La Femme du Maire (Partie 1)
Récit érotique écrit par Jackobscene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Femme du Maire (Partie 1)
La femme du maireCette histoire s’est passée il y a quelques années, alors que j’étais en galère de thunes. À cette époque, j’habitais au centre-ville de Grenoble, dans un quartier cossu, chez une nana qui était ma meuf officielle. En fait, j’ai toujours pensé que cette fille, qui pour sa part n’avait aucun soucis financier et vivait aisément était avec moi pour faire sa bonne action, du genre « je baise avec un prolo, je suis une femme bien sous tout rapport… » mais passons. J’ai 29 ans, je suis de taille moyenne, de corpulence mince, voire maigre, les cheveux châtains et les yeux marrons. Un mec moyen dans la moyenne, comme j’aime dire si souvent.. ce jour-là, un de mes potes me téléphone pour me proposer du taff ; ayant des compétences dans le bâtiment, j’accepte. C’est un boulot pas très difficile, il suffit juste de retirer un chauffe-eau et en installer un nouveau. Dans le camion, mon pote m’avertis :- Bon, on va chez un Maire, aujourd’hui, donc si on fait bien le taff, il y a moyen que ça me fasse un bon coup de pub et qu’on choppe un billet en plus…Surpris, je réponds : - Chez un maire ? Ah ouais quand même !
Je ne peux pas donner le nom de la ville, mais elle se situe en agglomération de Grenoble, sur les hauteurs, dans un coin bourgeois p. On fait la route, on arrive sur des petits chemins de campagne sinueux où l’on croise déjà de superbes villas. On continue à monter.
- J’espère que c’est sa femme qui est là, me dit mon pote avec un sourire en coin. J’imagine que lui il bosse, donc si c’est elle…tu seras pas déçu mon pote !
- Ah ouais ? Je fais.
- Ouais ! Me dit-il. Elle a une « réputation » dans le coin, tu savais pas ?!
- Non, pas du tout. Genre ?
- Genre elle est pas super fidèle, tu vois le truc ? Elle aurait baisé avec un mec du conseil municipal, ça a foutu la merde, enfin bref…c’est les ont dit que certains clients de la ville me racontent…- Elle est bonne ? Je demande en m’allumant une clope.
- Pas plus que ça, me répond-il. Après lui il doit avoir la cinquantaine. Elle a facilement dix ans de moins que lui, tu verras si on la croise.
Il s’arrête de parler, comme s’il réfléchit puis reprend :- …En fait tout est dans le regard, me confie-t-il. J’te dis, elle a pas un corps de rêve mais elle a des yeux…je l’aurais bien baisée, mon pote !
- Tu baiserais n’importe qui, dis-je en riant.
- T’auras peut être plus de chances que moi, me fait-il remarquer, je te rappelle que c’est toi qui nique des bourgeoises.
- Oh arrête !
On continue de rouler quelques minutes, une dizaine, puis mon pote s’engouffre dans un chemin tellement étroit, que je me demande si le fourgon passera mais aucun soucis, on descend un petit chemin et on arrive sur un immense portail qui surplombe en contrebas ce qui ressemble à un immense manoir à l’ancienne, à la façade un peu vieillotte sur laquelle le lierre court dans tous les sens. J’aperçois une piscine à côté, débachée avec des transats autour. C’est l’été, le ciel est bleu azur et il commence à faire chaud bien qu’il ne soit pas encore neuf heures. Mon pote descend du camion et sonne : une voix de femme retentit : - C’est pour le chauffe-eau ?
- Oui Madame, répond mon pote en me faisant un clin d’œil.
- Je vous ouvre.
Un bruit retentit et le portail s’ouvre lentement. Il remonte dans le camion avec un sourire et remet le contact.
- Tu me diras ce que t’en penses hein ? Me dit mon pote.
- Compte sur moi !
On descend un petit chemin de gravier et on arrive sur un magnifique jardin, gigantesque. Mon pote gare le camion devant une porte de garage et là, sur notre gauche, je la vois arriver : petite, les cheveux mi longs, blonds comme les blés et un peu fous. Elle a une bouche ravissante qui s’étire en un sourire. Et comme l’avait dit mon pote, tout passe par les yeux : elle retire ses lunettes de soleil pour dévoiler deux billes vertes comme l’émeraude qui se pose sur nous avec un air très intéressé. Je comprends mieux ce qu’à voulu me dire mon pote ; elle a quelque chose de malicieux au fond des yeux, comme une lueur. Je ne serais pas étonné que ce qu’il m’a dit à son sujet soit vrai. Mais surtout ! Elle nous accueille en maillot de bain et là, je repense à ce qu’il m’a dit avant : elle a pas un corps de rêve. Alors peut-être mais en tous cas, elle me plait : sa peau qui devait être plutôt pâle en temps normal, avait pris un peu le soleil et elle arbore un teint légèrement hâlé qui lui va à ravir. Ses deux petits seins on l’air ferme dans le bikini et je remarque discrètement dans sa culotte que la forme de ses lèvres se dessine, ce qui me donne très envie de voir sa petite chatte.
- Bonjour, dit-elle. Je vous laisse faire ? Vous connaissez la maison, n’est-ce pas ?
- Oui bien sûr madame, répond mon pote.
Elle repart dans une démarche féline vers la piscine et je mate son petit cul très alléchant dans son maillot de bain.
- Bah ça va ! Je dis à mon pote. Tu me disais qu’elle avait pas un corps de rêve mais bon…- Hé ! Je l’avais jamais vue en maillot ! Elle doit se faire dorer la pilule au soleil. On va pas la déranger, sauf si on a besoin de quelque chose…je t’enverrais toi !
PIl m’adresse un clin d’œil complice.
- Pourquoi moi ? Je dis. T’as pas envie d’essayer de te la faire ? Mais ! Mec, de quoi on parle ? C’est la femme du maire !
- Moi j’ai aucune chance ! Répond-il. Puis j’suis marié…toi t’es plus jeune, puis t’as des soucis avec ta meuf tu me disais !
- Ouais mais bon…On se met au taff, on décharge le camion et on récupère les outils, direction la salle de bain immense du premier étage, toute carrelée et bien équipée avec belle baignoire d’angle en céramique. On se fait chier à descendre l’ancien chauffe-eau et on le ramène au camion. En passant dans la maison, j’aperçois le bord de la piscine sur la terrasse. Je la vois qui est allongée sur un transat, en plein soleil, les seins nus…- Mec ! Je dis. Elle est topless !
- Ah ouais ?
On s’arrête en plein milieu du couloir. Mon pote et moi posons le chauffe-eau pour admirer deux seins blancs qui partent légèrement sur le côté, affublés de tétons clairs qui pointent vers le soleil. Je me rapproche doucement de la vitre pour aller mater de plus près :- Fais gaffe ! M’avertit mon pote. Je sais pas si elle a les yeux fermés sous ses lunettes.
En effet, le noir des verres m’empêche de savoir si elle me peut me voir ou pas mais je la mate ouvertement par la fenêtre, me régalant de ses jambes fines écartées, donnant une vue sur sa culotte sous laquelle se trouve son sexe. Je le devine rasé, et m’imagine la prenant là, au bord de la piscine, lui suçant ses tétons.
- Allez viens ! M’appelle mon pote. Tu t’es assez rincé l’œil mon cochon…On fini le taff vers 10h30, en sueur sous la chaleur de la salle de bain quand elle vient nous voir, dans un petit peignoir de soie couleur rose. Les cheveux attaches en chignon à l’arrière du crâne et de grandes lunettes rondes sur le visage. De plus près, je constate qu’elle a quelques cheveux blancs et que son visage comporte quelques irrégularités par-ci par-là, mais je dois bien avouer qu’elle ne fait pas ses quarante et quelques années.
- Ah parfait ! Dit elle. Vraiment bien ! Mon mari sera content, puis vous avez été discret en plus, je ne vous ai pas entendu pendant ma sieste.
Elle me regarde furtivement pendant que mon pote se tourne vers le chauffe eau, entamant des explications sur son fonctionnement. Je regarde aussi, il appuie sur des boutons, tourne des molettes et je vois tourne lentement mon regard vers elle, je vois qu’elle me fixe puis me fait un léger sourire…est ce que je me fais des films ? L’instant d’après, elle nous propose de la suivre à la cuisine pour aller prendre un apéritif. On descend et on s’installe sur des tabourets de bar qui donnent sur un îlot central. Elle nous sert une bière à chacun, se prend un thé et commence à s’intéresser à moi : - Vous travaillez dans quoi ? On ne s’est jamais vu avant !
- Euh, c’est mon nouvel ouvrier, s’empresse de répondre mon pote, histoire de ne pas trop perdre la face.
- Oui, je réponds- Comment s’appelle le nouvel ouvrier, alors ? Demande-t-elle à mon pote en prenant un sourire radieux.
Mon pote se marre et se tourne vers moi : - Florian, je réponds.
- Enchantée, Florian ! Me dit-elle, ses grands yeux pétillants, un sourire toujours aussi rayonnant sur les lèvres.
Elle semble encore vouloir s’intéresser à moi mais mon pote ne veut pas trop orienter la conversation dans ce sens là ; je le soupçonne de ne pas trop vouloir raconter qu’il ne m’a pas fait de contrat de travail et que je bosse pour lui au black. Je vois que la femme – se prénommant Lise au passage – écoute qu’à moitié ce que mon pote lui raconte sur ses différents chantiers en cour. À plusieurs reprises, elle tourne son regard aguichant vers moi, de manière furtive, et je ne peux m’empêcher de jeter de rapides coups d’œil à son peignoir : je me demande si elle est toujours en maillot de bain en dessous. Elle nous paye une seconde bière et ma vessie commence à se remplir mais celle de mon pote est déjà pleine : « Je vais aux toilettes » nous annonce-t-il en se levant précipitamment pour traverser la cuisine et s’éloigner de l’autre côté du salon. Un silence morne s’installe, durant lequel je me sens épié. Je regarde vite fait vers elle et remarque qu’elle me fixe de ses beaux yeux verts et un mince sourire, qui a quelque chose de coquin, apparaît sur son visage.
- La vue était belle ? Me demande-t-elle, sans quitter ce sourire.
Je fais semblant de ne mas comprendre et fronce les sourcils :- Euh…comment ?
- Je t’ai vu par la fenêtre du salon, dit-elle. Tu regardais quoi ? Si il y avait de l’eau dans la piscine ?
Elle rigole de sa propre blague et j’esquisse également un fin sourire coupable. Elle regarde en direction du salon et reporte son attention sur moi : - Tu veux les revoir ? Me dit-elle, le regard brillant de désir.
J’avale difficilement ma salive et pense à ma nana, là tout de suite. Je me dis que si c’est juste ça, je n’ai aucune raison de m’en vouloir. J'acquiesce d’un signe de tête et elle agrippe doucement le haut de son peignoir des deux mains qu’elle tire en arrière, me laissant une vue délectable sur ses épaules légèrement bronzées ainsi que ses clavicules saillantes au dessus de sa jolie poitrine aux seins fermes. Pas très gros, certes, mais fermes, avec des tétons rose pâle qui ne demandent qu’à être léchés. Je me rends compte que son visage prend une teinte rosée tandis qu’elle baisse le nez, ses tétons pointent et sa peau est prise de frisson comme de la chair de poule . Je n’ai qu’un désir en cet instant : me jeter sur sa poitrine et la dévorer. Ce petit côté prude m’excite et j’ai une demie-molle dans mon short de travail.
- Tu veux les toucher ? Me propose-t-elle dans un murmure.
Elle me pénètre du regard en me fixant et comme si j’étais happé par une force surnaturelle, j’avance ma main gauche vers elle ; le bout de mes doigts effleurent son téton droit et délicatement, je pose ma main entière sur son sein qui tient aisément dedans. Je commence à effectuer de petites pressions dessus, le téton est dur comme le béton contre ma paume et elle me regarde, se bouffant la lèvre inférieure, le teint encore rosée. J’entends soudain un bruit de pas, elle aussi l’entend : je retire ma main et elle remet précipitamment son peignoir. Je pose mon regard sur ma bière et voilà que mon pote revient dans la cuisine dans un bruit tonitruant, cassant l’ambiance sensuelle qui se mettait en place. On prend congé 5 minutes après, elle nous escorte jusqu’au camion. On monte, elle se met à la fenêtre :- Si j’ai un soucis avec le chauffe-eau je peux vous rappeler ? Demande-t-elle en nous regardant à tour de rôle.
- Oui, bien sûr m’dame ! Fait mon pote en souriant. Je viendrais vous dépanner sans faute. Vous passez le bonjour à votre mari de ma part ?
Elle semble un peu prise au dépourvu mais se met à nous sourire et dit : - Oui, ce sera fait ! Il travaille tellement en ce moment qu’il n’est pas beaucoup à la maison. Je suis souvent seule. Mais dès que je le vois je lui transmets.
Est-ce un effet de mon imagination ou bien elle m’a vraiment dit ça en me jetant un petit regard juste après ? On lui dit au revoir et mon pote démarre le camion. On fait quelques mètres et il se tourne vers moi : - Mon cochon ! Il s’est passé quoi pendant que j’étais aux chiottes ?
Je décide de mentir : « rien ». Il s’esclaffe bruyamment en s’allumant une clope : - Tu veux me faire croire ça ?! Quand je suis rentré dans la cuisine elle était toute rouge et toi tu regardais ta bière vide ! Me prends pas pour un con !
- Arrête tes conneries !
- Tu veux son numéro ? Me propose-t-il en souriant.
Je sens mon cœur bondir dans ma poitrine : elle m’a fait de l’effet et j’ai vraiment envie d’elle et pas que de ses seins. Mais je ne veux pas pour autant attirer l’attention sur moi ni la mettre dans l’embarras : je me dis que mon pote n’a pas à savoir quoi que ce soit mais bien entendu, je suis bien décidé à la revoir !
- Non, laisse moi tranquille, maintenant ! Je dis en regardant par la fenêtre.
Mon pote se marre et le camion s’engage sur une route nationale.
A SUIVRE…
Je ne peux pas donner le nom de la ville, mais elle se situe en agglomération de Grenoble, sur les hauteurs, dans un coin bourgeois p. On fait la route, on arrive sur des petits chemins de campagne sinueux où l’on croise déjà de superbes villas. On continue à monter.
- J’espère que c’est sa femme qui est là, me dit mon pote avec un sourire en coin. J’imagine que lui il bosse, donc si c’est elle…tu seras pas déçu mon pote !
- Ah ouais ? Je fais.
- Ouais ! Me dit-il. Elle a une « réputation » dans le coin, tu savais pas ?!
- Non, pas du tout. Genre ?
- Genre elle est pas super fidèle, tu vois le truc ? Elle aurait baisé avec un mec du conseil municipal, ça a foutu la merde, enfin bref…c’est les ont dit que certains clients de la ville me racontent…- Elle est bonne ? Je demande en m’allumant une clope.
- Pas plus que ça, me répond-il. Après lui il doit avoir la cinquantaine. Elle a facilement dix ans de moins que lui, tu verras si on la croise.
Il s’arrête de parler, comme s’il réfléchit puis reprend :- …En fait tout est dans le regard, me confie-t-il. J’te dis, elle a pas un corps de rêve mais elle a des yeux…je l’aurais bien baisée, mon pote !
- Tu baiserais n’importe qui, dis-je en riant.
- T’auras peut être plus de chances que moi, me fait-il remarquer, je te rappelle que c’est toi qui nique des bourgeoises.
- Oh arrête !
On continue de rouler quelques minutes, une dizaine, puis mon pote s’engouffre dans un chemin tellement étroit, que je me demande si le fourgon passera mais aucun soucis, on descend un petit chemin et on arrive sur un immense portail qui surplombe en contrebas ce qui ressemble à un immense manoir à l’ancienne, à la façade un peu vieillotte sur laquelle le lierre court dans tous les sens. J’aperçois une piscine à côté, débachée avec des transats autour. C’est l’été, le ciel est bleu azur et il commence à faire chaud bien qu’il ne soit pas encore neuf heures. Mon pote descend du camion et sonne : une voix de femme retentit : - C’est pour le chauffe-eau ?
- Oui Madame, répond mon pote en me faisant un clin d’œil.
- Je vous ouvre.
Un bruit retentit et le portail s’ouvre lentement. Il remonte dans le camion avec un sourire et remet le contact.
- Tu me diras ce que t’en penses hein ? Me dit mon pote.
- Compte sur moi !
On descend un petit chemin de gravier et on arrive sur un magnifique jardin, gigantesque. Mon pote gare le camion devant une porte de garage et là, sur notre gauche, je la vois arriver : petite, les cheveux mi longs, blonds comme les blés et un peu fous. Elle a une bouche ravissante qui s’étire en un sourire. Et comme l’avait dit mon pote, tout passe par les yeux : elle retire ses lunettes de soleil pour dévoiler deux billes vertes comme l’émeraude qui se pose sur nous avec un air très intéressé. Je comprends mieux ce qu’à voulu me dire mon pote ; elle a quelque chose de malicieux au fond des yeux, comme une lueur. Je ne serais pas étonné que ce qu’il m’a dit à son sujet soit vrai. Mais surtout ! Elle nous accueille en maillot de bain et là, je repense à ce qu’il m’a dit avant : elle a pas un corps de rêve. Alors peut-être mais en tous cas, elle me plait : sa peau qui devait être plutôt pâle en temps normal, avait pris un peu le soleil et elle arbore un teint légèrement hâlé qui lui va à ravir. Ses deux petits seins on l’air ferme dans le bikini et je remarque discrètement dans sa culotte que la forme de ses lèvres se dessine, ce qui me donne très envie de voir sa petite chatte.
- Bonjour, dit-elle. Je vous laisse faire ? Vous connaissez la maison, n’est-ce pas ?
- Oui bien sûr madame, répond mon pote.
Elle repart dans une démarche féline vers la piscine et je mate son petit cul très alléchant dans son maillot de bain.
- Bah ça va ! Je dis à mon pote. Tu me disais qu’elle avait pas un corps de rêve mais bon…- Hé ! Je l’avais jamais vue en maillot ! Elle doit se faire dorer la pilule au soleil. On va pas la déranger, sauf si on a besoin de quelque chose…je t’enverrais toi !
PIl m’adresse un clin d’œil complice.
- Pourquoi moi ? Je dis. T’as pas envie d’essayer de te la faire ? Mais ! Mec, de quoi on parle ? C’est la femme du maire !
- Moi j’ai aucune chance ! Répond-il. Puis j’suis marié…toi t’es plus jeune, puis t’as des soucis avec ta meuf tu me disais !
- Ouais mais bon…On se met au taff, on décharge le camion et on récupère les outils, direction la salle de bain immense du premier étage, toute carrelée et bien équipée avec belle baignoire d’angle en céramique. On se fait chier à descendre l’ancien chauffe-eau et on le ramène au camion. En passant dans la maison, j’aperçois le bord de la piscine sur la terrasse. Je la vois qui est allongée sur un transat, en plein soleil, les seins nus…- Mec ! Je dis. Elle est topless !
- Ah ouais ?
On s’arrête en plein milieu du couloir. Mon pote et moi posons le chauffe-eau pour admirer deux seins blancs qui partent légèrement sur le côté, affublés de tétons clairs qui pointent vers le soleil. Je me rapproche doucement de la vitre pour aller mater de plus près :- Fais gaffe ! M’avertit mon pote. Je sais pas si elle a les yeux fermés sous ses lunettes.
En effet, le noir des verres m’empêche de savoir si elle me peut me voir ou pas mais je la mate ouvertement par la fenêtre, me régalant de ses jambes fines écartées, donnant une vue sur sa culotte sous laquelle se trouve son sexe. Je le devine rasé, et m’imagine la prenant là, au bord de la piscine, lui suçant ses tétons.
- Allez viens ! M’appelle mon pote. Tu t’es assez rincé l’œil mon cochon…On fini le taff vers 10h30, en sueur sous la chaleur de la salle de bain quand elle vient nous voir, dans un petit peignoir de soie couleur rose. Les cheveux attaches en chignon à l’arrière du crâne et de grandes lunettes rondes sur le visage. De plus près, je constate qu’elle a quelques cheveux blancs et que son visage comporte quelques irrégularités par-ci par-là, mais je dois bien avouer qu’elle ne fait pas ses quarante et quelques années.
- Ah parfait ! Dit elle. Vraiment bien ! Mon mari sera content, puis vous avez été discret en plus, je ne vous ai pas entendu pendant ma sieste.
Elle me regarde furtivement pendant que mon pote se tourne vers le chauffe eau, entamant des explications sur son fonctionnement. Je regarde aussi, il appuie sur des boutons, tourne des molettes et je vois tourne lentement mon regard vers elle, je vois qu’elle me fixe puis me fait un léger sourire…est ce que je me fais des films ? L’instant d’après, elle nous propose de la suivre à la cuisine pour aller prendre un apéritif. On descend et on s’installe sur des tabourets de bar qui donnent sur un îlot central. Elle nous sert une bière à chacun, se prend un thé et commence à s’intéresser à moi : - Vous travaillez dans quoi ? On ne s’est jamais vu avant !
- Euh, c’est mon nouvel ouvrier, s’empresse de répondre mon pote, histoire de ne pas trop perdre la face.
- Oui, je réponds- Comment s’appelle le nouvel ouvrier, alors ? Demande-t-elle à mon pote en prenant un sourire radieux.
Mon pote se marre et se tourne vers moi : - Florian, je réponds.
- Enchantée, Florian ! Me dit-elle, ses grands yeux pétillants, un sourire toujours aussi rayonnant sur les lèvres.
Elle semble encore vouloir s’intéresser à moi mais mon pote ne veut pas trop orienter la conversation dans ce sens là ; je le soupçonne de ne pas trop vouloir raconter qu’il ne m’a pas fait de contrat de travail et que je bosse pour lui au black. Je vois que la femme – se prénommant Lise au passage – écoute qu’à moitié ce que mon pote lui raconte sur ses différents chantiers en cour. À plusieurs reprises, elle tourne son regard aguichant vers moi, de manière furtive, et je ne peux m’empêcher de jeter de rapides coups d’œil à son peignoir : je me demande si elle est toujours en maillot de bain en dessous. Elle nous paye une seconde bière et ma vessie commence à se remplir mais celle de mon pote est déjà pleine : « Je vais aux toilettes » nous annonce-t-il en se levant précipitamment pour traverser la cuisine et s’éloigner de l’autre côté du salon. Un silence morne s’installe, durant lequel je me sens épié. Je regarde vite fait vers elle et remarque qu’elle me fixe de ses beaux yeux verts et un mince sourire, qui a quelque chose de coquin, apparaît sur son visage.
- La vue était belle ? Me demande-t-elle, sans quitter ce sourire.
Je fais semblant de ne mas comprendre et fronce les sourcils :- Euh…comment ?
- Je t’ai vu par la fenêtre du salon, dit-elle. Tu regardais quoi ? Si il y avait de l’eau dans la piscine ?
Elle rigole de sa propre blague et j’esquisse également un fin sourire coupable. Elle regarde en direction du salon et reporte son attention sur moi : - Tu veux les revoir ? Me dit-elle, le regard brillant de désir.
J’avale difficilement ma salive et pense à ma nana, là tout de suite. Je me dis que si c’est juste ça, je n’ai aucune raison de m’en vouloir. J'acquiesce d’un signe de tête et elle agrippe doucement le haut de son peignoir des deux mains qu’elle tire en arrière, me laissant une vue délectable sur ses épaules légèrement bronzées ainsi que ses clavicules saillantes au dessus de sa jolie poitrine aux seins fermes. Pas très gros, certes, mais fermes, avec des tétons rose pâle qui ne demandent qu’à être léchés. Je me rends compte que son visage prend une teinte rosée tandis qu’elle baisse le nez, ses tétons pointent et sa peau est prise de frisson comme de la chair de poule . Je n’ai qu’un désir en cet instant : me jeter sur sa poitrine et la dévorer. Ce petit côté prude m’excite et j’ai une demie-molle dans mon short de travail.
- Tu veux les toucher ? Me propose-t-elle dans un murmure.
Elle me pénètre du regard en me fixant et comme si j’étais happé par une force surnaturelle, j’avance ma main gauche vers elle ; le bout de mes doigts effleurent son téton droit et délicatement, je pose ma main entière sur son sein qui tient aisément dedans. Je commence à effectuer de petites pressions dessus, le téton est dur comme le béton contre ma paume et elle me regarde, se bouffant la lèvre inférieure, le teint encore rosée. J’entends soudain un bruit de pas, elle aussi l’entend : je retire ma main et elle remet précipitamment son peignoir. Je pose mon regard sur ma bière et voilà que mon pote revient dans la cuisine dans un bruit tonitruant, cassant l’ambiance sensuelle qui se mettait en place. On prend congé 5 minutes après, elle nous escorte jusqu’au camion. On monte, elle se met à la fenêtre :- Si j’ai un soucis avec le chauffe-eau je peux vous rappeler ? Demande-t-elle en nous regardant à tour de rôle.
- Oui, bien sûr m’dame ! Fait mon pote en souriant. Je viendrais vous dépanner sans faute. Vous passez le bonjour à votre mari de ma part ?
Elle semble un peu prise au dépourvu mais se met à nous sourire et dit : - Oui, ce sera fait ! Il travaille tellement en ce moment qu’il n’est pas beaucoup à la maison. Je suis souvent seule. Mais dès que je le vois je lui transmets.
Est-ce un effet de mon imagination ou bien elle m’a vraiment dit ça en me jetant un petit regard juste après ? On lui dit au revoir et mon pote démarre le camion. On fait quelques mètres et il se tourne vers moi : - Mon cochon ! Il s’est passé quoi pendant que j’étais aux chiottes ?
Je décide de mentir : « rien ». Il s’esclaffe bruyamment en s’allumant une clope : - Tu veux me faire croire ça ?! Quand je suis rentré dans la cuisine elle était toute rouge et toi tu regardais ta bière vide ! Me prends pas pour un con !
- Arrête tes conneries !
- Tu veux son numéro ? Me propose-t-il en souriant.
Je sens mon cœur bondir dans ma poitrine : elle m’a fait de l’effet et j’ai vraiment envie d’elle et pas que de ses seins. Mais je ne veux pas pour autant attirer l’attention sur moi ni la mettre dans l’embarras : je me dis que mon pote n’a pas à savoir quoi que ce soit mais bien entendu, je suis bien décidé à la revoir !
- Non, laisse moi tranquille, maintenant ! Je dis en regardant par la fenêtre.
Mon pote se marre et le camion s’engage sur une route nationale.
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