Vive le sport : Rêverie dans le vestiaire

- Par l'auteur HDS PP06 -
Récit érotique écrit par PP06 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vive le sport : Rêverie dans le vestiaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.5 / 10)
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(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Vive le sport : Rêverie dans le vestiaire
Petite variante du rêve de mon souvenir à la piscine.

Laquelle préférez-vous ? Celle d’origine dans Souvenir (7) « Vive le sport » ou celle-ci un peu plus délirante ?

--- o O o ---
Martine prend le volant, je vais avoir 20 minutes de repos. Dans la voiture, comme chaque fois que Martine conduit, je suis bercé par le ballet de ses cuisses qui s’écartent et se resserrent, passant du frein à l’accélérateur.

Je ferme les yeux goutant le plaisir de me faire conduire, mon esprit retourne à la salle de gym.

Je nous revoie sortant de la piscine … direction les vestiaires.

Nous sommes surpris, alors que nous pensions nous séparer, les hommes à gauche, les femmes à droite, le gardien n’a laissé qu’une seule salle ouverte, regroupant toutes les affaires dans une même pièce.

Il faut d’abord passer à la douche avant de se rhabiller, vestiaire commun, douches communes. Notre petit groupe arrive, il y a là avec nous, Jean-Claude et sa femme Julie, Vincent, Simon et Joseph.

Trois hommes entièrement nus sont en train de se rincer. Martine fait semblant de ne rien voir, mais en profites, comme j’en aurais profité s’il y avait eu des femmes, petit regard en biais.

J’ai l’impression d’être le seul surpris, sans aucune hésitation nos amis tombent leur maillot sans aucune gêne, Simon le premier exhibant une queue asses longue, les autres suivent sous le regard intéressé de Julie et de ma femme.

Martine non plus n’hésite pas, son soutien-gorge saute, suivi de près par sa culotte, à côté de moi Julie est déjà nue, personne ne sera surpris c’est vers elle que se tourne mon regard.

Martine ne se cache pas, n’essaie pas de protéger sa nudité, bien au contraire très à l’aise, nue au milieu de nos amis, face à eux. Eux ne se gênent pas pour admirer sa poitrine, sa fine toison, ses fesses potelées dont le blanc fait ressortir la sensualité. Julie a droit à toute mon attention.

Sous la douche, Martine tourne sur elle-même, laisse couler l’eau le long de son corps, se lave en se caressant les seins, la chatte, les fesses. Je vois les queues se tendre, son but est atteint.

Je profite surtout de la scène offerte par Julie, elle aussi se lave de façon sensuelle pour le bonheur des mâles présents. Suis-je plus excité par le spectacle que m’offre Julie, ou par celui que Martine offre aux hommes qui l’entourent ?

Julie se retrouve rapidement dans les bras de son mari, quelques bisous, ils se lavent mutuellement, de tendres caresses, elle le branle en lui souriant, il a l’air aux anges. C’est beau, c’est excitant… Je les regarde, alors que ma femme a relevé ses cheveux dans un geste naturel, les bras en l’air, qui lui fait remonter sa poitrine.

Simon s’approche de Martine « je te lave le dos ? », et sans attendre sa réponse, prend du savon au distributeur et commence à lui passer la main sur les épaules, sur les bras, sur les fesses, il la lave consciencieusement, au passage sa queue frôle Martine. Il se rapproche, se colle contre elle, passe sa main devant pour lui « laver » la poitrine, se frottant à elle par derrière. Tout le monde rit sans s’en offusquer. Martine laisse faire, un sourire éclatant inonde son visage.
Vincent se déplace devant elle « là je prends le relais » et tandis que Simon continue à lui laver/caresser le dos, avec ses mains et avec son sexe, Vincent se charge de ses seins, longuement, tendrement, il insiste, s’attardant sur ses tétons, sa main passe sur son ventre, descend le long de son pubis, ses doigts se perdent dans sa toison, il glisse sa main entre ses jambes. Martine écarte un peu les cuisses, ferme les yeux et se laisse emporter par cette double caresse. Elle frisonne, me regarde sans me voir, le plaisir se lit sur son visage.

Martine est couverte de savon, des pieds à la tête, pleine de bulles blanches, seuls ses tétons roses et sa toison brune crèvent ce voile immaculé. Joseph s’approche, sourire aux lèvres « Oh, la belle savonnette, viens me laver », Martine ne se le fait pas dire deux fois, quittant les mains qui s’occupaient d’elle, elle passe ses bras autour du cou de Joseph et se colle à lui. Elle bouge légèrement pour le laver partout avec son corps, l’un contre l’autre, ses seins contre son torse, ventre contre ventre, pubis contre pubis, cuisses contre cuisses. Elle prend son travail très au sérieux, aucune partie ne doit être oubliée, il sera bien propre. Joseph n’est pas en reste, il lui lave/caresse les fesses et la tient serrée contre lui.
Elle ondule des hanches, frottant son pubis contre sa queue surement déjà bien raide. J’ai remarqué qu’il est circoncis, j’imagine son gland décalotté en contact avec sa chatte, avec son clito.

Je tourne les yeux, Vincent est en train de laver/caresser Julie sous le regard hilare de Jean-Pierre, son mari, j’ai envie de l’aider. Julie à la peau douce. Vincent se retourne et donne une petite tape sur les fesses de Martine « attention tu vas l’user à force », tout le monde rit.

Martine se détache de Joseph qui bande, la queue en l’air. Avec un grand sourire, elle vient vers moi, « Je vais te laver, toi aussi tu dois en avoir besoin », elle prend du savon, me frotte le torse doucement, tendrement, sa main descend elle me savonne le ventre, me savonne la queue… ça mousse. Sans hésiter, elle me branle en me regardant dans les yeux, et pose un doux baiser sur mes lèvres.
Simon s’approche « je t’ai lavé, à toi de faire maintenant ». Avec un grand sourire, Martine tend le bras, étale du savon directement sur la queue de Simon, qui en profite pour embrasser Martine dans le cou.
Martine une « savonnette » dans chaque main, nous branle en cadence, quatre mains se partagent son corps, chacun un sein, chacun une fesse, on se partage ses baisers.
Vincent s’approche « et moi ? », Martine tourne la tête vers lui avec innocence « pour ceux qui en veulent, le savon est là » en désignant le distributeur accroché sur le mur.

Une sonnerie nous informe que le club va bientôt fermer. Simon, encore lui, donne le signal, petit tour rapide sous la douche pour se rincer, direction le vestiaire.

Je veux prendre Martine par la taille, elle n’est plus à côté de moi. Restée en arrière, elle me fait un petit signe « part devant ».
Arrivé au vestiaire, je me retourne, Martine est toujours sous la douche, elle a l’air toute petite dans les bras de Joseph, leurs bouches sont collées, ils échangent un baiser langoureux. Joseph d’une main lui pétrit les fesses en la tenant serrée contre lui, de l’autre il lui malaxe un sein. Martine, pendue à son cou, a posé une main sur une partie de son anatomie « que rigoureusement ma mère m’a défendu de nommer ici », elle le masse lentement.

Intrigué, je les regarde … Martine se détache un peu de son chevalier servant, lève les yeux vers moi, je n’entends pas ce qu’elle essaie de me dire, mais je peux lire sur ses lèvres « va mon chéri, j’arrive », et pose à nouveau ses lèvres sur celle de Joseph.

Je rejoins le vestiaire déjà plein de sportifs à moitié nus. J’enfile mes vêtements machinalement pour faire comme tout le monde. Personne ne fait attention à Martine et Joseph, aucune réaction, aucune réflexion.

Bourdonnement des conversations, brouhaha incompréhensif, je ne perçois qu’un bruit de fond qui a du mal à couvrir les sons qui me parviennent de la salle de douche, des soupirs, des gémissements, des râles de plaisir, personne ne semble y prêter attention. Suis-je le seul à les entendre ?

Je retourne sur mes pas. La salle de douche est vide, personne, pourtant j’entends toujours les mêmes bruits caractéristiques.
D’un coup, la salle se rempli de buée, je ne vois plus rien. Je m’avance prudemment, uniquement guidé par les soupirs qui s’amplifient à mon approche.

Enfin, perçant la brume, je perçois des silhouettes. Est-ce Martine accroupie devant Joseph, sa bite dans la bouche, agrippée à ses cuisses, une main posée gentiment sur la tête. Sans savoir si c’est elle qui fait de longs va-et-vient sur cette queue bien dressées, ou si c’est lui qui tenant sa tête lui baise la bouche.
Je m’approche un peu, les ombres deviennent floues, les silhouettes s’estompent, il n’y a plus personne.

Les gémissements persistent, ils viennent de plus loin. Excité et curieux, je me dirige vers de nouvelles ombres, une femme penchée en avant, bien cambrée le cul en l’air, les mains appuyées contre le carrelage blanc, acceptant l’hommage d’un homme derrière elle. La buée estompe les traits, est-ce Joseph accroché aux hanches de Martine ? Est-ce lui qui la baise par derrière ? … l’image se brouille, disparait, encore un mirage.

Je me retourne, pas de doute je les ai enfin trouvés, ce sont eux. Sans faire attention à ma présence un couple enlacé s’embrasse et se caresse, debout. Je tends la main pour toucher Martine … rien, le vide, personne…encore un couple debout, enlacé, encore un autre, trois, quatre, dix couples autour de moi. A chaque fois que je tends la main, elle se perd dans le vide qui m’entoure.

Les soupirs redoublent à l’autre bout de la salle. Cette fois doit être la bonne, plus j’avance plus les gémissements se font précis. Ils émanent de ces deux corps, Martine et Joseph ? Martine étendue sur une banquette, une jambe dans le vide, cuisses écartées, Joseph est allongé sur elle, ils s’embrassent, il lui caresse un sein, je vois ses fesses monter et descendre me faisant comprendre qu’il a investi son intimité. La femme m’a-t-elle vu, est-ce à moi que ce sourire s’adresse ?
Je me penche pour mieux distinguer leurs visages, pour lire la jouissance sur le visage de Martine ... tout s’efface, la banquette est vide.

Je ne sais plus où je suis. Des bruits, toujours les mêmes, semblent provenir de partout, devant, derrière, comment savoir ? Vers où me diriger ?
Comme par enchantement, la buée se dissipe. La salle de douche me semble immense, je ne distingue même pas les murs d’un blanc immaculé. Personne, la salle est vide, totalement vide. Pourtant j’entends toujours les mêmes râles, les mêmes soupirs.

Je marche sans savoir où je vais, au hasard.
Tiens, me voilà devant l’entrée du vestiaire. A l’intérieur nos amis sont encore en train de s’habiller, ils discutent toujours, je vois leurs lèvres bouger, mais aucun son ne sort, je n’entends que la respiration haletante d’une femme qui s’accélère et qui s’amplifie.

Soudain un flash, une lumière blanche venant des douches illumine toute la pièce et un cri, un long cri déchire le silence, le cri de jouissance de Martine.

Autour de moi, personne ne bouge, personne n’a entendu, personne n’a rien vu. Aucune tête ne se lève, certains s’en vont d’autres arrivent, suis-je le seul à avoir compris le plaisir de Martine ? Son cri résonne comme un écho répercuté à l’infini sur les murs de faïence.

Le silence s’installe, plus aucun bruit, excepté celui d’une douche qui coule au loin.

Nouveau flash, dans un halo de lumière la porte du vestiaire s’ouvre devant Joseph triomphant, affichant un large sourire, content de lui, sa serviette sur l’épaule, sa bite en berne. « Aaah ! » cent bouches l’acclament …
La gloire n’a qu’un temps, tous les yeux se détournent. Derrière lui, enroulée dans une serviette, Martine apparait dans l’embrasure de la porte, éclairée en contre-jour. Elle avance lentement vers nous, le visage affichant le sourire radieux d’une femme après l’orgasme.

Une foule d’hommes a envahi le vestiaire. Cent, mille mâles regardent Martine marcher au ralenti, les quelques mètres qui nous séparent semblent interminables.

Sa serviette tombe au sol, Martine continue sa marche entièrement nue. Des centaines d’yeux la contemplent, des centaines de queues au garde à vous lui rendent hommage. Ignorant le trouble qu’elle provoque, comme absente, elle fend la foule pour venir devant moi « je n’ai pas été pas trop longue mon chéri », et dépose une bise sur mes lèvres.

Nos amis forment un cercle autour de nous. Il y a là Simon, Vincent, Jean-Pierre et quelques inconnus, où sont passés les autres ? Martine lentement fait un striptease à l’envers, sa culotte… sa robe… chacun peut admirer avec quelle grâce elle fait profiter de ses charmes tous ses admirateurs. Elle reboutonne sa robe lentement, laissant ses seins à la vue de son public.

Elle vient alors se blottir dans mes bras, nous nous abandonnons dans un baiser langoureux qui n’en finit pas, une minute, une année, un siècle. Collée contre moi, elle ne laisse découvrir que ses fesses… j’ouvre enfin les yeux, nous sommes seuls, tout le monde est parti, le vestiaire est vide… tiens je croyais être habillé, Martine aussi… nous sommes nus l’un contre l’autre.

Les hautparleurs diffusent une musique douce.
Une porte s’ouvre, venue de je ne sais où, Julie apparait dans le plus simple appareil, suivi, d’une, deux, dix, cent femmes nues, elles s’approchent de nous, des mains me touchent, me caressent, caressent Martine.
Martine me chuchote à l’oreille « choisi celle que tu préfères ». Mon regard balaye la salle autour de nous, comment choisir ? Elles sont toutes plus belles les unes que les autres, une brune ? Une blonde ? Une rousse ? Une grande black, une frêle asiatique ou Julie, la belle Julie… Elles me plaisent toutes.

Debout face à elles, je bande sans essayer de me cacher. Je n’ose pas bouger, je les vois sans les voir. Martine pose sa main sur mon épaule, me secoue légèrement me tirant de ma léthargie : « Il faut choisir … Patrick, tu rêves ? ».


« Patrick, tu rêves… nous sommes arrivés », une main sur mon épaule Martine me secoue gentiment, elle me réveille un peu trop tôt. Bercé par le ronron de la voiture, je me suis assoupi. J’ouvre un œil, nous sommes dans le parking de notre immeuble.
Martine me sourit « Dis donc, je ne sais pas qui hante tes pensées mais vu ton sourire, ce ne doit pas être désagréable ».

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