Agathe s'Éclate - 01 - Bon Voyage

- Par l'auteur HDS Jackobscene -
Auteur homme.
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Récit libertin : Agathe s'Éclate - 01 - Bon Voyage Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Agathe s'Éclate - 01 - Bon Voyage
Elle S’appelle Agathe. Elle a eu 19 ans, en début d’année. Elle mesure 1m60 et n’est pas très épaisse ; elle est même plutôt mince, fait du bonnet A et possède de très jolies cuisses surmontées de fesses fermes en forme de cœur, qui elle le sait, plaisent beaucoup mais… encore faut-il qu’on la remarque car Agathe n’est pas ce genre de filles, sexy et élancées, qui peuvent « chopper » n’importe qui à n’importe quel moment, non. Agathe, pour sa part, n’a rien de ces filles aux yeux de biches, généralement blondes avec de magnifiques chevelures ; elle, possède des cheveux mi-longs, châtains foncés qui n’ont rien de spécial. Idem pour ses yeux, ils sont banals, marrons foncés et lui font donnent un regard un peu incertain. De plus, son visage est rond, sans pommettes saillantes et relevées comme les plus belles actrices de films ou de séries à succès qui elles n’ont pas de boutons qui leur courent au milieu de la figure.
Ce jour-là, elle décide d’aller dans le Sud de la France, rendre visite à une copine à elle. Sur le trajet, elle somnole contre la vitre froide – nous sommes en Novembre- après avoir lu un de ces romans de gare dont elle aurait rêvé être l’héroïne. Cela faisait maintenant presque un an qu’elle n’avait pas eu de relations intimes avec un mec et le dernier avait simplement été un coup d’un soir avec qui elle aurait pourtant bien aimé poursuivre quelque chose mais de toute façon, c’était toujours pareil : Agathe ne tombait que sur des mecs qui avaient juste envie de la sauter ou de se vider les couilles, depuis sa première fois sur un parking, alors qu’elle n’avait que 17 ans, avec un mec qui en avait facilement 15 de plus. De là où elle venait, elle n’avait d’ailleurs pas une super réputation, notamment à cause de cette histoire. Et d’autres arrivées plus tard. De toute façon, elle s’était habitué à ça, servir d’amuse-gueule a des mecs au pif et une de ses plus proches copines lui répétait sans cesse qu’elle devait avoir un peu plus d’estime pour elle-même mais Agathe ne lui avait jamais dit qu’au fond, cela l’excitait parfois, de n’être qu’un simple vide couille…Le bus roule machinalement, dans son bruit de moteur qui endort. Agathe a un peu froid, malgré son petit pull en laine gris qu’elle porte et sous sa jupe, même avec ses collants, elle ressent un courant d’air sur ses cuisses. Elle a pris soin de retirer ses chaussures pour pouvoir être plus à l’aise et poser ses pieds sur l’assise. Le bus s’arrête quelques minutes à une gare paumée, histoire de faire descendre quelques voyageurs, et en faire monter d’autre. Il est 18H, elle est censée arriver sur Marseille dans 2H. Assise vers le fond, elle a préféré s’isoler du monde qui s’était rué sur les places de devant ce qui, de la ou elle se trouve, lui permet de constater qu’il n’y a plus grand monde dans le véhicule. Elle regarde par la fenêtre et voit quelques silhouettes monter. La pluie commence à marteler les vitres à grosses gouttes et l’obscurité s’installe sur le quai. Quelques loupiottes s’allument au-dessus des têtes assises devant, et quatre personnes s’installent vers l’avant. Excitée, Agathe n’a en réalité qu’une idée en tête pour faire passer le peu de temps de trajet qui lui reste : se « toucher », dans la pénombre du bus. Elle en a le cœur qui bat, c’est dire ! Sans faire de bruit, elle décide de retirer ses collants et les ranger soigneusement dans son sac à dos Eastpak. Puis, elle promène son index sur sa petite culotte de façon lascive, tout en imaginant que c’est quelqu’un d’autre qui la touche quand tout à coup, elle voit un homme remonter les rangées…Elle retire immédiatement sa main de sous sa jupe mais…l’a-t-il vue en marchant ? Quoi qu’il en soit, Agathe a du mal à distinguer son visage : il porte un bonnet, un peu en travers sur le crâne. Il est immense ! Des cheveux dépassent de chaque côté de son couvre-chef, et…oui, une odeur d’alcool et de tabac froid commence à embaumer le fond du bus. Le mec est vêtu d’un manteau beige, un peu ample et semble être en chemise en dessous. Malgré la lumière faible qui arrive jusqu’à l’arrière du véhicule, elle voit qu’il lui fait un sourire, mais rien de sympathique, un sourire qui montre des dents, avec quelque chose de triomphant. Agathe préfère détourner le regard et le reporter vers l’extérieur. Le bus reprend sa route. Elle ne peut s’empêcher de se demander si le mec l’a vue se toucher…elle espère que non mais se dit qu’au pire, elle s’en fiche et espère qu’il descendra à la prochaine station. Mais non, à la station suivante, quelques personnes descendent, mais lui reste là, assis en face d’elle, sur la rangée opposée, à la place qui donne dans le couloir. D’ailleurs, lorsqu’elle tourne sa tête vers lui, il la regarde et ayant allumé son plafonnier, Agathe constate qu’il doit avoir une bonne soixantaine. Il n’est pas beau, presque repoussant ; mal rasé, une bouche fine de travers et des petits yeux noirs. Ses joues sont creusées et son visage est constellé de taches rouges comme s’il souffrait de quelque chose. Il lui refait son sourire ignoble et Agathe sent bien que ce sourire n’a rien de naturel. Il ricane doucement, elle avale sa salive difficilement, comme si elle a quelque chose en travers de la gorge…Il ne reste plus qu’une heure. Elle a passé la demi-heure précédente a se concentrer sur l’extérieur, sans jamais plus se tourner vers l’homme qui a changé de place au passage ; il est maintenant derrière elle. Sans en avoir peur, elle n’est pas très rassurée quant a ses intentions. À un moment, l’odeur d’alcool se faisant de plus en plus intense et désagréable, elle décide de changer de place mais, tandis qu’elle s’active pour prendre ses affaires, elle entend marmonner derrière elle :- Tu veux venir t’assoir à côté de moi, petite ?
Elle se lève et ne fait pas attention à lui, ni à ce qu’il vient de dire. Elle change de rangée et va se mettre sur celle d’en face contre la fenêtre, là où l’homme était juste avant. Elle entend dans un chuchotement : « Désolé si je t’ai fait peur. » elle ne se retourne pas et se reconcentre sur l’extérieur du bus. Des pensées se bousculent dans sa tête : « qu’aurait-t-il voulu si je m’étais assise à côté de lui ? » Mais la réponse lui apparait comme une évidence : « A ton avis ma fille ? Comme tous les mecs ! De 20 à 80 ans ! Elle met ses écouteurs dans ses oreilles et essaye de ne pas y repenser pour le reste du trajet.
Mais impossible ! Pendant que la musique passe dans ses oreilles, elle se fait un film, un film dont elle n’est pas très fière mais qui lui fait mouiller sa culotte : elle s’imagine tout bonnement passer à l’arrière avec ce vieux, elle s’imagine ou plutôt fantasme sur des « choses » et même si ce sont des pensées intimes, elle ressent comme un sentiment de honte pour avoir de telles pensée…elle a très envie de se toucher mais se dit que ça devra attendre son arrivée. Elle sait déjà quel film elle se fera afin de se faire plaisir mais en même temps, l’intimité du bus et de sa pénombre lui font se poser cette question : « et si j’y allais ? » Elle sent son cœur battre à fond et se retourne - mais juste une fois , c’est tout – et son regard croise celui de l’homme et son sourire tordu et malsain. Il lui fait un petit clin d’œil et un signe de tête qui signifie « viens ! » Elle se retourne vers l’avant du bus ensommeillé dans la quasi-obscurité, puis avale sa salive difficilement une dernière fois. En réalité, elle se sent toute excitée !
Elle fait « oui » de la tête et l’homme perd soudainement son sourire, son visage se transformant en un masque de surprise. Il a les sourcils presque au sommet de son crâne et ses yeux sont ouverts au max. Jetant un œil devant, elle sourit timidement ensuite à l’homme avant de refaire un « oui » de la tête. Elle constate que la pomme d’adam de l’homme monte et descend rapidement : c’est lui maintenant qui déglutit très difficilement. Il tend un doigt et fait signe vers le fauteuil vide â côté d’Agathe, avec un regard interrogateur. Elle refait « oui » vigoureusement en balançant la tête d’avant en arrière. L’homme regarde prudemment l’avant du bus et expire longuement avant de se lever discrètement pour rejoindre Agathe. Il s’assoit sur le siège à côté et fait beaucoup moins le fier d’un coup. Il regarde droit devant lui, tendu. L’odeur d’alcool est très fort mais contrairement à tout à l’heure, Agathe trouve cela excitant, maintenant qu’il est là juste à côté d’elle. Elle regarde vers l’avant du bus, jette un œil à l’homme et remonte ses jambes pour poser ses pieds à plat sur le siège, ses talons touchant presque ses fesses et faisant remonter sa jupe. Elle attend, jetant des regards en biais timides en direction de l’homme qui semble encore plus nerveux qu’avant- Comment tu t’appelles ? Demande-t-il dans un murmure, les yeux toujours vers l’avant du bus.
- A…Agathe.
- Petite, Dit-il avec beaucoup moins d’aplomb que tout à l’heure quand il lui proposait de s’asseoir à côté de lui. Quelle âge t’as ?
- Peu importe, je suis majeure.
Il semble respirer rapidement, les mains à plats sur ses jambes, comme solidement fixées. Agathe retire tout doucement sa culotte à rayures et la laisse pendre à sa cheville. L’homme semble avoir un pamplemousse dans la gorge et enfin, il décolle sa main gauche de sa cuisse qu’il dirige vers le genoux d’Agathe. Lorsqu’il l’effleure, il a un léger mouvement de recul comme s’il craignait de se brûler mais finalement, il pose sa main à plat sur la peau douçâtre et juvénile d’Agathe. Du genoux de la jeune fille, il passe doucement vers l’intérieur de sa cuisse en la caressant puis repart dans l’autre sens. Il effectue le même mouvement pendant une bonne minute. Agathe se sent de plus en plus humide ; elle regarde vers l’avant du bus les têtes qui dépassent dans le noir et se mord la lèvre inférieure, savourant cet instant. L’homme descend maintenant de plus en plus avec sa main et enfin, il arrive en bordure des grandes lèvres d’Agathe, sentant ses poils pubiens sous ses doigts malhabiles.
Elle constate du coin de l’œil qu’avec sa main droite, il caresse son entrejambe par-dessus sont jean d’où une grosse bosse tente une percée au-dessous. Il passe délicatement ses doigts au niveau du clitoris, puis descend juste en-dessous, en tâtonnant. Agathe sent son cœur battre â tout rompre dans sa poitrine. Elle jette un œil furtif à l’homme qui pourrait facilement être son père mais, pudique également, il regarde devant lui, dans le vide. Le fait qu’il évite de la regarder rend la chose anonyme, ce qui la fait encore plus mouiller. Il tripote maintenant ses petites lèvres et lui murmure, dans un frisson : « T’es trempée… », haletante, elle fait « oui ! » Dans un souffle et il la caresse un peu partout. Un léger bruit visqueux se fait entendre mais fort heureusement, le bruit du moteur fait qu’ils ne peuvent être qu’eux deux à l’entendre. À un moment, il retire sa main gauche – Agathe manque tout juste de lui dire « non ! » Pour qu’il continue- et il ne peut s’empêcher de porter ses doigts à son nez et se délecter de l’odeur intime d’Agathe. Il fait un « Ooooh » furtif et tout bas avant de mettre majeur dans sa bouche et le lécher. Un nouveau regard vers l’avant, puis il reprend : cette fois, sans l’avertir, il enfonce sans aucune difficulté un de ses doigts dans la chatte de la jeune fille qui laisse échapper un glapissement fugace ! Mettant un doigt sur ses lèvres, il fait « chut ! », En surveillant l’avant du bus. Avec le bruit du moteur et de la pluie heureusement, personne ne s’était rendu compte de rien, ce qui arrange Agathe car maintenant, il commence à décrire des vas et viens avec son doigt, à l’intérieur de sa petite chatte humide et chaude.
Tordant les orteils de ses petits pieds nus, le visage en feu malgré les courants d’air, Agathe est au bord de l'implosion ! Imaginer de faire des saloperies avec ce vieil homme dans ce bus, avec d’autres passages autour, était une chose en soi, mais carrément se faire limer par les doigts durs et ridés de cet homme-là en était une autre ! Elle était obligée de mettre sa main devant sa bouche tellement elle n’en pouvait plus : elle avait juste envie de se lâcher, de laisser exulter son plaisir qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même ; l’homme avait maintenant deux doigts en elle avec lesquels il triturait dans tout l’intérieur de son vagin ! Elle le sentait aller et venir à sa guise de plus en plus vite, et le fait que la paume de sa main râpeuse entre également en contact avec son clitoris la rendait encore plus dingue. Elle constate maintenant, qu' il avait ouvert la braguette de son jean. Sa main droite à l’intérieur, il semble se masturber mais elle ne voit rien.
- C’que t’es serrée ! Lui chuchote-t-il en enfonçant ses doigts encore plus profondément.
Haletante, elle incline sa tête vers le plafond du bus, les yeux clos, kiffant tout ce qu’elle sait.
D’un coup, il retire ses doigts et, sans même vérifier vers l’avant du bus, il se penche vers les cuisses d’Agathe qui comprend tout de suite ce qu’il veut : d’un geste , elle relève ses deux petites jambes et vient coller ses pieds contre le dossier du siège de devant, afin qu’il puisse faire passer sa tête entre ses cuisses. De sa main droite il tient son membre – que Agathe ne peut voir vu la position dans laquelle il se trouve- et il pose la gauche sur son sein, par-dessus son pull. Il embrasse son intimité à pleine bouche, savourant le jus qui inonde son entrejambe et l’assise du siège. Dans des bruits discrets de succion, il passe ses lèvres et sa langue un peu partout, avec gourmandise, s’abreuvant de la jeune chatte qui lui est offerte. Il ramène sa main gauche à plat sur le Mont Vénus velu d’Agathe et descend doucement vers son clitoris. Sa langue se fraye un chemin dans le petit trou de la jeune fille dont le cœur est sur le point d’exploser. Elle a toujours une main devant sa bouche et des gouttes de sueur perlent sur son front. Sa main droit est agrippée au dossier de son propre siège, comme pour ne pas décoller tellement elle s’emballe. Elle tremble maintenant, poussant de toutes ses forces avec ses pieds aux orteils crispés le siège de devant. L’homme sort sa langue de sa chatte et la passe maintenant sur son anus ! Elle voudrait lui dire stop, faire quelque chose pour l’arrêter mais impossible et elle apprécie beaucoup trop ce qu’il est en train de lui faire ! Il aspire son cul en faisant des bruits et elle l’entend respirer de plus en plus vite. Le cœur d’Agathe manque de lacher lorsque la voir amplifiée du chauffeur retentit dans les hauts-parleurs et indique l’arrivée en gare dans un quart d’heure…heureusement, c’est le moment que choisi l’homme pour venir dans un grognement rauque, la bouche collée a la chatte trempée d’Agathe qui elle aussi, ne peur plus résister et vient dans un petit cri aigu qu’elle laisse echapper, malgré sa main solidement plaquée contre ses lèvres…Elle sent quelque chose de chaud et mouillé sous sa cuisse droite vers sa fesse et constate, en passant la main dessus tandis qu’elle se remet doucement et que son rythme cardiaque redevient normal, qu’il s’agit du sperme de l’homme qui a éte éjecté jusque là tellement il avait du prendre du plaisir. Sans lui accorder un regard, il remonta son jean sans qu’elle ne puisse voir son membre et se releva pour retourner à place qu’il avait prise plus tôt. D’où elle est, elle peut entendre que lui aussi a du mal à reprendre son souffle. Elle ne se tourne plus ver lui jusqu’à ce que le bus n’arrive en gare. Elle laisse passer l'homme devant sa place pour qu’il remonte l’allée. Elle voit avec le reflet dans la vitre qu’il s’arrête un instant et la regarde, mais finalement, il poursuit son chemin et va descendre du bus. Agathe attend un peu, ressort ses collants qu’elle enfile à la va vite, négligemment, puis, sûre qu’il n reste plus qu’elle, elle reprend son sac et ses esprits, puis file dans la nuit noire de Marseille.
FIN

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