WAHID II - histoire érotique

La journée du samedi avait été pénible, difficile, mais s'était bien terminée, par une victoire des U19 contre le Cercle 14 à 13. Sur le fil. Avec un super match de Wahid qui avait marqué le but de la victoire à 19 secondes de la fin. Kévin aussi avait plutôt bien joué, même s'il avait raté un pénalty à 12-12 qui aurait pu faire basculer le match dans l'autre sens.
Et puis, Wahid, à un moment avait failli en venir aux mains avec un adversaire, qui avait traité Kévin de "tafiolle"... et Kévin avait été très touché de cette réaction du garçon qu'il aimait... en secret... Les autres avaient mis cette réaction sur le côté sanguin de Wahid, mais pas Kévin, évidemment...
Il avait été d'autant plus touché que, le reste du temps, Wahid s'était montré distant avec lui, froid, presque hautain. Kévin s'est même dit à un moment que c'était le signe que Wahid n'assumait pas ce qui s'était passé la veille entre eux, voire qu'il le regrettait, qu'il ne le calculerait plus, et que ce serait même fini de leur amitié.
A d'autres moments il se disait que c'était simplement par rapport aux autres que Wahid ne voulait à aucun prix que quelqu'un se doute de quoi que ce soit... Finalement il saurait ce qu'il en était lorsqu'ils se retrouveraient tous les deux, dans la chambre du Campanile.

Kévin allait assez vite être fixé. A peine la porte de la chambre fermée (du moins le croyaient ils), que Wahid s'est rué sur lui, l'a embrassé et l'a poussé sur le lit. Les deux garçons avaient à peine eu le temps de poser leurs sacs et étaient encore tout habillés. Ça ne dura pas. Après une journée où il s'était sans cesse contenu, sauf à un moment, Wahid avait une furieuse envie de se lâcher, d'être à poil, de baiser aussi, et, tout en continuant à l'embrasser, il enleva un à un les vêtements de Kévin jusqu'à ce qu'il n'en ait plus un seul. Lui était resté habillé, lorsqu'il empoigna la bite de Kévin, déjà dure, et la mit dans sa bouche, ce qu'il n'avait pas fait la veille. C'était la première fois qu'il suçait le sexe d'un garçon, et depuis le matin il pensait à cela et avait envie de le faire à Kévin, tellement sa bite qu'il avait vue dressée la veille lui avait fait de l'effet, tellement son jeune partenaire, en général, lui faisait de l'effet.

Kévin était aux anges bien sûr, et se laissait totalement faire. Ce qu'il ressentait pour Wahid était très fort, et il était très touché qu'il s'occupe de lui comme il était en train de le faire, d'autant que ça lui procurait beaucoup de plaisir.
Toujours habillé, Wahid lui releva les jambes et vint lui bouffer son cul, de façon à le préparer pour le coït anal qu'il était décidé à bien réussir ce soir là. Là aussi, c'était une première : c'était la première fois que Wahid bouffait le cul d'un mec - un cul tout court d'ailleurs car quand il sodomisait Coralie il ne lui bouffait pas le cul, il ne lui bouffait pas la chatte non plus, il n'était pas attiré, il avait essayé mais l'odeur était trop forte et il n'avait pas pu.

Par contre Wahid se régalait de bouffer le cul de Kévin. Il faut dire que les deux garçons avaient passé la journée dans l'eau, et avaient pris une bonne douche, bien savonnée, avant de quitter la piscine, ça facilitait sans doute les choses.
En tout cas, Wahid réalisait qu'il ne pouvait pas bouffer la chatte d'une femme, mais qu'il arrivait sans problème à bouffer le cul d'un mec, alors qu'a priori ça pouvait être perçu comme plus "dégueulasse". Or, non seulement il aimait ça, mais il trouvait ça bon, et ça l'excitait, son érection, alors à son maximum, en témoignait.
D'ailleurs, il ne pouvait plus garder sa bite comprimée dans son jogging (il sentait qu'elle était déjà sortie du caleçon), et il s'arrêta quelques secondes pour se déshabiller. Kévin l'aida d'autant que dès que la bite de Wahid fut à l'air, il la prit dans sa bouche et l'aspira.

Les deux garçons étaient alors très excités. Kévin se mit dans la position la plus facile pour encaisser un rapport anal, sur le ventre, la croupe légèrement relevée, le corps légèrement sur le côté car il avait envie de se retourner afin de voir Wahid et de rester bien chaud.
Wahid, qui voulait que ça se passe bien, entreprit de bien travailler et de bien préparer le cul de Kévin. Il continua à bien le lui bouffer, et remit son partenaire complètement sur le ventre, tant pis s'il ne le voyait pas, il fallait qu'il soit dans une position commode par rapport à lui.
Wahid faisait en sorte de préparer à la fois sa bite, qu'il donnait à sucer à Kévin, et le cul de celui-ci, qu'il bouffait, salivait, et dont il écartait la rondelle afin de faciliter la pénétration qui s'annonçait.

Après ce 69 bien chaud, Wahid se remit sur Kévin, légèrement derrière lui, releva sa croupe bien humidifiée, et approcha son sexe de son anus, désormais bien ouvert.
Wahid fit comme avec Coralie, et enfonça sa bite dans l'orifice de Kévin, qui se présentait à lui. Mais la différence, c'est qu'alors que dans le cul de Coralie il rentrait comme dans du beurre, il avait du mal avec le cul de Kévin, beaucoup plus serré, il faut dire que le jeune garçon était bien crispé.
- Détends toi Kev, ça va le faire, je vais aller doucement, dit-il en cherchant de sa bouche celle de son partenaire, pour l'embrasser et le rassurer.
Pour les deux garçons c'était une première, et ce n'était pas évident, ils n'avaient aucun repère, juste le désir qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre.

Wahid se retira puis revint bouffer l'anus de Kévin, qui s'était bien rétracté, pour à nouveau tenter de l'élargir.
Kévin aimait ses coups de langue qu'il ressentait comme une douceur après la douleur qu'il avait ressentie quelques secondes auparavant.
Malgré l'appréhension qu'il ressentait, il essayait de bien se détendre et avait envie de sentir en lui le sexe du garçon qu'il aimait et qui, en travaillant son cul avec patience et douceur, lui faisait déjà beaucoup de bien. Il avait un peu débandé du fait de la douleur qu'il avait ressentie, mais, à présent, il bandait à nouveau bien à fond, il se disait que, s'il maintenait son érection à ce niveau, il aurait moins mal au moment de la pénétration.

- Ca va ?
- Ouais, j'aime ça ...
- Je vais te mettre des doigts, tu me dis si ça fait mal...
- Oui ...
Wahid commença par le majeur, qui rentra sans problème et ne suscita aucune réaction de Kévin.
Il ajouta l'auriculaire, et introduisit ses deux doigts lentement, Kévin soupira, mais a priori c'était un soupir de plaisir.
- Ça va ?
- Oui c'est bon ... répondit Kévin dans un soupir ...
Wahid joignit son index aux deux autres doigts, et les regroupa avant de les enfoncer doucement, tout en les faisant tourner. Il mesurait là l'étroitesse de l'orifice de Kévin, mais il le sentait s'élargir légèrement du fait de son action avec ses doigts.
Kévin de temps en temps se crispait un peu, mais ne lui demandait pas d'arrêter.
- Ça va toujours ?
- Ouais, vas-y...

Wahid n'avait pas débandé, au contraire, il saliva encore sa bite, puis l'approcha de ses doigts, qui devaient avoir à peu près la même dimension ; il les retira doucement, et en profita pour les remplacer par sa bite avant que l'orifice ne se referme. Elle entra facilement, mais buta à peu près à l'endroit où ses doigts avaient pu aller.
Wahid se dit qu'il ne fallait surtout pas se retirer, il ne fallait pas non plus débander, il fallait que sa bite reste dans l'anus de Kévin, pour que celui-ci reste bien élargi et permette qu'elle y progresse.
- Ça va ?
- Oui... Tu y es là ?
- Oui, mais pas complètement. Il faut que je l'enfonce un peu plus, sinon ça va pas être
bien.
- Ok ... soupira Kévin qui sentait bien la bite de Wahid mais avait l'impression qu'elle ne
pourrait pas aller plus loin.

Wahid sentait que ça allait être compliqué, mais se disait qu'il ne fallait surtout pas reculer. Il était toujours en érection, mais sentait sa bite complètement comprimée, il en avait presque mal, il avait besoin de la dégager, et se disait qu'il fallait impérativement qu'elle avance. Il sentait qu'il avait atteint comme un point de non-retour, qu'il ne fallait surtout pas qu'il la retire, sinon il allait faire très mal à Kévin. Il se disait qu'il fallait qu'il l'enfonce doucement, que Kévin allait avoir mal, il espérait le moins possible, mais qu'après un moment et un passage difficiles, ça irait.
Coralie le lui avait expliqué : la première fois, ça faisait mal car il fallait comme débloquer le passage et après, une fois que la bite l'avait franchi, ça allait, les deux prenaient leur pied. C'est du moins ce qu'il avait compris (avec Coralie, il n'y avait pas de problème, son cul était comme une deuxième chatte). En tout cas, cette pensée l'encourageait à persévérer avec Kévin.

Wahid entreprit donc de s'enfoncer lentement dans l'orifice de Kévin qui, il le sentait, s'était relâché et s'efforçait d'abandonner toute résistance. Il sentait que, doucement, doucement, le sphincter de Kévin était en train de céder, il allait bientôt pouvoir y enfoncer sa bite et, de ce fait, la libérer.
Kévin prenait sur lui, il était légèrement crispé, sentait que le sexe de Wahid s'avançait en lui, il ressentait une légère douleur, mais essayait de l'endurer au mieux, et, en tout cas, ne disait rien.
- Ça va ?
- Oui, répondit-il d'un ton plus ferme et décidé que tout à l'heure.
Cette réaction encouragea Wahid qui s'enfonça d'un coup de quelques centimètres, sans trop de résistance, mais en sentant sa bite encore comprimée.
Kévin quant à lui fermait les yeux, exprimait une petite grimace, mais ne disait toujours rien.

C'est à ce moment-là que Wahid ressentit l'envie, le besoin même, de dégager sa queue. Il prit sa respiration, caressa la tête de Kévin, ferma les yeux en espérant que celui-ci n'aurait pas trop mal, et enfonça sa bite d'un coup.
Comme prévu, le sphincter céda, il le sentit, et sentit sa bite libérée de toute pression, il se disait qu'il allait pouvoir la guider afin d'explorer à fond le trou de Kévin.
Comme prévu, celui-ci avait laissé échapper un cri strident au moment du passage, et, maintenant, il gémissait doucement, de douleur.
Wahid en fut touché, lui se sentait bien, n'avait plus mal à la bite, avait envie de labourer les entrailles de Kévin, et de prendre son pied, mais l'idée que celui-ci souffre le rendait malheureux.
- Ça va, Kev ?
- J'ai mal ... dit-il en gémissant doucement... elle est grosse ... elle est trop grosse...
- Ça va aller, détends-toi, tu vas prendre ton pied, tu vas voir...
En fait Wahid n'était pas plus rassuré que ça, et se disait qu'il fallait peut-être en rester là, pour cette première. Il essaya de bouger un peu son sexe, en avant puis en arrière.
- Stop !, s'écria Kévin, avant d'ajouter : "Ne bouge pas", puis : "Là... ça commence à
aller..."

Wahid se sentait bien aussi, il sentait sa bite au chaud dans l'orifice de Kévin, qui, certes, n'était pas aussi chaud qu'une chatte, évidemment, et pas du tout humide, mais qui enserrait sa bite de façon cette fois agréable.
- Ça va ? T'as plus mal ?
- Non ça va, je la sens, mais ça va, j'ai pas mal... avant d'ajouter : "baise-moi"...
Il n'en fallait pas plus à Wahid qui entreprit alors des mouvements de va-et-vient, comme il faisait avec Coralie, et cette fois Kévin se mit à gémir de plaisir.
Sans ressortir, Wahid réussit à le retourner, pour le mettre sur le dos et le baiser comme une femelle.

Le plus difficile était passé, Kévin, sur le dos, avait relevé les jambes, ce qui lui permettait de s'offrir aux coups de butoir de Wahid, qui avait abandonné la position debout et avait posé ses jambes repliées sur le lit, de part et d'autre du corps de Kévin.
Il appuyait chacune de ses mains sur les jambes de Kévin qui venaient se coller de part et d'autre de son torse. Cette position lui permettait de bien relever la croupe de son partenaire, et de pencher sa bite, pour bien l'enfoncer jusqu'à ce que ses couilles viennent buter sur l'orifice de Kévin.
L'extase était totale, celui-ci gémissait de plaisir, de temps en temps murmurait "c'est bon". Wahid, lui, prenait vraiment son pied, alternait les mouvements de va-et-vients lents et rapides.
Les deux garçons bandaient bien à fond, Kévin se branlait légèrement, et ils savouraient tous deux cet instant où leurs corps de faisaient plus qu'un, et où ils avaient vraiment l'impression de faire l'amour plus que de baiser.

Tout à leur rapport sexuel, qu'ils vivaient tous deux de façon intense, les deux garçons ne s'étaient pas rendu compte que quelqu'un, dans le coin de cette chambre d'hôtel, les observait, se délectait même du spectacle, qui lui faisait visiblement de l'effet, comme en témoignait son sexe en érection, sorti de son jean par la braguette, et qu'il masturbait doucement.
De là où il était, cet homme avait une vue imprenable sur les jambes, mais surtout le cul et le dos de Wahid en train de prendre Kévin.
Ce spectacle le rendait fou, il se laissait littéralement absorbé par les fesses de Wahid, charnues à souhait, tendues par l'effort, et qui remuaient sous ses yeux.
Il n'avait qu'une envie, c'était d'y plonger à l'intérieur, et de les labourer, d'abord avec sa langue, ensuite avec sa bite.

Il était dingue du cul des jeunes mecs, et adorait les enculer. Ses jeunes coéquipiers l'attiraient particulièrement, notamment Wahid, avec qui il avait du mal à s'entendre, mais qui lui plaisait énormément. Il se branlait souvent en pensant à lui, il n'osait l'aborder, par fierté surtout, personne au club n'était au courant de ses penchants homosexuels, qu'il s'efforçait de masquer par sa virilité, ses poils sur le torse, et sa voix grave.
Le petit Kévin, ce n'était pas trop sa tasse de thé : il trouvait trop jeune, trop efféminé ; il avait bien vu que ni lui ni Wahid n'avait remarqué sa présence, mais il allait bien devoir se manifester, s'il voulait participer à la baise, et surtout se taper Wahid, et au final l'enculer pendant qu'il continait à enculer.

Il se demandait comment les deux jeunes réagiraient quand ils se rendraient compte de sa présence, mais après tout tant pris, il était trop excité, il avait trop envie, il commença donc à s'approcher.
Kévin le premier réalisa qu'il y avait quelqu'un et, comme il était sur le dos, il reconnut Vincent, en train de s'approcher, la bite à l'air. Il fut surpris, évidemment, et sa réaction fit se retourner Wahid qui, de ce fait, tomba comme nez à nez avec son coéquipier de l'équipe pro, qui le surprenait en train de baiser avec Kévin, et qui, il le réalisa à la seconde, devait aussi être homo, en tout cas attiré par eux.
- Comment t'es là ?
- Vous aviez mal fermé la porte les gars, quand je suis passé, je vous ai entendus, et je
suis rentré...
- ...
- ...
- ... Bon ... Maintenant que je suis là, je peux peut-être participer ...
- ... Ouais ... fit Wahid ... Désape toi ...

Kévin était effaré par ce qu'il venait de voir, et d'entendre ... Il était bien avec Wahid et prenait son pied en se donnant à lui, la présence de Vincent, et surtout la réaction de Wahid, le mettaient mal à l'aise. Il n'appréciait pas trop Vincent, qui ne le calculait pas et le prenait de haut, et, surtout, il aurait voulu garder Wahid pour lui tout seul.
Comme tétanisé, il resta allongé, et n'osa pas bouger.
Vincent, comme l'y avait invité Wahid, entreprit de se déshabiller. Pendant ce temps, Wahid vint s'allonger sur Kévin, et l'embrassa à pleine bouche.
Kévin passa ses mains autour du visage de Wahid et lui murmura à l'oreille : "Reste avec moi". Wahid lui sourit et lui glissa aussi à l'oreille : "t'inquiète... c'est que du cul"...

Vincent était maintenant totalement à poil, et vint se positionner juste derrière Wahid, qui était donc allongé sur Kévin, et dont le cul s'offrait à lui.
Comme s'il était attiré par un aimant, il colla sa bouche au niveau des fesses de son jeune coéquipier, les écarta, et commença à lécher son orifice à grands coups de langue.
A l'instant où il sentit la langue de Vincent, Wahid apprécia, il releva la tête et émit un long soupir un peu rauque.
Cela encouragea Vincent, très excité, à continuer, à bien bouffer le cul de Wahid, qu'il trouvait très à son goût.
Il savait que ce n'était qu'une étape, que le Graal suprême serait atteint par sa bite dans ce cul qui le faisait totalement chavirer.
La réaction de Wahid, qu'il avait au départ du mal à imaginer en passif, le stimulait.

Wahid, qui découvrait le plaisir de se faire bouffer l'orifice anal, se rendait compte qu'il aimait vraiment ça.
Vincent, qui avait du poppers dans la poche de son jeans (il en prenait tout le temps quand il allait en vadrouille en ville, comme ce soir) le présenta à Wahid qui le renifla et ressentit aussitôt une chaleur puissante l'envahir.
Vincent profita de cet instant pour introduire sa bite dans l'anus de Wahid qui avait été bien dilaté, tant par l'anulingus que par le poppers.
Il dut forcer un peu, mais finalement entra assez facilement et amorça rapidement des mouvements de va-et-vients.
Wahid encaissait bien et se rendait compte que, là aussi, il aimait ça. La bite de Vincent était experte, longue et épaisse, mais dimensionnée comme il faut ; elle explorait l'intérieur de Wahid qui sentait chaque coup de boutoir et réagissait par des soupirs rauques et de plus en plus sonores.

Kévin quant à lui ressentait le poids de Wahid qui se laissait aller sur lui. Son visage était posé contre le sien, il grimaçait, de douleur a-t-il pensé dans un premier temps, de plaisir en réalité, il s'en rendait bien compte.
Il espérait que Wahid n'ait pas trop mal, mais comprenait que son ami aimait ça et prenait vraiment son pied.
Ce n'était que du cul, lui avait-il dit... Il lui fallait s'y faire, et il plongeait direct, en 24h, dans l'univers, parfois rude, des baises entre mecs.

Wahid aurait aimé baiser Kévin pendant qu'il se faisait enculer bien profond par Vincent, mais il n'arrivait pas à se dégager des coups de rein puissants de son aîné qui pilonnait littéralement son orifice, sans lui laisser une seconde de répit.
Kévin aussi était coincé sous le double poids de Wahid et de Vincent, et il ne pouvait guère bouger.
Ses mains caressaient le dos et les fesses de Wahid dont il sentait la contraction sous les coups de butoir de Vincent qui ne diminuait ni le rythme de ses va-et-vients ni la puissance de sa pénétration. Kévin n'osait pas toucher Vincent qui ne le calculait pas plus dans ce plan à trois que dans les vestiaires du club.

Vincent eut envie de baiser Wahid dans une autre position et de mater son torse et sa bite.
Il se retira donc de l'anus de son jeune coéquipier, lui tapota les fesses, et lui dit de se mettre sur le dos et de relever les jambes.
Il demanda à Kévin de se pousser sans trop de ménagement. Le jeune garçon, quelque peu vexé, ne fit pas que se pousser, il se leva carrément, ce qui permit, du coup, à Vincent de le mater, et de s'intéresser enfin à lui.
Jusque là il ne l'avait même pas regardé, car il avait toujours en tête le corps frêle et à l'aspect féminin de Kévin, qui ne l'attirait guère.
Il fut donc surpris lorsqu'il vit ce beau jeune homme de 1m90, dressé devant lui, le sexe en érection, le torse certes totalement imberbe mais musclé. Ce n'était plus un bébé, ou plutôt si, Kévin était devenu un bien beau bébé...

- Eh ! t'es devenu bandant Kev... montre-toi un peu ...
Kévin sourit légèrement, et se retourna pour montrer son cul et son dos à Vincent qui, pendant une fraction de seconde, eut envie d'aller s'occuper de lui, mais il revint vers Wahid qui, allongé sur le dos, les jambes relevées, avait repris du poppers, et attendait le passage de la deuxième couche...
Vincent le ramena à lui, afin que son cul soit juste au bord du lit, il resta debout et approcha sa bite de l'anus de Wahid, avant de la rentrer sans plus de ménagement que tout à l'heure...
Wahid couina un peu mais commençait à prendre l'habitude...
Il aimait bien cette position, allongé sur le dos, le cul offert à la bite de Vincent qui avait recommencé les mouvements de va-et vient.

- Approche-toi, baise-lui la bouche, dit Vincent à l'attention de Kévin, qui n'en demandait pas tant et aurait même eu envie de le baiser tout court. Il s'était enhardi le petit Kévin... Wahid était alors totalement soumis, et, une bite dans le cul, une autre dans la bouche, il se faisait baiser par les deux ouvertures ; il prenait un pied d'enfer, ressentant ces
membres le pénétrer et s'en délectant.
Du fait des coup de butoir de Vincent, son corps s'était mis à bouger d'avant en arrière. Il relevait et écartait ses jambes autant qu'il pouvait. Il savourait complètement l'instant : Vincent le labourait et le pilonnait, bien à fond, pendant que Kévin s'était mis à genoux derrière sa tête et lui offrait sa queue qu'il suçait avec gourmandise.
Vincent et Kévin étaient désormais à genoux sur le lit, de part et d'autre de Wahid qui n'était plus qu'un corps inerte et flasque entre leurs deux queues. Seule sa bite en érection et qu'il branlait doucement manifestait un peu de réactivité, le reste n'était que soumission, et il était à la merci de ses assaillants.

Vincent le fit changer une nouvelle fois de position et le prit à nouveau par derrière, ce qui permettait à Wahid de s'empaler sur la bite de Kévin. Il n'en pouvait plus et n'arrivait même plus à garder la bouche autour du sexe dressé de Kévin, tellement il avait besoin de gueuler...
Vincent n'en pouvait plus aussi, ses va-et-vients étaient devenus extrêmement rapides, il sentait sa bite en feu, et commençait à ressentir le besoin de décharger, il avait de plus en plus de mal à se contenir. Il releva encore la croupe de Wahid pour le prendre à l'horizontale. Celui-ci avait relevé le torse, s'était donc éloigné de la bite de Kévin, mais pas de sa bouche ; les deux garçons ont alors échangé un baiser bien langoureux tandis que Vincent continuait à pilonner les entrailles de Wahid qui commençait à n'en plus pouvoir. Il émit alors alors de petits gémissements plaintifs, comme pour signifier qu'il demandait grâce et voulait que tout cela s'arrête enfin, il était en sueurs, et n'en pouvait plus.

Vincent fit encore quelques va-et-vients, avant de retirer d'un coup sa bite de l'orifice de Wahid, il empoigna sa queue et n'eut pas à la branler longtemps tellement elle était prête à exploser. De longs et puissants jets jaillirent de son gland, et recouvrirent tout le corps de Wahid, depuis ses fesses jusqu'au haut de son dos.
Depuis que Vincent s'était retiré, brutalement de surcroît, Wahid avait totalement débandé, il s'était vite relevé, et avait maintenant juste envie que Vincent s'en aille, ce qu'il lui a exprimé vertement :
- Casse-toi maintenant !
- Hey ... Doucement s'il te plait ... T'as pas aimé ?
- Si mais casse-toi maintenant, dit Wahid en se levant et en allant à la salle de bains.

Vincent fut rassuré par ces dernières paroles, Wahid revint de la salle de bains en lui tendant du papier toilettes.
- Allez, s'il te plaît... lui dit Wahid d'une voix plus douce.
- oui, oui, pas de souci, je vais vous laisser les amoureux ... dit Vincent, avant d'éclater de
rire bruyamment.
- T'as une bonne bite, mais qu'est ce que tu peux être con quand tu t'y mets... lui dit Wahid
dans un sourire, avant de s'affaler sur le lit, il n'en pouvait plus ...
- Bon allez, je me rhabille et je m'en vais ...
Personne ne lui répondit, Kévin aussi avait quitté le lit, avait complètement débandé, et était allé s'asseoir sur le petit fauteuil de la chambre d'hôtel.
Vincent, après s'être essuyé, se rhabilla en silence, reprit son flacon de poppers :
- Bon allez les gars je vous laisse... Bonne nuit, à demain ...
Il voulut rajouter "soyez sages", mais sentit que ce n'était pas le moment...

Wahid et Kévin restèrent tous les deux un moment sans rien dire, ni bouger, affalés sur le lit, à poil, la queue tous deux au repos, sans beaucoup d'énergie.
C'est le froid de la pièce, de leur tenue, qui les conduisit à bouger un peu, et à aller prendre une douche, tous les deux, ensemble.
L'eau chaude les ravigora et les stimula à nouveau, ils s'embrassèrent puis se savonnèrent l'un l'autre. L'un comme l'autre recommença à bander. Alors qu'ils se faisaient face, Kévin se retourna pour présenter ses fesses à la bite de Wahid qui fut ainsi stimulée. Le savon et l'eau faisant office de gel, il s'introduisit facilement. Ils avaient laissé le pommeau de douche supendu, et l'eau, bien chaude, coulait doucement et parcourait ainsi le torse et l'avant du corps de Wahid, le dos et l'arrière du corps de Kévin, qui se branlait et, au comble de l'excitation, ne tarda pas à jouir.
Wahid se retira, il avait déjà un peu débandé, et, surtout, n'avait pas joui.

Les deux garçons se rincèrent, puis, après un baiser, sortirent de la douche, et se séchèrent.
Kévin ne s'était pas rendu compte que Wahid n'avait pas joui, et celui-ci ne dit rien. Il se sentait un peu frustré, et même intrigué par la situation, car, d'habitude, dans ses rapports sexuels, il jouissait assez vite. Mais ce qui venait de se passer ce soir-là était quand même plutôt inhabituel...
Kévin ressentait alors un mélange de bien-être, procuré par son éjaculation abondante, et de fatigue, il lui semblait tomber de sommeil.
Ça tombait bien, il était temps d'aller se coucher.
Les deux garçons restèrent à poil, et s'enfilèrent sous la couette. Kévin vint se blottir un court instant dans les bras de Wahid, qui lui apposa un baiser sur la joue, et lui dit : "t'as l'air crevé toi ..."
- oui, répondit Kévin, je suis vidé... C'était bon, hein ?
Wahid se contenta de sourire, et il lui caressa la joue : "Bonne nuit, Kev...". "Bonne nuit, Wahid", lui répondit-il avant de lui faire un baiser sur la bouche et de se retourner.
Il ne tarda pas à s'endormir, et même à ronfler légèrement.

Wahid resta un long moment, allongé sur le dos. Il était perplexe, ne savait plus quoi penser, et même ne savait plus où il en était. En 24 heures, il était passé d'une attirance par le côté fille de Kévin à une attirance ... pour la bite de Vincent dans son cul...
Il n'aurait jamais pensé cela... Il savait bien sûr que ces pratiques existaient, mais jamais, ô grand jamais, il n'aurait imaginé que non seulement il s'y livrerait un jour, mais qu'il y prendrait du plaisir.
Il sentait l'érection et l'excitation lui revenir, il se rendait compte que, sous la douche, il avait baisé Kévin de façon mécanique, comme automatique, et qu'il n'avait pas pris son pied. Heureusement, son jeune partenaire avait joui vite, et, c'est du moins ce qu'il espérait, ne s'était pas rendu compte qu'au fur et à mesure de ce coït anal, il débandait.

Il sentait des irritations au niveau de l'anus, il s'attendait même à avoir plus mal que ça, mais ça allait, et, en fait, il sentait que son cul le démangeait, comme s'il avait envie, à nouveau, de se prendre une bite.
Pour soulager cette légère douleur, il entreprit de se gratter, mais, dès qu'il toucha son anus, il se sentit excité à fond, il s'est mis à bander très fort, et éprouva le besoin, la nécessité même, de se doigter, ce qu'il fit, et ce qui, à la fois, l'apaisa, et l'excita.
En fait il se rendait bien compte qu'il n'avait pas envie d'un passif comme Kévin, qui dormait, à poil, à ses côtés, mais qu'il avait envie d'un actif qui le baise.
Il repensa à Vincent, avec qui, jusque là, il ne s'entendait pas, avec qui, jusque là, il n'avait jamais été pote, et dont le physique, jusque là, le laissait totalement indifférent.

Mais depuis tout à l'heure il le regardait différemment.
Déjà il avait pu le mater, notamment son torse, poilu et musclé comme il faut ; il n'avait pas trop vu son cul, mais sa bite... quel engin ... magnifique, puissant, épais, d'une longueur anacondesque ... Il avait envie de l'avoir en bouche, et surtout de la reprendre dans le cul ...
Il prit son téléphone ... 1h42... quelle soirée, quelle nuit ! Grâce à la lueur de son téléphone, il regarda Kévin, qui dormait profondément ... Il était mignon, c'est sûr, et il avait des sentiments pour lui, mais, plutôt d'affection et d'amitié ... Et il sentait qu'il allait vite se lasser sur le plan sexuel avec lui. Quand il l'a baisé, il a eu l'impression de baiser une fille, et ce n'est pas ce qu'il recherchait avec un mec.
Ce qu'il recherchait, c'est la virilité et la puissance que lui avait apporté Vincent, qui l'avait bien enculé, mais qu'il aurait envie d'enculer aussi, à l'avenir.

Que faire maintenant ... Il n'en pouvait plus, et il fallait impérativement qu'il se vide les couilles, il bandait à fond, et sa bite en était presque douloureuse, tellement elle avait besoin de décharger.
Il n'avait pas envie de se branler, et pensait à Vincent, qui devait être à quelques mètres de lui, et qu'il avait viré tout à l'heure, comme un malpropre. Par fierté mal placée. Alors qu'il lui avait fait connaître un plaisir qu'il n'imaginait même pas.
Il était en train de le regarder différemment, et se sentait irrésistiblement attiré par lui.
Il prit son téléphone, et envoya un sms à Vincent. Court et percutant. Clair : "j'ai encore envie".
Il n'eut pas à attendre très longtemps : "Viens. Chambre 208. Au bout du couloir par rapport à la tienne."
Il eut un sourire de satisfaction. Il regarda encore Kévin, qui dormait toujours, il lui fit un bisou sur la joue, puis il se dit qu'après tout il n'avait pas de compte à lui rendre.

Il sortit du lit le plus discrètement possible, s'habilla le plus rapidement possible, d'un tee- shirt et d'un pantalon de jogging, qui laissait bien voir son sexe encore en érection.
Il prit son téléphone, la carte de la chambre, et sortit sans faire de bruit.
Il sentait qu'il allait passer un bon moment…