La Femme du Maire (Partie 2)
Récit érotique écrit par Jackobscene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Femme du Maire (Partie 2)
Le soir venu, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qu’il s’est passé plus tôt dans la journée chez le maire, avec sa femme. Je suis seul, ma nana est sortie avec des copines. De toute façon, ça fait quelques temps qu’on ne fait plus rien ensemble et ue les fois ou on se retrouve tous les deux, c’est juste pour s’échanger des politesses genre « Passe une bonne journée » « ça va ? » et j’en passe. Ça fait quelques temps qu’on n’a pas baisé et notre relation est au point mort. Six pieds sous terre. Je fume en regardant une émission de merde à la télé, enfoncé dans le canapé. Me détournant du programme soporifique qui passe sur l’écran, je regarde ma main gauche et me remémore le petit sein de Lise que je tenais fermement, quelques heures auparavant. Je me souviens de sa douceur, semblable à la peau d’une pêche et je sens mon membre s’agrandir légèrement dans mon pantalon de pyjama. Je décide de le sortir, j’éteins la télé et je commence à me caresser. Il devient dur et atteint très vite la taille maximale (soit 17 CM) et je fais des vas et viens avec cette même main qui pelotait le sein de la femme du maire. Je ferme les yeux, imaginant la suite des événements si mon pote n’était pas revenu, s’il n’avait pas été là tout simplement : je m’imagine prendre le petit téton pointu de Lise entre mes lèvres et l’embrasser délicatement, à plusieurs reprises. Le bout de mon gland est déjà humide de mon pré-sperme visqueux et je sens que je vais jouir rapidement. J’effectue des allers-retours de plus en plus vifs, je m’imagine prenant les seins de Lise à pleines mains, lui suçant les tétons et je sens ma sève monter: dans un râle de plaisir, je jouis à grosses giclées contre mon ventre. Je me sens bien vidé, une bonne quantité de sperme sur l’abdomen que j’essuie avec un mouchoir mais maintenant…je me rends compte que j’ai encore plus envie de revoir Lise. Et d’aller plus loin que de lui peloter ses seins ou de fantasmer sur elle.
Le lendemain matin, ma nana est partie de bonne heure au travail, sans avoir de geste tendre à mon égard, comme depuis maintenant 3 bons mois. Je me fais un café, prend mon téléphone et décide d’aller sur Facebook pour entamer des recherches : je tape le nom de Lise dans la barre de recherche et je la trouve très vite. Il y a quelques photos et impossible de s’y tromper : c’est bien elle que je vois dessus. Il n’y a pas vraiment de photo qui mettent son corps en valeur mais de toute façon, c’est sur ses yeux verts que je m’arrête, sur ce regard intense qui me fait un effet fou. Je trouve une photo ou elle est avec lui. Le maire. Elle date de Noël dernier à priori et ils sont à une soirée. Il a l’air d’avoir un balais dans le cul et il fait bien ses cinquante ans passés, le front ridé, le crane presque dégarni et le reste de ses cheveux plus sel que poivre. Il a des petits yeux bruns et un cou quasi inexistant. Je remarque qu’il a un peu d’embonpoint sous son écharpe tricolore et je n’ai aucun mal à comprendre pourquoi Lise a eu envie de se taper un autre mec. À côté de lui, drapée dans une belle robe noire qui s’arrête à mi-cuisse, elle respire la jeunesse et son regard illumine le cliché, une fois de plus. Elle porte des collants noirs qui mettent ses fines jambes très en valeur. Je remarque que sa robe est très légèrement décolletée, laissant entrevoir le haut de se poitrine et je devine ce petit sein doux et pointu, sur lequel j’ai eu l’occasion de mettre la main.
Vers midi, J’hésite ; je regrette de ne pas avoir dit à mon collègue de me filer son numéro et maintenant, j’ai honte de l’appeler pour lui demander de me le filer. Puis une fois de plus, j’ai pas envie qu’il soit au courant pour elle et moi mais finalement, je n’ai pas besoin de demander quoi que ce soit : vers une heure et demie, mon pote m’appelle : - Oh branleur ! Qu’est ce que tu fais ?!
- Salut. Rien, pourquoi ? T’as du boulot pour moi ?
Avec espoir, je me dis que peut-être, il faut retourner chez le maire. Et en effet, mes vœux sont exaucés : - Devine qui m’a rappelé ? Me dit-il.
- Elle ?
- Tout juste ! Il y a un soucis sur ‘le chauffe-eau. J’ai pas compris quoi, mais il faut que j’y retourne et fissa. L’ennui c’est que j’ai pas le temps. Tu peux y passer cet après-midi ? Vu que les bourgeoises et la plomberie c’est ton truc, ahah !
- Arrête avec ça ! Je dis, bien qu’au fond, mon cœur s’emballe. Je vais y aller, ouais !
- Tu me sauves la vie, puis je sais que t’es pas mécontent. Appelle moi quand t’as finis, mon cochon.
- Ok.
20 minutes plus tard, j’arrive sur place. Dans la cour, une Bentley est garée et lorsque la porte d’entrée s’ouvre, ce n’est pas Lise.
- Bonjour ! Me lance le maire en attendant sous le porche, l’air sévère.
Il fait encore plus vieux que sur la photo, je trouve.
- Bonjour, je dis. En quoi je peux vous être utile, Monsieur le Maire ?
- Vous m’avez fait n’importe quoi, hier matin ! Me dit-il, sur un ton excédé.
Surpris, je répond :- Ah bon ? Pourtant on a pris soin de tout bien monter et ça marchait quand nous sommes repartis.
Je le suis jusqu’à la salle de bain et dans le couloir, nous croisons Lise qui va pour descendre : - Bonjour, me dit-elle avec un beau sourire. Vous allez bien ?
- Oui, merci et vous ?
- On n’a pas le temps ! Ronchonne le Maire à l’adresse de sa femme. T’as pas des papiers cadeaux à faire ?
- J’y vais ! Dit-elle docilement en baissant le nez.
Le maire entre dans la salle de bain, je me tourne vers l’escalier, je vois qu’elle me regarde avec ses yeux dans lesquels je distingue une lueur de désir.
Je regarde l’appareil et je constate qu’en fait, il a tout bonnement été « saboté ». Mais rien de grave. Je soupçonne Lise d’y être pour quelque chose bien sûr.
- Ah c’est pas grand-chose, je dis. Vous savez ça peut arriver des fois, c’est la platine électrique qui s’est mise en position de sécurité parce que le ballon d’eau chaude n’a pas- Ouh là ! Me coupe-t-il. Ça m’intéresse pas, j’ai d’autres préoccupations vous savez ! Vous pouvez me remettre ça d’aplomb maintenant ?
- Oui oui, bien sûr, je vais juste chercher ma caisse à outils, je reviens.
En descendant les marches, je me dis que ce connard a bien de la chance de se taper une femme comme Lise. D’ailleurs, elle est en bas, dans l’entrée, elle m’attend et me regarde encore avec ce regard intense. Je me sens attiré comme un aimant et au lieu d’aller directement vers la porte, je m’approche d’elle et la prend par les hanches. Nous nous embrassons à pleine bouche mais très vite, elle recule et me murmure : « je pensais qu’il ne rentrerait pas cet après midi » Elle me tend un bout de papier qu’elle sort d’une poche de sa jupe en jean.
- Appelle moi ce soir, il est au conseil municipal.
- Ok, je dis.
Je fond sur elle, de nouveau et ne peut m’empêcher de mettre mes mains sous sa jupe : elle ne porte pas de culotte. Je m’empare de ses deux fesses menues et elle m’arrête et me susurre à l’oreille : « ce soir Florian…ce soir »
Je ne sais pas à quelle heure a lieu le conseil et je regarde sur le site de la ville : 19H. Il est 17h30. Ma nana est rentrée du boulot mais m’évite et va plutôt s’enfermer dans la chambre pour téléphoner à je ne sais qui. Des copines ? Un autre mec ? Je m’en fou ! Quoi qu’il en soit, après nos embrassades avec Lise, je suis retourné réparer le chauffe-eau, ça m’a prit cinq minutes au cours desquels le Maire ne m’a pas lâché. Une fois que j’ai terminé, pas un merci, pas un verre, et même pas un petit billet. Je suis reparti sans avoir recroisée Lise mais de toute façon, j’était bien décidé à me faire payer pour l’intervention. En nature. J’ai dû aussi esquiver les remarques douteuses de mon collègue en disant que j’avais fait le boulot et en mentant quand il me demandait si quelque chose s’était passé avec elle. J’appelle Lise vers 18h30, en me cachant aux chiottes pour pas que ma meuf se doute de quoi que ce soit, elle me dit ok pour 19h. Je reprends ma voiture sans prévenir ma nana et retourne là bas. Je gare ma voiture un peu plus loin, au cas où, pour ne pas éveiller les soupçons et me présente au portail. Elle ouvre et je traverse la cour rapidement, le cœur battant, pressé de pouvoir retrouver les yeux magnifiques de Lise. La porte est ouverte quand j’arrive, elle est là, dans le hall, ses cheveux attachés en chignon au dessus de la tête, du rouge aux lèvres et un brin d’eye-liner qui fait ressortir le vert de ses grands yeux. Elle porte un peignoir de satin bordeaux et je vois ses jambes au bronzage impeccable dépasser en dessous. Ses pieds nus, ont les ongles vernis de la même couleur qu’elle a sur les lèvres. Elle me sourit, je la prend par la taille et l’embrasse à pleine bouche comme tout à l’heure.
Elle me prend par la main et on va directement dans l’immense salon de la maison. Elle me pousse dans le canapé en cuir, je m’enfonce dedans. Derrière elle, une grande baie vitrée donne sur la vallée en contrebas, d’où quelques lumières commencent à briller. Elle retire son peignoir dans un geste lent et il se retrouve sur le sol carrelé, comme un tas informe. Elle est nue. Intégralement. Sa petite chatte est bien rasée, hormis le minuscule trait fin de poils si blonds qu’ils en sont presque blancs, sur son Mont Vénus. Ses deux petits seins sont très blancs encore , le bronzage topless n’ayant pas encore pu les faire dorer autant que le reste de son épiderme. Elle vient se mettre à califourchon sur moi et nos deux langues entament de nouveau une danse effrénée dans des bruits de bouches mouillées qui résonnent dans tout le salon. Elle frotte sa chatte sur la bosse énorme qui se tient sous mon short et je mets son sein droit dans ma bouche et le tête avec gourmandise en pelotant l’autre. Pendant qu’elle accélère le mouvement sur moi, comme une cavalière olympique, je change de sein et prend le gauche dans ma bouche. Je mordille son téton et je l’entend presque gémir, d’une voix aiguë. Je l’embrasse ensuite dans son cou brûlant et la vois lever la tête, haletante.
Mes mains vont maintenant sur ses fesses fermes que je serre fort ! J’ai envie de lui toucher l’anus mais je n’ose pas trop en même temps. Je la prends par la taille et la fait basculer facilement sur le canapé, allongée sur le dos. « J’en peux plus ! » Je lui dis dans un souffle en retirant ma ceinture et en baissant mon short, le caleçon partant avec sur le carrelage. Voyant ma hampe érigée fièrement, elle revient vers moi à quatre pattes et la gobe sans préambule ! Je lâche une exclamation de surprise teintée de plaisir et elle fait de rapides vas et viens sur ma queue qu’elle prend entière. Sa bouche experte, chaude et mouillée, continue de sucer ma bite et elle descend maintenant jusque sur mes couilles qu’elle prend également dans sa bouche tout en me jetant des regards qui me rendent fou ! Sa main aux doigts maigres me branlent et elle caresse mon gland trempé avec son pouce puis repart sur la pipe, toujours avec cette même vigueur, comme si elle était affamée.
Je l’agrippe par son chignon pendant qu’elle me suce encore et la dirige dans ses mouvements de tête. Je sens que je viens un tout petit peu à un moment, mais elle est toujours concentrée sur sa besogne. Elle ressort ma bite une minute après et lèche mon gland avec sa langue, toujours en me regardant du coin de ses yeux qui me rendent dingue. « Je tiens plus ! » Je lui dis et la repousse pour qu’elle se rallonge sur le dos, un coussin derrière la nuque. Je retire mon polo, je suis nu aussi. Je me porte sur sa chatte inondée de mouille et la lui lèche de bas en haut, en insistant bien sur le clito, ce qui la fait gémir plus fort cette fois ! Je continue de lui laper la chatte encore quelques minutes, pendant qu’elle m’agrippe la tignasse, me faisant presque mal. Je retire ma tête et viens sur elle pour l’embrasser, bouffer sa langue rageusement ; j’ai tellement envie de sexe, depuis si longtemps, que j’en oublie les précautions d’usage mais elle me dit, d’une petite voix haletante : « T’as des capotes ? » Je me redresse et prend dans la poche de mon short...J’y avais pensé heureusement !
J’enfile le latex sur ma queue et reviens direct entre ses fines cuisses ; vu comment elle mouille, je rentre en elle sans aucune difficultés et elle pousse un petit cri haut perché lorsque j’y suis en entier. J’entame des vas et viens vifs, la pénétrant jusqu’à la garde . Mon cœur tambourine dans ma poitrine et Lise, en sueur, respire de plus en plus vite, le teint écarlate, ses grands yeux verts posés sur moi. Je prends ses cuisses et les fait basculer de côté ; c’est comme si elle se trouvait de profil. Je la lime encore sans retenue, dans le même rythme effréné que depuis le début, au son de mes couilles qui claquent maintenant son cul , ainsi que ses gémissements de plaisir. Je sens que je peux venir d’un instant à l’autre et je sens aussi que ce sera l’explosion ; mis à part quelques branlettes, ma vie sexuelle était totalement vide avant aujourd’hui !
Au bout d’un moment, tous les deux en nage, la sueur sur nos visages, Lise retire mon membre de sa chatte et me pousse d’une main délicate sur ma poitrine, pour que je m’enfonce dans le cuir du canapé, assis. Je constate au passage qu’elle a tellement mouillé que des traces blanches tâchent le cuir de l’assise. Elle vient s’empaler sur moi avec un grand sourire, haletante, et elle reprend le rythme rapide et vigoureux que j’avais imposé avant. Elle devient de plus en plus folle et son visage prend une teinte encore plus rouge. Je sens que je vais venir, mon cœur s’accélère. Elle prend mes cheveux et met ma tête entre ses petits seins que je lèche sans aucune retenue. Elle gémit de plus en plus et je sens que mes râles deviennent plus audible dans le salon. Elle se met maintenant à me dire, d’une petite voix implorante : « Oui, vas’y, vas’y ! » A l’entendre, je me sens encore plus excité et je suis au bord de l’explosion, elle aussi, je m’accroche à ses fesses dans lesquelles je plante mes ongles et tout â coup, je râle de plaisir tandis qu’elle pousse un long cri haut perché ; on vient en même temps ! Je décharge pas mal dans la capote pendant que Lise rejette sa tête en arrière, dans un plaisir intense.
On reste un peu comme ça, à reprendre notre souffle puis elle se dégage et remet son peignoir, le teint encore cramoisi, le visage en sueur avec son chignon légèrement de travers sur le crâne mais elle sourit. Un sourire éclatant, de joie, tandis que ses yeux me regardent en pétillant.
- Florian, c’était…waho ! Me dit-elle avec joie.
- Pareil, tu sais ! Je lui réponds.
Je vois qu’elle regarde de l’autre côté, la grande horloge de la cuisine et elle prend un air un peu inquiet : - J’veux pas te mettre à la porte mais, je préfère prendre mon temps pour me laver et me préparer avant que Jean-Yves soit rentré, tu comprends ?
- Oui, bien sûr ! Je dis en remettant mon froc.
Elle revient vers moi sur le canapé. Penchée, je vois ses petits seins qui étaient les miens, à travers l’ouverture de son peignoir.
- On se revoit vite ? Me demande-t-elle avec son regard magnifique.
- J’y compte bien !
Je me relève, elle vient contre moi et on s’embrasse langoureusement. Je pars et retourne vers ma voiture. À la porte, elle m’adresse un signe auquel je réponds. Je me sens bien, vidé, et surtout plus frustré du tout. En remontant le chemin, je me dis que je vais devoir éviter ma meuf en rentrant. Je retourne sur la route nationale et la première voiture que je croise en face, dans ce trou perdu, est une Bentley. Je crois même qu’elle est parfaitement semblable à celle du Maire. Si c’est lui, on aura eu de la chance, beaucoup de chance.
Le lendemain matin, ma nana est partie de bonne heure au travail, sans avoir de geste tendre à mon égard, comme depuis maintenant 3 bons mois. Je me fais un café, prend mon téléphone et décide d’aller sur Facebook pour entamer des recherches : je tape le nom de Lise dans la barre de recherche et je la trouve très vite. Il y a quelques photos et impossible de s’y tromper : c’est bien elle que je vois dessus. Il n’y a pas vraiment de photo qui mettent son corps en valeur mais de toute façon, c’est sur ses yeux verts que je m’arrête, sur ce regard intense qui me fait un effet fou. Je trouve une photo ou elle est avec lui. Le maire. Elle date de Noël dernier à priori et ils sont à une soirée. Il a l’air d’avoir un balais dans le cul et il fait bien ses cinquante ans passés, le front ridé, le crane presque dégarni et le reste de ses cheveux plus sel que poivre. Il a des petits yeux bruns et un cou quasi inexistant. Je remarque qu’il a un peu d’embonpoint sous son écharpe tricolore et je n’ai aucun mal à comprendre pourquoi Lise a eu envie de se taper un autre mec. À côté de lui, drapée dans une belle robe noire qui s’arrête à mi-cuisse, elle respire la jeunesse et son regard illumine le cliché, une fois de plus. Elle porte des collants noirs qui mettent ses fines jambes très en valeur. Je remarque que sa robe est très légèrement décolletée, laissant entrevoir le haut de se poitrine et je devine ce petit sein doux et pointu, sur lequel j’ai eu l’occasion de mettre la main.
Vers midi, J’hésite ; je regrette de ne pas avoir dit à mon collègue de me filer son numéro et maintenant, j’ai honte de l’appeler pour lui demander de me le filer. Puis une fois de plus, j’ai pas envie qu’il soit au courant pour elle et moi mais finalement, je n’ai pas besoin de demander quoi que ce soit : vers une heure et demie, mon pote m’appelle : - Oh branleur ! Qu’est ce que tu fais ?!
- Salut. Rien, pourquoi ? T’as du boulot pour moi ?
Avec espoir, je me dis que peut-être, il faut retourner chez le maire. Et en effet, mes vœux sont exaucés : - Devine qui m’a rappelé ? Me dit-il.
- Elle ?
- Tout juste ! Il y a un soucis sur ‘le chauffe-eau. J’ai pas compris quoi, mais il faut que j’y retourne et fissa. L’ennui c’est que j’ai pas le temps. Tu peux y passer cet après-midi ? Vu que les bourgeoises et la plomberie c’est ton truc, ahah !
- Arrête avec ça ! Je dis, bien qu’au fond, mon cœur s’emballe. Je vais y aller, ouais !
- Tu me sauves la vie, puis je sais que t’es pas mécontent. Appelle moi quand t’as finis, mon cochon.
- Ok.
20 minutes plus tard, j’arrive sur place. Dans la cour, une Bentley est garée et lorsque la porte d’entrée s’ouvre, ce n’est pas Lise.
- Bonjour ! Me lance le maire en attendant sous le porche, l’air sévère.
Il fait encore plus vieux que sur la photo, je trouve.
- Bonjour, je dis. En quoi je peux vous être utile, Monsieur le Maire ?
- Vous m’avez fait n’importe quoi, hier matin ! Me dit-il, sur un ton excédé.
Surpris, je répond :- Ah bon ? Pourtant on a pris soin de tout bien monter et ça marchait quand nous sommes repartis.
Je le suis jusqu’à la salle de bain et dans le couloir, nous croisons Lise qui va pour descendre : - Bonjour, me dit-elle avec un beau sourire. Vous allez bien ?
- Oui, merci et vous ?
- On n’a pas le temps ! Ronchonne le Maire à l’adresse de sa femme. T’as pas des papiers cadeaux à faire ?
- J’y vais ! Dit-elle docilement en baissant le nez.
Le maire entre dans la salle de bain, je me tourne vers l’escalier, je vois qu’elle me regarde avec ses yeux dans lesquels je distingue une lueur de désir.
Je regarde l’appareil et je constate qu’en fait, il a tout bonnement été « saboté ». Mais rien de grave. Je soupçonne Lise d’y être pour quelque chose bien sûr.
- Ah c’est pas grand-chose, je dis. Vous savez ça peut arriver des fois, c’est la platine électrique qui s’est mise en position de sécurité parce que le ballon d’eau chaude n’a pas- Ouh là ! Me coupe-t-il. Ça m’intéresse pas, j’ai d’autres préoccupations vous savez ! Vous pouvez me remettre ça d’aplomb maintenant ?
- Oui oui, bien sûr, je vais juste chercher ma caisse à outils, je reviens.
En descendant les marches, je me dis que ce connard a bien de la chance de se taper une femme comme Lise. D’ailleurs, elle est en bas, dans l’entrée, elle m’attend et me regarde encore avec ce regard intense. Je me sens attiré comme un aimant et au lieu d’aller directement vers la porte, je m’approche d’elle et la prend par les hanches. Nous nous embrassons à pleine bouche mais très vite, elle recule et me murmure : « je pensais qu’il ne rentrerait pas cet après midi » Elle me tend un bout de papier qu’elle sort d’une poche de sa jupe en jean.
- Appelle moi ce soir, il est au conseil municipal.
- Ok, je dis.
Je fond sur elle, de nouveau et ne peut m’empêcher de mettre mes mains sous sa jupe : elle ne porte pas de culotte. Je m’empare de ses deux fesses menues et elle m’arrête et me susurre à l’oreille : « ce soir Florian…ce soir »
Je ne sais pas à quelle heure a lieu le conseil et je regarde sur le site de la ville : 19H. Il est 17h30. Ma nana est rentrée du boulot mais m’évite et va plutôt s’enfermer dans la chambre pour téléphoner à je ne sais qui. Des copines ? Un autre mec ? Je m’en fou ! Quoi qu’il en soit, après nos embrassades avec Lise, je suis retourné réparer le chauffe-eau, ça m’a prit cinq minutes au cours desquels le Maire ne m’a pas lâché. Une fois que j’ai terminé, pas un merci, pas un verre, et même pas un petit billet. Je suis reparti sans avoir recroisée Lise mais de toute façon, j’était bien décidé à me faire payer pour l’intervention. En nature. J’ai dû aussi esquiver les remarques douteuses de mon collègue en disant que j’avais fait le boulot et en mentant quand il me demandait si quelque chose s’était passé avec elle. J’appelle Lise vers 18h30, en me cachant aux chiottes pour pas que ma meuf se doute de quoi que ce soit, elle me dit ok pour 19h. Je reprends ma voiture sans prévenir ma nana et retourne là bas. Je gare ma voiture un peu plus loin, au cas où, pour ne pas éveiller les soupçons et me présente au portail. Elle ouvre et je traverse la cour rapidement, le cœur battant, pressé de pouvoir retrouver les yeux magnifiques de Lise. La porte est ouverte quand j’arrive, elle est là, dans le hall, ses cheveux attachés en chignon au dessus de la tête, du rouge aux lèvres et un brin d’eye-liner qui fait ressortir le vert de ses grands yeux. Elle porte un peignoir de satin bordeaux et je vois ses jambes au bronzage impeccable dépasser en dessous. Ses pieds nus, ont les ongles vernis de la même couleur qu’elle a sur les lèvres. Elle me sourit, je la prend par la taille et l’embrasse à pleine bouche comme tout à l’heure.
Elle me prend par la main et on va directement dans l’immense salon de la maison. Elle me pousse dans le canapé en cuir, je m’enfonce dedans. Derrière elle, une grande baie vitrée donne sur la vallée en contrebas, d’où quelques lumières commencent à briller. Elle retire son peignoir dans un geste lent et il se retrouve sur le sol carrelé, comme un tas informe. Elle est nue. Intégralement. Sa petite chatte est bien rasée, hormis le minuscule trait fin de poils si blonds qu’ils en sont presque blancs, sur son Mont Vénus. Ses deux petits seins sont très blancs encore , le bronzage topless n’ayant pas encore pu les faire dorer autant que le reste de son épiderme. Elle vient se mettre à califourchon sur moi et nos deux langues entament de nouveau une danse effrénée dans des bruits de bouches mouillées qui résonnent dans tout le salon. Elle frotte sa chatte sur la bosse énorme qui se tient sous mon short et je mets son sein droit dans ma bouche et le tête avec gourmandise en pelotant l’autre. Pendant qu’elle accélère le mouvement sur moi, comme une cavalière olympique, je change de sein et prend le gauche dans ma bouche. Je mordille son téton et je l’entend presque gémir, d’une voix aiguë. Je l’embrasse ensuite dans son cou brûlant et la vois lever la tête, haletante.
Mes mains vont maintenant sur ses fesses fermes que je serre fort ! J’ai envie de lui toucher l’anus mais je n’ose pas trop en même temps. Je la prends par la taille et la fait basculer facilement sur le canapé, allongée sur le dos. « J’en peux plus ! » Je lui dis dans un souffle en retirant ma ceinture et en baissant mon short, le caleçon partant avec sur le carrelage. Voyant ma hampe érigée fièrement, elle revient vers moi à quatre pattes et la gobe sans préambule ! Je lâche une exclamation de surprise teintée de plaisir et elle fait de rapides vas et viens sur ma queue qu’elle prend entière. Sa bouche experte, chaude et mouillée, continue de sucer ma bite et elle descend maintenant jusque sur mes couilles qu’elle prend également dans sa bouche tout en me jetant des regards qui me rendent fou ! Sa main aux doigts maigres me branlent et elle caresse mon gland trempé avec son pouce puis repart sur la pipe, toujours avec cette même vigueur, comme si elle était affamée.
Je l’agrippe par son chignon pendant qu’elle me suce encore et la dirige dans ses mouvements de tête. Je sens que je viens un tout petit peu à un moment, mais elle est toujours concentrée sur sa besogne. Elle ressort ma bite une minute après et lèche mon gland avec sa langue, toujours en me regardant du coin de ses yeux qui me rendent dingue. « Je tiens plus ! » Je lui dis et la repousse pour qu’elle se rallonge sur le dos, un coussin derrière la nuque. Je retire mon polo, je suis nu aussi. Je me porte sur sa chatte inondée de mouille et la lui lèche de bas en haut, en insistant bien sur le clito, ce qui la fait gémir plus fort cette fois ! Je continue de lui laper la chatte encore quelques minutes, pendant qu’elle m’agrippe la tignasse, me faisant presque mal. Je retire ma tête et viens sur elle pour l’embrasser, bouffer sa langue rageusement ; j’ai tellement envie de sexe, depuis si longtemps, que j’en oublie les précautions d’usage mais elle me dit, d’une petite voix haletante : « T’as des capotes ? » Je me redresse et prend dans la poche de mon short...J’y avais pensé heureusement !
J’enfile le latex sur ma queue et reviens direct entre ses fines cuisses ; vu comment elle mouille, je rentre en elle sans aucune difficultés et elle pousse un petit cri haut perché lorsque j’y suis en entier. J’entame des vas et viens vifs, la pénétrant jusqu’à la garde . Mon cœur tambourine dans ma poitrine et Lise, en sueur, respire de plus en plus vite, le teint écarlate, ses grands yeux verts posés sur moi. Je prends ses cuisses et les fait basculer de côté ; c’est comme si elle se trouvait de profil. Je la lime encore sans retenue, dans le même rythme effréné que depuis le début, au son de mes couilles qui claquent maintenant son cul , ainsi que ses gémissements de plaisir. Je sens que je peux venir d’un instant à l’autre et je sens aussi que ce sera l’explosion ; mis à part quelques branlettes, ma vie sexuelle était totalement vide avant aujourd’hui !
Au bout d’un moment, tous les deux en nage, la sueur sur nos visages, Lise retire mon membre de sa chatte et me pousse d’une main délicate sur ma poitrine, pour que je m’enfonce dans le cuir du canapé, assis. Je constate au passage qu’elle a tellement mouillé que des traces blanches tâchent le cuir de l’assise. Elle vient s’empaler sur moi avec un grand sourire, haletante, et elle reprend le rythme rapide et vigoureux que j’avais imposé avant. Elle devient de plus en plus folle et son visage prend une teinte encore plus rouge. Je sens que je vais venir, mon cœur s’accélère. Elle prend mes cheveux et met ma tête entre ses petits seins que je lèche sans aucune retenue. Elle gémit de plus en plus et je sens que mes râles deviennent plus audible dans le salon. Elle se met maintenant à me dire, d’une petite voix implorante : « Oui, vas’y, vas’y ! » A l’entendre, je me sens encore plus excité et je suis au bord de l’explosion, elle aussi, je m’accroche à ses fesses dans lesquelles je plante mes ongles et tout â coup, je râle de plaisir tandis qu’elle pousse un long cri haut perché ; on vient en même temps ! Je décharge pas mal dans la capote pendant que Lise rejette sa tête en arrière, dans un plaisir intense.
On reste un peu comme ça, à reprendre notre souffle puis elle se dégage et remet son peignoir, le teint encore cramoisi, le visage en sueur avec son chignon légèrement de travers sur le crâne mais elle sourit. Un sourire éclatant, de joie, tandis que ses yeux me regardent en pétillant.
- Florian, c’était…waho ! Me dit-elle avec joie.
- Pareil, tu sais ! Je lui réponds.
Je vois qu’elle regarde de l’autre côté, la grande horloge de la cuisine et elle prend un air un peu inquiet : - J’veux pas te mettre à la porte mais, je préfère prendre mon temps pour me laver et me préparer avant que Jean-Yves soit rentré, tu comprends ?
- Oui, bien sûr ! Je dis en remettant mon froc.
Elle revient vers moi sur le canapé. Penchée, je vois ses petits seins qui étaient les miens, à travers l’ouverture de son peignoir.
- On se revoit vite ? Me demande-t-elle avec son regard magnifique.
- J’y compte bien !
Je me relève, elle vient contre moi et on s’embrasse langoureusement. Je pars et retourne vers ma voiture. À la porte, elle m’adresse un signe auquel je réponds. Je me sens bien, vidé, et surtout plus frustré du tout. En remontant le chemin, je me dis que je vais devoir éviter ma meuf en rentrant. Je retourne sur la route nationale et la première voiture que je croise en face, dans ce trou perdu, est une Bentley. Je crois même qu’elle est parfaitement semblable à celle du Maire. Si c’est lui, on aura eu de la chance, beaucoup de chance.
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