Abaissé au rang d’esclave
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Abaissé au rang d’esclave
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°665) - Abaissé au rang d’esclave -
Tout juste après ce test copulatoire avec Estelle et imposé par le Maître, Endymion MDE avait pu se restaurer rapidement puis avait été enfermé dans un petit réduit sombre et étroit, dans lequel on ne pouvait se tenir complètement debout. Il allait y passer la nuit. Il s’était endormi sans peine, mort de fatigue quasiment brutalement, juste une couverture posée sur sa peau nue. Il avait été surpris que ni Monsieur le Marquis, ni Madame la Cuisinière ne lui aient posé une cage de chasteté. Cela faisait des mois qu’il n’avait pas dormit, la queue à l’air libre ! Etrange sensation, comme si cette liberté retrouvée le dérangeait…
Le jour n’était pas levé, et le soumis MDE dormait profondément encore lorsqu’il fut saisi par son collier. Il ouvrit les yeux pour entrapercevoir une ombre près de Lui. Une lampe torche l’éblouissait.
- En levrette, chien !
Evidemment, il reconnut la voix du Maître, tenu courbé près de lui. Le soumis MDE s’était exécuté et sitôt dans la posture adéquate, la main de Monsieur le Marquis lui avait saisi les couilles, les lui tirant et comprimant sans ménagement.
- Tu bandes salope ! Constatait le Maître
Endymion MDE se laissait tripoter la nouille et les burnes en geignant et en se trémoussant. La douloureuse pression exercée sur ces parties intimes le faisait terriblement souffrir, mais paradoxalement, sa bandaison devenait plus ferme encore.
- Regarde-moi chien, mets-toi à genoux devant moi !
La Noble main de Monsieur le Marquis lui triturait plus encore les couilles, le souffle coupé, Endymion se redressait difficilement. Son regard croisa l’entrejambe du Maître toujours courbé en deux, tant le local était exigu. Son caleçon était déformé par une bosse conséquente.
- Tu as vu ma queue, petite chienne… Tu m’excites salope !
Quel merveilleux compliment… lui soumis MDE excitait le Maître et le faisait s’ériger. Que pouvait-il espérer de mieux ! Son plaisir était devenu la première et principale préoccupation de l’esclave MDE, c’était fou d’ailleurs ce besoin de contenter à tout prix le Maître et de lui permettre d’assouvir Ses désirs, de se pencher sans cesse sur son bien-être et confort et de se sentir désiré. Malgré la pénombre, Endymion MDE ne pouvait faire qu’un simple constat : Monsieur le Marquis était effectivement, terriblement en érection. Son membre dur et ferme orienté vers la gauche et ses testicules gonflées, se dessinaient sous ce sous-vêtement tendu. Pour mieux encore afficher son excitation le Maître avait posé ses mains de part et d’autre, sur ce caleçon pour faire tendre le tissu.
- Renifle-moi, et estime-toi heureux de pouvoir le faire, Ma pute ! D’ailleurs, sais-tu ce que c’est que d’être Ma pute ? interrogeait Monsieur le Marquis.
Le soumis MDE avait bien quelques idées sur la question, bien souvent le Maitre lui avait affublé ce qualificatif, il le baisait et le faisait baiser comme une vraie putain.
- Non tu ne le sais pas… pas encore… mais tu ne vas pas tarder à le savoir. Tends-moi ton cul de pute, mets-toi en levrette !
L’espace était tellement réduit qu’Endymion MDE eut bien du mal à se tenir dans la plus parfaite position. Mais la préoccupation du Maître n’était point là. Il avait ôté son caleçon et déjà son gland turgescent pointait sur l’anus de Son chien soumis. Il le pénétra d’un trait et l’encula profondément sans douceur, ni fioriture, sans tenir compte de ses plaintes, ni de ses maux causés par une sodomie brutale et sans préambule. Il le sodomisait, point final ! Le cul d’Endymion MDE n’était pourtant pas prêt à se faire bourrer ainsi, car son anus bien dilaté la veille, s’était refermé durant la nuit et de recevoir une telle bite épaisse, drue et ferme en lui, qui le limait profondément, sans qu’aucune préparation préalable ne lui ait été prodiguée. Il ressentit cette pénétration comme un abus sur son corps, sans que pour autant, il puisse en faire le moindre grief au Maître, au contraire même, il lui en était très reconnaissant, l’idée d’être utilisé comme un simple objet l’excitait, et puis se disait-il en lui-même avec bonheur, à chaque vas et viens profonds : « Ce cul, cette bouche sont la pleine propriété du Maître, j’en ai fait don ».
Ces intimes réflexions taraudaient le chien soumis, il bandait même, fermement, outrageusement… l’esclave MDE comprit bien vite que les assauts répétés du Maitre, sa sauvage Domination et sodomie, sa volonté bestiale n’avaient qu’un seul but : lui faire découvrir ce qu’il était vraiment, ce pourquoi il était fait, pour qui il le faisait. Le Maître voulait le voir grandir encore dans sa soumission, un total et complet asservissement. Endymion MDE lâchait prise, prenait conscience d’une réalité, il affichait une généreuse image d’un vrai esclave sexuel, sous des coups de butoirs massifs, totalement dépossédé de son être tout entier. Il constatait encore que ce n’était plus une contrainte pour lui, de s’abandonner, de donner la totale maitrise de son esprit, de son corps à celui qu’il reconnaissait comme un Grand et Vénéré Maître. Il se laissait guider et instruire par celui qui l’avait apprivoisé et captivé. Être réduit à la captivité, à l’obéissance, à la perte de ses repères, le conduisait vers l’apaisement, la sérénité d’esprit, la quiétude de son corps, en se conformant à l’autorité, en acceptant sans aucune retenue sa condition. Le collier, les chaines le délivraient et lui permettaient de se détacher de son propre regard, pour se pencher exclusivement sur le bien-être de celui qui lui permettait d’être enfin ce qu’il était profondément, celui qui le révélait à ce qu’il était : un soumis asservi, un soumis-jouet sexuel, un esclave utilisable à la volonté du Maître. Alors pour le remercier de l’avoir éclairer et guider sur le chemin d’une vie meilleure, son devoir était de le servir en toute humilité, de se conformer strictement à ses désirs, plaisirs et volontés.
Toujours Sa Noble queue enfouie au plus profond des entrailles de son chien soumis, le Maitre tirait sur sa chevelure pour lui relever la tête, pour qu’il cambre plus encore ses reins, qu’il ouvre bien son cul et se laisse pilonner selon Ses suprêmes envies et volontés. Surpris, Endymion MDE l’était, jamais le Maître n’avait été ainsi, ne s’était comporté d’une telle manière avec lui, avec autant de bestialité, de vigueur, de virilité… Par Ses pulsions, Son excitation, Son regard, Ses mots méprisants, par Sa Domination sauvage et brutale, par Ses ruades et Ses crachats sur la gueule de Son soumis MDE, il affirmait Sa prégnance, Son autorité, Son ascendance. Avec audace, le Maître faisait admettre à son esclave MDE ce que viscéralement et génétiquement il était bel bien ! Une vraie catin, une vrai putain, sans retour ni compromis possible ! Endymion MDE se donnait, telle une vraie pute, la pute MDE, une vraie salope se donnant volontairement et librement, acceptant tout de Monsieur le Marquis, dans la pire dépravation et l’asservissement le plus total… Il affichait sa volonté d’appartenir, son bonheur et son ressenti d’être né pour être asservi ! Il était là, trainé dans la fange, dans l’ignominie, l’infamie, et déshonneur et la plus parfaite déchéance, avec une queue lui ramonant toujours le cul. Dieu qu’il aimait ça ! Il était fait pour ça. Après la forte douleur des premiers vas et viens, et une fois l’anus forcé à se dilaté pour laisser glisser le mandrin de chair, l’esclave MDE commençait enfin physiquement à trouver le plaisir corporel de l’enculade autant que le plaisir mental, qui quant à lui, était déjà bien en place dans son esprit depuis le début de l’assaut de la sodomie
Sa nouille de chien soumis le titillait, il aurait aimé la prendre dans sa main et se masturber avec vigueur et énergie, mais le Maître ne lui laissa pas l’opportunité de le faire. A cet instant précis, il se dégagea de son trou, l’obligea à sortir du cagibi et se coucher sur le dos et de relever les jambes sur sa poitrine, d’écarter les cuisses et d’offrir encore son anus. Il fut de nouveau sailli, longuement, sauvagement, pendant plus d’une demi-heure, Il était à 90 degrés en équerre, dos au sol, jambes à la verticale et pieds posés toujours sur les épaules de Monsieur le Marquis jusqu’au moment où celui-ci libéra son excitation en arrosant copieusement et généreusement son antre tout en poussant des râles comme ceux d’une longue agonie… Il resta encore longuement encastré dans son chien soumis, malgré sa jouissance, son chibre gardait un calibre impressionnant. Il le toisait d’un air vicieux et pervers…
- Suce-moi maintenant, Ma pute !
La fellation dura encore longtemps, très longuement, parfois le Maître, tout en se faisant sucer, fouillait le cul d’Endymion avec ses doigts, puis au bout d’un certain temps, lui planta profondément un gode dans le fion !
- J’ai mal Maître !
- Suce et tais-toi… un esclave obéit simplement, sans se plaindre ! Telle fut la simple réponse du Maître…
Alors l’esclave MDE oublia ses tourments et suçait ce pieu vibrant sous sa langue, tout en le masturbant et branlant généreusement selon Ses ordres. Il honorait le Maître d’une suave application buccale, celui-ci bandait de nouveau, dur comme fer… Mais il se retira subitement de cette bouche en soulevant le menton d’Endymion MDE !
- Regarde-moi, chien j’ai à te parler !
Timidement, le soumis MDE leva les yeux et croisa le regard déterminé du Maître. D’un ton très sérieux il s’adressa à lui :
- As-tu bien compris qui tu es, ce que tu es, pour qui tu es ?
- Je suis un chien, Votre chien soumis Maître !
- Pas seulement ?
- Je suis aussi Votre pute, Vénéré Maître,- Oui mais encore ?
- Heu…, votre soumis Maître ?
- N’as-tu pas ressenti ces profondes enculades comme brutales et bestiales ?
- Si Maître.
- N’as-tu pas ressenti Ma Volonté de te plonger dans la plus parfaite abnégation, dans le renoncement et le sacrifice volontaire ?
- Si Maître.
- Ne comprends-tu point Mon souhait de te conduire dans un monde différent de celui de ta condition actuelle, avec pour seule ambition ta pleine et heureuse satisfaction ?
- Je sais Maître que vous êtes attentif à mon épanouissement et mon bonheur auprès de vous, à vos Nobles Pieds.
- Oui effectivement je suis très attentif à toi, et c’est bien pour ça que je vais exiger encore plus de toi. Jusqu’à aujourd’hui tu étais Ma petite chienne, Ma petite pute, Mon soumis, mais j’ai pleinement conscience que tout ceci n’est plus suffisant, j’ai compris que tu attendais plus pour t’épanouir plus… Alors à partir d’aujourd’hui même, tu vas devenir non plus ce soumis parfait, mais MON PARFAIT ET RÉEL ESCLAVE !
Le Maître avait encore choppé Endymion MDE par les couilles les lui serrait, les lui broyait !
- Donne-toi Mon esclave, accepte la douleur, accepte la pression sur tes couilles, libère ton esprit pour mieux te donner afin de mieux me servir, m’obéir et me vénérer.
L’esclave Endymion MDE bandait terriblement, alors que ses couilles étaient torturées et malmenées, mais il bandait parce que tellement excité et si heureux de devenir cet esclave, un grand honneur, une immense fierté d’être désormais l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans ! Oui désormais, il était pleinement l’esclave Endymion MDE..
(A suivre…)
Tout juste après ce test copulatoire avec Estelle et imposé par le Maître, Endymion MDE avait pu se restaurer rapidement puis avait été enfermé dans un petit réduit sombre et étroit, dans lequel on ne pouvait se tenir complètement debout. Il allait y passer la nuit. Il s’était endormi sans peine, mort de fatigue quasiment brutalement, juste une couverture posée sur sa peau nue. Il avait été surpris que ni Monsieur le Marquis, ni Madame la Cuisinière ne lui aient posé une cage de chasteté. Cela faisait des mois qu’il n’avait pas dormit, la queue à l’air libre ! Etrange sensation, comme si cette liberté retrouvée le dérangeait…
Le jour n’était pas levé, et le soumis MDE dormait profondément encore lorsqu’il fut saisi par son collier. Il ouvrit les yeux pour entrapercevoir une ombre près de Lui. Une lampe torche l’éblouissait.
- En levrette, chien !
Evidemment, il reconnut la voix du Maître, tenu courbé près de lui. Le soumis MDE s’était exécuté et sitôt dans la posture adéquate, la main de Monsieur le Marquis lui avait saisi les couilles, les lui tirant et comprimant sans ménagement.
- Tu bandes salope ! Constatait le Maître
Endymion MDE se laissait tripoter la nouille et les burnes en geignant et en se trémoussant. La douloureuse pression exercée sur ces parties intimes le faisait terriblement souffrir, mais paradoxalement, sa bandaison devenait plus ferme encore.
- Regarde-moi chien, mets-toi à genoux devant moi !
La Noble main de Monsieur le Marquis lui triturait plus encore les couilles, le souffle coupé, Endymion se redressait difficilement. Son regard croisa l’entrejambe du Maître toujours courbé en deux, tant le local était exigu. Son caleçon était déformé par une bosse conséquente.
- Tu as vu ma queue, petite chienne… Tu m’excites salope !
Quel merveilleux compliment… lui soumis MDE excitait le Maître et le faisait s’ériger. Que pouvait-il espérer de mieux ! Son plaisir était devenu la première et principale préoccupation de l’esclave MDE, c’était fou d’ailleurs ce besoin de contenter à tout prix le Maître et de lui permettre d’assouvir Ses désirs, de se pencher sans cesse sur son bien-être et confort et de se sentir désiré. Malgré la pénombre, Endymion MDE ne pouvait faire qu’un simple constat : Monsieur le Marquis était effectivement, terriblement en érection. Son membre dur et ferme orienté vers la gauche et ses testicules gonflées, se dessinaient sous ce sous-vêtement tendu. Pour mieux encore afficher son excitation le Maître avait posé ses mains de part et d’autre, sur ce caleçon pour faire tendre le tissu.
- Renifle-moi, et estime-toi heureux de pouvoir le faire, Ma pute ! D’ailleurs, sais-tu ce que c’est que d’être Ma pute ? interrogeait Monsieur le Marquis.
Le soumis MDE avait bien quelques idées sur la question, bien souvent le Maitre lui avait affublé ce qualificatif, il le baisait et le faisait baiser comme une vraie putain.
- Non tu ne le sais pas… pas encore… mais tu ne vas pas tarder à le savoir. Tends-moi ton cul de pute, mets-toi en levrette !
L’espace était tellement réduit qu’Endymion MDE eut bien du mal à se tenir dans la plus parfaite position. Mais la préoccupation du Maître n’était point là. Il avait ôté son caleçon et déjà son gland turgescent pointait sur l’anus de Son chien soumis. Il le pénétra d’un trait et l’encula profondément sans douceur, ni fioriture, sans tenir compte de ses plaintes, ni de ses maux causés par une sodomie brutale et sans préambule. Il le sodomisait, point final ! Le cul d’Endymion MDE n’était pourtant pas prêt à se faire bourrer ainsi, car son anus bien dilaté la veille, s’était refermé durant la nuit et de recevoir une telle bite épaisse, drue et ferme en lui, qui le limait profondément, sans qu’aucune préparation préalable ne lui ait été prodiguée. Il ressentit cette pénétration comme un abus sur son corps, sans que pour autant, il puisse en faire le moindre grief au Maître, au contraire même, il lui en était très reconnaissant, l’idée d’être utilisé comme un simple objet l’excitait, et puis se disait-il en lui-même avec bonheur, à chaque vas et viens profonds : « Ce cul, cette bouche sont la pleine propriété du Maître, j’en ai fait don ».
Ces intimes réflexions taraudaient le chien soumis, il bandait même, fermement, outrageusement… l’esclave MDE comprit bien vite que les assauts répétés du Maitre, sa sauvage Domination et sodomie, sa volonté bestiale n’avaient qu’un seul but : lui faire découvrir ce qu’il était vraiment, ce pourquoi il était fait, pour qui il le faisait. Le Maître voulait le voir grandir encore dans sa soumission, un total et complet asservissement. Endymion MDE lâchait prise, prenait conscience d’une réalité, il affichait une généreuse image d’un vrai esclave sexuel, sous des coups de butoirs massifs, totalement dépossédé de son être tout entier. Il constatait encore que ce n’était plus une contrainte pour lui, de s’abandonner, de donner la totale maitrise de son esprit, de son corps à celui qu’il reconnaissait comme un Grand et Vénéré Maître. Il se laissait guider et instruire par celui qui l’avait apprivoisé et captivé. Être réduit à la captivité, à l’obéissance, à la perte de ses repères, le conduisait vers l’apaisement, la sérénité d’esprit, la quiétude de son corps, en se conformant à l’autorité, en acceptant sans aucune retenue sa condition. Le collier, les chaines le délivraient et lui permettaient de se détacher de son propre regard, pour se pencher exclusivement sur le bien-être de celui qui lui permettait d’être enfin ce qu’il était profondément, celui qui le révélait à ce qu’il était : un soumis asservi, un soumis-jouet sexuel, un esclave utilisable à la volonté du Maître. Alors pour le remercier de l’avoir éclairer et guider sur le chemin d’une vie meilleure, son devoir était de le servir en toute humilité, de se conformer strictement à ses désirs, plaisirs et volontés.
Toujours Sa Noble queue enfouie au plus profond des entrailles de son chien soumis, le Maitre tirait sur sa chevelure pour lui relever la tête, pour qu’il cambre plus encore ses reins, qu’il ouvre bien son cul et se laisse pilonner selon Ses suprêmes envies et volontés. Surpris, Endymion MDE l’était, jamais le Maître n’avait été ainsi, ne s’était comporté d’une telle manière avec lui, avec autant de bestialité, de vigueur, de virilité… Par Ses pulsions, Son excitation, Son regard, Ses mots méprisants, par Sa Domination sauvage et brutale, par Ses ruades et Ses crachats sur la gueule de Son soumis MDE, il affirmait Sa prégnance, Son autorité, Son ascendance. Avec audace, le Maître faisait admettre à son esclave MDE ce que viscéralement et génétiquement il était bel bien ! Une vraie catin, une vrai putain, sans retour ni compromis possible ! Endymion MDE se donnait, telle une vraie pute, la pute MDE, une vraie salope se donnant volontairement et librement, acceptant tout de Monsieur le Marquis, dans la pire dépravation et l’asservissement le plus total… Il affichait sa volonté d’appartenir, son bonheur et son ressenti d’être né pour être asservi ! Il était là, trainé dans la fange, dans l’ignominie, l’infamie, et déshonneur et la plus parfaite déchéance, avec une queue lui ramonant toujours le cul. Dieu qu’il aimait ça ! Il était fait pour ça. Après la forte douleur des premiers vas et viens, et une fois l’anus forcé à se dilaté pour laisser glisser le mandrin de chair, l’esclave MDE commençait enfin physiquement à trouver le plaisir corporel de l’enculade autant que le plaisir mental, qui quant à lui, était déjà bien en place dans son esprit depuis le début de l’assaut de la sodomie
Sa nouille de chien soumis le titillait, il aurait aimé la prendre dans sa main et se masturber avec vigueur et énergie, mais le Maître ne lui laissa pas l’opportunité de le faire. A cet instant précis, il se dégagea de son trou, l’obligea à sortir du cagibi et se coucher sur le dos et de relever les jambes sur sa poitrine, d’écarter les cuisses et d’offrir encore son anus. Il fut de nouveau sailli, longuement, sauvagement, pendant plus d’une demi-heure, Il était à 90 degrés en équerre, dos au sol, jambes à la verticale et pieds posés toujours sur les épaules de Monsieur le Marquis jusqu’au moment où celui-ci libéra son excitation en arrosant copieusement et généreusement son antre tout en poussant des râles comme ceux d’une longue agonie… Il resta encore longuement encastré dans son chien soumis, malgré sa jouissance, son chibre gardait un calibre impressionnant. Il le toisait d’un air vicieux et pervers…
- Suce-moi maintenant, Ma pute !
La fellation dura encore longtemps, très longuement, parfois le Maître, tout en se faisant sucer, fouillait le cul d’Endymion avec ses doigts, puis au bout d’un certain temps, lui planta profondément un gode dans le fion !
- J’ai mal Maître !
- Suce et tais-toi… un esclave obéit simplement, sans se plaindre ! Telle fut la simple réponse du Maître…
Alors l’esclave MDE oublia ses tourments et suçait ce pieu vibrant sous sa langue, tout en le masturbant et branlant généreusement selon Ses ordres. Il honorait le Maître d’une suave application buccale, celui-ci bandait de nouveau, dur comme fer… Mais il se retira subitement de cette bouche en soulevant le menton d’Endymion MDE !
- Regarde-moi, chien j’ai à te parler !
Timidement, le soumis MDE leva les yeux et croisa le regard déterminé du Maître. D’un ton très sérieux il s’adressa à lui :
- As-tu bien compris qui tu es, ce que tu es, pour qui tu es ?
- Je suis un chien, Votre chien soumis Maître !
- Pas seulement ?
- Je suis aussi Votre pute, Vénéré Maître,- Oui mais encore ?
- Heu…, votre soumis Maître ?
- N’as-tu pas ressenti ces profondes enculades comme brutales et bestiales ?
- Si Maître.
- N’as-tu pas ressenti Ma Volonté de te plonger dans la plus parfaite abnégation, dans le renoncement et le sacrifice volontaire ?
- Si Maître.
- Ne comprends-tu point Mon souhait de te conduire dans un monde différent de celui de ta condition actuelle, avec pour seule ambition ta pleine et heureuse satisfaction ?
- Je sais Maître que vous êtes attentif à mon épanouissement et mon bonheur auprès de vous, à vos Nobles Pieds.
- Oui effectivement je suis très attentif à toi, et c’est bien pour ça que je vais exiger encore plus de toi. Jusqu’à aujourd’hui tu étais Ma petite chienne, Ma petite pute, Mon soumis, mais j’ai pleinement conscience que tout ceci n’est plus suffisant, j’ai compris que tu attendais plus pour t’épanouir plus… Alors à partir d’aujourd’hui même, tu vas devenir non plus ce soumis parfait, mais MON PARFAIT ET RÉEL ESCLAVE !
Le Maître avait encore choppé Endymion MDE par les couilles les lui serrait, les lui broyait !
- Donne-toi Mon esclave, accepte la douleur, accepte la pression sur tes couilles, libère ton esprit pour mieux te donner afin de mieux me servir, m’obéir et me vénérer.
L’esclave Endymion MDE bandait terriblement, alors que ses couilles étaient torturées et malmenées, mais il bandait parce que tellement excité et si heureux de devenir cet esclave, un grand honneur, une immense fierté d’être désormais l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans ! Oui désormais, il était pleinement l’esclave Endymion MDE..
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