Vengeance ou furie - histoire érotique

Ce récit est coécrit avec Valériane


Cela fait des mois que Julia désire Marc, son nouveau voisin, elle lui fait les yeux doux, mais à chaque fois qu'il est sans sa femme, elle devient plus audacieuse. Ses allusions ne laissent aucun doute sur ce qu'elle cherche.


Marc n'y prête pas trop attention, très amoureux de sa femme, il lui est fidèle. Sa femme Andrée est partie faire quelques courses, Marc décide de profiter du soleil. Il se met en short et torse nu, puis se rend sur sa terrasse, il prend place sur un grand fauteuil en osier et ouvre son journal. C'est juste à ce moment que sa voisine sort, elle est vêtue d'un maillot de bain deux pièces. Elle porte un petit sac. Elle s'étend sur un transat, juste en face de Marc. Marc baisse son journal, les deux se saluent.

Cela fait seulement quelques minutes qu'elle est là, qu'elle passe une jambe de chaque côte du transat, cette position lui ouvre largement les cuisses. Sans quitter des yeux son voisin, sa main passe sur son bas ventre, en s'approchant de son entrejambe.

Marc d'où il est ne manque rien, il écarquille les yeux. Il sait parfaitement de quoi est capable Julia pour le séduire. Les doigts de la coquine glissent sur sa fente, protégée par le maillot de bain. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu'une tache humide se forme sur le maillot. Julia frotte de plus en plus vite sa fente, la tache s'étend sur le tissu.

Marc pose son journal sur son ventre, pour cacher la bosse qui commence à déformer son short. Sa voisine s'enhardit, sans quitter des yeux son voisin, elle écarte d'une main sa culotte, et de l'autre, elle enfonce trois doigts dans le puits d'amour en le ramonant énergiquement. Marc entend le bruit que fait le ramonage intense dans la vulve détrempée. Il passe sa main sous le journal, et presse sa verge, pour atténuer l'affut sanguin, qui bat dans la hampe épaisse. Julia retire ses doigts du temple en ébullition, et les porte à sa bouche. Elle les suce un à un, en regardant Marc qui s'agite sur son siège, en serrant les dents.



Julia saisit son clito qui est gonflé au maximum, et le branle en grimaçant. Soudain, elle sort du sac, un gode de bonne taille et se le plante dans le vagin. Elle se malmène la chatte, geint en faisant une moue affreuse. Tout cela en regardant son voisin médusé, qui bande comme un cheval. Marc ne quitte pas le gode que la coquine fait voyager dans son ventre. Il n'en peut plus, il repousse le journal, extirpe de son short sa bite raide comme un morceau de bois. Et commence un branlage féroce. Les deux se masturbent en se regardant, les gémissements sont très bruyants. C'est à celui qui se branlera le plus fort.

Une jouissance terrible fait hurler Julia, qui gicle comme une fontaine. Marc ne tarde pas à éjaculer en poussant un long râle rauque. Plusieurs giclées sont expulsées du membre gorgé de sang. Sa semence retombe sur ses doigts, en les rendant gluants.


Entre temps, Andrée rentre de ses courses, elle ne trouve pas son mari dans la maison, elle s'approche de la porte-fenêtre de la terrasse. Ce qu'elle voit, la fait sursauter. Marc, les doigts gluants, se caresse la verge, doucement. Quant à la voisine, la tigresse se fouraille la chatte furieusement avec un gode, en ne cessant de regarder Marc.


Andrée veut arracher les yeux de son mari, massacrer sa voisine. Mais comme en chacun d'entre nous une âme de voyeurs de cache. Elle reste derrière la porte vitrée, et observe le spectacle. Marc presse la hampe épaisse de son membre, pour en faire sortir le restant de semence. Ses yeux sont presque révulsés, il salive fortement en voyant la bite factice faire des allers et retours dans le ventre de la coquine Julia.

Ses gémissements sont bruyants, soudain, elle retire le gode de son temple en feu, arrache sa culotte et se laisse tomber dans un fauteuil genre Emmanuelle. Sort de son sac un nouveau gode aussi monstrueux que le premier. Elle s'avance son bassin bien au bord du fauteuil, saisit son gode, et replie les jambes sur son ventre. Lentement, elle enfonce l'engin, une fois qu'il est bien en place, elle place l'autre gode contre celui qui est planté dans le ventre. Le longe, la pénétration fait grimacer Julia. Sa chatte, très dilatée, absorbe lentement le second engin.

Marc se redresse, il serre les poings L'épieuse d'Andrée, n'en croit pas ses yeux, elle se met à frissonner. Sa chatte s'échauffe, une petite tache se forme sur sa culotte. Les gémissements que pousse Julia sont terribles et très bruyants. Elle manie les godes avec art, elle les fait voyager dans sa vulve avec un synchronisme parfait, elle agite les deux engins comme deux pistons dans leur cylindre.

La chatte d'Andrée fuit de plus en plus, sa culotte est trempée. Elle passe la main sous sa jupe et se caresse la fente au travers de sa culotte. Elle serre les dents pour ne pas geindre de plaisir. Marc a reprit sa masturbation, il grimace tellement c'est violent. Julia pousse un hurlement, une jouissance la fait cabrer comme un cheval. La coquine retire un gode de son temple et reprend le gode aussi furieux avec l'autre.


Andrée ne tient plus en place, ses doigts s'activent sur sa fente. Elle écarte sa culotte et saisit son clito qui est très, très gonflé. Une première jouissance la fait gémir, maintenant, c'est avec rage qu'elle se masturbe en regardant une fois son mari et une autre fois Julia. Elle grimace, soudain, elle ouvre la porte vitrée, et se laisse tomber à genoux devant son mari, qui n'a pas le temps de réagir tellement c'est rapide.


Andrée, lui attrape la bite et l'engloutît dans sa bouche, elle suce et tète la verge gluante en grognant comme une bête blessée. Marc n'a rien comprit, il se laisse faire. Sa femme n'a jamais était aussi vorace, elle s'acharne sur sa bite comme une affamée. Une puissante giclée, lui remplit la bouche, elle recrache la verge, avale, et reprend la fellation avec autant de fougue. Julia a cessé de se goder, elle arrache l'engin de sa chatte, et en tenant le gode d'une main, enjambe la petite haie qui sépare les deux propriétés.


Elle s'approche du couple, avec un culot monstre, elle passe main sous la jupe d'Andrée et lui triture le clito au travers de la culotte trempée. Andrée surprise, tourne la tête voit Julia, ne dit rien et reprend en bouche la verge gorgée de sang. Elle suce, en geignant, les doigts de Julia lui font agiter son bassin. Une seconde giclée lui remplit la bouche, elle rejette la bite, avale, et serre les dents. Julia a réussi à passer ses doigts dans la culotte et les enfoncer profondément dans la gaine vaginale D'Andrée qui se fend comme un arc.

Marc regarde les deux femmes, il ne reconnait plus son épouse, qui gémit comme un animal en rut qui est la proie des longs doigts fins de Julia. La gredine fouille la chatte profondément, elle bascule Andrée sur le sol et avec encore plus de rage lui enfonce jusqu'à quatre doigts dans le vagin. Elle fait des demi-rotations, dans la gaine, la ramone férocement, lorsqu'elle sent qu'Andrée va exploser, elle cesse tous mouvements pour faire retomber la pression avant de reprendre un ramonage très rapide.

Marc regarde sa femme défaillir, plusieurs fois, Julia cesse puis reprend le pilonnage. Andrée est au bord de la syncope. Maintenant Julia défonce la chatte d'Andrée sans faire d'interruption. Marc n'en revient pas, sa femme se cambre comme un pont en pleine tempête et explose de jouissance. C'est si violent qu'elle reste étendue sur le sol sans force. Doucement, Julia retire ses doigts, se relève, et enjambe Marc qui reste sans réactions. Julia lui saisit la verge et la dirige vers sa chatte en fusion. Elle s'empale totalement en se laissant tomber de tout son poids. Elle commence à s'agiter comme une furie, ses grognements sont ceux d'une bête qui s'acharne sur sa proie.

Andrée, yeux vitreux, regarde sa voisine faire l'ascenseur sur ma bite de son mari. Elle se lève péniblement, s'approche du couple en action. Elle passe sa main sur le ventre de Julia et lui attrape le clito. Elle le branle en même temps que la tigresse s'agite sur son pal. Elle lui dit en serrant, les dents :

-Jouis, jouis, salope, profite de la bite de mon mari, vas-y, vas-y jouis comme tu sais si bien le faire !

Marc en même temps donne des coups de reins puissants, qui font sursauter Julia. Elle se cabre et explose, en poussant un grognement rauque. Elle tremble fortement, elle se désempale, tombe sur le sol et se serrant la chatte avec ses mains. Andrée se rue sur elle, lui ouvre les cuisses, lui fait lâcher prise, et reprend la boule de chair entre ses doigts. Elle branle comme une forcenée, lui écrase le clito, le pince très fort. Elle dit :

-Ah la bite de mon homme t'intéresse, tu vas aussi aimer mes doigts salope !

Le clito est martyrisé férocement. Julia se cambre et jouit terriblement fort. Andrée n'en a pas finit avec elle, un à un, elle enfonce ses doigts dans le vagin. Elle fait des rotations avec sa main, en poussant.
C'est dans un long râle que la main disparait entièrement dans la chatte de Julia, qui se rend comme un arc qui va décocher sa flêche. Andrée commence un va-et-vient sans ménager la soumise. Julia couine :

-Oui, oui, oui, oh mon Dieu comme tu m'ouvres oh putain vas-y, vas-y !

Andrée ferme le poing, et ramone sauvagement la chatte. Julia croit mourir, une première jouissance, la fait hurler de plaisir, immédiatement après, une deuxième jouissance lui secoue les entrailles. Marc reste bouche bée, sa femme s'avère être une maitresse femme. Enfin, elle retire sa main. Elle regarde son mari qui est halluciné par ce qu'il vient de voir.
Andrée retire sa culotte et s'empale sur la queue de son mari, elle s'agite, s'agite jusqu'à ce qu'elle jouisse, Marc s'accroche à sa femme comme une pieuvre à son rocher.

Il lui donne des coups de bélier puissants. Il se raidit, et en grognant comme un fauve, remplit le ventre de sa femme, avec sa semence visqueuse. Andrée reste un moment emboitée sur la queue de Marc, avant de descendre de sa monture. Elle regarde Julia qui gît sur le sol, elle lui dit :

-Tu veux encore de la bite de mon mari pouffiasse, allons prendre un verre, tu ne seras pas déçue par la suite que je te réserve