Une fille voyeuse - histoire érotique

Je vais encore recevoir une volée de bois vert, mais je persiste et signe. Dommage pour certain, bonne lecture aux autres ! Marion n'est pas encore rentrée de la fac. Sa maman Lise inquiète Part à sa rencontre, elle la trouve sur un banc avec quelques amis. Elle l'interpelle et la prie de rentrer. En faisant le chemin au retour, elle trouve sa fille un peu euphorique et un peu sot-sotte. Une fois à la maison, son papa Aurélien est rentré de son travail. Marion l'embrasse, son papa fronce les sourcils, la renifle comme un chien, et lui dit :

-Marion ma chérie, tu empestes, tes yeux sont rouges, tu as fumé un pétard, avoue !

Marion ne peut le nier, l'odeur la trahit, elle répond :

-Oui papa, j'ai fumé un joint, avec des amis, on a voulu voir ce que cela faisait !

Lise sursaute, elle dit en haussant le ton :

-Ne dis pas que tu te drogues, c'est de la folie de faire cela, tu sais !

Marion tente de la rassurer en répondant :

-Oh non maman, c'était juste pour voir, je ne le ferai plus crois-moi, c'est dégueulasse !

Lise se pince les lèvres, pas très convaincue, elle peine à croire sa fille. Aurélien clos le débat, il connait bien sa femme, il sait qu'un rien la panique, donc il change de discution. Le repas se passe bien, après la douche, les trois prennent place devant la télé. Les deux femmes sont en nuisettes, Aurélien est en pyjama.


Ils sont blottis l'un contre l'autre, et regardent un programme. Au bout d'un moment, Lise se lève, embrasse sa fille, et monte se coucher, car elle s'ennuie. Marion se colle contre son papa et se met à ronronner comme une chatte. Soudain, avec quelques trémolos dans la voix, demande :

-Toi papa, tu as déjà fumé des joints !

Aurélien, surpris par la demande, écarquille les yeux et répond :

-Pour être honnête, oui, j'ai déjà fumé, avant de connaitre ta maman, mais maintenant, c'est du passé !

Marion redresse la tête vers son papa et lui dit :

-Tu aimais ça !

-Le papa répond :

-Bof en fumant, on se croyait plus performant, mais cela n'était qu'un leurre, cela nous rendait mous et vaseux, ah en planait, mais on redescendait aussi vite, depuis j'ai fait une croix dessus !

Aurélien regarde sa fille, il lui dit :

-Et toi ma chérie, comment tu as trouvé cette fumette excitante !

Elle répond en souriant :

-Oh non, j'avais envie de vomir et très mal à ma tête, pour ce qui est d'excitant, je préfère mon copain !

Aurélien en riant en rajoute une couche :

-Ah est que te fait ton copain de si excitant ma chérie, allez raconte, je suis tout ouïe !

Sans se formaliser, Marion se met à raconter les quelques attouchements que lui fait son petit copain, sans donner trop de détails. Puis curieuse demande :

Et toi avec maman, comment cela se passe, il me semble qu'elle est très chaude, souvent je vous entends gémir certain soir, aller, raconte, qu'est-ce que tu lui fais pour qu'elle gémisse comme ça !

Aurélien en souriant lui dit :

-Je vais faire mieux, je vais monter me coucher et je laisserai la porte de la chambre entrouverte, tu pourras te rincer l'œil petite vice-larde !

Aurélien rejoint sa chambre, sa femme est allongée sur le lit avec un livre en main. Il retire son pyjama et s'allonge contre sa femme, qui pose son livre. Elle le regarde et lui sourit, elle dit :

-OH, oh, je sens que tu cherches quelque chose petit cochon !

Sans dire un mot, mais en souriant, Aurélien passe sa main sous la nuisette de sa femme, rapidement, il atteint l'entrejambe. Quelques passages sur la vulve, que seule la culotte protège, suffisent à la faire mouiller. Aurélien connait chaque zone érogène de sa femme. Il appuie un doigt sur la fente, entrainée par le doigt le tissu s'engage dans le sillon. Un grand frisson parcourt le corps de Lise. De temps en temps, Aurélien jette un regard vers la porte entrouverte. Sa fille est bien à son poste d'observation.

Longuement Aurélien caresse l'endroit où ses cache la chatte, le fin tissu ne peut absorber tout le jus que la vulve rejette, le liquide s'écoule le long des cuisses de Lise en fin filet. Aurélien commence à faire glisser la culotte, mais il lui faut l'aide de sa femme qui se contorsionne pour qu'il arrive à ses fins. Il retrousse la nuisette et offre à la vue de sa fille la chatte maternelle qui ne cesse de ruisseler.

Il pose ses doigts sur le bouton bien développé que l'on nomme clitoris, le saisit et le branle avec de plus en plus de violence. Dans un gémissement terrible, Lise jouit, elle s'arque-boute en expulsant de sa chatte un jet de cyprine si puissant que Marion sursaute. Ses yeux brillent, elle salive fortement.
Les doigts trempés d'Aurélien délaissent la boule magique, pour s'enfoncer dans le temple de l'amour. Sa femme se cabre en gémissant comme une bête blessée. Les intrus lui fouillent la chatte profondément, Aurélien tourne ses doigts dans le puits intarissable qui ne cesse de rejeter son jus.


Marion a les yeux presque exorbités, en regardant les doigts trifouiller la chatte brûlante de sa maman, qui gémit fortement. Une autre jouissante aussi violente que la première la fait cabrer. Doucement, Aurélien retire ses doigts du temps de l'amour.
Il se redresse, sa fille écarquille les yeux le plus possible. Elle a en face d'elle la queue de son papa, le bougre est monté comme un poney, elle déglutit et passe sa main sous sa nuisette, sa chatte est trempée autant que sa culotte. D'un geste habile, elle l'écarte, et caresse sa vulve en se faisant violence.

À chaque passage de sa main sur son abricot, elle grimace, son clitoris est gonflé comme jamais. Le fruit trop mûr rejette le jus qu'il ne peut contenir. Elle pousse de gros soupirs, soudain, elle cesse de se masturber.
Son papa vient de plaquer sa bouche sur la chatte de sa maman et enfonce sa langue rapeuse le plus loin possible. Sa maman se cabre sous les coups de langue dévastateurs d'Aurélien. Il est à quatre pattes entre les cuisses de sa femme et lui dévore férocement la vulve.

Marion voit les couilles velues de son papa pendre, elles sont pleines de bonne semence, à chacun de ses mouvements, elles balancent. Marion reprend sa masturbation qui devient intensive. Sa maman hurle, une nouvelle jouissance la fait cabrer. Aurélien se redresse et approche de la chatte en feu sa verge tendue. Il la présente à la fente ruisselante et pousse fortement. Marion voit la queue monumentale, de son papa, s'enfoncer dans le ventre de sa maman, qui se cambre pour recevoir entièrement dans son ventre le manche de chair.

Marion serre les dents, son branlage est vigoureux, une moue affreuse déforme son visage d'ange, son corps tremble, elle est au bord de la jouissance. Son papa détourne la tête et voit les doigts de sa fille martyriser son clito. Pour pigmenter la chose, il retire entièrement sa queue du ventre de sa femme, reste quelques secondes hors du temple pour que sa fille puisse voir sa bite replonger au plus profond du ventre de sa maman. Marion sursaute, c'est juste à ce moment-là que sa maman jouit et elle aussi. Les deux femmes sont haletantes, Lise dans un état second, sourit à son mari, elle s'accroche à lui en geignant de plaisir.

Elle reçoit un flot de semence dans le ventre, qui l'a fait couiner de bonheur. Après avoir donné encore quelques estocades, Aurélien se retire. Lise, pour remercier son bienfaiteur, lui saisit la verge, et se met à lui faire une fellation monstrueuse. On entend Lise couiner de plaisir lorsqu'elle suce la verge visqueuse. La coquine semble une experte en fellation, car son mari geint comme une bête blessée. Pendant de longues minutes, elle suce et tète le mât de chair, devant les yeux exorbités de sa fille, qui se masturbe avec beaucoup moins de violence.


Lise parvient à ses fins, son mari lui remplit la bouche de son sperme épais. Elle apprécie le liquide visqueux qui lui coule lentement dans sa gorge.
Lise fait un nettoyage complet de l'outil de travail de son mari. Sa langue agile glisse sur la hampe, monte sur le gland pour redescendre sur la hampe et recommencer de multiples fois le mouvement que son mari semble apprécier. Il appuie doucement sur la tête de sa femme pour qu'elle reprenne la fellation. Il regarde en direction de sa fille qui semble décomposée, elle voit la bouche de sa maman dévorer la bite imposante de son papa. Aurélien fait un clin d'œil à sa fille, qui au même moment jouit en se mordant la main pour ne pas se faire repérer par sa maman.


Aurélien se bloque et remplit pour la seconde fois la bouche vorace de sa femme avec son sperme brûlant. Marion rebrousse chemin et rentre dans sa chambre, elle se jette sur son lit en regardant le plafond. Sa maman, épuisée et repue par tant de jouissances, s'endort rapidement.