Une nouvelle armoire

Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une nouvelle armoire
Mon chéri vient de partir au travail alors que je suis en repos aujourd’hui.
J’enfile vite un petit string, une robe ample d’été et hop, me voilà partie pour Vitrolles où j’ai identifié depuis quelques temps une nouvelle armoire pour changer celle de notre chambre qui a rendue l’âme et qui est actuellement remplacée par des cartons superposés.
Arrivée dans le grand magasin de meubles à assembler, je fonce au rayon, je récupère les coordonnées du meuble. Un jeune employé m’aborde. Il est super mignon, lui.
- Heu ... pardon, vous pourriez répéter ?
- Je vous proposais mon aide madame pour choisir le bon meuble.
- Écoutez vous êtres très mign... très gentil mais je sais quelle armoire je veux. Il faut qu’elle corresponde à notre ancienne armoire pour la remplacer et celle-ci fait l’affaire.
- Vous savez que nous venons d’ouvrir un service pour aider les gens à monter un meuble à leur domicile. C’est un service en test pour le moment.
- Je ne pense pas en avoir besoin.
- Voici la carte au cas où ...
Je prends la carte, fonce à la caisse, je paie et je vais récupérer le colis que je mets à l’arrière de la Kangoo avec l’aide d’un autre client du magasin qui quittait sa voiture.
Arrivée à la maison, ma voisine m’aide à monter mon carton à la maison et me laisse seule.
Bon, on est en été, il fait chaud et je vais devoir faire le reste toute seule.
Je retire ma robe et me retrouve en string. Oui, ma paire de seins tient seule et je me passe souvent de lingerie en haut, sauf pour entamer des coquineries avec mon Kevin chéri.
Je regarde l’heure. C’est bon, je suis largement dans les temps.
Je vire tous les cartons de fringues, je déballe tout et monte assez rapidement le meuble. Vraiment ce jeune vendeur était très mignon mais pour monter un meuble, ce n’est pas sorcier.
Je m’allonge sur le lit. Il fait vraiment chaud, la fenêtre est ouverte. Je suis contente de moi et commence à me caresser.
Ma main droite se dirige vers mon ventre et se perd dans ma toison (je ne rase pas). Ma foufoune est heureuse d’accueillir cette visite et commence à être mouillée. Rapidement je me contorsionne pour dégager ma jambe droite du string qui reste sur le bas de la gauche uniquement. Mon autre main caresse un sein. Je suce un doigt qui retourne vers un téton.
L’index de mon autre main est dans mon puits d’amour. Bientôt, je change de main pour que ma mouille vienne sur mes tâtons. Ils durcissent !
C’est bon ...
Mon plaisir n‘est dérangé que par le bruit de la circulation dehors. Le bus N°18 doit être en train de passer devant l’immeuble. Patatras, l’armoire s’effondre sur elle-même !
Ben alors ?
Je me lève en sursaut. Le string tombe à mes pieds et je suis nue devant cette armoire.
Je regarde. Rien n’est cassé, ni tordu, ni abîmé de quelque façon ... mais l’armoire s’est démontée seule ! Incroyable.
Vite je la monte à nouveau.
Je recule à la fenêtre pour voir l’effet dans la chambre et je me fais siffler par deux jeunes hommes qui passaient dans la rue. Oui, je suis toujours nue et devant la fenêtre !
Cela me fait rire. Je salue les deux jeunes, je secoue un peu mon popotin à leur attention et je m’éloigne de l’ouverture avant d’être accusée d’exhibitionnisme.
Encore du bruit dans la rue, je regarde et c’est le bus 18 qui passe. Et l’armoire s’effondre à nouveau.
C’en est trop. je récupère la carte du jeune vendeur dans mon sac et je l’appelle. Évidemment, quand je lui dis que le meuble s’effondre au passage du bus 18, il manque de s’étouffer de rire. Il accepte de venir en début d’après midi.
Je suis tellement préoccupée que je ne prends même pas la peine de me vêtir pour mon repas et ce n’est que quand j’entends sonner que je remets vite ma robe ample, sans même remettre le string.
Le mig... le jeune vendeur est là, très souriant. Il se foutrait presque de ma gueule.
Je l’amène à la chambre (où le string est sur le lit. Vite, je le cache) et il commence le remontage de l’armoire. je l’aide un peu et si au début il avait des doutes, il sais maintenant, par le décolleté assez large que je ne porte pas de soutien gorges.
1/4 d’heure plus tard l’armoire est debout. Le gars est satisfait.
- Vous voyez, madame, ce n’est pas dur.
- Oui, jusque là, c’est bon mais vous allez voir
Quelques minutes plus tard, le 18 passe et l’armoire est par terre !
- Ha ben alors, c’est ce que je disais !
- Je ne comprends pas. Je vais la remonter encore et je serai dedans au moment où le bus passe.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le gars entre à peine dans l’armoire remontée une nouvelle fois que mon Kevin chéri arrive. Il rentre dans la chambre voit l’armoire et m’enlace. En me mettant la main aux fesses, il constate que je n’ai rien sous la robe. Il me la remonte et me la retire avant même que je puisse lui dire quoi que ce soit. J’essaie de protester de l’alerter sur la précense d’une autre personne dans la pièce (ou plutôt dans l’armoire) mais que peut faire une frêle femme quand son grand costaud préféré commence à la peloter comme le sais si bien le faire mon Kevin ?
Je me retrouve allongée, mon Kevin me bouffe la chatte. Il est consciencieux mon Kevin. Il sait faire lentement en me faisant perdre tout sens des réalités. C’est trop bonnnnn ... Il me retourne sur le ventre, en travers du lit et c’est partie pour une feuille de rose. Sa langue commence par tourner délicatement autour de mon anus avant d’appuyer un peu dessus. Je ronronne. Je ne sais plus qui je suis, où je suis ni ce qui se passe autour. Il insiste sa caresse avec la langue.
Il me relève, me positionne à 4 pattes et profite de sa caresse lubrifiante pour m’empaler directement. Pan ... dans le cul !
A ce moment là, on entend du bruit dans l’armoire dont la porte est entrouverte. Mon Kevin se lève. Il l’ouvre en grand ... Le vendeur si mignon a son pantalon aux chevilles, son caleçon aux genoux et était en train de se branler en nous regardant baiser par la porte entrouverte.
- C’est ton amant, me demande Kevin ? C’est pour ça que tu étais nue sous ta robe ?
- Non mon chéri, attend on va t’expliquer.
- Et vous qu’est ce que vous faite dans l’armoire ?
- Alors là, je sens que vous n’allez pas me croire, mais j’attends le bus 18.
J’éclate de rire. Le vendeur aussi. Kevin est KO debout de nous voir réagir comme ça.
- Si t’attends vraiment le bus 18 alors tu pourras prendre ma place auprès de ma femme sinon, gare à toi.
On lui explique ce qui s’est passé depuis ce matin, qu’il faisait chaud et le fait qu’il était dans l’armoire. Il doute.
- Et la branlette ?
- Ben vous savez, je ne suis pas de marbre. J’avais remarqué que votre femme ne devait pas être très vêtue. Quand vous êtes arrivé, que vous avez commencé à vous occuper d’elle, il faut comprendre, j’ai eu besoin de me soulager, moi aussi.
- Et le bus ? Il est pas passé depuis tout à l’heure ?
- D’ici, je ne vois pas la circulation mais j’étais dedans. On peut voir quand je sors.
Pour le coup, je suis toujours étendue, nue sur le lit, trempée de la sueur de l’été mais aussi du début de la partie de jambes en l’air que nous avons commencés. Le mignon vendeur me voit et est aux anges mais j'attire la robe pour me couvrir sommairement.
Moins d’une minutes plus tard, le bus 18 passe dans la rue ... et l’armoire s’effondre.
«Vous permettez» dit le vendeur si mignon à mon Kevin en le poussant puis à ma grande stupéfaction, , il retire son pantalon et monte sur le lit. Le fait de finir ce que faisait Kevin n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd !
Il me retire la robe qui me couvre à peine, commence par m’embrasser, par descendre me sucer le sein droit, puis le gauche. Mes tétons roulent sous sa langue. C’est bon. Si la spécialité de Kevin est de me sucer le petit œillet, celui du vendeur si mignon est visiblement de sucer les tétons. C’est un démon dans cet exercice !
Le fait de savoir Kevin en train de nous regarder m’excite encore plus. Je suis trempée. Il descend encore et me titille de la langue pendant qu’un doigt profite de la préparation de Kevin pour s’insérer derrière mes poils pubiens.
Il se redresse, vire son calçon et me demande de le sucer. Je regarde Kevin qui est toujours un peu KO de voir l’armoire au sol et le culot du vendeur. Il est comme une statue. De marbre. Comme il ne conteste pas, je considère qu’il est OK, Je prends la queue du si gentil vendeur, commence par lui donner quelques baisers sur le bout de la queue puis je la redresse complètement, je démarre de la base et de remonte, bisou par bisou jusqu’au gland que cette fois, l’enveloppe de ma langue.
Je regarde Kevin. Il semble avoir repris ses esprits. Il se caresse le sexe.
Je repars encore de la base et ce sont par petits coups de langue que je remonte au gland que j’enfourne cette fois-ci dans ma bouche. Lentement, je fais tourner ma langue autour.
Ma main droit par à l’aventure et entoure bientôt ses couilles.
- Arrêtez, madame, je vais pas tenir. J’ai la promesse de pouvoir finir ce que faisait monsieur et j’ai bien l’intention d’en profiter.
Je me tourne alors, me positionne à 4 pattes et lui écarte mes fesses. Il est au paradis ! Il se penche vers mon petit trou et le prépare à nouveau avec sa langue. Il est moins doux que mon Kevin. Il force le passage de la langue rapidement puis essaie d’un doigt puis de deux.
- Bon ben vas-y lui dit mon Kevin. T’as le droit !
Le si mignon vendeur se redresse, se positionne derrière moi et m’encule ! Pendant ce temps, Kevin vient devant et en profite pour me remplir la bouche. Mon vendeur préféré, si mignon est en train de me faire subir les derniers outrages pendant que je suce mon Kevin.
Lentement, ma langue tourne autour de la queue de mon Kevin. Alors que le vendeur (faudra quand même que je lui demande son prénom !) s’enfonce de plus en plus profond, je décide d’en faire autant devant et j’entame une gorge profonde avec la bite de mon Kevin chéri.
C’est divin.
- Dis voir gamin, tu veux pas qu’on échange un peu ? Le lui prends le cul tu te te fais sucer encore ?
- Elle est OK ?
- Elle ne refuse jamais de me sucer, même après une sodomie,
- Et les garçons, ça vous fait rien que je puisse décider un peu ? Kevin, tu m’as mise en gage si l’armoire tombait sans rien me demander, tu me l’as mise dans la bouche alors que j’avais le fondement occupée et maintenant tu décides encore pour moi ?
- Tu veux bien ma chérie ?
- Alors je veux bien un peu si vous voulez mais en échange, ensuite, vous allez me faire un truc que j’ai jamais essayé. Vous allez me prendre en double. Toi, Kevin tu seras derrière pendant que je serais face à ... hé, c’est quoi au fait ton prénom ?
- Moi c’est Christophe, madame.
- Vu ce que tu es en train de lui faire, je pense que tu peux me tutoyer et m’appeler Estelle.
- OK Estelle.
Je lâche alors la queue de mon Kevin, j’avance pour sortir celle de Christophe de mon petit trou (plus si petit que ça en ce moment !) et je me tourne, toujours à quatre pattes pour sucer Christophe pendant que Kevin m’encule encore. Je prend mon vendeur préféré directement dans ma bouche pour le nettoyer de ma langue de cochonne puis j’essaie de faire une gorge profonde avec sa queue. Bon la position n’est pas la meilleure, d’autant plus que Kevin m’enfonce à grands coups dans mon arrière train mais il semble heureux et me tient la tête à deux mains.
Deux minutes plus tard, je le sors, j’envoie une tape derrière pour que Kevin sorte aussi. J’attrape Christophe que j’allonge et embrasse. Il est surpris et ne s’y attendait pas.
- Dis je veux biens te sucer quand tu sorts de mon cul mais tu vas pas râler si je t’embrasse ensuite quand même ?
- Heu non Estelle, tu as raison. Redresse-toi... voila, assis toi sur moi ... et couche-toi maintenant.
- Écarte lui bien les fesses
- Voila
- Bien, ma chérie, tu l’as voulue, tu vas l’avoir ta double pénétration. Attends un peu que je lèche encore l’anus ... C’est bon, t’es prête.
Et voila, que je suis sur un merveilleux nuage. Un mignon vendeur que que je ne connaissais même pas ce matin me besogne la foufoune. Mon Kevin adoré , habituellement très jaloux, pris dans le feu de l’action et l’excitation du moment me pilonne le trou du cul et deux minutes plus tard je prends un pied d’enfer, perdant presque connaissance.
- Heu, ça va ma puce ?
- Oui .. laisse moi respirer deux secondes.
- Tu veux bien nous finir tous les deux dans ta bouche ?
- OK, je m’allonge sur le dos. Kevin à ma gauche, Christophe, à ma droite, venez que je vous suce.
Je maintiens ces deux queus devant ma bouche et la langue passe d’une à l’autre. Je les serres une contre l’autre. Ma langue s’insère entre les deux, les enveloppe pour les relâcher. Je joue avec une puis passe à l’autre. Je les sens se raidir,
Quelques instants plus tard, Kevin m’éjacule sur le visage, Christophe se déplace pour éjaculer sur mes seins. Je nettoie consciencieusement les deux garçons avec sa langue et m’endors repue.
On ne saura jamais pourquoi le bus 18 amenait l’armoire à s’effondrer mais dès qu’il y a du poids dedans (Christophe ou du linge), elle tient et c’est le principal.
J’enfile vite un petit string, une robe ample d’été et hop, me voilà partie pour Vitrolles où j’ai identifié depuis quelques temps une nouvelle armoire pour changer celle de notre chambre qui a rendue l’âme et qui est actuellement remplacée par des cartons superposés.
Arrivée dans le grand magasin de meubles à assembler, je fonce au rayon, je récupère les coordonnées du meuble. Un jeune employé m’aborde. Il est super mignon, lui.
- Heu ... pardon, vous pourriez répéter ?
- Je vous proposais mon aide madame pour choisir le bon meuble.
- Écoutez vous êtres très mign... très gentil mais je sais quelle armoire je veux. Il faut qu’elle corresponde à notre ancienne armoire pour la remplacer et celle-ci fait l’affaire.
- Vous savez que nous venons d’ouvrir un service pour aider les gens à monter un meuble à leur domicile. C’est un service en test pour le moment.
- Je ne pense pas en avoir besoin.
- Voici la carte au cas où ...
Je prends la carte, fonce à la caisse, je paie et je vais récupérer le colis que je mets à l’arrière de la Kangoo avec l’aide d’un autre client du magasin qui quittait sa voiture.
Arrivée à la maison, ma voisine m’aide à monter mon carton à la maison et me laisse seule.
Bon, on est en été, il fait chaud et je vais devoir faire le reste toute seule.
Je retire ma robe et me retrouve en string. Oui, ma paire de seins tient seule et je me passe souvent de lingerie en haut, sauf pour entamer des coquineries avec mon Kevin chéri.
Je regarde l’heure. C’est bon, je suis largement dans les temps.
Je vire tous les cartons de fringues, je déballe tout et monte assez rapidement le meuble. Vraiment ce jeune vendeur était très mignon mais pour monter un meuble, ce n’est pas sorcier.
Je m’allonge sur le lit. Il fait vraiment chaud, la fenêtre est ouverte. Je suis contente de moi et commence à me caresser.
Ma main droite se dirige vers mon ventre et se perd dans ma toison (je ne rase pas). Ma foufoune est heureuse d’accueillir cette visite et commence à être mouillée. Rapidement je me contorsionne pour dégager ma jambe droite du string qui reste sur le bas de la gauche uniquement. Mon autre main caresse un sein. Je suce un doigt qui retourne vers un téton.
L’index de mon autre main est dans mon puits d’amour. Bientôt, je change de main pour que ma mouille vienne sur mes tâtons. Ils durcissent !
C’est bon ...
Mon plaisir n‘est dérangé que par le bruit de la circulation dehors. Le bus N°18 doit être en train de passer devant l’immeuble. Patatras, l’armoire s’effondre sur elle-même !
Ben alors ?
Je me lève en sursaut. Le string tombe à mes pieds et je suis nue devant cette armoire.
Je regarde. Rien n’est cassé, ni tordu, ni abîmé de quelque façon ... mais l’armoire s’est démontée seule ! Incroyable.
Vite je la monte à nouveau.
Je recule à la fenêtre pour voir l’effet dans la chambre et je me fais siffler par deux jeunes hommes qui passaient dans la rue. Oui, je suis toujours nue et devant la fenêtre !
Cela me fait rire. Je salue les deux jeunes, je secoue un peu mon popotin à leur attention et je m’éloigne de l’ouverture avant d’être accusée d’exhibitionnisme.
Encore du bruit dans la rue, je regarde et c’est le bus 18 qui passe. Et l’armoire s’effondre à nouveau.
C’en est trop. je récupère la carte du jeune vendeur dans mon sac et je l’appelle. Évidemment, quand je lui dis que le meuble s’effondre au passage du bus 18, il manque de s’étouffer de rire. Il accepte de venir en début d’après midi.
Je suis tellement préoccupée que je ne prends même pas la peine de me vêtir pour mon repas et ce n’est que quand j’entends sonner que je remets vite ma robe ample, sans même remettre le string.
Le mig... le jeune vendeur est là, très souriant. Il se foutrait presque de ma gueule.
Je l’amène à la chambre (où le string est sur le lit. Vite, je le cache) et il commence le remontage de l’armoire. je l’aide un peu et si au début il avait des doutes, il sais maintenant, par le décolleté assez large que je ne porte pas de soutien gorges.
1/4 d’heure plus tard l’armoire est debout. Le gars est satisfait.
- Vous voyez, madame, ce n’est pas dur.
- Oui, jusque là, c’est bon mais vous allez voir
Quelques minutes plus tard, le 18 passe et l’armoire est par terre !
- Ha ben alors, c’est ce que je disais !
- Je ne comprends pas. Je vais la remonter encore et je serai dedans au moment où le bus passe.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le gars entre à peine dans l’armoire remontée une nouvelle fois que mon Kevin chéri arrive. Il rentre dans la chambre voit l’armoire et m’enlace. En me mettant la main aux fesses, il constate que je n’ai rien sous la robe. Il me la remonte et me la retire avant même que je puisse lui dire quoi que ce soit. J’essaie de protester de l’alerter sur la précense d’une autre personne dans la pièce (ou plutôt dans l’armoire) mais que peut faire une frêle femme quand son grand costaud préféré commence à la peloter comme le sais si bien le faire mon Kevin ?
Je me retrouve allongée, mon Kevin me bouffe la chatte. Il est consciencieux mon Kevin. Il sait faire lentement en me faisant perdre tout sens des réalités. C’est trop bonnnnn ... Il me retourne sur le ventre, en travers du lit et c’est partie pour une feuille de rose. Sa langue commence par tourner délicatement autour de mon anus avant d’appuyer un peu dessus. Je ronronne. Je ne sais plus qui je suis, où je suis ni ce qui se passe autour. Il insiste sa caresse avec la langue.
Il me relève, me positionne à 4 pattes et profite de sa caresse lubrifiante pour m’empaler directement. Pan ... dans le cul !
A ce moment là, on entend du bruit dans l’armoire dont la porte est entrouverte. Mon Kevin se lève. Il l’ouvre en grand ... Le vendeur si mignon a son pantalon aux chevilles, son caleçon aux genoux et était en train de se branler en nous regardant baiser par la porte entrouverte.
- C’est ton amant, me demande Kevin ? C’est pour ça que tu étais nue sous ta robe ?
- Non mon chéri, attend on va t’expliquer.
- Et vous qu’est ce que vous faite dans l’armoire ?
- Alors là, je sens que vous n’allez pas me croire, mais j’attends le bus 18.
J’éclate de rire. Le vendeur aussi. Kevin est KO debout de nous voir réagir comme ça.
- Si t’attends vraiment le bus 18 alors tu pourras prendre ma place auprès de ma femme sinon, gare à toi.
On lui explique ce qui s’est passé depuis ce matin, qu’il faisait chaud et le fait qu’il était dans l’armoire. Il doute.
- Et la branlette ?
- Ben vous savez, je ne suis pas de marbre. J’avais remarqué que votre femme ne devait pas être très vêtue. Quand vous êtes arrivé, que vous avez commencé à vous occuper d’elle, il faut comprendre, j’ai eu besoin de me soulager, moi aussi.
- Et le bus ? Il est pas passé depuis tout à l’heure ?
- D’ici, je ne vois pas la circulation mais j’étais dedans. On peut voir quand je sors.
Pour le coup, je suis toujours étendue, nue sur le lit, trempée de la sueur de l’été mais aussi du début de la partie de jambes en l’air que nous avons commencés. Le mignon vendeur me voit et est aux anges mais j'attire la robe pour me couvrir sommairement.
Moins d’une minutes plus tard, le bus 18 passe dans la rue ... et l’armoire s’effondre.
«Vous permettez» dit le vendeur si mignon à mon Kevin en le poussant puis à ma grande stupéfaction, , il retire son pantalon et monte sur le lit. Le fait de finir ce que faisait Kevin n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd !
Il me retire la robe qui me couvre à peine, commence par m’embrasser, par descendre me sucer le sein droit, puis le gauche. Mes tétons roulent sous sa langue. C’est bon. Si la spécialité de Kevin est de me sucer le petit œillet, celui du vendeur si mignon est visiblement de sucer les tétons. C’est un démon dans cet exercice !
Le fait de savoir Kevin en train de nous regarder m’excite encore plus. Je suis trempée. Il descend encore et me titille de la langue pendant qu’un doigt profite de la préparation de Kevin pour s’insérer derrière mes poils pubiens.
Il se redresse, vire son calçon et me demande de le sucer. Je regarde Kevin qui est toujours un peu KO de voir l’armoire au sol et le culot du vendeur. Il est comme une statue. De marbre. Comme il ne conteste pas, je considère qu’il est OK, Je prends la queue du si gentil vendeur, commence par lui donner quelques baisers sur le bout de la queue puis je la redresse complètement, je démarre de la base et de remonte, bisou par bisou jusqu’au gland que cette fois, l’enveloppe de ma langue.
Je regarde Kevin. Il semble avoir repris ses esprits. Il se caresse le sexe.
Je repars encore de la base et ce sont par petits coups de langue que je remonte au gland que j’enfourne cette fois-ci dans ma bouche. Lentement, je fais tourner ma langue autour.
Ma main droit par à l’aventure et entoure bientôt ses couilles.
- Arrêtez, madame, je vais pas tenir. J’ai la promesse de pouvoir finir ce que faisait monsieur et j’ai bien l’intention d’en profiter.
Je me tourne alors, me positionne à 4 pattes et lui écarte mes fesses. Il est au paradis ! Il se penche vers mon petit trou et le prépare à nouveau avec sa langue. Il est moins doux que mon Kevin. Il force le passage de la langue rapidement puis essaie d’un doigt puis de deux.
- Bon ben vas-y lui dit mon Kevin. T’as le droit !
Le si mignon vendeur se redresse, se positionne derrière moi et m’encule ! Pendant ce temps, Kevin vient devant et en profite pour me remplir la bouche. Mon vendeur préféré, si mignon est en train de me faire subir les derniers outrages pendant que je suce mon Kevin.
Lentement, ma langue tourne autour de la queue de mon Kevin. Alors que le vendeur (faudra quand même que je lui demande son prénom !) s’enfonce de plus en plus profond, je décide d’en faire autant devant et j’entame une gorge profonde avec la bite de mon Kevin chéri.
C’est divin.
- Dis voir gamin, tu veux pas qu’on échange un peu ? Le lui prends le cul tu te te fais sucer encore ?
- Elle est OK ?
- Elle ne refuse jamais de me sucer, même après une sodomie,
- Et les garçons, ça vous fait rien que je puisse décider un peu ? Kevin, tu m’as mise en gage si l’armoire tombait sans rien me demander, tu me l’as mise dans la bouche alors que j’avais le fondement occupée et maintenant tu décides encore pour moi ?
- Tu veux bien ma chérie ?
- Alors je veux bien un peu si vous voulez mais en échange, ensuite, vous allez me faire un truc que j’ai jamais essayé. Vous allez me prendre en double. Toi, Kevin tu seras derrière pendant que je serais face à ... hé, c’est quoi au fait ton prénom ?
- Moi c’est Christophe, madame.
- Vu ce que tu es en train de lui faire, je pense que tu peux me tutoyer et m’appeler Estelle.
- OK Estelle.
Je lâche alors la queue de mon Kevin, j’avance pour sortir celle de Christophe de mon petit trou (plus si petit que ça en ce moment !) et je me tourne, toujours à quatre pattes pour sucer Christophe pendant que Kevin m’encule encore. Je prend mon vendeur préféré directement dans ma bouche pour le nettoyer de ma langue de cochonne puis j’essaie de faire une gorge profonde avec sa queue. Bon la position n’est pas la meilleure, d’autant plus que Kevin m’enfonce à grands coups dans mon arrière train mais il semble heureux et me tient la tête à deux mains.
Deux minutes plus tard, je le sors, j’envoie une tape derrière pour que Kevin sorte aussi. J’attrape Christophe que j’allonge et embrasse. Il est surpris et ne s’y attendait pas.
- Dis je veux biens te sucer quand tu sorts de mon cul mais tu vas pas râler si je t’embrasse ensuite quand même ?
- Heu non Estelle, tu as raison. Redresse-toi... voila, assis toi sur moi ... et couche-toi maintenant.
- Écarte lui bien les fesses
- Voila
- Bien, ma chérie, tu l’as voulue, tu vas l’avoir ta double pénétration. Attends un peu que je lèche encore l’anus ... C’est bon, t’es prête.
Et voila, que je suis sur un merveilleux nuage. Un mignon vendeur que que je ne connaissais même pas ce matin me besogne la foufoune. Mon Kevin adoré , habituellement très jaloux, pris dans le feu de l’action et l’excitation du moment me pilonne le trou du cul et deux minutes plus tard je prends un pied d’enfer, perdant presque connaissance.
- Heu, ça va ma puce ?
- Oui .. laisse moi respirer deux secondes.
- Tu veux bien nous finir tous les deux dans ta bouche ?
- OK, je m’allonge sur le dos. Kevin à ma gauche, Christophe, à ma droite, venez que je vous suce.
Je maintiens ces deux queus devant ma bouche et la langue passe d’une à l’autre. Je les serres une contre l’autre. Ma langue s’insère entre les deux, les enveloppe pour les relâcher. Je joue avec une puis passe à l’autre. Je les sens se raidir,
Quelques instants plus tard, Kevin m’éjacule sur le visage, Christophe se déplace pour éjaculer sur mes seins. Je nettoie consciencieusement les deux garçons avec sa langue et m’endors repue.
On ne saura jamais pourquoi le bus 18 amenait l’armoire à s’effondrer mais dès qu’il y a du poids dedans (Christophe ou du linge), elle tient et c’est le principal.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Blague de Bigard bien recomposé à votre mode 😊
Excellent

