Agathe S'éclate - 04 - Auto-stop
Récit érotique écrit par Jackobscene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Agathe S'éclate - 04 - Auto-stop
Cela fait maintenant une semaine qu’Agathe s’est retrouvée dans le rayon avec le vieil homme. Elle ne l’a pas revu depuis car ces horaires ont changé et elle travaille maintenant le matin et termine à 14H. En manque de sensations fortes, Agathe est en quête d’une nouvelle aventure. Sur Tinder, elle a quelques matchs avec des mecs (d’à peu près son âge) mais elle ne donne pas suite. Elle préfère les situations comme celle du rayon, les histoires un peu « à l’arrache » Ce jour là en quittant la supérette, elle est bien décidée à en vivre une nouvelle. Elle arrive chez elle, mange, fais une sieste et lambine devant son ordinateur. Elle flirt un peu sur Tinder mais rien qui la mette en émoi ; tous ces matchs sont tous plus barbants les uns que les autres ! Ce soir-là, Agathe a une soirée de prévue chez une amie à elle qui habite dans un autre village, un peu plus en altitude que le sien. Quand vient 19H et que le soleil commence à décliner, Agathe a une idée : en allant chez sa pote, elle va se promener un peu sur le chemin, dans le but de rencontrer quelqu’un. Elle va dans sa salle de bain, se maquille (un brin d’eye-liner, un peu de rouge sur ses petites lèvres) et enfile une jupe noire, courte, ainsi qu’un débardeur rouge en dessous duquel elle ne met rien du tout. Elle porte des sandales et se contemple dans son miroir : son fameux sourire, celui qui précède toutes ces histoires tirées par les cheveux sans queue ni tête, s’affiche. Elle sait ce qui lui reste à faire.
Elle prend un bus qui l’amène au pied de la montée d’un col là où elle pourra trouver, elle l’espère, un automobiliste sympa (et coquin^^) qui voudra bien l’accompagner jusqu’au village où vit sa copine dans la grande maison de ses parents. Elle prévu une petite bouteille de vin, rangée dans son sac mais ce qui l’intéresse plus que ‘la soirée est bien entendu le trajet pour vivre encore un de ces moments intenses. Un peu craignos certes, mais intense ! Elle donne du pouce juste avant la montée alors que la pénombre s’installe tout doucement. Quelques voitures passent mais personne ne s’arrête. Agathe sait bien que quelqu’un la prendra tôt ou tard car il est fréquent que des gens prennent des auto-stoppeurs à cet endroit et elle espère que sa petite tenue légère fera des émules. Voilà qu’un véhicule, un break blanc, s’arrête à sa hauteur.
Il est conduit par une fille (qui doit avoir une petite quarantaine d’années). Pas du tout ce qu’Agathe recherchait mais au moins, elle pourra se faire transporter un poil plus haut dans la montée.
- Salut ! Je te dépose où ? Demande la conductrice, une blonde aux yeux clairs, avec un sourire sur les lèvres.
- Je vais au petit hameau juste au-dessus, ment Agathe en souriant également car elle ne veut pas se faire déposer tout de suite chez sa pote.
- Allez, monte !
Agathe prend la place passager et se fait accompagner sur la montée. La conductrice est très sympa, elles parlent un peu de tout et de rien. Dans la voiture, Agathe voit par la fenêtre que le ciel s’assombrit encore plus et tire maintenant vers le bleu marine. La fille la dépose là où elle demande (sur un espace au bord de la route, juste avant le petit hameau un peu plus loin) la conductrice insiste pour accompagner Agathe jusqu’à la maison où elle prétend habiter mais cette dernière refuse, prétextant qu’elle préfère marcher.
- Ok, comme tu voudras ! Fait la conductrice alors qu’Agathe est dehors. Bonne continuation, Agathe !
- Merci, à vous aussi ! Répond-elle en regardant la fille s’éloigner sur la route.
Seule dans la douceur de cette soirée printanière, accompagnée par le chant des cigales et l’ombre des montagnes qui se dessine tout autour Agathe attend au bord de la route, prête à lever le pouce.
10 bonnes minutes plus tard, un véhicule arrive au loin, les phares allumés. Agathe se positionne, levant le pouce, affichant un sourire. C’est un camion beige, sale et délabré. Le véhicule ralentit ; Agathe voit que c’est un homme qui conduit, barbu, qui doit avoir 40 ans, pas plus. Mais il repart et laisse la jeune fille toute seule. Agathe soupir, se demandant pourquoi le conducteur ne s’est pas arrêté. Deux minutes plus tard, le même camion redescend et pareil, il ralentit pour regarder Agathe. Cette dernière lui fait un signe de la main. L’homme baisse la fenêtre : - Je fais demi-tour ! Lance-t-il d’une voix rocailleuse.
Agathe patiente un instant et le camion revient et cette fois-ci, il s’arrête sur le petit accotement sur lequel elle se trouve. L’homme baisse la fenêtre passager : une odeur de tabac et de sueur prend Agathe au visage immédiatement. Elle voit que l’homme est mal rasé, les cheveux noirs en bataille, mais surtout, elle sait. Elle comprend dans ses yeux olivacés qu’il a ce truc, ce brin de perversité qu’elle recherche ce soir. Parfait.
- Bah alors ! Fait le type avec un air un peu goguenard. Qu’est ce tu fais seule, ma petite ?
- Vous allez où ? Demande Agathe en s’accoudant à la fenêtre, laissant entrevoir ostensiblement son petit décolleté.
L’homme jette un regard sur sa poitrine (bien qu’il n’y ait pas grand-chose à voir) et sourit : - Avec toi, où tu veux !
- Ah ! S’exclama Agathe d’une petite voix sarcastique. Et bien c’est parfait !
Elle avale sa salive et s’arme de courage : après tout, elle cherche une nouvelle aventure, non ?
- Vous voulez… ? Fait Agathe en lui décochant un petit clin d’œil.
Elle s’empare de ses bretelles de débardeur et les baisse sur ses bras, laissant voir ses deux petits seins, avant de les remonter aussi sec. L’homme la regarde avec des yeux ronds, la bouche entrouverte. Il se racle la gorge : - Attends ! Fait-il de sa voix rocailleuse. Tu fais la pute, poupée ?
- On peut dire ça comme ça ! Répond Agathe, sans vergogne en tirant sa petite langue.
- J’ai pas un rond ! Rétorque l’homme, mais c’est bien dommage !
- Je veux pas d’argent, lui dit Agathe. Si vous m’emmenez au village juste après, ça peut s’arranger. Je connais un petit coin un peu plus loin.
- Sérieusement ? Fait l’homme qui n’en croit pas ses oreilles.
- Oui, sérieusement.
Un rictus dégueulasse s’affiche sur le visage du chauffeur : - Allez, monte ! Dit-il presque en donnant un ordre à Agathe.
- Avec plaisir !
Aussitôt montée, l’homme démarre en trombe. Une petite musique reggae retentit dans l’habitacle qui sent fort la cigarette. L’homme s’en prend une et en propose une à Agathe qui accepte. Elle le regarde du coin de l’œil et voir qu’il porte une chemise ouverte sur un énorme bide et un torse velu. Il a un short hawaïen et conduit en tongs. C’est le genre de mec qui n’a pas l’air de prendre très soin de lui mais qu’importe, Agathe ne pouvait pas rêver mieux : elle sait qu’elle plaît à ce genre de type et surtout, elle aime leur plaire ! Tout en fumant et en conduisant, le mec lui jette des regards en coin. Agathe remarque que son camion est dans un état lamentable ; il y a des papiers et des emballages de partout. Elle voit d’ailleurs, entre les canettes de bières et de soda au sol, un emballage de capote. Il doit se prendre des putes à l’occasion.
- Comment tu t’appelles ? Demande-t-il en regardant la route sinueuse devant lui.
- Agathe, dit-elle. Et j’ai 19 ans.
- Tu fais souvent ce genre de trucs ?
- Ça m’arrive, oui…Agathe écarte les cuisses et regarde l’homme avec un petit sourire en coin.
- Putain mais t’es chaude, en plus ! Lance le chauffeur en tirant sur sa clope et en jetant un p’tit coup d’œil à la jeune fille. C’est quoi l’embrouille ?
- Pas d’embrouille ! Dit Agathe. J’suis une vilaine fille, c’est tout.
Le mec balance sa clope par la fenêtre et avec une main qui aurait bien eu besoin d’être lavée, il relève la jupe d’Agathe et constate qu’elle ne porte rien car elle a retirée sa culotte précédemment pour la ranger dans son sac : - Une vraie catin ! Fit-il remarquer en passant ses doigts sur son clito. Si t’es vilaine, tu mérites une bonne correction, à mon avis !
Agathe se mord la lèvre inférieure tandis que le mec passe ses doigts un peu partout sur sa chatte humide. Sans rien demander ni prévenir, il rentre même son majeur dans de la jeune fille qui pousse un petit cri de surprise. L’homme s’esclaffe bruyamment : - Ouais ! S’exclame-t-il, on va s’éclater, Agathe ! J’vais m’occuper de ton cas !
Elle fait un « hum ! » De désir en se mordant avec encore plus de vigueur à la lèvre : c’est exactement comme ça qu’elle veut être traitée ce soir. Elle pose sa main sur celle de l’homme pour qu’il continue de la doigter : - Attends, faut que je passe les vitesses ! Lâche-t-il dans un rire gras. Il est où ton coin ?
- Prochain virage en épingle, dit Agathe, vous prenez le petit chemin sur la droite, je pense qu’on sera tranquilles, il n’y a jamais personne par là-bas!
- Tranquille ou pas, tu vas prendre cher, tu verras !
Arrivés au prochain virage, l’homme ralentit et prend effectivement un petit chemin de terre cahoteux. Il s’engouffre tant bien que mal et roule tout doucement tandis que la végétation se fait un peu plus touffue.
- C’est un piège ? Blague l’homme. Y’a des connards qui vont m’attendre pour me détrousser au bout ?
Agathe souffle un rire de son nez et retire son débardeur qu’elle balance à même le sol au milieu du fatras. Elle retire également sa jupe en se tortillant sur la banquette de cuir. Elle ne garde que ses sandales et se retrouve intégralement nue.
- Si c’était un piège, j’aurais pas pris la peine de me déshabiller, fait Agathe dans un petit rire coquin. Arrêtez vous là, non ?
Elle désigne un petit emplacement entre des arbres où l’homme s’engage. Mis à part la lumière des phares, ils sont quasiment dans le noir complet. L’homme coupe le contact , laisse les feux allumés qui éclairent une forêt de buissons devant eux. Il laisse les fenêtres ouvertes pour profiter de la petite brise qui passe dans l’habitacle.
- J’ai envie de te bouffer le cul ! Annonce l’homme en serrant les dents, les yeux plantés sur les hanches de la jeune fille. Mets toi à 4 pattes !
- Oui ! Acquièsce Agathe en se faisant pas prier.
La banquette est assez grand pour 3 places et son corps menu tiendra sans grande peine. Agathe se met dos à lui sur la banquette, comme une chienne, frémissante d’avance. Elle l'entend se détacher derrière elle. Comme avant, sans avertissement, il rentre un doigt dans sa chatte. Elle se remet à gémir. L’homme fait des « hum ! » Frénétiques en faisant rentrer et sortir son doigt bien lubrifié par la cyprine d’Agathe.
- C’que tu mouilles ! Constate-t-il dans un grognement.
Elle sent que son manque de délicatesse la brûle un peu à l’intérieur :- Doucement ! Chuchote-t-elle.
- Quoi doucement ?! Dit l’homme qui lui met une grosse fessée sur la fesse gauche avec son autre main. Pour la peine…Pour la peine ? Il lui rentre le doigt directement dans son anus qui rentre bien moins vite que dans sa chatte mais qui s’enfonce quand même. Elle gémit encore. Un peu de douleur aussi, mais surtout de plaisir ! Elle voulait que ce soit bestial, la voilà servie ! Il rentre et ressort son index sans s’arrêter et Agathe continue de gémir avec sa petite voix. Au bout de quelques instants, l’homme se met à genoux sur son siège pour être bien derrière elle et il s’empare de ses deux petites fesses avec ses grandes mains sales.
Il les écarte au maximum et approche sa bouche de son cul. Agathe sens la chaleur de son souffle et les poils de sa barbe la titiller. Sans aucune douceur, comme un affamé qui n’a pas eu de ration depuis longtemps, il lui dévore sa chatte mouillante dans des bruits de ventouse, insérant sa langue en elle. Il lui colle même son pouce dans l’anus. Agathe ne tient plus : - Oh oui ! Lâche-t-elle. C’est trop bon !
- Ah t’adores ça, hein !
- Encore ! Encore ! Gémit Agathe dans un soupir.
À grands coups de langue, il la lèche de bas en haut, de sa chatte jusqu’à son œillet. Il s’attarde sur ce dernier et Agathe gémit de plus en plus.
- T’aimes par ici, hein ?
- Oui ! Glapit Agathe. Encore !
Il continue de lui lécher le cul du bout de sa langue et passe une main entre les cuisses de la jeune fille. Toujours sans délicatesse, il pince très maladroitement le clito d’Agathe. La encore, il n’y va pas de main morte et elle sent qu’elle a mal mais le plaisir qu’il lui fait est beaucoup plus fort ! Si fort qu’elle sent déjà en elle qu’elle pourrait venir très rapidement tellement qu’il ne la respecte pas. Il lui met une fessée qui claque probablement dans tout le bois devant eux. Encore une qui claque plus fort que celle d’avant.
- Oh oui ! Lâche Agathe en haletant. Encore, j’en veux encore !
Il lui remet une multitude de fessés. À chaque coup, Agathe glapit aussi fort que le claquement des mains de cet homme sur son postérieur. Il devient maintenant incontrôlable ; il la fesse encore et encore, toujours aussi puissamment, sans s’arrêter ! Voilà même qu’il grogne à chaque fois qu’il la claque. Agathe pose sa tête sur l’assise de cuir, se cambrant encore plus le cul offert à cet inconnu et elle s’entend lui demander, l’implorer :- ENCORE ! ENCORE ! OUI ! CLAQUEZ MOI LE CUL ! OOH ! J’ADORE ÇA !!
Même elle ne se reconnaît plus vraiment. Elle savait qu’elle était chienne mais à ce point ? Il la claque encore à la chaîne. Agathe pense à l’état de ses fesses blanches quand soudain : - Attends ! S’interrompt-il en reprenant son souffle. Regarde dans le boîte à gants !
Elle se penche en avant et ouvre la boîte. Elle tombe sur ce qu’il cherche : une tapette à mouche avec son rectangle de plastique troué en petits carrés pour une meilleure pénétration de l’air.
- Sors du camion ! Ordonne-t-il.
- Pourquoi ? Fait Agathe en retournant sa tête vers lui.
- Fais ce que j’te dis !
Agathe se remet sur ses pieds et descend. L’homme en fait de même de son côté, la tapette à mouche dans la main. Totalement nue, mis à part ses sandales aux pieds, Agathe sent la fraîcheur de la nuit lui caresser son douloureux postérieur. L’homme est devant son camion, éclairé par les puissants phares de ce dernier.
- Viens te mettre là, à genoux ! Lance-t-il en désignant un énorme rondin de bois avec la tapette.
Agathe voit bien où il veut en venir et elle en frissonne d’avance. Elle passe devant lui et va se mettre sur le rondin à genoux, les mains également à plat, son cul pointant vers l’arrière.
- Vous allez me punir ? Demande Agathe dont la voix semble raisonner entre les arbres de la forêt devant elle.
- Ouais ! Fait l’homme. T’es une p’tite traînée qui mérite que ça ! Et c’est ce que tu veux, non ?
- Je crois que je le mérite, oui ! Répond Agathe d’un ton mielleux en rentrant dans son jeu.
L’homme se craque une clope et sort son téléphone. Il se positionne bien derrière le cul d’Agathe qui entend le bruit de l’appareil photo. Il en prend quelques unes et tend son téléphone à la jeune fille pour lui montrer un des clichés. Agathe hausse les sourcils de surprise : sur ma photo, son cul pâle éclairé par les phares porte des grandes traces rouges, stigmates des fessées qu'il lui a données.
- T’es sûre que t’en veux encore ? Ça va te faire mal avec ça ! Prévint il en désignant la tapette.
- Allez-y ! Dit-elle en baissant les yeux sur le bois. Punissez-moi !
L’homme repasse derrière son cul et ne se fait pas prier : d’un coup vif, la tapette fend l’air pour s’abattre sur une des fesses d’Agathe dans un « CLAC ! » Bien sonore. La jeune fille pousse aussitôt un cri qui se répercute dans le bois en écho. L’homme pousse un grognement de plaisir et relève la tapette en l’air. Agathe se prépare, le cœur battant la chamade et elle a tout juste le temps d’entendre le « PFUIT ! » De la tapette qui transperce l’air que déjà, une nouvelle douleur piquante sur le cul ! Là encore, elle gémit de douleur. De plaisir, surtout. De PLAISIR ! L’homme baisse son short qui tombe sur ses tongs et s’empare de son membre. En retourna sa tête par-dessus son épaule, Agathe aperçoit un sexe bandant, un peu bronzé, de taille moyenne à la tonsure noire et touffu sur tout le pubis. L’homme s’astique en serrant des dents, l’œil rivé sur le cul couleur vanille-fraise d’Agathe : il a quelque chose de dément dans le regard et Agathe comprend alors que ça va être sa fête, purement et simplement. L’homme lache encore un grognement guttural et la refrappe avec vigueur. Encore une fois, encore et encore, sans s’arreter, sans aucune régularité, juste comme il en a envie, aux Intervalles qui lui plaisent. Il augmente même l’intensité, devenant de plus en plus virulent, grognant à chaque coup tout en se branlant à toute vitesse avec son autre main. Agathe crie à plein poumons à chaque fois que le carré de plastique termine sa course sur une de ses fesses dans un claquement : « CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! OUI C’EST BON !! CLAC/OH ! CLAC/AH ! CLAC/HUM ! ENCORE !! CLAC/OOOH ! » Elle ne ressent plus rien tellement son cul prend cher, il est indolore, comme si elle avait une crampe ou qu’il s’était recouvert d’une membrane protectrice mais par moments, des picotements se font sentir par endroits. Elle n’ose pas imaginer dans quel état se trouve son petit postérieur, pas le plus bandant de tous, donné en pâture à un homme au hasard qui la maltraite comme une pute.
L’homme joue avec elle à présent : tantôt il envoie une série de coups à la suite, 2 voire 3 ou 4 qui font beugler Agathe puis il s’arrête, tantôt il prend beaucoup plus de recul avec son bras et en assène un unique mais bien plus violent que les autres ! Il s’amuse même et ricane en bloquant par moments juste devant l’épiderme d’Agathe, lui faisant croire qu’il va taper. Quand à elle, Agathe est avachie sur le rondin de bois, les cheveux pendus dans l’air de l’autre côté et le visage ruisselant de sueur. Elle a une main sur sa chatte, ruisselante également, qu’elle caresse à fond. Elle est sûre que des gouttes de mouille perlent sur le bois en dessous d’elle. L’homme pousse de léger grognements ; il est encore en train de se branler à fond mais cela fait maintenant presque 30 secondes qu’il ne donne plus de coups avec sa tapette. Agathe peut reprendre son souffle, son cul endoloris recommence à lui faire mal et elle passe une main dessus : il est brûlant et elle sent que la texture de sa peau est marquée par les petits carreaux du rectangle en plastique de la tapette. D’un coup, Agathe sent s’enfoncer quelque chose dans son cul et elle devine que c’est le manche en plastique, pas très épais, de la tapette. L’homme l’enfonce tout bonnement et Agathe se met à gémir bruyamment. L’homme interrompt son geste dans un rire sardonique et ressort son téléphone pour prendre quelques photos.
- Alors, Agathe ? Demande-t-il dans un rire narquois. On avait des choses à se reprocher pour être punie comme ça ?! Tu verrais ton cul ! Il est dans un sale état !
- Oui, j’ai pas été sage, répond Agathe dans un souffle.
- Oh ouais ! Fait l’homme qui continue sa branlette à toute vitesse. Putain, racontes-moi comment t’as fait la pute, dis moi tout !
- Je me suis faite peloter par un vieux dans un rayon su magasin où je travaille, je l’ai branlé et il est venu sur mon visage, et dans ma bouche…Avec une rapidité déconcertante, l’homme a ressort la tapette du trou de balle de la jeune fille pour lui remettre un coup encore plus violent que les autres !
CLAC !
Agathe pousse une nouvelle plainte tandis que le plastique lui fouette violemment la peau :- Encore ! Raconte-moi ! Lâche-t-il en respirant de plus en plus vite, branlant sa queue à toute vitesse.
- J’ai sucé deux inconnus dans les chiottes d’une aire de repos, à travers la porte !
CLAC ! CLAC ! CLAC !
Elle crie à trois reprises ! Agathe pose la tête à même le bois du rondin, elle a mal mais elle adore ça, être comme punie pour toutes ces saloperies qui lui ont fait tellement de bien. Elle se mord la lèvre quasi jusqu’au sang, les yeux emplis de larmes, mais un sourire se dessine sur son visage, un immense sourire, tandis qu’en frottant sa chatte, elle sent qu’elle va venir.
- Oh ouais !! Vas-y, raconte-moi tout !!
- Dans un bus, dit Agathe difficilement sous la douleur qu’elle ressent, un type est venu s’asseoir à côté de moi et m’a touchée avant de bouffer mon cul et ma chatte !
- QUELLE CHIENNE !! Hurle maintenant le mec d’une voix saccadé en s’astiquant toujours plus vite.
Et il distribue toute une série de coups violentes à Agathe, sans s’arrêter : CLAC ! CLACL ! CLAC ! CLAC… elle hurle sur chacun d’eux, et ne tient plus ; dans un long gémissement aigu, elle vient enfin, sentant tout son corps se raidir jusqu’à ses pieds. Mais l’homme ne s’arrête pas et elle continue d’hurler dans la nuit noire : CLAC ! CLAC ! CLAC… elle se dit que chaque coup est le dernier, qu’elle va le supplier d’arrêter mais : - PUTAIN ! J’TIENS PLUUUUUS ! Hurle-t-il derrière elle.
Il s’arrête de la claquer avec la tapette et s’avance vers son cul en braillant tout ce qu’il sait, jetant ses dernières forces dans la bataille en se branlant. D’une voix rauque et sonore, il pousse une ultime et longue plainte. Agathe sent de grands jets de sperme chaud lui atterrir sur la peau des fesses et même jusque sur le bas de son dos. Un autre jet atterrit sur son anus et glisse jusqu’à l’entrée de sa chatte dilatée pour venir se perdre dans ses quelques poils pubiens en dessous.
- Nettoie-la moi, ordonne-t-il.
Agathe se retourne pour se retrouver face à sa queue. Aveuglée par la lumière des phares derrière lui, elle a juste le temps de sentir une forte odeur poisseuse avant de prendre sa bite dans sa bouche comme un bâtonnet de sucette et jusqu’à la garde, son nez dans la touffe de poils pubiens de l’homme. Il lui agrippe rageusement les cheveux de ses mains, la tête levée au ciel, la respiration encore rapide et saccadée. Il maintient Agathe dans cette position. Elle sent son gland bien collé contre son palais et le goût fort de son sperme lui imprègne toute la bouche. Elle aspire son membre comme pour en extraire les quelques gouttes de jus qui lui reste et le suce avec sa langue. L'homme pousse une nouvelle exclamation de plaisir. Agathe sent qu’elle a besoin d’air et retire la bite de sa bouche en tirant sa tête en arrière. Elle tousse, des filets de bave lui coule de la bouche sur son menton, avec quelques résidus de la semence du gars.
- Putain Agathe ! Dit-il essoufflé. J’ai cru que t’allais aspirer mon âme ! Ahah !
Elle le regarde en tirant la langue, puis lui sourit radieusement.
Ils se retrouvent de nouveau dans son camion. Agathe s’asseoir précautionneusement car ses fesses lui font maintenant un mal de chien au point qu’elle a galère pour se rhabiller. L’homme s’en amuse et met le contact. Il retourne sur la route. Agathe se sent encore tout chose.
- J’te dépose au village, alors ? Demande-t-il en se rallumant une cigarette.
- Oui, s’il vous plaît !
- J’te dois bien ça, petite ! Annonce-t-il, tout euphorique. Mais je reste un peu sur ma faim…tu veux pas venir ? Je vais boire des coups chez un pote qui habite un peu plus haut. On pourrait te punir tous les deux cette fois-ci et…bien plus encore !
- Non, répond Agathe avec un petit rire. Je crois que ça suffira. Une prochaine fois peut-être ?
- Et pourquoi pas ! File moi ton numéro !
Elle lui donne et tout en conduisant, l’homme prend note sur son portable. Une fois sur la place du village, Agathe descend du camion. L’homme lui refile quelques clopes : - Bon, je t’appelle un de ces quatre, ok ?
- Quand vous voulez ! Lui répond-elle en lui adressant un clin d’œil.
Il lui adresse un large sourire pervers et redémarre en se gaussant bruyamment. Agathe regarde le camion s’éloigner et se retrouve seule dans le silence de la nuit, sur la place du village désert. C’était bon. C’était très particulier certes, mais bon. L’éclate même ! Elle pose une main sous sa jupe pour toucher une de ses fesses douloureuses et quadrillés par la tapette à mouches et sourit. Enfin, elle se met en marche vers sa destination.
FIN
Elle prend un bus qui l’amène au pied de la montée d’un col là où elle pourra trouver, elle l’espère, un automobiliste sympa (et coquin^^) qui voudra bien l’accompagner jusqu’au village où vit sa copine dans la grande maison de ses parents. Elle prévu une petite bouteille de vin, rangée dans son sac mais ce qui l’intéresse plus que ‘la soirée est bien entendu le trajet pour vivre encore un de ces moments intenses. Un peu craignos certes, mais intense ! Elle donne du pouce juste avant la montée alors que la pénombre s’installe tout doucement. Quelques voitures passent mais personne ne s’arrête. Agathe sait bien que quelqu’un la prendra tôt ou tard car il est fréquent que des gens prennent des auto-stoppeurs à cet endroit et elle espère que sa petite tenue légère fera des émules. Voilà qu’un véhicule, un break blanc, s’arrête à sa hauteur.
Il est conduit par une fille (qui doit avoir une petite quarantaine d’années). Pas du tout ce qu’Agathe recherchait mais au moins, elle pourra se faire transporter un poil plus haut dans la montée.
- Salut ! Je te dépose où ? Demande la conductrice, une blonde aux yeux clairs, avec un sourire sur les lèvres.
- Je vais au petit hameau juste au-dessus, ment Agathe en souriant également car elle ne veut pas se faire déposer tout de suite chez sa pote.
- Allez, monte !
Agathe prend la place passager et se fait accompagner sur la montée. La conductrice est très sympa, elles parlent un peu de tout et de rien. Dans la voiture, Agathe voit par la fenêtre que le ciel s’assombrit encore plus et tire maintenant vers le bleu marine. La fille la dépose là où elle demande (sur un espace au bord de la route, juste avant le petit hameau un peu plus loin) la conductrice insiste pour accompagner Agathe jusqu’à la maison où elle prétend habiter mais cette dernière refuse, prétextant qu’elle préfère marcher.
- Ok, comme tu voudras ! Fait la conductrice alors qu’Agathe est dehors. Bonne continuation, Agathe !
- Merci, à vous aussi ! Répond-elle en regardant la fille s’éloigner sur la route.
Seule dans la douceur de cette soirée printanière, accompagnée par le chant des cigales et l’ombre des montagnes qui se dessine tout autour Agathe attend au bord de la route, prête à lever le pouce.
10 bonnes minutes plus tard, un véhicule arrive au loin, les phares allumés. Agathe se positionne, levant le pouce, affichant un sourire. C’est un camion beige, sale et délabré. Le véhicule ralentit ; Agathe voit que c’est un homme qui conduit, barbu, qui doit avoir 40 ans, pas plus. Mais il repart et laisse la jeune fille toute seule. Agathe soupir, se demandant pourquoi le conducteur ne s’est pas arrêté. Deux minutes plus tard, le même camion redescend et pareil, il ralentit pour regarder Agathe. Cette dernière lui fait un signe de la main. L’homme baisse la fenêtre : - Je fais demi-tour ! Lance-t-il d’une voix rocailleuse.
Agathe patiente un instant et le camion revient et cette fois-ci, il s’arrête sur le petit accotement sur lequel elle se trouve. L’homme baisse la fenêtre passager : une odeur de tabac et de sueur prend Agathe au visage immédiatement. Elle voit que l’homme est mal rasé, les cheveux noirs en bataille, mais surtout, elle sait. Elle comprend dans ses yeux olivacés qu’il a ce truc, ce brin de perversité qu’elle recherche ce soir. Parfait.
- Bah alors ! Fait le type avec un air un peu goguenard. Qu’est ce tu fais seule, ma petite ?
- Vous allez où ? Demande Agathe en s’accoudant à la fenêtre, laissant entrevoir ostensiblement son petit décolleté.
L’homme jette un regard sur sa poitrine (bien qu’il n’y ait pas grand-chose à voir) et sourit : - Avec toi, où tu veux !
- Ah ! S’exclama Agathe d’une petite voix sarcastique. Et bien c’est parfait !
Elle avale sa salive et s’arme de courage : après tout, elle cherche une nouvelle aventure, non ?
- Vous voulez… ? Fait Agathe en lui décochant un petit clin d’œil.
Elle s’empare de ses bretelles de débardeur et les baisse sur ses bras, laissant voir ses deux petits seins, avant de les remonter aussi sec. L’homme la regarde avec des yeux ronds, la bouche entrouverte. Il se racle la gorge : - Attends ! Fait-il de sa voix rocailleuse. Tu fais la pute, poupée ?
- On peut dire ça comme ça ! Répond Agathe, sans vergogne en tirant sa petite langue.
- J’ai pas un rond ! Rétorque l’homme, mais c’est bien dommage !
- Je veux pas d’argent, lui dit Agathe. Si vous m’emmenez au village juste après, ça peut s’arranger. Je connais un petit coin un peu plus loin.
- Sérieusement ? Fait l’homme qui n’en croit pas ses oreilles.
- Oui, sérieusement.
Un rictus dégueulasse s’affiche sur le visage du chauffeur : - Allez, monte ! Dit-il presque en donnant un ordre à Agathe.
- Avec plaisir !
Aussitôt montée, l’homme démarre en trombe. Une petite musique reggae retentit dans l’habitacle qui sent fort la cigarette. L’homme s’en prend une et en propose une à Agathe qui accepte. Elle le regarde du coin de l’œil et voir qu’il porte une chemise ouverte sur un énorme bide et un torse velu. Il a un short hawaïen et conduit en tongs. C’est le genre de mec qui n’a pas l’air de prendre très soin de lui mais qu’importe, Agathe ne pouvait pas rêver mieux : elle sait qu’elle plaît à ce genre de type et surtout, elle aime leur plaire ! Tout en fumant et en conduisant, le mec lui jette des regards en coin. Agathe remarque que son camion est dans un état lamentable ; il y a des papiers et des emballages de partout. Elle voit d’ailleurs, entre les canettes de bières et de soda au sol, un emballage de capote. Il doit se prendre des putes à l’occasion.
- Comment tu t’appelles ? Demande-t-il en regardant la route sinueuse devant lui.
- Agathe, dit-elle. Et j’ai 19 ans.
- Tu fais souvent ce genre de trucs ?
- Ça m’arrive, oui…Agathe écarte les cuisses et regarde l’homme avec un petit sourire en coin.
- Putain mais t’es chaude, en plus ! Lance le chauffeur en tirant sur sa clope et en jetant un p’tit coup d’œil à la jeune fille. C’est quoi l’embrouille ?
- Pas d’embrouille ! Dit Agathe. J’suis une vilaine fille, c’est tout.
Le mec balance sa clope par la fenêtre et avec une main qui aurait bien eu besoin d’être lavée, il relève la jupe d’Agathe et constate qu’elle ne porte rien car elle a retirée sa culotte précédemment pour la ranger dans son sac : - Une vraie catin ! Fit-il remarquer en passant ses doigts sur son clito. Si t’es vilaine, tu mérites une bonne correction, à mon avis !
Agathe se mord la lèvre inférieure tandis que le mec passe ses doigts un peu partout sur sa chatte humide. Sans rien demander ni prévenir, il rentre même son majeur dans de la jeune fille qui pousse un petit cri de surprise. L’homme s’esclaffe bruyamment : - Ouais ! S’exclame-t-il, on va s’éclater, Agathe ! J’vais m’occuper de ton cas !
Elle fait un « hum ! » De désir en se mordant avec encore plus de vigueur à la lèvre : c’est exactement comme ça qu’elle veut être traitée ce soir. Elle pose sa main sur celle de l’homme pour qu’il continue de la doigter : - Attends, faut que je passe les vitesses ! Lâche-t-il dans un rire gras. Il est où ton coin ?
- Prochain virage en épingle, dit Agathe, vous prenez le petit chemin sur la droite, je pense qu’on sera tranquilles, il n’y a jamais personne par là-bas!
- Tranquille ou pas, tu vas prendre cher, tu verras !
Arrivés au prochain virage, l’homme ralentit et prend effectivement un petit chemin de terre cahoteux. Il s’engouffre tant bien que mal et roule tout doucement tandis que la végétation se fait un peu plus touffue.
- C’est un piège ? Blague l’homme. Y’a des connards qui vont m’attendre pour me détrousser au bout ?
Agathe souffle un rire de son nez et retire son débardeur qu’elle balance à même le sol au milieu du fatras. Elle retire également sa jupe en se tortillant sur la banquette de cuir. Elle ne garde que ses sandales et se retrouve intégralement nue.
- Si c’était un piège, j’aurais pas pris la peine de me déshabiller, fait Agathe dans un petit rire coquin. Arrêtez vous là, non ?
Elle désigne un petit emplacement entre des arbres où l’homme s’engage. Mis à part la lumière des phares, ils sont quasiment dans le noir complet. L’homme coupe le contact , laisse les feux allumés qui éclairent une forêt de buissons devant eux. Il laisse les fenêtres ouvertes pour profiter de la petite brise qui passe dans l’habitacle.
- J’ai envie de te bouffer le cul ! Annonce l’homme en serrant les dents, les yeux plantés sur les hanches de la jeune fille. Mets toi à 4 pattes !
- Oui ! Acquièsce Agathe en se faisant pas prier.
La banquette est assez grand pour 3 places et son corps menu tiendra sans grande peine. Agathe se met dos à lui sur la banquette, comme une chienne, frémissante d’avance. Elle l'entend se détacher derrière elle. Comme avant, sans avertissement, il rentre un doigt dans sa chatte. Elle se remet à gémir. L’homme fait des « hum ! » Frénétiques en faisant rentrer et sortir son doigt bien lubrifié par la cyprine d’Agathe.
- C’que tu mouilles ! Constate-t-il dans un grognement.
Elle sent que son manque de délicatesse la brûle un peu à l’intérieur :- Doucement ! Chuchote-t-elle.
- Quoi doucement ?! Dit l’homme qui lui met une grosse fessée sur la fesse gauche avec son autre main. Pour la peine…Pour la peine ? Il lui rentre le doigt directement dans son anus qui rentre bien moins vite que dans sa chatte mais qui s’enfonce quand même. Elle gémit encore. Un peu de douleur aussi, mais surtout de plaisir ! Elle voulait que ce soit bestial, la voilà servie ! Il rentre et ressort son index sans s’arrêter et Agathe continue de gémir avec sa petite voix. Au bout de quelques instants, l’homme se met à genoux sur son siège pour être bien derrière elle et il s’empare de ses deux petites fesses avec ses grandes mains sales.
Il les écarte au maximum et approche sa bouche de son cul. Agathe sens la chaleur de son souffle et les poils de sa barbe la titiller. Sans aucune douceur, comme un affamé qui n’a pas eu de ration depuis longtemps, il lui dévore sa chatte mouillante dans des bruits de ventouse, insérant sa langue en elle. Il lui colle même son pouce dans l’anus. Agathe ne tient plus : - Oh oui ! Lâche-t-elle. C’est trop bon !
- Ah t’adores ça, hein !
- Encore ! Encore ! Gémit Agathe dans un soupir.
À grands coups de langue, il la lèche de bas en haut, de sa chatte jusqu’à son œillet. Il s’attarde sur ce dernier et Agathe gémit de plus en plus.
- T’aimes par ici, hein ?
- Oui ! Glapit Agathe. Encore !
Il continue de lui lécher le cul du bout de sa langue et passe une main entre les cuisses de la jeune fille. Toujours sans délicatesse, il pince très maladroitement le clito d’Agathe. La encore, il n’y va pas de main morte et elle sent qu’elle a mal mais le plaisir qu’il lui fait est beaucoup plus fort ! Si fort qu’elle sent déjà en elle qu’elle pourrait venir très rapidement tellement qu’il ne la respecte pas. Il lui met une fessée qui claque probablement dans tout le bois devant eux. Encore une qui claque plus fort que celle d’avant.
- Oh oui ! Lâche Agathe en haletant. Encore, j’en veux encore !
Il lui remet une multitude de fessés. À chaque coup, Agathe glapit aussi fort que le claquement des mains de cet homme sur son postérieur. Il devient maintenant incontrôlable ; il la fesse encore et encore, toujours aussi puissamment, sans s’arrêter ! Voilà même qu’il grogne à chaque fois qu’il la claque. Agathe pose sa tête sur l’assise de cuir, se cambrant encore plus le cul offert à cet inconnu et elle s’entend lui demander, l’implorer :- ENCORE ! ENCORE ! OUI ! CLAQUEZ MOI LE CUL ! OOH ! J’ADORE ÇA !!
Même elle ne se reconnaît plus vraiment. Elle savait qu’elle était chienne mais à ce point ? Il la claque encore à la chaîne. Agathe pense à l’état de ses fesses blanches quand soudain : - Attends ! S’interrompt-il en reprenant son souffle. Regarde dans le boîte à gants !
Elle se penche en avant et ouvre la boîte. Elle tombe sur ce qu’il cherche : une tapette à mouche avec son rectangle de plastique troué en petits carrés pour une meilleure pénétration de l’air.
- Sors du camion ! Ordonne-t-il.
- Pourquoi ? Fait Agathe en retournant sa tête vers lui.
- Fais ce que j’te dis !
Agathe se remet sur ses pieds et descend. L’homme en fait de même de son côté, la tapette à mouche dans la main. Totalement nue, mis à part ses sandales aux pieds, Agathe sent la fraîcheur de la nuit lui caresser son douloureux postérieur. L’homme est devant son camion, éclairé par les puissants phares de ce dernier.
- Viens te mettre là, à genoux ! Lance-t-il en désignant un énorme rondin de bois avec la tapette.
Agathe voit bien où il veut en venir et elle en frissonne d’avance. Elle passe devant lui et va se mettre sur le rondin à genoux, les mains également à plat, son cul pointant vers l’arrière.
- Vous allez me punir ? Demande Agathe dont la voix semble raisonner entre les arbres de la forêt devant elle.
- Ouais ! Fait l’homme. T’es une p’tite traînée qui mérite que ça ! Et c’est ce que tu veux, non ?
- Je crois que je le mérite, oui ! Répond Agathe d’un ton mielleux en rentrant dans son jeu.
L’homme se craque une clope et sort son téléphone. Il se positionne bien derrière le cul d’Agathe qui entend le bruit de l’appareil photo. Il en prend quelques unes et tend son téléphone à la jeune fille pour lui montrer un des clichés. Agathe hausse les sourcils de surprise : sur ma photo, son cul pâle éclairé par les phares porte des grandes traces rouges, stigmates des fessées qu'il lui a données.
- T’es sûre que t’en veux encore ? Ça va te faire mal avec ça ! Prévint il en désignant la tapette.
- Allez-y ! Dit-elle en baissant les yeux sur le bois. Punissez-moi !
L’homme repasse derrière son cul et ne se fait pas prier : d’un coup vif, la tapette fend l’air pour s’abattre sur une des fesses d’Agathe dans un « CLAC ! » Bien sonore. La jeune fille pousse aussitôt un cri qui se répercute dans le bois en écho. L’homme pousse un grognement de plaisir et relève la tapette en l’air. Agathe se prépare, le cœur battant la chamade et elle a tout juste le temps d’entendre le « PFUIT ! » De la tapette qui transperce l’air que déjà, une nouvelle douleur piquante sur le cul ! Là encore, elle gémit de douleur. De plaisir, surtout. De PLAISIR ! L’homme baisse son short qui tombe sur ses tongs et s’empare de son membre. En retourna sa tête par-dessus son épaule, Agathe aperçoit un sexe bandant, un peu bronzé, de taille moyenne à la tonsure noire et touffu sur tout le pubis. L’homme s’astique en serrant des dents, l’œil rivé sur le cul couleur vanille-fraise d’Agathe : il a quelque chose de dément dans le regard et Agathe comprend alors que ça va être sa fête, purement et simplement. L’homme lache encore un grognement guttural et la refrappe avec vigueur. Encore une fois, encore et encore, sans s’arreter, sans aucune régularité, juste comme il en a envie, aux Intervalles qui lui plaisent. Il augmente même l’intensité, devenant de plus en plus virulent, grognant à chaque coup tout en se branlant à toute vitesse avec son autre main. Agathe crie à plein poumons à chaque fois que le carré de plastique termine sa course sur une de ses fesses dans un claquement : « CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! CLAC/AH ! OUI C’EST BON !! CLAC/OH ! CLAC/AH ! CLAC/HUM ! ENCORE !! CLAC/OOOH ! » Elle ne ressent plus rien tellement son cul prend cher, il est indolore, comme si elle avait une crampe ou qu’il s’était recouvert d’une membrane protectrice mais par moments, des picotements se font sentir par endroits. Elle n’ose pas imaginer dans quel état se trouve son petit postérieur, pas le plus bandant de tous, donné en pâture à un homme au hasard qui la maltraite comme une pute.
L’homme joue avec elle à présent : tantôt il envoie une série de coups à la suite, 2 voire 3 ou 4 qui font beugler Agathe puis il s’arrête, tantôt il prend beaucoup plus de recul avec son bras et en assène un unique mais bien plus violent que les autres ! Il s’amuse même et ricane en bloquant par moments juste devant l’épiderme d’Agathe, lui faisant croire qu’il va taper. Quand à elle, Agathe est avachie sur le rondin de bois, les cheveux pendus dans l’air de l’autre côté et le visage ruisselant de sueur. Elle a une main sur sa chatte, ruisselante également, qu’elle caresse à fond. Elle est sûre que des gouttes de mouille perlent sur le bois en dessous d’elle. L’homme pousse de léger grognements ; il est encore en train de se branler à fond mais cela fait maintenant presque 30 secondes qu’il ne donne plus de coups avec sa tapette. Agathe peut reprendre son souffle, son cul endoloris recommence à lui faire mal et elle passe une main dessus : il est brûlant et elle sent que la texture de sa peau est marquée par les petits carreaux du rectangle en plastique de la tapette. D’un coup, Agathe sent s’enfoncer quelque chose dans son cul et elle devine que c’est le manche en plastique, pas très épais, de la tapette. L’homme l’enfonce tout bonnement et Agathe se met à gémir bruyamment. L’homme interrompt son geste dans un rire sardonique et ressort son téléphone pour prendre quelques photos.
- Alors, Agathe ? Demande-t-il dans un rire narquois. On avait des choses à se reprocher pour être punie comme ça ?! Tu verrais ton cul ! Il est dans un sale état !
- Oui, j’ai pas été sage, répond Agathe dans un souffle.
- Oh ouais ! Fait l’homme qui continue sa branlette à toute vitesse. Putain, racontes-moi comment t’as fait la pute, dis moi tout !
- Je me suis faite peloter par un vieux dans un rayon su magasin où je travaille, je l’ai branlé et il est venu sur mon visage, et dans ma bouche…Avec une rapidité déconcertante, l’homme a ressort la tapette du trou de balle de la jeune fille pour lui remettre un coup encore plus violent que les autres !
CLAC !
Agathe pousse une nouvelle plainte tandis que le plastique lui fouette violemment la peau :- Encore ! Raconte-moi ! Lâche-t-il en respirant de plus en plus vite, branlant sa queue à toute vitesse.
- J’ai sucé deux inconnus dans les chiottes d’une aire de repos, à travers la porte !
CLAC ! CLAC ! CLAC !
Elle crie à trois reprises ! Agathe pose la tête à même le bois du rondin, elle a mal mais elle adore ça, être comme punie pour toutes ces saloperies qui lui ont fait tellement de bien. Elle se mord la lèvre quasi jusqu’au sang, les yeux emplis de larmes, mais un sourire se dessine sur son visage, un immense sourire, tandis qu’en frottant sa chatte, elle sent qu’elle va venir.
- Oh ouais !! Vas-y, raconte-moi tout !!
- Dans un bus, dit Agathe difficilement sous la douleur qu’elle ressent, un type est venu s’asseoir à côté de moi et m’a touchée avant de bouffer mon cul et ma chatte !
- QUELLE CHIENNE !! Hurle maintenant le mec d’une voix saccadé en s’astiquant toujours plus vite.
Et il distribue toute une série de coups violentes à Agathe, sans s’arrêter : CLAC ! CLACL ! CLAC ! CLAC… elle hurle sur chacun d’eux, et ne tient plus ; dans un long gémissement aigu, elle vient enfin, sentant tout son corps se raidir jusqu’à ses pieds. Mais l’homme ne s’arrête pas et elle continue d’hurler dans la nuit noire : CLAC ! CLAC ! CLAC… elle se dit que chaque coup est le dernier, qu’elle va le supplier d’arrêter mais : - PUTAIN ! J’TIENS PLUUUUUS ! Hurle-t-il derrière elle.
Il s’arrête de la claquer avec la tapette et s’avance vers son cul en braillant tout ce qu’il sait, jetant ses dernières forces dans la bataille en se branlant. D’une voix rauque et sonore, il pousse une ultime et longue plainte. Agathe sent de grands jets de sperme chaud lui atterrir sur la peau des fesses et même jusque sur le bas de son dos. Un autre jet atterrit sur son anus et glisse jusqu’à l’entrée de sa chatte dilatée pour venir se perdre dans ses quelques poils pubiens en dessous.
- Nettoie-la moi, ordonne-t-il.
Agathe se retourne pour se retrouver face à sa queue. Aveuglée par la lumière des phares derrière lui, elle a juste le temps de sentir une forte odeur poisseuse avant de prendre sa bite dans sa bouche comme un bâtonnet de sucette et jusqu’à la garde, son nez dans la touffe de poils pubiens de l’homme. Il lui agrippe rageusement les cheveux de ses mains, la tête levée au ciel, la respiration encore rapide et saccadée. Il maintient Agathe dans cette position. Elle sent son gland bien collé contre son palais et le goût fort de son sperme lui imprègne toute la bouche. Elle aspire son membre comme pour en extraire les quelques gouttes de jus qui lui reste et le suce avec sa langue. L'homme pousse une nouvelle exclamation de plaisir. Agathe sent qu’elle a besoin d’air et retire la bite de sa bouche en tirant sa tête en arrière. Elle tousse, des filets de bave lui coule de la bouche sur son menton, avec quelques résidus de la semence du gars.
- Putain Agathe ! Dit-il essoufflé. J’ai cru que t’allais aspirer mon âme ! Ahah !
Elle le regarde en tirant la langue, puis lui sourit radieusement.
Ils se retrouvent de nouveau dans son camion. Agathe s’asseoir précautionneusement car ses fesses lui font maintenant un mal de chien au point qu’elle a galère pour se rhabiller. L’homme s’en amuse et met le contact. Il retourne sur la route. Agathe se sent encore tout chose.
- J’te dépose au village, alors ? Demande-t-il en se rallumant une cigarette.
- Oui, s’il vous plaît !
- J’te dois bien ça, petite ! Annonce-t-il, tout euphorique. Mais je reste un peu sur ma faim…tu veux pas venir ? Je vais boire des coups chez un pote qui habite un peu plus haut. On pourrait te punir tous les deux cette fois-ci et…bien plus encore !
- Non, répond Agathe avec un petit rire. Je crois que ça suffira. Une prochaine fois peut-être ?
- Et pourquoi pas ! File moi ton numéro !
Elle lui donne et tout en conduisant, l’homme prend note sur son portable. Une fois sur la place du village, Agathe descend du camion. L’homme lui refile quelques clopes : - Bon, je t’appelle un de ces quatre, ok ?
- Quand vous voulez ! Lui répond-elle en lui adressant un clin d’œil.
Il lui adresse un large sourire pervers et redémarre en se gaussant bruyamment. Agathe regarde le camion s’éloigner et se retrouve seule dans le silence de la nuit, sur la place du village désert. C’était bon. C’était très particulier certes, mais bon. L’éclate même ! Elle pose une main sous sa jupe pour toucher une de ses fesses douloureuses et quadrillés par la tapette à mouches et sourit. Enfin, elle se met en marche vers sa destination.
FIN
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Les avis des lecteurs
Je veux la suite. Depuis le début de vos histoires j'ai l'impression d'être Agathe et j'adore ça, je veux être traitée comme ça, encore !