WAHID V - 1 - Wahid se venge sur Axel - histoire érotique

WAHID V : 1 - Wahid se venge sur Axel

Wahid ruminait sa vengeance.
C’est peu de dire qu’il s’était senti humilié de ce qui s’était passé la semaine précédente, avec Kévin, et surtout en présence d’Axel.
Que Kévin le baise passe encore. Il ne s’y attendait pas, mais il aimait ça et, après Vincent, que Kévin le baise, ça ne le gênait pas, finalement. Au contraire.
Mais, en présence d’Axel, se faire prendre comme une salope, et par un mec qu’il lui avait présenté comme passif, il avait vraiment du mal à le digérer.

Ils n’avaient pas pu en reparler, bien sûr, le matin, c’est l’entraîneur qui les avait réveillés tous les trois à 6h30, et le rythme de la journée ne leur avait laissé aucun répit, jusqu’au moment de se dire au revoir, en fin de matinée. Il perçut alors le regard ironique et goguenard d’Axel, qu’il eut du mal à soutenir.
Il évitait aussi, mais pour d’autres raisons, de croiser le regard de Kévin, qui redescendait en train avec lui, alors qu’ils laissaient Axel en région parisienne.
Quand il était sûr que Kévin ne le voyait pas, il l’observait, du coin de l’oeil, et le trouvait changé, métamorphosé ; lui qui était timide et gauche, il était devenu particulièrement à l’aise, et donnait l’impression d’être bien dans sa peau.
A l’inverse de lui, qui se sentait mal en ce dimanche maussade.

Lui qui d’habitude était super à l’aise, super sociable, Il avait du mal à soutenir le regard des autres. Il s’imaginait que tout le monde était au courant de ce qui s’était passé. Que tout le monde le voyait comme ce qu’il était, en deux week-ends, devenu ; une salope, un enculé, un pédé.
C’est du moins comme ça qu’il percevait les choses.
Il se disait qu’Axel allait parler, raconter ce qui s’était passé et qu’il avait vu :
- Eh, vous savez quoi, Wahid il s’est fait enculer par cette tarlouze de Kévin...
L’horreur, dans sa tête de jeune beur, pas très à l’aise avec tout ça.

Alors il avait envie de se ressaisir, de chasser cette image qui le mettait si mal à l’aise. Au moins redevenir actif. Au moins aux yeux d’Axel.
Avec Kévin, ce n’était pas pareil. Il savait qu’ils se retrouveraient. Qu’il lui fallait juste un peu de temps pour digérer. Et puis il y avait les sentiments, qu’il sentait monter en lui, et qu’il repoussait tant bien que mal.
Toute la semaine qui a suivi, il s’était rabattu sur ses études, son cocon familial, et les entraînements, où il s’était donné à fond. Sans trop parler.
Il avait revu Inès aussi, au cours d’une balade en ville le mercredi après-midi. Ça lui avait fait plaisir de la revoir, surtout qu’avec elle ça se limitait à des bisous... ça tombait bien... Si elle savait la pauvre, se disait-il...

Et puis il avait revu avec plaisir Vincent, le bourrin, pour qui il ressentait de plus en plus de sympathie, d’attachement, son côté “brut de décoffrage” lui plaisait, et, surtout, lui faisait du bien. Il aimait le regarder, regarder son corps, percevoir et recevoir le regard qu’il portait sur lui.
Et son allusion un peu directe, après la douche le mercredi soir, quand ils se sont croisés aux toilettes et qu’ils étaient seuls :
- Bon dis moi Wahid, on va être en déplacement ce week-end, faudra qu’on remette ça non ?
Devant le silence du jeune, qui se contenta d’un sourire, Vincent revint à la charge :
- T’as pas envie ?
Et Wahid finit par répondre, d’un faible : si...

Bien sûr qu’il avait envie... et ce fut cette brève conversation qui lui donna l’idée, qui allait, au moins dans son esprit, effacer ce qui s’était passé le week-end précédent.
Ce samedi, heureux hasard du calendrier, ils se déplaçaient à nouveau en région parisienne, mais seulement les pros, les u19 avaient relâche.
Du coup, Wahid, qui jouait avec les pros, serait avec Vincent, tandis que Kévin restait à la maison.
Le hasard du calendrier faisait bien les choses...

Et c’est ce qui donna l’idée à Wahid... il sentait Vincent chaud pour un plan... et pourquoi pas un plan à trois avec Axel ? Ou plus exactement, qu’avec Vincent ils se tapent Axel.
Oui, voilà la solution, voilà l’idée... baiser Axel comme la bonne salope qu’il était... lui montrer qu’il n’était pas celui qu’il avait vu le samedi précédent, qu’il n’était pas que ça en tout cas... qu’il avait une bite, et qu’il savait s’en servir...

Et puis Wahid se disait qu’avec Vincent il avait la garantie que le plan se passerait comme ça... et ne s’inverserait pas comme la dernière fois...
Le jeudi soir, il envoya donc un sms à Axel :
- ça te dit, samedi soir, de te faire baiser par deux mecs actifs, bien virils et bien membrés ?
- euh... ouais... mais qui ?
- ben, Vincent et moi ...
- ah... t’es actif toi ?
Le scud était rude, et Wahid eut du mal à l’encaisser, mais il faut dire qu’il l’avait bien cherché... il préféra ne pas répondre, et enchaîner...
- bon ça te dit ou pas ?
- ... ouais...

Cette réponse positive rasséréna Wahid, et le lendemain ils se mirent vite d’accord sur les modalités.
Le match était samedi soir, à 20h, le lendemain ils n’avaient leur train qu’à 11h... et Axel avait le permis désormais. En plus ses parents n’étaient pas là ce week-end.
Leur hôtel était à une vingtaine de minutes de là où habitait Axel. Ils ont donc convenu qu’il vienne les rejoindre à 2 heures du matin. A cette heure là au moins ils étaient sûrs d’être rentrés, et c’était une heure propice à la discrétion.

Le soir en question donc, Axel vint voir le match, gagné facilement par l’équipe de Vincent et Wahid, qui avaient plutôt bien joué. Après les avoir salués, Axel rentra chez lui, et attendit 1h30 pour décoller, en matant une série à suspense sur Netflix.
De leur côté les deux joueurs allèrent manger avec toute l’équipe. L’entraîneur était d’excellente humeur, et leur offrit un coup à boire après le repas.
Ils avaient bien calculé leur coup niveau horaire car ils rentrèrent à l’hôtel à une heure moins le quart.
Guère plus d’une heure à attendre. Ils se sont déshabillés, mis dans le lit, se sont un peu branlés et touchés, mais pas trop, il leur fallait garder leurs couilles pleines pour pouvoir les vider dans le cul de cette salope d’Axel...

A 2h01 (soyons précis !) celui-ci composa le code qu’ils lui avaient donné (c’était le même que pour rentrer dans l’hôtel, c’était pratique, il n’y avait personne à la réception à cette heure-là, et Axel ne croisa pas davantage de monde dans les couloirs).
En l’entendant, Vincent et Wahid sortirent du lit, totalement à poil, ce qui surprit Axel qui, lui, avait juste un tee-shirt bleu ciel sous son blouson.
- Dites donc, les gars, c’est direct avec vous...
- Ben quoi, t’es pas venu pour ça, salope ? lui demanda Vincent.

Enhardi par l’attitude directe de son coéquipier, Wahid embraya :
- Déshabille-toi, lui fit-il en joignant le geste à la parole et en lui mettant la main aux fesses.
Axel eut tôt fait d’enlever son blouson, son tee-shirt, son pantalon, son caleçon... et ses chaussettes.
Les trois hommes se faisaient donc face, debout, à poil, le sexe légèrement en érection.
- Suce, lui intima Wahid.

Axel ne se fit pas prier, vint s’asseoir sur le bord du lit, prit en bouche la bite de Wahid, et commença à sucer.
Vincent s’approcha, posa sa main droite sur l’épaule de Wahid, et se branlait légèrement de sa main gauche.
- Suce-le aussi, lui dit Wahid.
Axel, qui adorait ça, vint donc pomper le dard de Vincent, qui durcit très rapidement dans sa bouche de suceuse.
- Il suce bien, hein ? fit Wahid.
- Grave, répondit Vincent.
- J’t’avais dit qu’il aimait ça... t’aimes ça, hein, salope ?
Axel retira un instant sa bouche de la bite de Vincent : “ ouais, j’aime ça ”.

Le plan se déroulait comme Vincent l’avait prévu, imaginé, et ce qui était en train de se passer lui faisait beaucoup de bien.
Du bien à sa bite, déjà, car il était chaud et bandait bien à fond ; du bien à sa tête aussi, il avait l’impression de se venger, d’effacer plutôt l’humiliation de la semaine précédente.
Il retrouvait des sensations de mâle actif et dominant, et ça lui faisait un bien fou.

De son côté, Axel, qui était auto-reverse, mais adorait faire la salope, se régalait. Deux bonnes bites, des mecs bien foutus, il savait qu’il allait passer un bon moment.
Il revint sucer Wahid, qui à des moments sortait sa bite de sa bouche et le biflait, pour bien marquer sa domination. Mais il pouvait y aller, tellement Axel aimait ça.
Il aimait tellement ça que Wahid pouvait s’enfoncer jusqu’à la garde, ce qui lui procurait une sensation des plus agréable.
A un moment, Axel prit les deux bites en bouche en même temps, en tout cas, comme elles se touchaient, il allait de l’une à l’autre, et se régalait.
A un autre moment, Wahid laissa Axel sucer Vincent, et vint bifler la poitrine et notamment les tétons d’Axel, qu’il en profita pour bien mater, et qui lui plaisait énormément. Il faut dire que c’était un sacré beau gosse, sacrément bien foutu, et sacrément sexy.

Il était très beau quand il suçait, les yeux fermés, il se donnait bien à fond, et Wahid en profita pour introduire à nouveau la bite dans la bouche, et pour lui caresser les cheveux, qu’il avait blonds, fins et soyeux.
Sa tête retenue vers l’avant par les mains de Wahid, Axel avait empoigné son sexe de sa main gauche et s’appliquait à bien le sucer, et à le faire venir d’avant en arrière dans sa bouche.
Wahid relâcha son étreinte, ce qui permit à Axel de donner plus d’amplitude à ses mouvements de tête et de bien faire coulisser dans sa bouche la bite de Wahid.
Le pied total, au point que Wahid préféra se retirer, et faire une pause, de peur de jouir trop vite... ce qui aurait tout gâché...

Vincent en profita pour reprendre possession de la bouche d’Axel qui, décidément, n’avait aucun répit.
Wahid avait profité de ces quelques secondes pour récupérer, se ressaisir, et passer à la vitesse supérieure...
Il prit Axel par la main et le fit basculer sur le lit.
Mais la bouche du jeune blond n’était pas rassasiée, il se releva, se mit à genoux sur le lit, et revint s’aimanter autour de la bite de Wahid, bien épaisse et bien dressée, qu’il se remit à sucer avec avidité.

Vincent, lui, s’était mis au bord du lit, et, de ses mains, prenait possession des fesses d’Axel que celui-ci, tout en continuant à sucer Wahid, avait relevées pour bien les cambrer.
Pendant qu’il se faisait sucer, Wahid touchait les pecs et les tétons du jeune blond, puis revenait caresser sa chevelure. Il suçait drôlement bien, le bougre, et aimait ça.
Wahid se pencha en avant et étendit ses caresses sur le dos d’Axel, dont la bouche ne quittait pas sa bite.

Il arriva jusqu’au cul que Vincent commençait à travailler.
C’est quand même pour ça que les deux coéquipiers l’avaient fait venir : pour son cul, pour le travailler, pour le posséder, pour le prendre.
Vincent continuait à pétrir les fesses du jeune blond qui, allongé sur le ventre, se trouvait maintenant entre les deux actifs, le cul offert à leurs quatre mains, la bouche toujours autour de la bite de Wahid.
Vincent se pencha à son tour, vint écarter ses fesses, approcha sa bouche et commença à lui bouffer l’anus. Pour bien le préparer à passer à la casserole.

Pendant ce temps, Axel ne lâchait pas la bite de Wahid qui, à un moment la retira de sa bouche, pour présenter ses boules à sa langue, et pour coller le membre en érection contre la joue du jeune blond.
C’est à ce moment-là que Wahid se retira complètement de l’avant d’Axel, et vint se mettre à l’arrière, debout au bord du lit.
Vincent lui céda la place et prit celle qui était le sienne il y a quelques secondes. A son tour, il présenta sa bite à la bouche d’Axel qui l’ouvrit, engloutit le membre et commença à sucer.

Wahid, lui, empoigna le fessier d’Axel et fit coulisser la paume de sa main droite à l’intérieur de la fente, avant d’introduire directement trois doigts à l’intérieur de l’anus.
Pour la première fois depuis le début du plan, Axel émit un gémissement, et retira même sa bouche de la bite de Vincent pour bien gueuler son plaisir.
Wahid intensifia la pénétration de ses doigts. Quatre à présent, et qui rentraient comme dans du beurre.
Tout était prêt pour y accueillir sa bite.

Pour être plus confortable, Vincent s’était allongé sur le lit, et avait calé sa tête sur l’oreiller, contre le mur.
Axel, penché en avant, avait repris sa fellation, sa main droite entourant le sexe de Vincent à sa base.
Celui-ci avait empoigné la tête du jeune blond et accompagnait les va-et-vients que sa bouche faisait autour de sa bite.

De son côté, Wahid continuait de doigter Axel avec frénésie. Il y allait tellement fort qu’il lui faisait mal. Le jeune blond grimaçait et avait même dû interrompre sa fellation. Wahid lui demanda si ça allait, il répondit quand même : “oui”, d’une voix faible. C’est vrai en fait qu’il avait mal, mais qu’il aimait ça. Le paradoxe de tout passif.
Wahid de son côté aimait lui faire mal, car il savait qu’il aimait ça et qu’il encaissait bien. Et égoïstement ça lui faisait du bien, ça faisait du bien à l’animal comme on dit.
Volontairement, il se montrait brutal. Il enfonçait quatre doigts à la fois, bien profond, les retirait d’un coup sec, avant de les enfoncer à nouveau. Du coup, l’autre gueulait, bien fort, à chaque assaut.

Vincent de son côté était resté allongé sur le dos, et ne perdait pas une miette du spectacle qui le chauffait, sa bite dressée en attestait. Il aimait voir cette passive totalement à la merci de Wahid, totalement soumise, en train de gueuler de douleur mais aussi de plaisir, il le savait, il le sentait.
Et puis ça lui permettait de mater Wahid, son chouchou, son préféré, son chéri en secret, de le voir à l’oeuvre, et de bien profiter de son torse, de sa gueule, de sa bite qu’il devinait, et parfois apercevait derrière le cul d’Axel.
Pour l’instant il le laissait tranquille, car, comme convenu, ce plan à trois était destiné à se taper le petit blond, mais il se disait que la nuit n’était pas finie, et qu’il allait dans quelques minutes, et pendant quelques heures, se retrouver seul dans le lit avec Wahid. Et, là, tout serait possible...

Axel, pour plus de confort, avait posé sa tête sur la cuisse droite de Vincent qui s’était mis à lui lui caresser les cheveux.
Wahid maintenant s’était mis de côté, il tournait le dos à Vincent, qui, du coup, pouvait mater son cul, qu’il n’avait pas vu depuis le début de la soirée, qu’il trouvait magnique, musclé et charnu à souhait, et qui l’excitait au plus haut point.
Wahid n’en avait cure, et ignorait même que son fessier faisait l’objet de telles convoitises, tellement il était concentré sur celui d’Axel, qu’il trouvait aussi bien charnu, bien musclé, bien sexy et ... bien ouvert.
Avec sa main gauche, il s’appuyait ferme sur la fesse droite du jeune blond, et sa main droite, toute sa main droite, du moins ses quatre doigts et le début de sa paume, continuait son travail d’exploiration et de préparation, qui suscitait les gémissements continus d’Axel, de plus en plus sonores, montrant de plus en plus que le plaisir prenait le pas sur la douleur.

- T’aimes ça hein ?
-... oui ... gémit Axel.
- Dis-moi que t’aimes ça...
-... oh oui j’aime ça...
- Dis moi que t’en as envie...
-... oui j’en ai envie...
- Dis moi que t’es une salope...
- ... oui ... c’est ça...
- Dis-moi le, toi...
- ... oh oui... je suis ... une salope...

Wahid était aux anges, il savourait sa vengeance, Axel était totalement à sa merci, et il prenait un pied d’enfer.
Il bandait comme un taureau, et, dans quelques instants, c’est sa bite qui allait prendre possession de ce trou offert.
Juste avant, il fit bien gueuler le petit blond en lui rentrant toute sa main, comme s’il allait le fister, ce qu’il avait jamais fait, et qu’on ne lui avait jamais fait.
Mais tous les deux sentaient le plaisir que l’on pouvait tirer de cette pratique. En se faisant fister. Comme en fistant.

Il était temps de remplacer la main par la bite, Axel commençait à demander grâce, et Wahid avait trop envie.
D’un coup sec, il l’encula, et le pénétra jusqu’à la garde.
Une fois bien au fond, il savoura l’instant. Il n’était pas pressé, au contraire. Il y était. Et savourait sa revanche. Axel ne penserait plus désormais qu’il était une salope. Pas que ça en tout cas, se dit-il en souriant intérieurement.
Il prit le temps, en tout cas, de bien le baiser.
En cet instant, il était difficile d’imaginer que l’enculeur pouvait être passif, et que l’enculé pouvait être actif.

Wahid intensifia ses mouvements de va-et-vient. Dans des moments d’une telle excitation, sa bite était bien épaisse, et Axel la sentait bien. Il parvint toutefois à reprendre la fellation interrompue sur Vincent, qui était toujours allongé et qui ne cessait de lui caresser sa chevelure soyeuse.
Wahid lui, était bien dressé à la verticale derrière Axel qui, lui, était à l’horizontale, et il le pénétrait de toutes ses forces.
A un moment, cela devint si intense qu’Axel ne put poursuivre sa sucée, et il retira sa bouche de la queue de Vincent. Wahid le pilonna encore plus, ce qui faisait gémir, et même gueuler le jeune blond qui, sous les assauts, vint enfouir sa tête entre les jambes de Vincent.
Cela ne dura pas car celui-ci vint empoigner sa tête et la positionner sur sa bite, qu’il prit à nouveau en bouche.

Les mouvements de Vincent étaient à présent bien réguliers, et cette vitesse de croisière permit aussi à Axel de souffler et de se concentrer davantage sur la pipe qu’il taillait à Vincent.
Les mains appuyés de part et d’autre du dos d’Axel, Wahid continuait à le chevaucher, et sentait la sauce monter.
Il l’empoigna de la main gauche au niveau de son épaule, et lui porta le coup de grâce. Le bouquet final.

L’assaut fut tel qu’une fois de plus de plus Axel dut lâcher la bite de Vincent, et se mit à gueuler de façon continue pendant un bon moment.
C’est à ce moment-là que Wahid cracha la purée dans un cri rauque. Sa bite restée en lui se mit comme à bouger toute seule, Wahid était emmené comme jamais dans la jouissance, son corps fut parcouru de soubresauts, et il s’affala sur le corps d’Axel qui suçait Vincent de plus belle, jusqu’à ce qu’il crache et qu’il avale la semence.
Le pied intégral, total. Wahid avait eu ce qu’il voulait. Axel s’était bien fait défoncer et avait eu ce qu’il aimait. Vincent aussi, même s’il n’avait pas enculé Axel, avait bien pris son pied.

Curieusement, Axel avait totalement débandé, et n’éprouva pas le besoin de se branler pour jouir.
Il vint s’allonger entre les deux actifs qui lui avaient donné bien du plaisir.
Ces deux-là, rassasiés - momentanément - se calèrent au fond du lit. Vincent se releva, et appuya tout le haut de son corps contre le mur, Axel s’allongea sur le dos, à la perpendiculaire de Vincent, et vint caler sa tête contre son bas-ventre. Wahid vint s’appuyer contre le mur et posa la sienne sur l’épaule de Vincent.

Les trois hommes passèrent un bon moment, ainsi, sans rien dire. A reprendre leur souffle d’abord. A se regarder. A se sourire. Et à savourer cet instant de silence et de plénitude.