VENGEANCE
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 21 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MG8895 ont reçu un total de 107 352 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 949 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
VENGEANCE
SMS suite 2 « LA VENGEANCE »Paul souriait à notre grand étonnement, un petit sourire en coin, il hochait la tête en guise d’approbation. Nous n’osions bouger, ne sachant que faire et/ou quoi dire. Nos corps nus, en sueurs. Laure, tira son pagne pour se protéger, reflexe de circonstance. Quant à moi je mis simplement une main sur mon intimité ramollie.
Paul quitta la pièce, sans refermer la porte, nous nous sommes levés et lavés, puis, nous nous sommes retrouvés sur la plage où nous avions rejoint Aline et Paul arrivé avant nous. Ont-ils parlé, ou évoqué « l’incident » ? Paul et Aline étaient radieux, mais rien ne laissait supposer quelconque discussion sur les faits constatés par Paul.
La soirée, s’est déroulée sans problème, le barbecue que j’avais préparé était apprécié de toutes et tous. Paul blaguait et buvait beaucoup de ce petit rosé bien frais. Aline avait suivi et trinquait, dansait, souriait, riait. Heureuse ?! Elle l’était visiblement. Quelque chose d’anormal se passait, ces deux là sur-jouaient, que préparaient-ils ? Leurs attitudes m’intriguaient et ne rassuraient pas plus Laure. Elle, se faisait discrète et ne pouvait s’empêcher de me lancer des petits regards circonspects sur la situation. Pour ne rien laisser paraître, je m’affairais à m’occuper du feu et des grillades.
La soirée bien avancée, les bouteilles s’étaient succédées, nous étions tous un peu ivres et désinhibés. Nous avions mis de la musique, Aline dansait seule et fut rejointe par Paul, une bouteille à la main, il buvait au goulot et passait la bouteille à Aline, qui ne la refusait pas. Le vin coulait sur les coins de sa bouche, elle l’essuyait du revers de la main. Elle dansait maintenant avec Paul, Ils se tenaient une main, l’autre occupée soit à tenir la bouteille ou pour boire.
Laure et moi-même les regardions, un peu gênés, nous étions dans la pénombre et nos mains s’étaient entrelacées. A l’aide des pouces, nous nous caressions le dos des mains. On ne voulait pas se regarder. L’envie de s’embrasser à pleine bouche nous torturait. Un slow avait fait place sur la playlist. Cette fois Aline et Paul s’étaient rapprochés, la tête d’Aline reposait sur l’épaule de Paul et lui avait la sienne sur celle d’Aline. Ils tournoyaient lentement, très lentement, trop lentement. Ils s’étaient presque immobilisés, ils oscillaient. Leurs comportements avaient quelque chose de subjectifs. Aline et Paul se serraient trop, trop près, top fort, ça devenait suspect. Un malaise nous envahissait, Laure et moi-même étions surpris et excités à la fois. Voulaient-ils se venger de notre relation de cet après midi ?
Subrepticement, Laure s’est levée pour prendre la place d’Aline, Paul vexé est venu s’assoir à côté de moi, en lieu et place de Laure. Nous restâmes silencieux quelques instants puis Paul a rompu le silence :- Alors, tu te tapes ma femme. Toi mon ami. Tu me trahis !
- Paul, je suis confus, je n’ai pas de circonstances atténuantes mais sache que j’aime Laure depuis très longtemps et qu’aujourd’hui, j’ai craqué…, je te présente mes excuses.
- Ne t’excuse pas, je trompe Laure depuis très longtemps et elle me trompe aussi mais avec une de ses amies !!
- Non, tu es ivre, tu dis n’importe.
- Non, je t’assure, je n’en ai jamais parlé, mais Laure et « BI », donc un partout la balle au centre… . Alors, j’ai une requête, je suis attiré également par Aline, ça te dérangerait si je couchais avec ta femme ?!
Je ne savais quoi répondre et quoi faire. Que s’étaient-ils dit sur la plage, avant notre arrivée ? Je comprenais mieux leurs complicités. Après ce qui venait de se passer sous ses yeux, je devais me résigner et abdiquer. Je ne pouvais que m’infliger cette sentence, ma trahison était à ce prix.
- Encore faut-il qu’Aline soit consentante ? !
- Elle l’est, nous nous sommes parlé et nous voulons vous punir. Je pense que tu n’as pas le choix… !
Paul a quitté sa chaise, a pris Aline par la main et se sont dirigés vers la maison. Laure est revenue vers moi, s’est assise et a ajouté :- Tu penses qu’ils vont coucher ensemble- Je pense que ça ne va plus tarder.
Elle s’est penchée vers moi, m’a déposé un baiser très tendre au coin des lèvres, m’a pris la main et nous nous sommes dirigés vers le gîte.
Arrivés à hauteur de nos chambres respectives, nous entendions des soupirs et des gémissements qui émanaient de la chambre d’Aline et Paul. C’était gênant et excitant. Laure tenait ma main, elle se crispait, je lui rendis sa prise. Notre étreinte de main était forte, elle était à la hauteur de notre souffrance interne. De savoir nos moitiés partager un coït nous embarrassait et nous blessait. Nous acceptions cette situation eu égard à ce que nous avions accompli. Nos ressentis étaient inévitables et nous nous devions de l’accepter.
Laure a quitté ma main et s’est réfugiée dans sa chambre. Je l’ai rejointe, elle s’était allongée sur le lit, la tête enfouie dans un oreiller, pour étouffer les bruits sourds mais audibles de la chambre d’en face. Ils n’avaient même pas pris la peine de fermer la porte, volontairement ou pas ?... . Les prochains récits nous le diront. Je m’allongeai à ses côtés, elle pleurait. Je ne savais que faire, la réconforter ? Je risquais son refus, je restai silencieux, allongé sur le dos et j’écoutais les ébats.
Les sons perçus engendraient chez moi une imagination à tout rompre. Je fermai les yeux et je calai mes images sur les éclats que je saisissais. J’imaginais très bien Paul sur Aline, en position du missionnaire, son dos arcbouté, ses omoplates faisant saillie par son maintien sur les mains, je voyais ses fesses s’enfoncer entre les jambes de ma femme. Les jambes d’Aline croisées sur le dos de Paul, ses mains agrippant ses bras. Paul est de taille moyenne, cheveux bruns coupés très courts. Des bras biens sculptés par ses années de gymnastique au, (cheval d’arçon), des fesses fermes, des jambes à l’image de ses bras, mollets et cuisses très développés.
Paul pénètre Aline lentement, progressivement sans violence ni saccade. Il aime retirer son sexe totalement de l’orifice d’Aline, il aime replonger son membre dans cette fente bien lubrifiée, il s’enfonce profondément, jusqu’à la garde, les testicules sont tendues par l’érection sans faille. Aline se cambre, offre son paradis ruisselant, pour qu’il puisse s’y glisser avec aisance et profondeur. Elle a déplacé ses mains sur les fesses de Paul pour le guider et se donner davantage. Elle veut le sentir en elle, elle veut ce gland sur son clitoris interne, pour provoquer ces ondes de plaisir et de bonheur tant convoitées. Ils râlent, ils soufflent, ils gémissent, ils grognent de bien-être.
Paul adore sentir son organe dressé comme une barre d’acier indestructible, il se sent fort et puissant, il s’enfonce dans ce fruit mûr et juteux, il plonge et se délecte de sa possession et de sa vengeance accomplies. Il frissonne à chaque coup de rein, ivre de jouissance et de vapeurs d’alcool persistantes. L’orgasme est long à venir, malgré les petits massages d’Aline sur le périnée et les testicules. Elle n’hésite pas, non plus, à insérer son majeur dans l’orifice anal de Paul pour allez lui titiller sa prostate, comme elle le faisait avec moi.
Aline relève sa tête et du bout de sa langue agresse les tétons de Paul. Elle veut, elle aussi, dominer Paul, elle le renverse sur le dos, le chevauche et vient s’empaler sur cet organe viril, suintant de mouille et de liquide séminal. C’est elle maintenant qui va diriger les ébats. Redressée en arrière, cuisses bien ouverte, sur ses genoux, sa fente béante et dégoulinante de jus, cheveux pendant sur ses épaules dénudées, Elle rampe franchement sur Paul en jouant, avec sagacité, de son pieu et de sa vulve offerte. Elle agace son clitoris avec le casque de cette bite turgescente. Sa vulve est en feu mais les orgasmes se succèdent et s’amplifient.
Je n’en peux plus, je quitte le lit, je m’approche de ce ring où se déroule ce combat, je veux participer à cette bagarre de corps emmêlés et fourbus. Je veux rentrer dans la mêlée, je veux arbitrer la rencontre. Je veux m’immiscer, je veux jouir, moi aussi, de ce spectacle réel et inespéré. Je m’approche de la scène et… .
La suite dans un prochain récit.
Réalité, fiction, fantasme ?
A votre discrétion.
Paul quitta la pièce, sans refermer la porte, nous nous sommes levés et lavés, puis, nous nous sommes retrouvés sur la plage où nous avions rejoint Aline et Paul arrivé avant nous. Ont-ils parlé, ou évoqué « l’incident » ? Paul et Aline étaient radieux, mais rien ne laissait supposer quelconque discussion sur les faits constatés par Paul.
La soirée, s’est déroulée sans problème, le barbecue que j’avais préparé était apprécié de toutes et tous. Paul blaguait et buvait beaucoup de ce petit rosé bien frais. Aline avait suivi et trinquait, dansait, souriait, riait. Heureuse ?! Elle l’était visiblement. Quelque chose d’anormal se passait, ces deux là sur-jouaient, que préparaient-ils ? Leurs attitudes m’intriguaient et ne rassuraient pas plus Laure. Elle, se faisait discrète et ne pouvait s’empêcher de me lancer des petits regards circonspects sur la situation. Pour ne rien laisser paraître, je m’affairais à m’occuper du feu et des grillades.
La soirée bien avancée, les bouteilles s’étaient succédées, nous étions tous un peu ivres et désinhibés. Nous avions mis de la musique, Aline dansait seule et fut rejointe par Paul, une bouteille à la main, il buvait au goulot et passait la bouteille à Aline, qui ne la refusait pas. Le vin coulait sur les coins de sa bouche, elle l’essuyait du revers de la main. Elle dansait maintenant avec Paul, Ils se tenaient une main, l’autre occupée soit à tenir la bouteille ou pour boire.
Laure et moi-même les regardions, un peu gênés, nous étions dans la pénombre et nos mains s’étaient entrelacées. A l’aide des pouces, nous nous caressions le dos des mains. On ne voulait pas se regarder. L’envie de s’embrasser à pleine bouche nous torturait. Un slow avait fait place sur la playlist. Cette fois Aline et Paul s’étaient rapprochés, la tête d’Aline reposait sur l’épaule de Paul et lui avait la sienne sur celle d’Aline. Ils tournoyaient lentement, très lentement, trop lentement. Ils s’étaient presque immobilisés, ils oscillaient. Leurs comportements avaient quelque chose de subjectifs. Aline et Paul se serraient trop, trop près, top fort, ça devenait suspect. Un malaise nous envahissait, Laure et moi-même étions surpris et excités à la fois. Voulaient-ils se venger de notre relation de cet après midi ?
Subrepticement, Laure s’est levée pour prendre la place d’Aline, Paul vexé est venu s’assoir à côté de moi, en lieu et place de Laure. Nous restâmes silencieux quelques instants puis Paul a rompu le silence :- Alors, tu te tapes ma femme. Toi mon ami. Tu me trahis !
- Paul, je suis confus, je n’ai pas de circonstances atténuantes mais sache que j’aime Laure depuis très longtemps et qu’aujourd’hui, j’ai craqué…, je te présente mes excuses.
- Ne t’excuse pas, je trompe Laure depuis très longtemps et elle me trompe aussi mais avec une de ses amies !!
- Non, tu es ivre, tu dis n’importe.
- Non, je t’assure, je n’en ai jamais parlé, mais Laure et « BI », donc un partout la balle au centre… . Alors, j’ai une requête, je suis attiré également par Aline, ça te dérangerait si je couchais avec ta femme ?!
Je ne savais quoi répondre et quoi faire. Que s’étaient-ils dit sur la plage, avant notre arrivée ? Je comprenais mieux leurs complicités. Après ce qui venait de se passer sous ses yeux, je devais me résigner et abdiquer. Je ne pouvais que m’infliger cette sentence, ma trahison était à ce prix.
- Encore faut-il qu’Aline soit consentante ? !
- Elle l’est, nous nous sommes parlé et nous voulons vous punir. Je pense que tu n’as pas le choix… !
Paul a quitté sa chaise, a pris Aline par la main et se sont dirigés vers la maison. Laure est revenue vers moi, s’est assise et a ajouté :- Tu penses qu’ils vont coucher ensemble- Je pense que ça ne va plus tarder.
Elle s’est penchée vers moi, m’a déposé un baiser très tendre au coin des lèvres, m’a pris la main et nous nous sommes dirigés vers le gîte.
Arrivés à hauteur de nos chambres respectives, nous entendions des soupirs et des gémissements qui émanaient de la chambre d’Aline et Paul. C’était gênant et excitant. Laure tenait ma main, elle se crispait, je lui rendis sa prise. Notre étreinte de main était forte, elle était à la hauteur de notre souffrance interne. De savoir nos moitiés partager un coït nous embarrassait et nous blessait. Nous acceptions cette situation eu égard à ce que nous avions accompli. Nos ressentis étaient inévitables et nous nous devions de l’accepter.
Laure a quitté ma main et s’est réfugiée dans sa chambre. Je l’ai rejointe, elle s’était allongée sur le lit, la tête enfouie dans un oreiller, pour étouffer les bruits sourds mais audibles de la chambre d’en face. Ils n’avaient même pas pris la peine de fermer la porte, volontairement ou pas ?... . Les prochains récits nous le diront. Je m’allongeai à ses côtés, elle pleurait. Je ne savais que faire, la réconforter ? Je risquais son refus, je restai silencieux, allongé sur le dos et j’écoutais les ébats.
Les sons perçus engendraient chez moi une imagination à tout rompre. Je fermai les yeux et je calai mes images sur les éclats que je saisissais. J’imaginais très bien Paul sur Aline, en position du missionnaire, son dos arcbouté, ses omoplates faisant saillie par son maintien sur les mains, je voyais ses fesses s’enfoncer entre les jambes de ma femme. Les jambes d’Aline croisées sur le dos de Paul, ses mains agrippant ses bras. Paul est de taille moyenne, cheveux bruns coupés très courts. Des bras biens sculptés par ses années de gymnastique au, (cheval d’arçon), des fesses fermes, des jambes à l’image de ses bras, mollets et cuisses très développés.
Paul pénètre Aline lentement, progressivement sans violence ni saccade. Il aime retirer son sexe totalement de l’orifice d’Aline, il aime replonger son membre dans cette fente bien lubrifiée, il s’enfonce profondément, jusqu’à la garde, les testicules sont tendues par l’érection sans faille. Aline se cambre, offre son paradis ruisselant, pour qu’il puisse s’y glisser avec aisance et profondeur. Elle a déplacé ses mains sur les fesses de Paul pour le guider et se donner davantage. Elle veut le sentir en elle, elle veut ce gland sur son clitoris interne, pour provoquer ces ondes de plaisir et de bonheur tant convoitées. Ils râlent, ils soufflent, ils gémissent, ils grognent de bien-être.
Paul adore sentir son organe dressé comme une barre d’acier indestructible, il se sent fort et puissant, il s’enfonce dans ce fruit mûr et juteux, il plonge et se délecte de sa possession et de sa vengeance accomplies. Il frissonne à chaque coup de rein, ivre de jouissance et de vapeurs d’alcool persistantes. L’orgasme est long à venir, malgré les petits massages d’Aline sur le périnée et les testicules. Elle n’hésite pas, non plus, à insérer son majeur dans l’orifice anal de Paul pour allez lui titiller sa prostate, comme elle le faisait avec moi.
Aline relève sa tête et du bout de sa langue agresse les tétons de Paul. Elle veut, elle aussi, dominer Paul, elle le renverse sur le dos, le chevauche et vient s’empaler sur cet organe viril, suintant de mouille et de liquide séminal. C’est elle maintenant qui va diriger les ébats. Redressée en arrière, cuisses bien ouverte, sur ses genoux, sa fente béante et dégoulinante de jus, cheveux pendant sur ses épaules dénudées, Elle rampe franchement sur Paul en jouant, avec sagacité, de son pieu et de sa vulve offerte. Elle agace son clitoris avec le casque de cette bite turgescente. Sa vulve est en feu mais les orgasmes se succèdent et s’amplifient.
Je n’en peux plus, je quitte le lit, je m’approche de ce ring où se déroule ce combat, je veux participer à cette bagarre de corps emmêlés et fourbus. Je veux rentrer dans la mêlée, je veux arbitrer la rencontre. Je veux m’immiscer, je veux jouir, moi aussi, de ce spectacle réel et inespéré. Je m’approche de la scène et… .
La suite dans un prochain récit.
Réalité, fiction, fantasme ?
A votre discrétion.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MG8895
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...