a Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 699)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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a Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 699)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°695) –
Pour Olivier cette attente parue interminable et son sexe encagé lui faisait mal rien qu’à l’idée de se retrouver face à Monsieur le Marquis, ça lui provoquait des débuts d’érections stoppés par les solides parois de la cage. L’image du Maître revenait dans sa tête, sans cesse à chaque instant. En effet, cette image devenait véritablement obsessionnelle, car hier en un instant, le Maître l’avait rabroué, rabaissé, amené au rang de chien soumis et Olivier avait pris un incroyable plaisir à cela... Au bout d’un long moment, Walter vint le chercher :
- Allez, espèce de chien, suis-moi, Monsieur le Marquis va te recevoir… Rappelle-toi Ses consignes d’obéissance totale : tu ne parles pas s’il ne t’autorise pas à parler et tu gardes la tête baissée .
Walter poussa Olivier vers une haute porte en bois vernis et sculptée de moulures et à double battant. Cette belle porte amenait directement dans le luxueux bureau de Monsieur le Marquis d’Evans. Celui-ci l’attendait, assis confortablement dans un fauteuil tout en cuir épais, derrière son bureau et dégustant un verre de cristal, un cognac de grande marque. Walter frappa avant d’entrer et la voix du Maître retentit :
- Entrez ! (La porte s’ouvrit et Walter s’avança)
- Monsieur le Marquis, je vous amène cette lopette laquelle vous m’avez envoyé chercher. Ce chien a passé avec succès les examens de ce matin. Si vous l’aviez vu se goder, il en redemandait, il a un vrai potentiel à la soumission, mais comme en toute chose, Vous êtes le Seul et Unique Juge !
- Bien, nous allons voir tout cela, tu peux le faire entrer et nous laisser, merci mon cher Walter !
Walter salua respectueusement son patron et poussa Olivier et lui dit sur un ton sec :
- Avance ! Et à genoux, devant Monsieur le Marquis
Olivier s’exécuta, il se mit à genoux. Walter lui donna une tape sur la tête :
- Tête baissée, le chien ! (Olivier baissa la tête) … Voilà Monsieur le Marquis, il est à Votre disposition, je vous le laisse…
La porte se referma derrière lui. Olivier à genoux tête baissée et encagé attendait en silence. Monsieur le Marquis pris son temps et le verre de cognac à la main, il jaugeait le soumis agenouillé de son regard puissant. En effet Ses yeux Dominant d’un bleu parfait se posait fixement sur Olivier dans un silence total. Il savait que ces moments de silence conditionnait parfaitement le soumis car le Noble était passé Maître du temps et dans un instant, il serait le Maître de ce soumis. Bref Son expérience lui avait procuré une maîtrise parfaite de ce genre de situation… Olivier à genoux, tête baissée attendait en silence, mais son cœur battait la chamade, il était très impressionné et se sentait bien petit devant le fameux Dominant. Le Maître fit retentir sa voix forte et paradoxalement calme, dans une articulation des mots parfaite, telle une force tranquille :
- Bonjour le chien. Te voilà dans une attitude que tu devras adopter en Ma Noble Présence. J’exige une obéissance totale, la plus absolue. De cette obéissance, tu trouveras satisfaction, plénitude et équilibre … (Il se leva) … Aujourd'hui, tu vas m’appartenir physiquement. Je vais te prendre et tu vas recevoir Ma semence, si je daigne te l’accorder. Et si tel est le cas, il te faudra mesurer le privilège que tu auras de la recueillir. Au plus profond de tes entrailles, tu vas aussi m’accueillir… Approche, le chien !
Il savait que le soumis était prêt et se leva. Il s’approcha d’Olivier et sa puissante voix retentit de nouveau :
- D’abord, je vais te montrer ce que j’attends de toi. Tu voix cette baguette, elle me sert à corriger les soumis rétifs. Ce que j’exige c'est une totale obéissance, comme je te l’ai déjà dit. Et si je corrige, c’est toujours à bon escient, si j’ordonne le silence lors de la correction, j’attends le respect de cette consigne. As-tu compris ? Tu peux parler, je t’y autorise …
Olivier obéissant, en retenant un souffle d’appréhension mélangé à un formidable bonheur de se trouver aux pieds du Maître, dit simplement.
- Oui
- Oui qui ?
- Oui Maître
Mais ces deux mots avaient un sens puissant, ils le mettaient à sa vraie place, celle d’un soumis attendant les ordres.
- Bien, dis-le Marquis d’Evans, je vois que tu commences à intégrer ce que sera ta condition… Mais je vais te corriger, car tu dois dire ‘’Oui Maître’’ sans que je te dise ‘’Oui qui ?’’ Tu dois le dire naturellement sans réfléchir. Tu vas donc recevoir dix coups de cette baguette, tu dois un, ne pas crier, deux, rester stoïquement immobile et trois, si ton fessier s’abaisse, tu dois relever les fesses dans la position initiale. Maintenant en position, fesses relevées, tête baissée, face au sol, montre-moi que tu es une bonne petite lope bien obéissante …
Le Maître porta le premier coup … Le Marquis avait visé les fesses du soumis d’un coup sans concession. Olivier sentit la brûlure, surpris il ne put s’empêcher d’émettre un cri. Et en même temps sa nouille gonflait à son maximum qu’elle pouvait grossir dans sa cage de chasteté …
- Pour chaque coup où je t’entends, tu recevras un coup de plus. Tu as compris espèce de chien gueulard ?
- Ou …oui Maître
- Très bien, nous allons voir. En position …
Olivier cambra les fesses et serra les poings pour mieux se préparer. Le deuxième coup partit et Olivier stoïque ne dit rien cette fois, mais son sexe lui faisait mal car il était emprisonné et ne demandait qu’à se déployer à la verticale…
- Très bien, tu comprends vite. Maintenant je vais continuer, tu ne bouges pas aussi et desserres les poings mains au sol, bien à plat. Tu dois subir car le Maître sait ce qui est bien … Allez reprenons, le chien …
Le Maître reprit chaque coup laissait une fine zébrure … Et à chaque zébrure, il était satisfait. Il ponctuait chaque coup par un intervalle régulier de quelques secondes. Olivier serra les dents mais respecta à la lettre les directives de Monsieur le Marquis. Et il en prit plaisir malgré la douleur, un plaisir à la fois mental et physique … Le Maître regarda le soumis et il savait par expérience que malgré la douleur, il avait dû matérialiser son plaisir. Il allait le constater de visu :
- Chien, lève-toi, maintenant
Olivier s’exécuta et en se levant remarqua qu’un fil de liquide séminale s’échappait de son sexe, au travers de la cage. A la vue de ce filet Monsieur le Marquis sourit
- Chien, regarde comme tu mouilles, tu es une vraie traînée et comme toute bonne traînée, tu vas t’occuper de Moi … Viens montre-moi un peu, comment tu suces … Viens aux pieds du Maître …
Olivier se mit à genoux et il s’approcha délicatement du sexe de Monsieur le Marquis. Celui-ci prit les devants
- Ouvre la bouche, la traînée, la putain, je vais te la besogner
Monsieur le Marquis sortit son sexe déjà fort bien excité et Olivier bouche grande ouverte attendait. Quand le gland s’empara de la bouche, Monsieur le Marquis attrapa la tête du soumis et imposa son rythme. Le Maître appréciait de voir son sexe disparaître complètement, lentement dans la cavité buccale du soumis … Olivier s’appliqua à prendre la totalité du membre du Noble et il sentait le gland taper au fond de sa gorge. Monsieur le Marquis prenait plaisir à investir cette bouche offerte par un va et vient lent mais méthodique. Il imposait que son sexe disparaisse entièrement et qu’Olivier avale en profondeur. Au bout d’un long moment à baiser cette bouche de putain, le Maître sortit son sexe …
- Ouvre la bouche, salope, je vais gicler sur ta langue de putain et tu vas profiter de Ma semence, c‘est un grand honneur que je te fais…
Olivier obéit et c’est ainsi qu’il sentit le jus épais et chaud du Maître se répandre par saccades …
- Avale et nettoie-moi bien le gland, espèce de salope…
Olivier avala le plus gros du flot de sperme puis avec sa langue, il lécha le gland à la recherche de la dernière goutte afin de satisfaire Monsieur le Marquis d Evans …
- Tu as fait ce que je t’ai ordonné et je vois que tu aimes faire la pute. Ton séjour permettra de faire bien plus. Walter sera un auxiliaire important en tout point et tu dois lui obéir, comme à Marie, c’est compris ?
Olivier répondit par l’affirmative terminant sa phrase par le mot ‘’Maître’’, la punition avait donc porté ses fruits et le soumis n’omettait plus désormais ce merveilleux mot. Monsieur le Marquis en était satisfait et il annonça la suite du programme
- As-tu le courrier qui m’ait destiné ?
- Oui Maître
- Bien je veux que ce soir tu l’emmènes tu m’en feras la lecture à haute voix. Pendant cette lecture, tu devras subir Mes assauts car j’ai investi ta bouche et ce soir c’est ton deuxième trou qui sera à moi. As-tu compris ?
- Oui Maître
- Tu peux maintenant t’en aller. Je vais appeler Marie, elle va s’occuper de toi …
Marie arriva de la cuisine rapidement et elle imposa au soumis de se mettre à quatre pattes.
- Allez vient, j’ai du travail pour toi en cuisine, tu vas aller préparer le repas de Monsieur le Marquis d Evans et ce soir tu le serviras aussi
Olivier suivit donc la Cuisinière docilement en quadrupédie, Marie tenant devant lui la laisse… Après avoir traversé quelques couloirs, il se trouva en cuisine. Mais à aucun moment, il ne toucha au met destiné au Maître. Nu comme un vers, il resta à quatre pattes, immobile, la tête baissée. Autour de lui, s’affairaient quelques domestiques et ceux-ci se moquaient de lui …
- Tiens regarde, ce chien ! Monsieur le Marquis est en train de le dresser, je crois qu’il nous sera donné dans quelques jours et je me réjouis à l’avance de lui défoncer la rondelle …
Olivier écoutait sans broncher et comprit que son séjour au Château allait lui réserver pas mal de surprises… En fin de journée, il allait lire au Maître le courrier, il n’en connaissait pas le contenu. Monsieur le Marquis avait l’habitude de dîner vers 20 heures dans l’Ancestrale Grande Salle à manger. Marie lui avait expliqué que cette salle à manger avait accueilli Le fameux Marquis de Sade en 1784-1785 (lire les Origines de la Saga) et également le Roi Louis XVI lors de son passage-étape sur une journée en 1788. C’est dire si cette Salle à manger était importante et Olivier avait conscience qu’il serait très ému de s’y trouver.
Ce soir, le Noble aurait donc un nouveau chien soumis. Le Maître voulait, à la fin du repas, le besogné avec vigueur par une profonde sodomie et donc Olivier serait à Sa disposition. Il était prévu que celui-ci lui fasse lecture du courrier qui lui était destiné. Olivier ému par le lieu historique, assista au repas de Monsieur le Marquis à quatre pattes, jambes écartées, tête baissée, cul bien exposé. Le courrier était posé sur la table devant Le Maître qui prenait son temps. Quand le moment arriva, le Noble ordonna au soumis de se lever et de prendre la lettre …
- Tu prends ce courrier et tu vas le lire à haute voix, en levrette, coudes en appuis sur le sol afin que tu puisses lire. Pendant cette lecture, tu vas m’offrir ton deuxième trou. Pendant que je vais forcer le passage de ton cul de pute, je veux que tu continues à lire comme si de rien n’était… Allez, en levrette et commence la lecture …
Monsieur le Marquis s’approcha derrière le soumis et sortit son sexe. Olivier commença la lecture :
‘’Mon cher Marquis, Je vous adresse ce jeune soumis. Connaissant votre savoir-faire je sais que vous allez en faire un bon chien docile ouvert et soumis à nos besoins de Dominants parmi notre Cercle Lyonnais, oui c’est vraiment, j’en suis certain, une bonne chienne ouverte … ‘’
A ce mot le Maitre inséra son sexe entre les fesses d’Olivier et il ordonna :
- Écarte mieux les genoux et ouvre-toi, la lope, je vais t’enculer d’un coup et n’interrompe pas la lecture
Olivier écarta au mieux les genoux afin de faciliter la pénétration du Noble et continua aussi la lecture :
‘’ … Je connais votre méthode et je sais que la personne que je vous envoie deviendra à votre contact une bonne lope bonne à enculer pour nos tous …’’
A ces mots, le Maître pénétra d’une longue poussée Olivier qui sentit le Maître investir ses entrailles, mais il devait continuer la lecture :
‘’ … car c’est une lope innée et disponible et surtout vous en ferez une bonne chienne en chaleur en permanence grâce à votre savoir-faire…’’
Monsieur le Marquis commença le va et vient sortant son long membre avant de l’enfoncer de nouveau dans le fourreau anal. Olivier sentait toute la longueur le posséder, mais il resta concentré sur le courrier malgré les coups de reins qui commençaient à lui limer le cul profondément…
(À suivre…)
Pour Olivier cette attente parue interminable et son sexe encagé lui faisait mal rien qu’à l’idée de se retrouver face à Monsieur le Marquis, ça lui provoquait des débuts d’érections stoppés par les solides parois de la cage. L’image du Maître revenait dans sa tête, sans cesse à chaque instant. En effet, cette image devenait véritablement obsessionnelle, car hier en un instant, le Maître l’avait rabroué, rabaissé, amené au rang de chien soumis et Olivier avait pris un incroyable plaisir à cela... Au bout d’un long moment, Walter vint le chercher :
- Allez, espèce de chien, suis-moi, Monsieur le Marquis va te recevoir… Rappelle-toi Ses consignes d’obéissance totale : tu ne parles pas s’il ne t’autorise pas à parler et tu gardes la tête baissée .
Walter poussa Olivier vers une haute porte en bois vernis et sculptée de moulures et à double battant. Cette belle porte amenait directement dans le luxueux bureau de Monsieur le Marquis d’Evans. Celui-ci l’attendait, assis confortablement dans un fauteuil tout en cuir épais, derrière son bureau et dégustant un verre de cristal, un cognac de grande marque. Walter frappa avant d’entrer et la voix du Maître retentit :
- Entrez ! (La porte s’ouvrit et Walter s’avança)
- Monsieur le Marquis, je vous amène cette lopette laquelle vous m’avez envoyé chercher. Ce chien a passé avec succès les examens de ce matin. Si vous l’aviez vu se goder, il en redemandait, il a un vrai potentiel à la soumission, mais comme en toute chose, Vous êtes le Seul et Unique Juge !
- Bien, nous allons voir tout cela, tu peux le faire entrer et nous laisser, merci mon cher Walter !
Walter salua respectueusement son patron et poussa Olivier et lui dit sur un ton sec :
- Avance ! Et à genoux, devant Monsieur le Marquis
Olivier s’exécuta, il se mit à genoux. Walter lui donna une tape sur la tête :
- Tête baissée, le chien ! (Olivier baissa la tête) … Voilà Monsieur le Marquis, il est à Votre disposition, je vous le laisse…
La porte se referma derrière lui. Olivier à genoux tête baissée et encagé attendait en silence. Monsieur le Marquis pris son temps et le verre de cognac à la main, il jaugeait le soumis agenouillé de son regard puissant. En effet Ses yeux Dominant d’un bleu parfait se posait fixement sur Olivier dans un silence total. Il savait que ces moments de silence conditionnait parfaitement le soumis car le Noble était passé Maître du temps et dans un instant, il serait le Maître de ce soumis. Bref Son expérience lui avait procuré une maîtrise parfaite de ce genre de situation… Olivier à genoux, tête baissée attendait en silence, mais son cœur battait la chamade, il était très impressionné et se sentait bien petit devant le fameux Dominant. Le Maître fit retentir sa voix forte et paradoxalement calme, dans une articulation des mots parfaite, telle une force tranquille :
- Bonjour le chien. Te voilà dans une attitude que tu devras adopter en Ma Noble Présence. J’exige une obéissance totale, la plus absolue. De cette obéissance, tu trouveras satisfaction, plénitude et équilibre … (Il se leva) … Aujourd'hui, tu vas m’appartenir physiquement. Je vais te prendre et tu vas recevoir Ma semence, si je daigne te l’accorder. Et si tel est le cas, il te faudra mesurer le privilège que tu auras de la recueillir. Au plus profond de tes entrailles, tu vas aussi m’accueillir… Approche, le chien !
Il savait que le soumis était prêt et se leva. Il s’approcha d’Olivier et sa puissante voix retentit de nouveau :
- D’abord, je vais te montrer ce que j’attends de toi. Tu voix cette baguette, elle me sert à corriger les soumis rétifs. Ce que j’exige c'est une totale obéissance, comme je te l’ai déjà dit. Et si je corrige, c’est toujours à bon escient, si j’ordonne le silence lors de la correction, j’attends le respect de cette consigne. As-tu compris ? Tu peux parler, je t’y autorise …
Olivier obéissant, en retenant un souffle d’appréhension mélangé à un formidable bonheur de se trouver aux pieds du Maître, dit simplement.
- Oui
- Oui qui ?
- Oui Maître
Mais ces deux mots avaient un sens puissant, ils le mettaient à sa vraie place, celle d’un soumis attendant les ordres.
- Bien, dis-le Marquis d’Evans, je vois que tu commences à intégrer ce que sera ta condition… Mais je vais te corriger, car tu dois dire ‘’Oui Maître’’ sans que je te dise ‘’Oui qui ?’’ Tu dois le dire naturellement sans réfléchir. Tu vas donc recevoir dix coups de cette baguette, tu dois un, ne pas crier, deux, rester stoïquement immobile et trois, si ton fessier s’abaisse, tu dois relever les fesses dans la position initiale. Maintenant en position, fesses relevées, tête baissée, face au sol, montre-moi que tu es une bonne petite lope bien obéissante …
Le Maître porta le premier coup … Le Marquis avait visé les fesses du soumis d’un coup sans concession. Olivier sentit la brûlure, surpris il ne put s’empêcher d’émettre un cri. Et en même temps sa nouille gonflait à son maximum qu’elle pouvait grossir dans sa cage de chasteté …
- Pour chaque coup où je t’entends, tu recevras un coup de plus. Tu as compris espèce de chien gueulard ?
- Ou …oui Maître
- Très bien, nous allons voir. En position …
Olivier cambra les fesses et serra les poings pour mieux se préparer. Le deuxième coup partit et Olivier stoïque ne dit rien cette fois, mais son sexe lui faisait mal car il était emprisonné et ne demandait qu’à se déployer à la verticale…
- Très bien, tu comprends vite. Maintenant je vais continuer, tu ne bouges pas aussi et desserres les poings mains au sol, bien à plat. Tu dois subir car le Maître sait ce qui est bien … Allez reprenons, le chien …
Le Maître reprit chaque coup laissait une fine zébrure … Et à chaque zébrure, il était satisfait. Il ponctuait chaque coup par un intervalle régulier de quelques secondes. Olivier serra les dents mais respecta à la lettre les directives de Monsieur le Marquis. Et il en prit plaisir malgré la douleur, un plaisir à la fois mental et physique … Le Maître regarda le soumis et il savait par expérience que malgré la douleur, il avait dû matérialiser son plaisir. Il allait le constater de visu :
- Chien, lève-toi, maintenant
Olivier s’exécuta et en se levant remarqua qu’un fil de liquide séminale s’échappait de son sexe, au travers de la cage. A la vue de ce filet Monsieur le Marquis sourit
- Chien, regarde comme tu mouilles, tu es une vraie traînée et comme toute bonne traînée, tu vas t’occuper de Moi … Viens montre-moi un peu, comment tu suces … Viens aux pieds du Maître …
Olivier se mit à genoux et il s’approcha délicatement du sexe de Monsieur le Marquis. Celui-ci prit les devants
- Ouvre la bouche, la traînée, la putain, je vais te la besogner
Monsieur le Marquis sortit son sexe déjà fort bien excité et Olivier bouche grande ouverte attendait. Quand le gland s’empara de la bouche, Monsieur le Marquis attrapa la tête du soumis et imposa son rythme. Le Maître appréciait de voir son sexe disparaître complètement, lentement dans la cavité buccale du soumis … Olivier s’appliqua à prendre la totalité du membre du Noble et il sentait le gland taper au fond de sa gorge. Monsieur le Marquis prenait plaisir à investir cette bouche offerte par un va et vient lent mais méthodique. Il imposait que son sexe disparaisse entièrement et qu’Olivier avale en profondeur. Au bout d’un long moment à baiser cette bouche de putain, le Maître sortit son sexe …
- Ouvre la bouche, salope, je vais gicler sur ta langue de putain et tu vas profiter de Ma semence, c‘est un grand honneur que je te fais…
Olivier obéit et c’est ainsi qu’il sentit le jus épais et chaud du Maître se répandre par saccades …
- Avale et nettoie-moi bien le gland, espèce de salope…
Olivier avala le plus gros du flot de sperme puis avec sa langue, il lécha le gland à la recherche de la dernière goutte afin de satisfaire Monsieur le Marquis d Evans …
- Tu as fait ce que je t’ai ordonné et je vois que tu aimes faire la pute. Ton séjour permettra de faire bien plus. Walter sera un auxiliaire important en tout point et tu dois lui obéir, comme à Marie, c’est compris ?
Olivier répondit par l’affirmative terminant sa phrase par le mot ‘’Maître’’, la punition avait donc porté ses fruits et le soumis n’omettait plus désormais ce merveilleux mot. Monsieur le Marquis en était satisfait et il annonça la suite du programme
- As-tu le courrier qui m’ait destiné ?
- Oui Maître
- Bien je veux que ce soir tu l’emmènes tu m’en feras la lecture à haute voix. Pendant cette lecture, tu devras subir Mes assauts car j’ai investi ta bouche et ce soir c’est ton deuxième trou qui sera à moi. As-tu compris ?
- Oui Maître
- Tu peux maintenant t’en aller. Je vais appeler Marie, elle va s’occuper de toi …
Marie arriva de la cuisine rapidement et elle imposa au soumis de se mettre à quatre pattes.
- Allez vient, j’ai du travail pour toi en cuisine, tu vas aller préparer le repas de Monsieur le Marquis d Evans et ce soir tu le serviras aussi
Olivier suivit donc la Cuisinière docilement en quadrupédie, Marie tenant devant lui la laisse… Après avoir traversé quelques couloirs, il se trouva en cuisine. Mais à aucun moment, il ne toucha au met destiné au Maître. Nu comme un vers, il resta à quatre pattes, immobile, la tête baissée. Autour de lui, s’affairaient quelques domestiques et ceux-ci se moquaient de lui …
- Tiens regarde, ce chien ! Monsieur le Marquis est en train de le dresser, je crois qu’il nous sera donné dans quelques jours et je me réjouis à l’avance de lui défoncer la rondelle …
Olivier écoutait sans broncher et comprit que son séjour au Château allait lui réserver pas mal de surprises… En fin de journée, il allait lire au Maître le courrier, il n’en connaissait pas le contenu. Monsieur le Marquis avait l’habitude de dîner vers 20 heures dans l’Ancestrale Grande Salle à manger. Marie lui avait expliqué que cette salle à manger avait accueilli Le fameux Marquis de Sade en 1784-1785 (lire les Origines de la Saga) et également le Roi Louis XVI lors de son passage-étape sur une journée en 1788. C’est dire si cette Salle à manger était importante et Olivier avait conscience qu’il serait très ému de s’y trouver.
Ce soir, le Noble aurait donc un nouveau chien soumis. Le Maître voulait, à la fin du repas, le besogné avec vigueur par une profonde sodomie et donc Olivier serait à Sa disposition. Il était prévu que celui-ci lui fasse lecture du courrier qui lui était destiné. Olivier ému par le lieu historique, assista au repas de Monsieur le Marquis à quatre pattes, jambes écartées, tête baissée, cul bien exposé. Le courrier était posé sur la table devant Le Maître qui prenait son temps. Quand le moment arriva, le Noble ordonna au soumis de se lever et de prendre la lettre …
- Tu prends ce courrier et tu vas le lire à haute voix, en levrette, coudes en appuis sur le sol afin que tu puisses lire. Pendant cette lecture, tu vas m’offrir ton deuxième trou. Pendant que je vais forcer le passage de ton cul de pute, je veux que tu continues à lire comme si de rien n’était… Allez, en levrette et commence la lecture …
Monsieur le Marquis s’approcha derrière le soumis et sortit son sexe. Olivier commença la lecture :
‘’Mon cher Marquis, Je vous adresse ce jeune soumis. Connaissant votre savoir-faire je sais que vous allez en faire un bon chien docile ouvert et soumis à nos besoins de Dominants parmi notre Cercle Lyonnais, oui c’est vraiment, j’en suis certain, une bonne chienne ouverte … ‘’
A ce mot le Maitre inséra son sexe entre les fesses d’Olivier et il ordonna :
- Écarte mieux les genoux et ouvre-toi, la lope, je vais t’enculer d’un coup et n’interrompe pas la lecture
Olivier écarta au mieux les genoux afin de faciliter la pénétration du Noble et continua aussi la lecture :
‘’ … Je connais votre méthode et je sais que la personne que je vous envoie deviendra à votre contact une bonne lope bonne à enculer pour nos tous …’’
A ces mots, le Maître pénétra d’une longue poussée Olivier qui sentit le Maître investir ses entrailles, mais il devait continuer la lecture :
‘’ … car c’est une lope innée et disponible et surtout vous en ferez une bonne chienne en chaleur en permanence grâce à votre savoir-faire…’’
Monsieur le Marquis commença le va et vient sortant son long membre avant de l’enfoncer de nouveau dans le fourreau anal. Olivier sentait toute la longueur le posséder, mais il resta concentré sur le courrier malgré les coups de reins qui commençaient à lui limer le cul profondément…
(À suivre…)
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