Une fille voyeuse 2 - histoire érotique

Aurélien attend quelques minutes, puis doucement sort de son lit, il constate que sa femme dort à poings fermés. Il quitte sa chambre pour rejoindre celle de sa fille. Il ouvre la porte, la lumière est allumée, sa fille est étendue sur son lit, elle semble rêveuse. Sans être encore bien remise de ses jouissances masturbatoires, ses yeux encore embués, se posent sur la verge du papa. Elle regarde l'engin qui balance entre ses cuisses à chacun de ses pas. Il s'assoit sur le bord du lit et dit en souriant :

-Alors ma chérie, tu as trouvé ça comment ?

C'est un peu mal à l'aise qu'elle répond :

-Mon Dieu papa, c'était dément, oh comme maman jouit fort !


Aurélien passe doucement son doigt sur les lèvres de sa fille et lui murmure :

- Et toi tu t'es bien branlée hein. Si j'osai ma chérie, je te ferai jouir comme elle, voire plus peut-être !

C'est en tremblant que Marion répond :

-Ose mon papa, ose !

Elle l'enlace en l'attirant vers elle, il la repousse, saisir la nuisette par le col et d'un coup brutal, la déchire du haut en bas. Il ouvre, et regarde un long moment le corps fébrile de sa fille, qui commence à respirer rapidement. Il pose ses mains sur la petite poitrine en presse doucement les demi-sphères. Il se penche et commence à sucer les mamelons avec de plus en plus de voracité.

Les bouts deviennent durs comme du béton, les seins se raffermissent considérablement. Les baisers deviennent de plus en plus sauvages. La bouche avide descend sur le corps tremblant, embrasse ou lèche chaque parcelle de peau. Marion geint, mais lorsque la bouche affamée de son papa se pose sur son fruit, elle se cambre en poussant un gémissement terrible, comme une sportive, elle garde la pose en faisant avec son corps un pont.

La bouche se met à dévorer la chatte juteuse, sucer le clito, la langue œuvre dans le puits d'amour. La bouche vorace du papa descend sur l'anus, l'aspire et remonte sur la chatte dégoulinante de cyprine pour la re-dévorer. Souvent la bouche fait la navette de l'anus à la chatte. Les coups de langue qu'applique son papa, font gémir fortement Marion.

-Oh papa, papa, tu me fais mourir !

Pour elle, c'est le summum du bonheur. Ces attouchements inhabituels la font délirer. Mais lorsque la langue s'enfonce de deux ou trois de centimètres dans son anus, elle pousse un cri, qu'elle ne peut retenir, elle se mord la main jusqu'au sang tellement c'est fabuleux.

-OH mon papa, je deviens folle !


Elle s'aperçoit que son petit copain et vraiment pas à la hauteur sexuellement. Sa chatte est en feu, elle est un ru de compagne qui libère son eau. La bouche revient boire au calice, se gaver du jus divin. La langue fouille sans cesse soit la chatte, soit l'anus. Le corps de Marion n'est qu'une aire de jeu. Plusieurs jouissances la font hurler de plaisir. Une jouissance, plus intense que les autres, la fait retomber sur le lit, haletante. Les draps sont souillés par les jeux de l'amour, une flaque de cyprine s'étend de plus en plus sur le drap.

Aurélien repart à l'assaut des seins, il les malaxe si fort que sa fille grimace, malgré la petite douleur, elle geint de plaisir. Elle trouve son amant de papa monstrueux dans ses attouchements, mais elle adore ça. Elle sent contre sa cuisse la bite brûlante de son papa, raide comme une barre de fer. Après avoir bien dévoré les mamelons, fait gémir sa fille de plaisir. Il se redresse, Marion prend ça comme un message, elle ouvre largement les cuisses. Ses yeux sont vitreux, son cœur bat la chamade, elle est au bord de la syncope, elle dit faiblement :

-Papa, papa, prends-moi, prends-moi !

Il s'allonge entre ses cuisses, mais ne la pénètre pas immédiatement, il cherche ses lèvres, elles s'unissent pour un vrai baiser d'amour. Le baiser dure une éternité, chacun y prend son plaisir, les langues se nouent, les salivent se mêlent. Enfin, il délaisse les lèvres brûlantes, et approche sa bite du temple qui normalement lui est interdit. Il la frotte quelques secondes contre les grandes lèvres humides, et pousse. Marion souffle comme un dragon lorsque la bite de son papa force ses grandes lèvres, et s'enfonce lentement dans son ventre. Elle s'accroche à lui en répétant plusieurs fois :

-Oh mon papa, mon papa, ce que ta queue est grosse mon Dieu comme elle me remplit complément !

Une fois la bite paternelle bien ancrée dans le ventre de sa fille, le va-et-vient peut commencer. Au début, le rythme est lent, mais au fur et à mesure des allers et retours dans le vagin, la cadence augmente. La bite vigoureuse voyage sans faiblir dans la gaine qu'elle distend. Malgré, que ce soit un amour interdit, les deux amants prennent un plaisir incestueux. Les coups de reins deviennent plus violents, la bite ressort de la grotte pour replonger profondément au plus profond. Marion ne contrôle plus ses gémissements, elle se lâche totalement.

Elle plante ses ongles dans la peau de son papa qui serre les dents pour ne pas hurler. Elle jouit plusieurs fois d'affilée, elle se cramponne à son papa comme un rapace sur sa proie. Ses râles sont bruyants et longs. Aurélien s'acharne, à chaque enfoncement de sa bite dans la chatte de Marion, un bruit étrange de succion se fait entendre. Marion souffle comme un bœuf, elle grince des dents une ultime jouissance la fait cabrer comme un cheval fougueux. Enfin, le papa envoie sa semence dans le ventre de sa progéniture en grognant comme un fauve. Avant de se retirer du ventre brûlant, les deux amants s'embrassent fougueusement une seconde fois.

Aurélien retire son glaive du ventre de sa fille. Soudainement, Marion la saisit et la dirige vers son anus. Le papa sans chercher à comprendre enfonce lentement son mandrin sans discontinuer. Marion serre les dents, elle ne crie pas, mais grimace en soufflant terriblement, elle maronne :

-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, papa, tu m'éclates le cul, va à fond, oh putain que ça fait mal, mais va à fond mon papa, encule-moi bien, oui, oui, encore plus loin !

Aurélien, enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le cul de la demandeuse. Marion a les yeux presque exorbités, une moue affreuse déforme son visage. Elle s'agrippe à son pourfendeur en geignant. Lentement, le papa enculeur, fait des allers et retours dans la gaine étroite. Rapidement le plaisir prend le dessus, les râles de Marion sont des râles de bonheur, bien que dilatée atrocement et dit :

-Oh mon papa, ce que tu es gros, mais j'aime que tu me prennes comme un animal, vas-y, bourre-moi bien, oh que c'est bon, vas-y, vas-y, je vais jouir du cul mon papa chéri !

Un cri quasi inhumain sort de la gorge de Marion, sa jouissance est fabuleuse. Aurélien en serrant les dents accélère le va-et-vient. Il se bloque et, en rugissant comme un fauve, remplit le cul de sa fille avec son sperme épais. Les deux amants restent soudés un bon moment, avant de se désaccoupler. Lise, réveillée par les cris et gémissements, constate que son mari n'est plus à ses côtés, elle se lève, ramasse sa culotte et en la tenant en main, sort de sa chambre. Elle passe devant la chambre de sa fille et voit un rai de lumière filtrée sous la porte. Elle ouvre. Mais ce qu'elle voit, la cloue sur place. Son mari nu collé contre sa fille nue également. Elle pique un fard, et s'approche du couple. Elle dit en haussant le ton :

-Depuis quand que je suis cocu, depuis combien de temps, vous baisez derrière mon dos, bande de salauds !


Marion se fait toute petite, elle replace les deux pans déchirés de sa nuisette sur son corps, quant à Aurélien lui dit :

-Je vais tout te raconter Lise !

Aurélien lui raconte tout de A à Z. Lise fronce les sourcils et dit en regardant sa fille :

-Donc petite salope, tu joues la voyeuse, et cela, sans aucune gêne, tu espionnes lorsque ton père me baise, hein salope !

Très rouge, en ayant beaucoup, de mal à mettre les mots un derrière l'autre, Marion dit :

-Je t'assure maman, c'est la première fois, je te promets que je ne recommencerai pas !

Lise, en grimaçant, la regarde intensément, ses yeux lancent des éclairs, elle demande :

-Et cela t'a plu petite salope, aller avoue !

Aurélien ne dit pas un mot, mais est attentif à ce qui se passe. Marion répond en béguant :

-Ben, ben, oui, cela m'a plu !

La maman ajoute :

-Et je suis certaine que cela t'a excitée hein, et que tu t'es même branlée !

En baissant les yeux, Marion répond :

Oui, très excitée, je me suis masturbée, et jouis plusieurs fois !


La maman en soufflant comme un dragon dit :

-Mais tu es est une vraie pute, te branler et jouir en regardant ta maman se faire baiser, et après, tu baises avec ton père, tu mérites que je te punisse !


Lise s'assoit sur le bord du lit, avec sa culotte, elle essuie la chatte de sa fille qui est très humide. Elle sursaute et en grognant dit :

-Mais ton cochon de père, ta prise par le cul, il y a du sperme qui s'écoule !

Soudain Lise change de ton, elle dit d'une voix autoritaire et menaçante :

-Toi vieux cochon, re-baise-là tout de suite devant moi !

Aurélien reste coit un moment, il faut que sa femme lui répète sa demande. Il commence à se branler pour que sa queue soit opérationnelle. Enfin, les deux femmes regardent le mât se dresser. Aurélien approche sa bite du temple de sa fille lorsque sa femme le stoppe :

-Non pas la chatte par le cul mon salaud, par le cul !

Il appuie son gland contre l'anus encore entrouvert, et pousse. Comme pour la fois précédente, Marion ne cris pas, elle grimace et s'accroche à son papa. Lise regarde en écarquillant les yeux, la bite puissante de son mari s'enfoncer dans le cul de sa fille. Une fois au taquet, le papa enculeur commence le va-et-vient. sa bite voyage dans la gain étroite qu'il a déjà visité, Lise s'agite :

-Plus fort Aurélien, plus fort tape bien au fond fait lui mal éclate lui le cul à cette petite salope, ai putain que c'est bon !

Pendant que le papa sodomise sa fille la maman, a relevée sa nuisette et se masturbe féroncement la chatte, son clito et hyper gonflé, ses doigts le martyrisent affreusement fort. Aurélien accélère, Soudain sa fille se cabre en poussant un cri terrifiant, sa jouissanc est monstrueuse. Aurélien sserre les dents il regarde sa femme et lui dit entre deuxx souffles :

-Je vais jouir, qu'est-ce que je fais Lise, je me retire ou quoi !

C'est o=en grognant que Lise répond :

-Remplit lui le cul à cette trainée !

Une puissante giclée fait cabrer Marion, son papa vient de déverser dans son intestin sa semence épaisse.