanglots, Myriame lui dit :

-Ah la salope veut de la bite, elle va en avoir et plus qu'elle ne pourra en digérer, d'après Georgette la femme ton frère, il paraîtrait, que ton frère est un sacré demandeur, elle m'a dit qu'il l'épuise et qu'elle en a marre. Faisant appels à lui pour gaver notre chaudasse, cela soulagera Georgette et fera plaisir à ton frère, mais il faut que tu les persuades d'accepter !

Jacques dit en soufflant fortement :

-Je m'en charge dès demain !

Il enlace sa femme, les deux échangent vrai baiser d'amoureux. Une fois la baiser terminé, Myriame dit en regardant son mari droit dans mes yeux :

-Mon chéri retourne baiser la salope voleuse de mari, je vous ai coupé en pleine action, aller vas-y la finir !

Jacques fronce les sourcils, il croit mal entendre et demande :

-Tu veux que je retourne sauter ta fille ?

Myriame répond :

-Oui, je te le demande, défonce-là, fais-lui mal, je veux qu'elle hurle de douleur !

Jacques se pince les lèvres et sort de sa chambre, il retourne dans celle de sa belle-fille, qui git toujours nue sur le lit, jambes largement ouvertes. Justine sursaute, elle regarde son beau-père et lui demande :

-Maman t'a renvoyée, tu viens trouver refuge près de moi, ou alors, je te manque déjà !

Jacques cherche ses lèvres et l'embrasse fougueusement, les langues agiles se nouent pour un long baiser. Myriame entre à son tour, elle s'assied sur une chaise dans un coin et ne dit pas un mot. Justine la voit, mais cela excite encore plus la jeunette qui bascule son beau-père sur le lit et lui saisit la queue. Elle commence un branlage féroce sans quitter des yeux sa maman. Rapidement, la bite devient opérationnelle. La gourmande la décalotte et gobe le gland violacé, elle suce et tète comme pour montrer à sa maman qu'elle sait sucer une bonne bite.

Myriame dans son coin serre les poings, elle se crispe lorsqu'elle voit sa fille lécher, des couilles jusqu'au gland, la hampe fortement veinée. Puis, elle voit, l'affamée reprend en bouche le champignon large et épais. Son mari geint comme une bête malade, il ne peut résister plus longtemps à la bouche vorace de sa belle-fille. Il envoie une première décharge dans la bouche de la suceuse. Qui en regardant sa maman avale la décharge jusqu'à la dernière goutte. La salope ouvre la bouche pour montrer qu'elle a bien tout avalée. Sa maman déglutie, sa chatte commence à suinter, mais au fil des minutes, elle mouille de plus en plus.


Myriame serre les cuisses pour stopper le jus qui s'échappe de sa vulve, mais en vain, la fente rejette tout ce qu'elle peut. Sa culotte est trempée, elle ne peut contenir, le petit filet de liquide qui s'écoule sur ses cuisses. Honteuse, Myriame plaque sa main sur sa chatte au travers de sa jupe, et la presse fortement en grimaçant. Maintenant Justine enjambe son beau-père et s'empale violemment sur sa bite gluante. La coquine commence à faire de son corps un ascenseur. Elle s'accroche à son amant en gémissement de plaisir. De temps en temps, elle jette un regard luisant vers sa maman qui ne quitte pas des yeux les amants. Myriame retrousse sa jupe, elle écrase sa chatte pour l'empêcher de rejeter sa cyprine. Sa culotte est détrempée, jamais, elle n'avait mouillé autant.


Un gémissement plus fort que les autre fait sursauter Myriame, sa fille vient de jouir, elle souffle comme une bête en agitant son corps fortement. Elle se lève pour retirer le pieu qui l'empale, elle le dirige vers son anus, c'est en regardant sa maman, qu'elle descend son corps sur la queue extrêmement gonflée. Lentement en grimaçant, la coquine s'empale, soudain, elle se laisse tomber de tout son poids. Elle pousse un couinement de bête blessée, l'empalement est total. Elle dit en grimaçant :

-Oh maman, maman, regarde comme il m'encule bien ton mari, oh putain comme il me dilate le cul le cochon !

Justine commence à s'agiter très lentement au début, mais rapidement, la vitesse augmente. C'est comme une hystérique qu'elle monte et descend sur la queue épaisse en geignant. Myriame n'en croit pas ses yeux, sa fille se fait sodomiser devant ses yeux. Elle se cabre, en ne pouvant retenir sa jouissance, sa culotte s'en souviendra longtemps de cette jouissance terrible qui vient de lui secouer les entrailles. Sa fille s'agite comme une forcenée, sur la queue infatigable de son beau-père.

Justine semble prise de convulsions, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, une moue affreuse déforme son visage. Elle se cabre en hurlant, une jouissance monstrueuse du cul la fait délirer :

-Oui, oui, mon Dieu, je meurs de plaisir, encore beau-papa, encore !

Jacques en se bloquant déverse dans le fourreau de chair sa semence. Il tire sur les hanches de sa belle-file pour l'empaler jusqu'aux couilles. Myriam se lève et rejoint sa chambre, elle retire sa culotte trempée, et s'allonge sur son lit. Elle retrousse sa jupe avec ses mains tremblantes, et entreprend une masturbation énergique. Ce qu'elle vient de voir la mise dans un état d'excitation pas possible. Rapidement, elle jouit, mais cela ne lui suffit pas, elle recommence, une nouvelle jouissance la cloue sur le lit.

À tour de rôle, le trio prend sa douche. Une bonne nuit de sommeil est nécessaire pour recharger les batteries. Le lendemain, Jacques contacte son frère et son épouse. Il leur explique le cas. C'est sans hésiter que les deux acceptent de lui rendre ce service un peu spécial.