La Femme du Maire (Partie 3)

- Par l'auteur HDS Jackobscene -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Femme du Maire (Partie 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Femme du Maire (Partie 3)
En rentrant de chez Lise, j’ai la surprise de tomber nez à nez avec ma nana, alors que je pensais qu’elle serait de sortie avec ses copines ou au téléphone une fois de plus. Je vois qu’elle me lorgne d’un œil sévère : la soirée ne s’annonce pas géniale ! Je vais me prendre une bière à la cuisine et quand je retourne dans le salon, je la trouve en pleurs sur le canapé : - Qu’est ce qui ne va pas ? Je demande, inutilement, sachant pertinemment ce qui ne va pas. Ce qu’elle confirme : - Nous Flo ! Nous ! Ça ne va plus du tout ! Lâche-t-elle dans un sanglot. Qu’est ce que t’es allé faire ce soir ?
- Boulot, je réponds en buvant une gorgée de ma bière. Tu t’imagines quoi, encore ?
- J’ai l’impression que tu mens, me soupçonne-t-elle. Je sais pas pourquoi ! Mais d’habitude tu ressors pas le soir comme ça !
- Un client a eu un soucis sur un chauffe-eau qu’on a installé hier avec mon pote, j’ai dû y retourner ! Je dis en commençant â monter en pression.
- Un client ? Ou une cliente ? Dit-elle bras croisés, l’œil effronté.
Intuition féminine ? J’ai merdé quelque part ? Impossible de le savoir, mais elle avait des doutes et surtout, elle savait. J’essaye de me dédouaner comme je peux, je lui demande ce qu’elle a fait aujourd’hui au boulot, comment vont ses parents mais elle reste froide comme la glace, un regard en coin m’indiquant qu’elle savait, tout simplement.

- Décidément, t’es un tombeur mon cochon !
Lendemain 10H. Seul à l’appartement, mon collègue m’appelle.
- Pourquoi ? Et arrête de m’appeler « mon cochon », c’est dégueulasse !
- Me prends pas pour une bille ! Répond-il en riant. Elle m’a rappelé. Ta bourgeoise.
Je sens mon cœur accélérer et je tente tant bien que mal de contrôler mes émotions : - Ah bon ? Encore un soucis pour le chauffe-eau ?
- Eh non…mon cochon ! Elle voulait ton numéro ! Étrange, hein ?
Il s’esclaffe à l’autre bout du fil et reprend : - Elle m’a dit je cite : « pour pouvoir remercier votre ouvrier car je n’étais pas là lors des réparations. » je lui ait dit que je transmettrai mais elle m’a dit qu’elle préférait avoir ton contact directement si jamais il y a avait un soucis…Silence entre nous, il reprend : - Pas très futé de sa part ! Tu me piques mes clients , Flo ! Et tu les baise par la même occase ! Déclare-t-il en gloussant. Non, je m’en fous en vrai, par contre je te le dis : me mets pas dans la merde avec le maire ! Il me file pas mal de chantiers dans son bled et ça rapporte ! Donc tu fais ce que tu veux avec ta bourgeoise mais tâchez de pas vous faire serrer, c’est compris ?
- Ok, je dis sans nier .
Je raccroche. C’est vrai que je n’avais pas donné mon numéro a Lise et le fait qu’elle ait cherché à avoir mon contact me fait super plaisir ! J’ai une de ces envies de la revoir et d’être en elle. Apparemment, l’envie de nos retrouvailles est réciproque et ça me fait beaucoup de bien de me sentir en un sens « désiré » par quelqu’un.
Le soir, ma nana rentre du taff dans sa monotonie du quotidien. Je décide d’aller me prendre une douche tranquille. En ressortant, je retourne dans le salon et lâ, un peu comme la veille, elle m’attend. Mais plus de sanglots. Elle est debout, les bras croisés sur ses seins, un regard très sévère, colérique même ! Je constate que mon téléphone est posé sur la table basse.
- Alors ? Me dit-elle, menaçante. Il n’y a rien avec aucune autre fille, Flo ? T’es sûr et certain ?
- Bon, crache ta pastille ! Qu’est ce qu’il y a ?
- Il y a que pendant que t’étais à la douche, on a essayé de t’appeler ! Et plusieurs fois figures-toi ! Au début, j’ai pas décroché en me disant que ça n’était pas mes histoires et finalement, quand je décide de le faire, je tombe sur qui ? Une fille !
- Stop ! J’ai le droit d’avoir des amies non ?
- Je les connais, tes amies ! Me beugle-t-elle à la gueule. Et là celle-ci je la connaissais pas ! Elle a fait « Florian ? » Puis m’a dit : « désolée, je me suis trompé de numéro » quand je lui ai dit que j’étais ta meuf ! Il m’en faut pas plus Flo ! Tu fais tes affaires et tu t’en va !
- Mais ! Je proteste. Tu peux pas me virer comme ça ?!
- C’est qui cette pute ?? Hurle-t-elle dès à présent.
- J’en sais rien, attends, laisse moi…Mais rien. Étant chez elle, dans son appartement, elle a tous les droits. Et elle me somme de filer d’ici et vite ! Je décide de pas faire d’histoire et prendre un sac de sport dans lequel j’entasse quelques affaires pendant qu’elle pleure bruyamment dans le salon. Mais étrangement, je ressens du soulagement et j’en n’ai pas grand-chose â foutre…
Seul, dans ma bagnole, le cœur tambourinant dans la poitrine, j’évalue mes options : mes parents ne m’ont plus à la bonne depuis un moment et n’habitent pas vraiment dans le coin. Je pourrais demander à un pote de m’héberger pour la nuit mais j’ai honte et j’ai surtout pas envie d’emmerder qui que ce soit. Il me reste l’hôtel mais ça coûte une blinde et j’ai pas un rond. Instinctivement, je sais qui je vais appeler. Lise. Elle décroche immédiatement : - Florian ! Je suis désolée !! J’attendais que tu m’appelles, j’ai tout fait de travers aujourd’hui ! M’en veux pas steplait, dis-moi que tout va bien !!
Elle semble totalement déboussolée, ce qui a quelque chose de touchant.
- T’en fais pas Lise. Je me suis fait foutre à la porte mais c’était qu’une question de temps !
- Oh non ! Je suis vraiment désolée ! Tout est de ma faute Florian et je…Elle s’interrompt.
- Lise ?
- Désolée, me dit-elle à voix basse. Je dois me cacher aux toilettes pour t’appeler. Jean-Yves a des soupçons ; il m’a dit qu’il lui avait semblé avoir croisé ta voiture en revenant du conseil municipal mais je lui ai dit que ce genre de modèle était plutôt commun et qu’il se faisait des films !
« Si tu as été aussi crédible que quand t’as eu ma meuf au téléphone, je pense que ton Jean-Yves sait déjà tout ! » Je pense dans ma tête très fort.
- Je suis idiote ! Me dit-elle. Écoute Flo ! Je vais m’arranger pour que tu puisses passer la nuit au chaud. Viens devant chez moi ce soir, je vais te laisser la clé de notre chalet sous le grand pot de fleur de gauche et je t’envoies l’adresse par SMS, ok ?
- Non, Lise, quand même, je vais pas…- C’est un coin paumé au-dessus de Saint-Pierre, Jean Yves n’a aucune raison d’y aller et je passerai te voir demain matin. Pour me faire pardonner, si tu vois ce que je veux dire…Ma queue frétille dans mon pantalon, et j’accepte un peu honteusement mais d’un autre côté, c’est quand même à cause d’elle que je me retrouve dans la merde ce soir…
Le chalet se situe à 30 minutes dans la montagne au dessus de Saint Pierre. Tout en bois, il est de petite taille mais assez cossu et je me dis qu’il a aussi dû leur coûter une blinde ! Tout semble en ordre â l’intérieur, propre et bien rangé : je vois que le couple n’a pas trop l’habitude de venir ici. Je monte à l’étage auquel se trouve une unique pièce : la chambre à coucher, qui dispose de sa propre salle de bain dans un coin et je m’endors presque immédiatement. Quelques heures plus tard, mon téléphone sonne et me réveille : Lise.
- Désolée de te réveiller aussi tôt…Je regarde par la fenêtre de la chambre : le soleil se lève en effet doucement derrière les montagne de l’autre côté de la vallée et je vois sur une petite horloge dans un coin de la pièce qu’il n’est que 6h30.
- Aucun soucis, je réponds.
- T’as bien dormi ?
- Comme un bébé, pas un seul bruit ! Ça me change du centre-ville.
- Jean-Yves est parti à la mairie, tu te sens d’attaque ?
- Oui !
30 minutes plus tard, elle est là. 30 minutes plus tard, ce qui me laisse à penser qu’elle n’a pas pris le temps de se préparer et qu’elle s’est mise en route directement au saut du lit ! Elle n’a pas non plus pris le temps de s’habiller, elle est dans un peignoir de satin – vert émeraude cette fois-ci- elle passe à peine la porte qu’elle se jette sur moi : Je sens la tiédeur de son corps a travers le satin et habilement, elle me saute dessus et accroche ses jambes autour de ma taille. Je bande déjà, et je sens la chaleur de son entrejambe. En la portant, je continue de l’embrasser comme si j’allais la dévorer. Je la pose sur un comptoir en pierre qui délimite le séjour de la cuisine et je l’embrasse sauvagement dans le cou ! Elle respire vite, très vite, et je retire ma chemise. Elle détache la ceinture du peignoir qui s’ouvre sur son corps et le laisse retomber derrière elle : elle est totalement nue. Voilà qu'elle me touche ma queue déjà bien bandante sous mon caleçon et tente de le retirer. Je le fais rapidement et revient entre ses cuisse : mon sexe est juste devant ses grandes lèvres. Elle m’attire encore plus près tout en me bouffant de ses magnifiques yeux verts.
- J’ai pas de capotes, je lui dis.
- On s’en fou !
Elle me colle encore plus contre elle et je la pénètre dans un mouvement de bassin, sa chatte accueillant mon sexe comme si elle ne connaissait que lui. Je sens tout, absolument tout, sans que le latex ne nous sépare. Rageusement, les mains sur son petit cul, je vais et viens dans son intimité trempée et elle savoure l’instant en respirant de plus en plus longuement : - Oh ! Florian…dit-elle dans un souffle.
Haletant, je suis concentré sur elle, sur sa chaleur et l’intérieur de sa chatte doux comme de la soie. Nous nous embrassons follement et elle me serre avec force entre ses cuisses, comme si elle craignait que je m’en aille ! Au bout de 10 minutes, je ressors néanmoins de son vagin et la reprend par les hanches pour la faire descendre : elle retombe sur ses pieds nus et je la retourne pour qu’elle soit dos â moi. Elle pose ses mains à plat sur le comptoir et je sens ses cheveux en inspirant longuement, comme pour m’imprégner de son odeur douçâtre et légèrement vanillée. Collé contre elle, ma bite se perd dans la raie de son fessier, à la recherche de son vagin. Bien mouillée, ma queue s’aventure contre son anus mais je m’en empare et la refait rentrer dans sa chatte en poussant un râle de plaisir que nous partageons ensemble. Ruisselants de sueur, collés l’un contre l’autre, je rentre et ressors doucement en bougeant mon bassin. Elle se cambre un peu plus en arrière pour que je puisse aisément bouger et je serre ses jolies fesses fermes entre mes mains tout en les écartant ce qui m’offre une vue sur son petit trou qui me fait de l’œil au-dessus de ma queue qui rentre et ressort de sa fleur. J’accélère un peu plus le mouvement, la mouille imprégnant tout mon membre et elle retourne la tête, le teint rouge, haletante, la bouche grande ouverte et ses beaux yeux qui m’adressent un regard de braise : - Florian, c’est trop bon ! Dit-elle dans un souffle. Je vais jouir, je vais jouir !
- Ah !! Moi aussi Lise ! Je lui lâche en haletant.
Toujours sur le même rythme, je suffoque presque en la pilonnant et je lui prends la jambe droite que je soulève et place sur le comptoir. Elle adore ça ! Je sens que je vais pas tarder à venir, je lui touche le clito avec ma main gauche et elle se met à glapir dans un cri strident en répétant « Oui ! Oui ! Oui ! » Un nombre incalculable de fois. Je sens que je vais pas tarder à tout lacher et elle exulte dans une longue plainte aigü et ajoute précipitamment, alors que je commence à gémir de plaisir : « Sors ! Sors Florian ! » Je gicle un poil -quelques gouttes- en elle et lorsque ma queue ressort, j’envoie un flot de mon sperme chaud sur la peau douce et bronzée de son dos. À bout de souffle, tout comme elle, je me colle contre son dos et nous reprenons nos esprits dans cette position-là.
- On va se recoucher ? Dit-elle d’une petite voix.
- Oui, ça me paraît pas mal !
- On a la journée pour recommencer Florian, me dit-elle. Puis je tiens à vraiment me faire pardonner tu sais…Elle tourne le cou pour m’adresser un très beau sourire qui a quelque chose de coquin. Je le lui rends puis nous montons dans la chambre. On se glisse dans le lit, nus, et elle se blottit contre moi.

Deux heures plus tard, je sens quelque chose de chaud entourer mon sexe. J’ouvre les yeux et constate que Lise est sous la couette et suce ma queue sur toute sa longueur. Elle me caresse les couilles avec une de ses petites mains habiles et je lui passe tendrement la main dans ses cheveux détachés, que je caresse lentement. Elle fait un « huuum » appréciateur et continue sa besogne toujours dans un rythme posé qui me rend dingue. Je sens ma bite toute dure et j’ai de nouveau envie d’elle : sa tête réapparaît enfin, arborant un large sourire qui me fait fondre et elle vient se poser sur moi, son sexe juste au-dessus du miens. Elle se frotte : je sens son souffle brûlant et elle vient s’empaler lascivement sur mon membre dans une petite plainte discrète. Elle colle ses lèvres sur les miennes et je m’empare une nouvelle fois de ses deux fesses minces que je caresse. Elle effectue des mouvements avec ses hanches et je pousse également mon bassin vers le haut sur le même rythme. Petit à petit, ça monte en intensité ; la voilà qui se redresse, plaçant ses mains sur mon ventre. Elle me chevauche maintenant à la manière d’une cavalière, en bougeant sa croupe de plus en plus rapidement. Je la laisse faire et plonge mon regard dans le sien tandis que ses cheveux bouclés, libres, volent en tous sens sous les à-coups qu’elle donne. C’est bien la première fois que je vois ses cheveux en liberté, ce qui lui donne un petit air un peu plus sauvage que l’image de la parfaite petite femme bourgeoise qu’elle doit tâcher de conserver auprès des gens de son entourage. Elle accélère encore, à bout de souffle, en gémissant de petits cris réguliers et étouffés. Je lui prend ses petites hanches entre mes mains comme pour guider ses mouvements et voilà que moi aussi, je me mets à bouger le bassin vers le haut, au rythme qu’elle a imposé. Je sens que la sève monte dans ma queue, que je ne vais pas tarder à gicler, qu’il faut que je ressorte mais en réalité, je me sens tellement bien, serrée dans son antre chaude et glissante ! Elle s’emballe, ne retient plus ses gémissements qui se transforment en cri tandis que je grogne du fond de ma gorge, sentant l’ejaculation imminente ! Je tente de la prévenir : - Lise, je vais…- Viens en moi !! Cri-t-elle d’une voix haut-perchée, viens Flo, viens, viens, vieeeeeeeeeens !
Je pousse une plainte, le souffle court, mes ongles enfoncés dans ses hanches brûlantes tandis qu’elle, bouche ouverte, se met â trembler de tout son corps en s’enfonçant au maximum sur mon membre ! Je viens à grandes giclées dans son corps, tandis qu’elle est également en train de jouir tout ce qu’elle sait avant de s’effondrer contre mon torse mouillé de sueur. En reprenant nos souffles respectifs, nous nous endormons comme ça.

À SUIVRE.

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