Agathe S'éclate - 03 - Le Rayon
Récit érotique écrit par Jackobscene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Agathe S'éclate - 03 - Le Rayon
Agathe S’éclate – Le Rayon C’est toujours Agathe, 19 ans. Pas très belle, mais pas moche non plus. Une fille moyenne dans la moyenne. Quand elle n’est pas sur une aire de repos à tailler des pipes anonymement dans les toilettes (voir sa dernière aventure) Agathe travaille dans une supérette de son petit bled. Il est 20H ce jour là, le Printemps revient doucement sur la région et la soleil se couche un peu plus tard à présent. Agathe s’apprête à fermer la boutique et se met donc à ranger un peu les rayons pour quitter les lieux à 20h30. Il est fréquent que des clients de dernière minute se pointent au magasin pour acheter une bricole et c’est le cas ce soir : alors qu’elle est en train de remettre en place des boîtes de conserve en bas d’une étagère dans CE rayon qui la gonfle le plus, elle entend la clochette de la porte d’entrée retentir. « Zut ! » Pense-t-elle en se relevant pour aller voir : elle tombe nez à nez avec un habitué : c’est un vieil homme, légèrement courbé, au visage ridé et fatigué. Il a des cheveux gris en bataille sur le sommet du crâne qui lui donne l’air de se réveiller d’une sieste. Il n’est pas très causant et possède des petits yeux bruns et froids qui ne donnent pas tant envie de faire la conversation.
- Bonsoir, dit Agathe en souriant.
L’homme ne lui répond même pas et se contente de sortie un sac cabas d’une des poches de sa vestes. Agathe regarde l’heure et se dit que dans 20 minutes, elle allait fermer boutique. Elle retourne dans son fameux rayon pour continuer de ranger ses boîtes. Pour être à bonne hauteur, elle doit se mettre à genoux. La position est inconfortable et elle commence à trier les boîtes pour les ranger proprement. Au bout d’une minute, toujours dans la même position, elle sent comme une présence : elle se retourne et manque de sursauter car l’homme est là, juste derrière elle, il attend.
- Oui ? Je peux vous aider ? Demande aimablement Agathe.
L’homme ne répond pas et pointe les boites qu’Agathe est en train de ranger du doigt. Cette dernière en prend une et la tend au vieillard qui la range dans son sac mais ne bouge pas pour autant :- Il vous faut autre chose ? Demande Agathe.
L’homme tourne la tête en signe de négation mais reste planté là. Elle se retourne de nouveau pour se remettre à sa besogne mais au bout de deux minutes elle se rend compte qu’il est toujours derrière elle. Elle se demande pourquoi et se retourne de nouveau. Il détourne le regard subitement et fait mine de regarder de la gondole d’en face. En revanche, Agathe remarque quelque chose : une bosse se dessine dans son pantalon en toile. Une bosse assez grosse pour être remarquée et elle est sûre qu’elle n’était pas là juste avant. Elle se retourne sur sa rangée de boîtes, à genoux, et reprend le tri tout en pensant à cet homme qui pourrait être son grand père et qui bande à moins d’un mètre de son cul juste derrière. Cette pensée la fait frémir au niveau du bas ventre et elle se refuse à penser à une telle chose : c’est un vieil homme. Elle se redresse enfin et voit l’homme qui fait mine de regarder le haut de la gondole qu'Agathe était en train de ranger mais elle sait. Elle sait qu’il matait son cul, c’est comme une certitude. Et toujours cette bosse dans son pantalon ! Elle l’esquive et lui passe devant sans le regarder pour se diriger vers sa caisse et commencer à la nettoyer et la ranger. Tout en faisant ça, elle jette des regards vers le rayon où le vieux il se trouve encore. Cela fait maintenant 5 bonnes minutes qu’il est là bas. Agathe se demande bien ce qu’il fait…au bout de 5 minutes de plus, elle ‘s’empare du micro : - Nous informons notre aimable clientèle que nous fermons dans 5 minutes. Merci ! S’entend-elle dire dans les hauts parleurs du magasin.
Et deux minutes plus tard, le voilà qui arrive : la démarche trainante, le dos toujours courbé et surtout, la bosse dans le pantalon. Il a également sa ceinture ouverte. Mais l’homme n’a pas l’air de s’en préoccuper plus que ça et paye ses articles sans jeter le moindre regard à Agathe et sans lui dire au revoir lorsqu’il passe la porte du magasin. Agathe regarde vers la sortie et se dit que jamais cet homme avait agi comme ça auparavant. Ou alors, elle ne s’en était pas rendu compte ? Quoi qu’il en soit, elle se refuse à repenser à cette sensation de plaisir qui l’avait envahie quand elle était dans le rayon. Elle s’active et va chercher de quoi faire le ménage. Heureusement, la supérette n’est pas bien grande et elle n’a pas besoin de beaucoup de temps pour nettoyer. Elle arrive â hauteur de son rayon avec les boîtes de conserve et passe le balais. Elle remarque un mouchoir sale balancé à même le sol, là où elle se trouvait à quatre pattes pour ranger juste avant. Elle sait pertinemment qu’il appartient au vieil homme car aucun autre client n’est venu et le rayon était impecc quand elle l’a quitté.
A contrecœur, elle se penche pour le ramasser afin de le jeter directement dans le sac poubelle et c’est là qu’une odeur forte lui parvint, au moment ou elle s’empare du mouchoir. Une odeur qu’elle connaît bien. Très bien même. Elle tient le mouchoir du bout des doigts et remarque qu’il est humide et « tiède ». elle regarde furtivement autour d’elle bien qu’elle soit totalement seule vu qu’elle a fermé la porte. Elle avance doucement le mouchoir usagé vers ses narines et ça confirme ce qu’elle pensait : il est rempli de sperme. Elle sent de nouveau et cette odeur qui aurait pu la dégoûter et qui lui paraît presque familière. Pour tout dire : elle la trouve plutôt agréable même ! Regardant de nouveau autour d’elle, Agathe ressent encore ce frémissement au niveau de son bas ventre ; elle est totalement seul, enfermée, dans un minuscule rayon et le soleil se couche à l’extérieur. Une envie la prend soudainement. Elle déplie le mouchoir et des filets blancs et visqueux se forment : l’odeur est encore plus forte, tout comme l’envie d’Agathe…Elle s’adosse au rayon et rapproche le mouchoir de ses narines tandis que sa petite main cherche l’entrejambe de son jean. Elle se colle enfin le mouchoir sur le nez et se caresse doucement en bas. Elle sent le plaisir lui monter jusqu’à la tête et l’enivrer tandis qu’elle accélère ses caresses. Elle pense à un moment : « Qu’est ce que je fous ? » Mais ça la stimule encore plus ! Elle frotte maintenant le mouchoir sur tout son visage, se maculant du sperme encore tiède et odorant. Elle s’en applique sur ses lèvres qu’elle lèche avec sa langue et elle adore ça ! Elle va de plus en plus vite dans son entrejambe, léchant à grands coups de langue le sperme restant dans le mouchoir. Avec la bonne quantité qu’il y a, elle mélange la semence à sa salive comme pour faire un crachat. Elle se sent venir de plus en plus : la situation l’excite tellement ! Elle retire les boutons de sa chemise de travail et sort un de ses petits seins, qui pointe comme il faut. Elle crache dessus le mélange de sa bouche et s’amuse à le reprendre et recracher dessus. Se sentant partir de plus en plus, Agathe s’allonge à même le sol, cuisses écartées. Ses doigts passent dans son jean et elle se caresse par-dessus son string trempé, de plus en plus vite ! Au bout de quelques minutes, se mordant maintenant les tétons tout en se touchant, Agathe se sent venir ! De très loin. Elle voit la caméra de sécurité qui est pointée droit sur elle et sourit pendant qu’elle gémit tout ce qu’elle sait ! Le monde s’arrête de tourner tandis que l’orgasme la prend dans tout son corps. Après quelques instants de plaisir intense, elle reprend doucement son souffle, les yeux clos, ses cheveux étalés sur le carrelage du magasin. Lorsqu’elle rouvre les yeux, elle regarde la caméra. Elle avale son mélange sperme-salive et ouvre grand la bouche en tirant sa langue avec malice. Elle se marre puis se relève lentement avant de poursuivre son ménage. C’est la première fois qu’elle a un orgasme au boulot. La dernière ?
Cela fait maintenant cinq joursurs que peu de temps avant la fermeture, le vieil homme se rend au magasin. Il n’achète pas grand-chose à chaque fois, se contentant de prendre une baguette de pain par-ci, une brique de lait par là. Agathe sait qu’il revient pour elle. À chaque fois. Et d’ailleurs, elle en joue : quand vient sa dernière demie-heure, elle va dans « son » rayon et se met sur ses genoux pour ranger ses boîtes, bien qu’à force, il n’y ait plus grand-chose à ranger. C’est juste devenu une habitude, une habitude un poil perverse mais qui fait tenir la journée de boulot à Agathe quand elle pense au soir et au vieil homme qui va venir guigner son jeune cul. Lui-même semble avoir compris qu'elle ne va pas ranger son rayon de manière innocente tous les soirs à la même heure. Le rituel est toujours le même : Agathe va se mettre à quatre pattes, fait mine de tripoter ses conserves et sent la présence de l’homme dans son dos. La veille, il a de nouveau laissé un mouchoir rempli de sa jute et Agathe se l’est appliqué sur sa poitrine avant de lécher ses tétons dans l’arrière boutique tout en se masturbant. Ce fût encore une fois très intense ! Ce soir-là, sixième soir donc depuis la « grande première », Agathe range quelques trucs et constate qu’à 20h05, l’homme n’est toujours pas là. Un peu déçu, elle se dit qu’il avait peut être mieux à faire ou que vu la météo (un orage avait éclaté en fin d’après midi) l’homme avait préféré rester chez lui. Ça ne fait rien, Agathe pense déjà à sa soirée, se demandant si elle n’irait pas refaire la pute sur l’aire de repos du petit lac ; ça lui manque, bien qu’il soit quand même risqué de faire ça mais la sensation de plaisir que ça lui procure la rend bien moins vigilante qu’elle ne devrait être ! Elle se dirige vers sa caisse, s’occupe de la recompter en vue de laisser le contenu au coffre fort pour que son responsable passe le récupérer le lendemain matin, et passe un petit coup de serpillère et de balais. Elle se dirige vers l’arrière boutique (qui consiste en une minuscule sale mal éclairée comportant un petit canapé, une table basse et un mini frigo) se change et met une jupe en jean assez courte ainsi qu’un petit débardeur noir sous lequel elle ne met pas de soutien gorge. Elle se maquille vite fait (brin d’eye-liner et soupçon de rouge à lèvres) Une fois habillée, elle sort de la boutique pour fermer la devanture de fer.
Soudain, alors qu’elle va baisser le rideau, elle le voit qu’il arrive au coin de la rue. L’homme s’approche d’elle. Quand il la voit, ses yeux s’agrandissent et il la contemple sans gêne, comme s’il la dévorait du regard : il ne l’avait encore jamais vue dans une autre tenue que celle qu’elle porte au travail. Il est tout près à présent :- Bonsoir, dit Agathe. Je m’apprête à fermer, Monsieur, le prévint-elle.
L’homme ne réagit pas tout de suite, il continue de la lorgner comme si elle n’était qu’un morceau de viande sur pattes. Agathe trouve ça à la fois gênant, à la fois excitant. Elle aime plaire. Et que ce soit à un vieil homme d’au moins 80 balais lui procure encore plus de plaisir.
- Je voudrais juste prendre une baguette de pain, dit-il d’une petite voix chevrotante.
Agathe réfléchit rapidement, son esprit vif lui fait déjà fantasmer sur la situation : la boutique, qu’elle peut fermer à double tour, sa tenue qui semble le mettre en émoi et le fait qu'ils pourraient se retrouver seuls à seuls a l’intérieur…mais en même temps, il s’agit d’un client régulier et elle se dit que si il doit se passer quelque chose, cela pourrait se savoir mais en même temps : qui croirait quoi que ce soit venant d’un vieil homme fatigué ? Oh que oui ! Cette situation l’excite au plus haut point ! Presque naturellement, un sourire un peu coquin s’affiche sur son visage juvénile et elle dit : - J’ai déjà fait ma caisse mais bon…pour vous, je peux faire une entorse au règlement. Venez !
Elle rouvre la boutique et tient la porte ouverte pour le vieil homme qui lui jette un regard en coin, comme si lui aussi avait une idée derrière la tête. Il entre, Agathe le suit et referme, à clé, juste derrière lui.
Une fois à l’intérieur, le tonnerre se met à gronder à l’extérieur. L’homme chemine doucement entre les rayons pour aller jusqu’au fond du magasin. À l’extérieur, la pluie se met à tomber à grosses gouttes. Cette ambiance électrique excite Agathe encore plus ! Elle s’avance doucement dans les rayons et file jusqu’à celui des pains. L’homme se retourne, avec sa baguette en main et Agathe le regarde d’un air coquin avant de disparaitre dans le rayon d’à côté. « Le » rayon. Elle attend. Elle entend l’homme marcher et ce dernier arrive dans le même rayon. Agathe fait mine de chercher quelque chose sur les étages supérieurs et se met sur la pointe des pieds, laissant sa jupe se relever et offrir une vue délectable sur le haut de ses cuisses et ses fesses prisonnières d’un petit string blanc. Elle entend l’homme qui se rapproche. Il est tellement près qu’elle entend le froissement de son pantalon. Toujours sur la pointe des pieds, elle fait mine de changer des articles de place. Elle redescend pour trifouiller d’autres articles juste en face d’elle et se cambre vers l’arrière. Elle entend l’homme respirer fort. Elle regarde sur sa droite et voit que la pluie inonde la vitrine du magasin qui donne sur la rue. Vu qu’elle n’a pas rallumé la lumière et que le temps est orageux, la pénombre envahit la boutique et de ce fait, n’importe quel passant ne verrait pas ce qui se trame à l’Intérieur. Un cliquetis venant de derrière lui fait comprendre que l’homme déboucle sa ceinture. Elle se cambre encore un peu plus et cette fois, elle attrape sa jupe et la remonte volontairement jusque sur ses hanches. L’homme lâche un petit grognement appréciateur et Agathe attend la suite, agrippant ses mains à l’étagère devant elle tandis que dehors, l’orage se remet à gronder sourdement.
Sans prévenir, elle sent deux mains moites se poser sur la peau lisse de ses fesses. L’homme respire de plus en plus vite et fort en caressant lentement son épiderme. Des frissons l’envahissent et elle attrape la chaire de poule. Il dessine de long va et vient sur son postérieur, toujours dans un rythme lent. Agathe sent son cœur palpiter plus vite et une douce chaleur l’envahir dans tout le corps. D’une de ses mains, elle va chercher son entrejambe et pose quelques doigts sur sa chatte, par-dessus son string. Elle lâche un long soupir, savourant ce moment avec ce vieux bonhomme. Elle se trouve sacrément salope et c’est justement ce qui l’excite : elle, 19 ans, le cul tendu et offert à un vieillard en train de la tripoter, dont l’âge avoisine sans aucun doute les 80 berges. Elle sent maintenant que l’homme se rapproche d’elle ; ses mains remontent jusque sur ses hanches qu’il caresse de plus en plus vite. Elle se redresse et cette fois, ses mains ridées passent sous son débardeur et caresse son ventre. Agathe relève la tête en se mordant la lèvre, elle sent le plaisir monter doucement en elle. L’homme se blottit et elle sent sa bite collante contre sa fesse. Il bande pas très dur et il respire de plus en plus vite dans son dos. Agathe remet ça sur le compte de l’âge et elle sent le pré sperme mouiller sa peau. Il monte une de ses mains jusqu’à la poitrine de la jeune fille. Nouveau grognement de satisfaction quand il se rend compte qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Il s’empare de son sein et le pelote doucement, en prenant soin de titiller aussi le téton, ce qui rend Agathe encore plus folle ! De son autre main, l’homme descend jusqu’à trouver le string de la jeune fille ; habilement, il pose ses doigts à plat par-dessus pour lui caresser le clitoris. Agathe mouille énormément. Elle sent la chaleur intense qui se propage entre ses cuisse et son cœur bat encore plus fort et plus vite qu’auparavant. Elle sent le souffle chaud de l’homme lui caresser la nuque tandis que de ses mains, il la stimule. Agathe se sent lui appartenir, comme si elle n’était qu’un vulgaire jouet. Elle est à sa merci et elle aime ça !
Toujours en la tripotant dans le rayon, avec le grondement régulier de l’orage pour fond sonore, le vieil homme plonge son nez dans les cheveux de la jeune fille pour humer son odeur. Il l’embrasse avec tendresse dans sa chevelure et avec ses doigts, il écarte la ficelle du string sur le côté pour pouvoir directement palper son sexe trempé de cyprine. Agathe gémit de bon cœur et décide de baisser son string sur ses cuisses pour lui faciliter la tâche. L’homme passe ses doigts sur son clitoris, nouveau gémissement aigu de la jeune fille. Elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes. Elle décide également de retirer son débardeur rageusement car la chaleur la fait suer à grosses gouttes. Elle le jette au sol sur le carrelage et se recolle contre l’homme qui garde une main sur son sein et l’autre sur son sexe. Il pince son clitoris doucement, avec une délicatesse experte et Agathe s’entend gémir de nouveau : il sait y faire , c’est une certitude ! Elle pense que c’est l’âge et l’expérience. Elle sent sa queue dans ses fesses et se dit que vu comme elle mouille, il n’en faudrait pas de beaucoup pour qu’il l’insère en elle, s’il réussissait à bander un peu plus dur…mais qu’importe ! L’instant est déjà torride. Agathe sent le souffle de l’homme se rapprocher de son cou et voilà qu’il la mordille à cet endroit, tout en la tirant en arrière avec son bras en travers de son ventre. Elle se laisse aller, elle sent comme des fourmis dans ses jambes tellement qu’elle est en kiff total. Les doigts de l’homme à son entrejambe cherche l’entrée de sa chatte et la trouve sans problème ; toujours avec autant de délicatesse, il insère deux de ses doigts qu’il recroqueville une fois à l’intérieur, dans l’humidité d’une Agathe qui pousse un long, très long gémissement, la tête en arrière, mordant sa lèvre violemment tandis que le vieil homme lui lèche le cou jusqu’à son lobe d’oreille. Il la caresse dans son intimité, où i faut, comme il faut, toujours avec une sorte de « professionnalisme » qui montre toute son expérience. Agathe n’en peut plus, elle sent qu’elle peut venir d’un moment à un autre, elle sent la fièvre qui s’empare d’elle, les gouttes de sueur perlent sur son front et elle ne se retient plus à présent : elle glapit à répétition pendant qu’il la fouille avec ses doigts.
Ne tenant plus, sans penser à l’âge de l’homme, elle s’entend lui chuchoter d’une toute petite voix : « j’la veux ! » Avant de mettre une main dans son dos pour s’emparer de sa queue. Celle-ci bande mou en effet et Agathe se demande si elle réussira à la mettre dans sa chatte. Elle le branle doucement, espérant peut-être la faire grandir encore un peu sans pour autant y croire. La bite de l’homme est humide et visqueuse, Agathe sent que dans la raie de son cul, il a laissé pas mal de pré-sperme. Dans un bruit de succion, elle le branle doucement pendant que lui poursuit sa « fouille » dans la chatte de la jeune fille. De concert, ils halètent tous les deux dans le rayon en se faisant du bien de manière anonyme dans la pénombre de plus en plus présente, au fur et à mesure que l’orage se déchaîne dehors et que la nuit tombe.
Agathe ne tient plus, elle sent qu’elle va venir. L’homme est également en émoi ; elle sent qu’elle peut le finir très vite mais elle veut le sentir en elle, rien qu’un peu, afin que son plaisir atteigne le summum. Elle se cambre de nouveau vers l’arrière pour lui offrir sa chatte et son cul. L’homme s’empare de sa bite et la colle entre les cuisse d’Agathe. Elle sent qu’il est juste à l’entrée de sa chatte trempée ; elle passe une main pour l’aider et tente tant bien que mal d’insérer le sexe en elle. Une fois, deux fois, mais rien à faire, il ne bandera pas assez pour rentrer comme il faut. Néanmoins, elle sent qu’il a une partie de son gland en elle. Agathe décide de ne pas trop bouger pour maintenir cette position. Rien que de le sentir un poil en elle la rend encore plus dingue ! L’homme halète bruyamment et s’agrippe aux hanches d’Agathe en poussant. Il ressort malencontreusement l’infime partie de son gland qui était en elle mais continue à donner de petits coups de reins maladroits pour passer sa queue contre la chatte d’Agathe. Elle l’entend gémir de sa voix chevrotante et faire des « Oui, Oui, oui ! » Il se frotte contre son antre mouillée et Agathe pose sa main à plat sur son clito pour se stimuler. C’est extra. Elle prend un pied pas possible et elle ne se retient plus : ses propres gémissements deviennent de plus en plus bruyant et c’en est trop : étonnamment, c’est elle qui se contracte dans tout son corps et vient la première en poussant un long cri aigu. Elle s’affaisse conte le rayon, le souffle coupé, reprenant ses esprits.
Derrière, l’homme continu de lui frotter l’entrée de sa chatte avec sa petite queue, rentrant très occasionnellement un petit bout de gland. Agathe tente une nouvelle fois de le faire entrer un peu plus en elle mais en vain. Elle se dit que si ils allaient dans l’arrière boutique pour s’allonger sur le canapé, il pourrait peut être y arriver mais avant qu’elle ne lui propose quoi que ce soit, elle entend l’homme pousser un grognement sonore, presque bestiale, très curieux pour son âge avancé. Elle repense au mouchoirs qu’il a laissés et l’odeur, le goût même du sperme ainsi que sa tiédeur. Elle se retourne d’une traite et se met à genoux devant lui, s’empare de sa bite molle pour le branler frénétiquement. Moins de trois second plus tard, il se raidit et éjacule à grands jets comme s’il n’avait pas joui depuis des années (ce qui doit être le cas) et fermant les yeux, ouvrant la bouche en grand, Agathe recueille sa semence salée et visqueuse sur son visage, elle sent un jet partir dans ses cheveux également et un autre aller droit dans sa bouche en passant sur ses lèvres. Agathe avale le peu de jus qu’elle a, lèche sa lèvre imbibée et continue sa branlette, à genoux, espérant que l’homme décharge encore. Elle ouvre les yeux et regarde en hauteur : il a la tête levée vers le plafond et halète tout ce qu’il sait. Avec l’obscurité ambiante, elle ne voit pas son visage et c’est tant mieux : elle commence déjà à sentir une gêne par rapport à son âge avancé mais ce qui est fait est fait puis…elle a pris un de ces pieds ! Encore haletante, Agathe se relève, tourne le dos au vieillard, ramasse ses fringues et s’essuie le visage avec un mouchoir de son sperme chaud. En se rhabillant, toujours dos à lui tandis qu’il respire vite, reprenant ses esprits, elle lui dit : - Je vais devoir fermer, Monsieur.
- Très bien. Dit-il simplement, le souffle encore coupé.
Rhabillée, Agathe file vers la porte d’entrée, la rouvre puis s’écarte, tête baissée. L’homme, de sa démarche lente, n’en mène pas large lui non plus et c’est sans un regard qu’il sort dans la nuit orageuse. Agathe le regarde s’éloigner par la fenêtre couverte de pluie. En retournant bers l’arrière boutique pour récupérer son sac, elle constate que la baguette de pain que '’homme avait prise est sur le sol, devant l’étagère, dans le rayon. « Ce » rayon.
FIN
- Bonsoir, dit Agathe en souriant.
L’homme ne lui répond même pas et se contente de sortie un sac cabas d’une des poches de sa vestes. Agathe regarde l’heure et se dit que dans 20 minutes, elle allait fermer boutique. Elle retourne dans son fameux rayon pour continuer de ranger ses boîtes. Pour être à bonne hauteur, elle doit se mettre à genoux. La position est inconfortable et elle commence à trier les boîtes pour les ranger proprement. Au bout d’une minute, toujours dans la même position, elle sent comme une présence : elle se retourne et manque de sursauter car l’homme est là, juste derrière elle, il attend.
- Oui ? Je peux vous aider ? Demande aimablement Agathe.
L’homme ne répond pas et pointe les boites qu’Agathe est en train de ranger du doigt. Cette dernière en prend une et la tend au vieillard qui la range dans son sac mais ne bouge pas pour autant :- Il vous faut autre chose ? Demande Agathe.
L’homme tourne la tête en signe de négation mais reste planté là. Elle se retourne de nouveau pour se remettre à sa besogne mais au bout de deux minutes elle se rend compte qu’il est toujours derrière elle. Elle se demande pourquoi et se retourne de nouveau. Il détourne le regard subitement et fait mine de regarder de la gondole d’en face. En revanche, Agathe remarque quelque chose : une bosse se dessine dans son pantalon en toile. Une bosse assez grosse pour être remarquée et elle est sûre qu’elle n’était pas là juste avant. Elle se retourne sur sa rangée de boîtes, à genoux, et reprend le tri tout en pensant à cet homme qui pourrait être son grand père et qui bande à moins d’un mètre de son cul juste derrière. Cette pensée la fait frémir au niveau du bas ventre et elle se refuse à penser à une telle chose : c’est un vieil homme. Elle se redresse enfin et voit l’homme qui fait mine de regarder le haut de la gondole qu'Agathe était en train de ranger mais elle sait. Elle sait qu’il matait son cul, c’est comme une certitude. Et toujours cette bosse dans son pantalon ! Elle l’esquive et lui passe devant sans le regarder pour se diriger vers sa caisse et commencer à la nettoyer et la ranger. Tout en faisant ça, elle jette des regards vers le rayon où le vieux il se trouve encore. Cela fait maintenant 5 bonnes minutes qu’il est là bas. Agathe se demande bien ce qu’il fait…au bout de 5 minutes de plus, elle ‘s’empare du micro : - Nous informons notre aimable clientèle que nous fermons dans 5 minutes. Merci ! S’entend-elle dire dans les hauts parleurs du magasin.
Et deux minutes plus tard, le voilà qui arrive : la démarche trainante, le dos toujours courbé et surtout, la bosse dans le pantalon. Il a également sa ceinture ouverte. Mais l’homme n’a pas l’air de s’en préoccuper plus que ça et paye ses articles sans jeter le moindre regard à Agathe et sans lui dire au revoir lorsqu’il passe la porte du magasin. Agathe regarde vers la sortie et se dit que jamais cet homme avait agi comme ça auparavant. Ou alors, elle ne s’en était pas rendu compte ? Quoi qu’il en soit, elle se refuse à repenser à cette sensation de plaisir qui l’avait envahie quand elle était dans le rayon. Elle s’active et va chercher de quoi faire le ménage. Heureusement, la supérette n’est pas bien grande et elle n’a pas besoin de beaucoup de temps pour nettoyer. Elle arrive â hauteur de son rayon avec les boîtes de conserve et passe le balais. Elle remarque un mouchoir sale balancé à même le sol, là où elle se trouvait à quatre pattes pour ranger juste avant. Elle sait pertinemment qu’il appartient au vieil homme car aucun autre client n’est venu et le rayon était impecc quand elle l’a quitté.
A contrecœur, elle se penche pour le ramasser afin de le jeter directement dans le sac poubelle et c’est là qu’une odeur forte lui parvint, au moment ou elle s’empare du mouchoir. Une odeur qu’elle connaît bien. Très bien même. Elle tient le mouchoir du bout des doigts et remarque qu’il est humide et « tiède ». elle regarde furtivement autour d’elle bien qu’elle soit totalement seule vu qu’elle a fermé la porte. Elle avance doucement le mouchoir usagé vers ses narines et ça confirme ce qu’elle pensait : il est rempli de sperme. Elle sent de nouveau et cette odeur qui aurait pu la dégoûter et qui lui paraît presque familière. Pour tout dire : elle la trouve plutôt agréable même ! Regardant de nouveau autour d’elle, Agathe ressent encore ce frémissement au niveau de son bas ventre ; elle est totalement seul, enfermée, dans un minuscule rayon et le soleil se couche à l’extérieur. Une envie la prend soudainement. Elle déplie le mouchoir et des filets blancs et visqueux se forment : l’odeur est encore plus forte, tout comme l’envie d’Agathe…Elle s’adosse au rayon et rapproche le mouchoir de ses narines tandis que sa petite main cherche l’entrejambe de son jean. Elle se colle enfin le mouchoir sur le nez et se caresse doucement en bas. Elle sent le plaisir lui monter jusqu’à la tête et l’enivrer tandis qu’elle accélère ses caresses. Elle pense à un moment : « Qu’est ce que je fous ? » Mais ça la stimule encore plus ! Elle frotte maintenant le mouchoir sur tout son visage, se maculant du sperme encore tiède et odorant. Elle s’en applique sur ses lèvres qu’elle lèche avec sa langue et elle adore ça ! Elle va de plus en plus vite dans son entrejambe, léchant à grands coups de langue le sperme restant dans le mouchoir. Avec la bonne quantité qu’il y a, elle mélange la semence à sa salive comme pour faire un crachat. Elle se sent venir de plus en plus : la situation l’excite tellement ! Elle retire les boutons de sa chemise de travail et sort un de ses petits seins, qui pointe comme il faut. Elle crache dessus le mélange de sa bouche et s’amuse à le reprendre et recracher dessus. Se sentant partir de plus en plus, Agathe s’allonge à même le sol, cuisses écartées. Ses doigts passent dans son jean et elle se caresse par-dessus son string trempé, de plus en plus vite ! Au bout de quelques minutes, se mordant maintenant les tétons tout en se touchant, Agathe se sent venir ! De très loin. Elle voit la caméra de sécurité qui est pointée droit sur elle et sourit pendant qu’elle gémit tout ce qu’elle sait ! Le monde s’arrête de tourner tandis que l’orgasme la prend dans tout son corps. Après quelques instants de plaisir intense, elle reprend doucement son souffle, les yeux clos, ses cheveux étalés sur le carrelage du magasin. Lorsqu’elle rouvre les yeux, elle regarde la caméra. Elle avale son mélange sperme-salive et ouvre grand la bouche en tirant sa langue avec malice. Elle se marre puis se relève lentement avant de poursuivre son ménage. C’est la première fois qu’elle a un orgasme au boulot. La dernière ?
Cela fait maintenant cinq joursurs que peu de temps avant la fermeture, le vieil homme se rend au magasin. Il n’achète pas grand-chose à chaque fois, se contentant de prendre une baguette de pain par-ci, une brique de lait par là. Agathe sait qu’il revient pour elle. À chaque fois. Et d’ailleurs, elle en joue : quand vient sa dernière demie-heure, elle va dans « son » rayon et se met sur ses genoux pour ranger ses boîtes, bien qu’à force, il n’y ait plus grand-chose à ranger. C’est juste devenu une habitude, une habitude un poil perverse mais qui fait tenir la journée de boulot à Agathe quand elle pense au soir et au vieil homme qui va venir guigner son jeune cul. Lui-même semble avoir compris qu'elle ne va pas ranger son rayon de manière innocente tous les soirs à la même heure. Le rituel est toujours le même : Agathe va se mettre à quatre pattes, fait mine de tripoter ses conserves et sent la présence de l’homme dans son dos. La veille, il a de nouveau laissé un mouchoir rempli de sa jute et Agathe se l’est appliqué sur sa poitrine avant de lécher ses tétons dans l’arrière boutique tout en se masturbant. Ce fût encore une fois très intense ! Ce soir-là, sixième soir donc depuis la « grande première », Agathe range quelques trucs et constate qu’à 20h05, l’homme n’est toujours pas là. Un peu déçu, elle se dit qu’il avait peut être mieux à faire ou que vu la météo (un orage avait éclaté en fin d’après midi) l’homme avait préféré rester chez lui. Ça ne fait rien, Agathe pense déjà à sa soirée, se demandant si elle n’irait pas refaire la pute sur l’aire de repos du petit lac ; ça lui manque, bien qu’il soit quand même risqué de faire ça mais la sensation de plaisir que ça lui procure la rend bien moins vigilante qu’elle ne devrait être ! Elle se dirige vers sa caisse, s’occupe de la recompter en vue de laisser le contenu au coffre fort pour que son responsable passe le récupérer le lendemain matin, et passe un petit coup de serpillère et de balais. Elle se dirige vers l’arrière boutique (qui consiste en une minuscule sale mal éclairée comportant un petit canapé, une table basse et un mini frigo) se change et met une jupe en jean assez courte ainsi qu’un petit débardeur noir sous lequel elle ne met pas de soutien gorge. Elle se maquille vite fait (brin d’eye-liner et soupçon de rouge à lèvres) Une fois habillée, elle sort de la boutique pour fermer la devanture de fer.
Soudain, alors qu’elle va baisser le rideau, elle le voit qu’il arrive au coin de la rue. L’homme s’approche d’elle. Quand il la voit, ses yeux s’agrandissent et il la contemple sans gêne, comme s’il la dévorait du regard : il ne l’avait encore jamais vue dans une autre tenue que celle qu’elle porte au travail. Il est tout près à présent :- Bonsoir, dit Agathe. Je m’apprête à fermer, Monsieur, le prévint-elle.
L’homme ne réagit pas tout de suite, il continue de la lorgner comme si elle n’était qu’un morceau de viande sur pattes. Agathe trouve ça à la fois gênant, à la fois excitant. Elle aime plaire. Et que ce soit à un vieil homme d’au moins 80 balais lui procure encore plus de plaisir.
- Je voudrais juste prendre une baguette de pain, dit-il d’une petite voix chevrotante.
Agathe réfléchit rapidement, son esprit vif lui fait déjà fantasmer sur la situation : la boutique, qu’elle peut fermer à double tour, sa tenue qui semble le mettre en émoi et le fait qu'ils pourraient se retrouver seuls à seuls a l’intérieur…mais en même temps, il s’agit d’un client régulier et elle se dit que si il doit se passer quelque chose, cela pourrait se savoir mais en même temps : qui croirait quoi que ce soit venant d’un vieil homme fatigué ? Oh que oui ! Cette situation l’excite au plus haut point ! Presque naturellement, un sourire un peu coquin s’affiche sur son visage juvénile et elle dit : - J’ai déjà fait ma caisse mais bon…pour vous, je peux faire une entorse au règlement. Venez !
Elle rouvre la boutique et tient la porte ouverte pour le vieil homme qui lui jette un regard en coin, comme si lui aussi avait une idée derrière la tête. Il entre, Agathe le suit et referme, à clé, juste derrière lui.
Une fois à l’intérieur, le tonnerre se met à gronder à l’extérieur. L’homme chemine doucement entre les rayons pour aller jusqu’au fond du magasin. À l’extérieur, la pluie se met à tomber à grosses gouttes. Cette ambiance électrique excite Agathe encore plus ! Elle s’avance doucement dans les rayons et file jusqu’à celui des pains. L’homme se retourne, avec sa baguette en main et Agathe le regarde d’un air coquin avant de disparaitre dans le rayon d’à côté. « Le » rayon. Elle attend. Elle entend l’homme marcher et ce dernier arrive dans le même rayon. Agathe fait mine de chercher quelque chose sur les étages supérieurs et se met sur la pointe des pieds, laissant sa jupe se relever et offrir une vue délectable sur le haut de ses cuisses et ses fesses prisonnières d’un petit string blanc. Elle entend l’homme qui se rapproche. Il est tellement près qu’elle entend le froissement de son pantalon. Toujours sur la pointe des pieds, elle fait mine de changer des articles de place. Elle redescend pour trifouiller d’autres articles juste en face d’elle et se cambre vers l’arrière. Elle entend l’homme respirer fort. Elle regarde sur sa droite et voit que la pluie inonde la vitrine du magasin qui donne sur la rue. Vu qu’elle n’a pas rallumé la lumière et que le temps est orageux, la pénombre envahit la boutique et de ce fait, n’importe quel passant ne verrait pas ce qui se trame à l’Intérieur. Un cliquetis venant de derrière lui fait comprendre que l’homme déboucle sa ceinture. Elle se cambre encore un peu plus et cette fois, elle attrape sa jupe et la remonte volontairement jusque sur ses hanches. L’homme lâche un petit grognement appréciateur et Agathe attend la suite, agrippant ses mains à l’étagère devant elle tandis que dehors, l’orage se remet à gronder sourdement.
Sans prévenir, elle sent deux mains moites se poser sur la peau lisse de ses fesses. L’homme respire de plus en plus vite et fort en caressant lentement son épiderme. Des frissons l’envahissent et elle attrape la chaire de poule. Il dessine de long va et vient sur son postérieur, toujours dans un rythme lent. Agathe sent son cœur palpiter plus vite et une douce chaleur l’envahir dans tout le corps. D’une de ses mains, elle va chercher son entrejambe et pose quelques doigts sur sa chatte, par-dessus son string. Elle lâche un long soupir, savourant ce moment avec ce vieux bonhomme. Elle se trouve sacrément salope et c’est justement ce qui l’excite : elle, 19 ans, le cul tendu et offert à un vieillard en train de la tripoter, dont l’âge avoisine sans aucun doute les 80 berges. Elle sent maintenant que l’homme se rapproche d’elle ; ses mains remontent jusque sur ses hanches qu’il caresse de plus en plus vite. Elle se redresse et cette fois, ses mains ridées passent sous son débardeur et caresse son ventre. Agathe relève la tête en se mordant la lèvre, elle sent le plaisir monter doucement en elle. L’homme se blottit et elle sent sa bite collante contre sa fesse. Il bande pas très dur et il respire de plus en plus vite dans son dos. Agathe remet ça sur le compte de l’âge et elle sent le pré sperme mouiller sa peau. Il monte une de ses mains jusqu’à la poitrine de la jeune fille. Nouveau grognement de satisfaction quand il se rend compte qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Il s’empare de son sein et le pelote doucement, en prenant soin de titiller aussi le téton, ce qui rend Agathe encore plus folle ! De son autre main, l’homme descend jusqu’à trouver le string de la jeune fille ; habilement, il pose ses doigts à plat par-dessus pour lui caresser le clitoris. Agathe mouille énormément. Elle sent la chaleur intense qui se propage entre ses cuisse et son cœur bat encore plus fort et plus vite qu’auparavant. Elle sent le souffle chaud de l’homme lui caresser la nuque tandis que de ses mains, il la stimule. Agathe se sent lui appartenir, comme si elle n’était qu’un vulgaire jouet. Elle est à sa merci et elle aime ça !
Toujours en la tripotant dans le rayon, avec le grondement régulier de l’orage pour fond sonore, le vieil homme plonge son nez dans les cheveux de la jeune fille pour humer son odeur. Il l’embrasse avec tendresse dans sa chevelure et avec ses doigts, il écarte la ficelle du string sur le côté pour pouvoir directement palper son sexe trempé de cyprine. Agathe gémit de bon cœur et décide de baisser son string sur ses cuisses pour lui faciliter la tâche. L’homme passe ses doigts sur son clitoris, nouveau gémissement aigu de la jeune fille. Elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes. Elle décide également de retirer son débardeur rageusement car la chaleur la fait suer à grosses gouttes. Elle le jette au sol sur le carrelage et se recolle contre l’homme qui garde une main sur son sein et l’autre sur son sexe. Il pince son clitoris doucement, avec une délicatesse experte et Agathe s’entend gémir de nouveau : il sait y faire , c’est une certitude ! Elle pense que c’est l’âge et l’expérience. Elle sent sa queue dans ses fesses et se dit que vu comme elle mouille, il n’en faudrait pas de beaucoup pour qu’il l’insère en elle, s’il réussissait à bander un peu plus dur…mais qu’importe ! L’instant est déjà torride. Agathe sent le souffle de l’homme se rapprocher de son cou et voilà qu’il la mordille à cet endroit, tout en la tirant en arrière avec son bras en travers de son ventre. Elle se laisse aller, elle sent comme des fourmis dans ses jambes tellement qu’elle est en kiff total. Les doigts de l’homme à son entrejambe cherche l’entrée de sa chatte et la trouve sans problème ; toujours avec autant de délicatesse, il insère deux de ses doigts qu’il recroqueville une fois à l’intérieur, dans l’humidité d’une Agathe qui pousse un long, très long gémissement, la tête en arrière, mordant sa lèvre violemment tandis que le vieil homme lui lèche le cou jusqu’à son lobe d’oreille. Il la caresse dans son intimité, où i faut, comme il faut, toujours avec une sorte de « professionnalisme » qui montre toute son expérience. Agathe n’en peut plus, elle sent qu’elle peut venir d’un moment à un autre, elle sent la fièvre qui s’empare d’elle, les gouttes de sueur perlent sur son front et elle ne se retient plus à présent : elle glapit à répétition pendant qu’il la fouille avec ses doigts.
Ne tenant plus, sans penser à l’âge de l’homme, elle s’entend lui chuchoter d’une toute petite voix : « j’la veux ! » Avant de mettre une main dans son dos pour s’emparer de sa queue. Celle-ci bande mou en effet et Agathe se demande si elle réussira à la mettre dans sa chatte. Elle le branle doucement, espérant peut-être la faire grandir encore un peu sans pour autant y croire. La bite de l’homme est humide et visqueuse, Agathe sent que dans la raie de son cul, il a laissé pas mal de pré-sperme. Dans un bruit de succion, elle le branle doucement pendant que lui poursuit sa « fouille » dans la chatte de la jeune fille. De concert, ils halètent tous les deux dans le rayon en se faisant du bien de manière anonyme dans la pénombre de plus en plus présente, au fur et à mesure que l’orage se déchaîne dehors et que la nuit tombe.
Agathe ne tient plus, elle sent qu’elle va venir. L’homme est également en émoi ; elle sent qu’elle peut le finir très vite mais elle veut le sentir en elle, rien qu’un peu, afin que son plaisir atteigne le summum. Elle se cambre de nouveau vers l’arrière pour lui offrir sa chatte et son cul. L’homme s’empare de sa bite et la colle entre les cuisse d’Agathe. Elle sent qu’il est juste à l’entrée de sa chatte trempée ; elle passe une main pour l’aider et tente tant bien que mal d’insérer le sexe en elle. Une fois, deux fois, mais rien à faire, il ne bandera pas assez pour rentrer comme il faut. Néanmoins, elle sent qu’il a une partie de son gland en elle. Agathe décide de ne pas trop bouger pour maintenir cette position. Rien que de le sentir un poil en elle la rend encore plus dingue ! L’homme halète bruyamment et s’agrippe aux hanches d’Agathe en poussant. Il ressort malencontreusement l’infime partie de son gland qui était en elle mais continue à donner de petits coups de reins maladroits pour passer sa queue contre la chatte d’Agathe. Elle l’entend gémir de sa voix chevrotante et faire des « Oui, Oui, oui ! » Il se frotte contre son antre mouillée et Agathe pose sa main à plat sur son clito pour se stimuler. C’est extra. Elle prend un pied pas possible et elle ne se retient plus : ses propres gémissements deviennent de plus en plus bruyant et c’en est trop : étonnamment, c’est elle qui se contracte dans tout son corps et vient la première en poussant un long cri aigu. Elle s’affaisse conte le rayon, le souffle coupé, reprenant ses esprits.
Derrière, l’homme continu de lui frotter l’entrée de sa chatte avec sa petite queue, rentrant très occasionnellement un petit bout de gland. Agathe tente une nouvelle fois de le faire entrer un peu plus en elle mais en vain. Elle se dit que si ils allaient dans l’arrière boutique pour s’allonger sur le canapé, il pourrait peut être y arriver mais avant qu’elle ne lui propose quoi que ce soit, elle entend l’homme pousser un grognement sonore, presque bestiale, très curieux pour son âge avancé. Elle repense au mouchoirs qu’il a laissés et l’odeur, le goût même du sperme ainsi que sa tiédeur. Elle se retourne d’une traite et se met à genoux devant lui, s’empare de sa bite molle pour le branler frénétiquement. Moins de trois second plus tard, il se raidit et éjacule à grands jets comme s’il n’avait pas joui depuis des années (ce qui doit être le cas) et fermant les yeux, ouvrant la bouche en grand, Agathe recueille sa semence salée et visqueuse sur son visage, elle sent un jet partir dans ses cheveux également et un autre aller droit dans sa bouche en passant sur ses lèvres. Agathe avale le peu de jus qu’elle a, lèche sa lèvre imbibée et continue sa branlette, à genoux, espérant que l’homme décharge encore. Elle ouvre les yeux et regarde en hauteur : il a la tête levée vers le plafond et halète tout ce qu’il sait. Avec l’obscurité ambiante, elle ne voit pas son visage et c’est tant mieux : elle commence déjà à sentir une gêne par rapport à son âge avancé mais ce qui est fait est fait puis…elle a pris un de ces pieds ! Encore haletante, Agathe se relève, tourne le dos au vieillard, ramasse ses fringues et s’essuie le visage avec un mouchoir de son sperme chaud. En se rhabillant, toujours dos à lui tandis qu’il respire vite, reprenant ses esprits, elle lui dit : - Je vais devoir fermer, Monsieur.
- Très bien. Dit-il simplement, le souffle encore coupé.
Rhabillée, Agathe file vers la porte d’entrée, la rouvre puis s’écarte, tête baissée. L’homme, de sa démarche lente, n’en mène pas large lui non plus et c’est sans un regard qu’il sort dans la nuit orageuse. Agathe le regarde s’éloigner par la fenêtre couverte de pluie. En retournant bers l’arrière boutique pour récupérer son sac, elle constate que la baguette de pain que '’homme avait prise est sur le sol, devant l’étagère, dans le rayon. « Ce » rayon.
FIN
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