Une sacrée belle-fille 2 - histoire érotique

Micheline est en sueur, elle déglutit très souvent, elle se demande ce qu'il lui arrive. C'est insensé qu'elle se laisse conseiller par sa belle-fille, surtout sur le plan sexuel, qui pour elle est tabou. Louna regarde attentivement la vulve qui vient d'avoir une jouissance terrible, et clitoris gonflé qu'elle a manipulée avec art.

Richard est toujours debout à côté du couple, il regarde hébéter sa femme, qui semble hypnotisée par Louna, qui lui plaque sa main sur la vulve dégoulinante, et presse les grandes lèvres qui pendent, les étire le plus possible en faisant grimacer sa belle-maman. Elle se tourne vers Richard et lui dit :

-Maintenant, c'est à vous de jouer beau-papa, il serait souhaitable que vous y mettiez du vôtre, léchez-lui la chatte, faites là disjoncter !


Il regarde abasourdit sa bru puis dit avec des trémolos dans la voix :

- Pour lui lécher la chatte, je crois que ce n'est pas gagné. Son éducation strique, qu'elle a eu, l'a conditionnée à un tel point, que l'accouplement pour elle c'est juste pour enfanter et non pour prendre du plaisir, et je vous assure qu'elle s'y tient. D'ailleurs, c'est la première fois qu'elle m'a sucée et avalée mon sperme, je n'en reviens toujours pas !

Louna regarde en fronçant les sourcils Micheline et lui dit :

-Belle-maman, il faut vous débloquer, laissez les préjugés de côté, et laissez-vous guider par vos sens, qui je suis sûre sont bouillants !

Pour ne pas répondre, honteuse Micheline tourne la tête sur le côté. Louna lui caresse la fente, pour l'exciter au maximum, lentement, elle lui enfonce un doigt dans la chatte et fait un bref va-et-vient. Elle regarde Richard et lui :

-Elle est à point, allez-y !

Richard s'agenouille devant sa femme et avance sa tête entre ses jambes écartées. Il donne quelques coups de langues sur les grandes lèvres, avant de plaquer sa bouche sur le fruit trop mûr. Sa femme se cambre fortement en soufflant. Il enfonce sa langue profondément dans le vagin, le fouille du mieux qu'il peut, aspire le bon jus que la vulve sécrète. Micheline défaille, elle serre les dents en grognant et béguant :

-Richard, tu es un démon, tu me prends pour un animal, non, non, cesse, je t'en prie, c'est, c'est, mon, mon monstrueux ce que, que tu me fais !

La chatte de Micheline est une fontaine, une petite flaque de cyprine s'étend sur le sol. Louna encourage :

-Richard, gobez-lui le clitoris, oui, oui, c'est le moment !

Un gémissement terrible se fait entendre, lorsque Richard aspire le clito de Micheline. Elle croit mourir, son corps se met à trembler. Louna lui pétrit les seins, presse les bouts, les étire, puis jugeant que c'est le moment, les écrase fortement. Un cri sort de la bouche de sa belle-maman qui se cambre encore plus, une puissante jouissance la fait délirer :

-Richard, Richard, tu me tues, oh mon Dieu, c'est affreux comme tu me fais jouir !

Le bougre profite de la situation, il a bien l'intention de rattraper le temps perdu. Il lui dévore la chatte férocement, sa langue, glisse jusqu'à l'anus, le taquine, avant de remonter vers le puits d'amour. Jamais Micheline n'a subi un tel acharnement, pour elle c'est de la dépravation. Mais elle est tellement excitée qu'elle accepte, pour elle, ce qui est de l'humiliation. Une seconde jouissance lui traverse le ventre, elle envoie une giclée de cyprine dans la bouche de son mari, en hurlant, lui se régale.

Louna, lui, a si bien travaillé les mamelons qu'ils sont devenus monstrueux, elle les suce, le tète comme une affamée. Les gémissements de sa belle-maman sont terrifiants. Louna satisfaite de la tournure des choses, dit :

-Beau-papa, c'est le moment de lui planter votre verge dans le ventre et de bien la pilonner !

Richard, aux ordres de sa bru, s'exécute. Il enfonce dans le ventre de sa femme sa bite raide comme un morceau de bois. Le va-et-vient est phénoménal, Micheline s'accroche à son mari en geignant de plaisir. Le bougre ne lui laisse pas de répits, sa queue entre, et ressort de son ventre, en prenant de plus en plus de vitesse. La baise à la papa a bien changé, Richard donne tout ce qu'il a. Ses coups de boutoir violents font hurler Micheline, qui pour la première fois, agite férocement son bassin pendant l'accouplement.

Elle donne des coups de reins aussi puissants que ceux de son mari. Les corps font du bruit en se heurtant fortement. Micheline, en se cabrant terriblement, jouit encore une fois. Richard se déchaine, il la défonce comme un beau diable, il prend même de l'assurance en criant :

-Tu aimes ça hein salope, tu l'aimes maintenant ma bite hein, eh bien, tu n'as pas fini d'en bouffer salope, je vais même te prendre par le cul depuis le temps que j'en rêve, je crois que c'est le moment !

Micheline ne répond pas, sa jouissance est fabuleuse, elle ne veut pas gâcher ce moment de délire. Louna souriante dit :

-Beau-papa, c'est une excellente idée de proposer la sodomie, je crois que belle-maman va l'apprécier à sa juste valeur !

Richard se retire du corps tremblant de sa femme, il la regarde, elle semble dans un état comateux, elle arrive avec peine à dire :

-Mon chéri, tu m'as détruite, j'ai honte d'avoir tant jouit. Je suis damnée !

Mais dès qu'il lui caresse l'anus, elle se cabre, il mouille son doigt, le fait tourner sur l'anus et lentement l'enfonce, Micheline hurle :

-Non, pas ça Richard, pas ça !

Mais lui ne l'écoute pas, la première phalange disparait comme aspirée par l'anus, sa femme grogne, en serrant les dents. Mais lorsqu'il enfonce un deuxième doigt, Micheline pousse un hurlement :

-Richard, tu es fou, c'est hors nature ce que tu fais, mon Dieu, ne me fais pas souffrir, je t'en prie !

Mais le doux ramonage fait geindre doucement Micheline, qui ajoute :

-Mon Dieu Richard, tu fais de moi une femme de petite vertu, qui accepte toutes les dérives de ce monde pervers !

Le petit ramonage prend de la vitesse, Micheline souffle comme un bœuf, les doigts tournent dans son antre, pour préparer la pénétration finale. Il retire ses doigts, crache sur la rondelle ridée et enduit sa verge de salive. Louna lui conseille de se mettre sur le bord du canapé, et de replier ses jambes sur son ventre. Micheline n'a pas le choix, elle obtempère.

Lorsque qu'elle sent contre son anus le gland épais, elle serre les dents, prend une grande aspiration. Richard pousse, lentement l'anneau s'ouvre et avale petit à petit le manche de chair. Micheline croit mourir, et que son cul va se déchirer. La gaine étroite reçoit pour la première fois de sa vie la visite d'une bite. Micheline a le visage déformé par une moue affreuse, la douleur est atroce.

Mais richard ne s'en souci guère, il continue de pousser. Louna, pour atténuer la douleur, lui branle le clito. Ses couilles enfin tapent contre les fesses de sa femme. Richard comme le va-et-vient. Distendue comme jamais, la gaine anale, ne peut que subir le ramonage que lui impose Richard. Au fur et à mesure des allers et retours, la douleur se dissipe peu à peu. Richard accélère, Micheline geint, elle s'habitue à l'énormité qui lui laboure le cul.

Richard peut enfin lâcher les chevaux. Le ramonage et violent, le branlage que fait Louna l'est autant. C'est dans un hurlement inhumain que Micheline jouit du cul pour la première fois, elle marmonne !

-Oh, mais qu'est-ce qui m'arrive Richard, Richard, j'ai joui du cul, c'est merveilleux, encore, encore bourre-moi bien à fond, oui va le plus loin possible mon chéri, je suis devenue une salope, votre salope !

Louna ne faiblit pas, elle branle sauvagement le clito enflé, pendant que son beau-père, s'acharne dans le cul de sa femme, elle l'encourage :


-Oui beau-papa, enfoncez votre verge profondément dans son fondement, elle n'attend que cela !


Micheline jouit une seconde fois. Richard fini par lui remplir l'intestin de sa semence poisseuse. Micheline, après un temps de récupération, dit, en regardant sa belle-fille :

-Louna, vous avez fait de moi une salope, je vous en suis reconnaissant, ma vie va changer maintenant. Si vous avez d'autres idées à nous soumettre, je suis preneuse !

Louna en souriant dit :

-Peut-être qu'il faut ajouter un autre homme, ou un autre couple à vos ébats, pour vous initier encore d'avantage, et pour que vos jouissances soient plus conséquentes. C'est juste une idée belle-maman !