Agathe S'Éclate - 02 - Aire de Repos
Récit érotique écrit par Jackobscene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Agathe S'Éclate - 02 - Aire de Repos
Cette histoire se déroule quelques temps après l’épisode du bus que Agathe s’est bien cachée de raconter à sa copine lors de ses vacances à Marseille. Là-bas, elle s’est retrouvé chez un mec après une soirée arrosée mais n’arrivant pas à bander, il a préféré lui dire de rentrer. Autant vous dire qu’Agathe s’est bien retrouvée frustrée alors que sa copine elle, a connu une fin de soirée beaucoup plus torride…De retour dans sa campagne, Agathe passe ses soirées à se caresser en repensant au coup du bus ; parce que ce fût une expérience très excitante mais aussi parce qu’elle a très envie de sexe – comme bien souvent – mais sa récente frustration n’a fait que grandir son désir. Ce soir-là, les doigts collants de sa propre mouille, allongée dans son studio miteux et minuscule, sur son clic-clac qu’elle ne prend même plus la peine de déplier, elle ressent de nouveau une de ses pulsions qui font naître en elle un intense besoin de faire des « conneries ».
Elle se maquille – met du eye-liner et un soupçon de rouge à lèvre pétant – et enfile une robe en laine qui s’arrête juste au-dessus de ses genoux. Il fait froid, elle met donc des bas et un long manteau bien chaud qui s’arrête à peu près au même niveau que sa robe. Elle a une idée en tête : sortir de chez elle pour aller s’installer à l’arrêt de bus juste en face en espérant qu’un automobiliste s’arrête et lui propose un « tour ». Elle descend, sort de son immeuble sous un vent glacial et va s’installer. Elle imagine qu’un mec, plus âgé et un peu pervers, s’arrête et lui propose de la prendre.
Justement, quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête, conduite par une femme qui doit avoir une cinquantaine d’années : - Bonsoir ! Il n’y a plus de bus à cette heure-ci !
Agathe s’attendait à un homme, qu’elle aurait pu allumer.
- Oui, j’avais oublié…mentit Agathe.
- Tu veux que je te dépose quelque part ?
Parfait ! Agathe a une idée en tête : l’aire de repos vers le lac, à une dizaine de minutes de sa ville. Il était fréquent que des routiers s’y arrêtent et ce, à toutes les heures et Agathe avait toujours fantasmé en s’imaginant pleine de situations sur cet endroit.
- Allez monte ! Dit la femme. Tu vas pas rester dans le froid comme ça.
Agathe s’exécute et la femme lui demande : « Tu allais où comme ça ? » Agathe cherche une excuse dans sa tête et répond du tac-o-tac :- Rejoindre une amie, sur l’aire de repos du lac.
- Oh ! Mais faut pas aller là bas le soir ! S’indigna la femme. Tu es sûre que…- Oui, oui, vous inquiétez pas !
La conductrice ne rajoute rien mais semble mal à l’aise durant tout le trajet à l’idée de déposer une gosse dans cet endroit. Juste avant d’y arriver, elle demanda une ultime fois : - T’es sûre que tu veux que je te dépose là ?
- Oui, certaine !
Le femme ne discute pas et s’engage sur le parking de la petite aire de repos. Il n’y a absolument personne, ni véhicule, ni âme qui vive. Un bâtiment au centre, qui se trouve être les toilettes, représente la seule source de lumière hormis le seul lampadaire du parking.
- Tu veux attendre ici ? Toute seule ? Tu me rappelles ma fille. Je la laisserai pas seule ici, tu sais ?
- Vous inquiétez pas ! Tout ira bien ! Dit Agathe dans un sourire.
Attendant que la femme parte, dans le froid glaciale, Agathe va vers les toilettes et au lieu de prendre le côté « femmes » elle tourne les talons et rentre dans celui côté « homme ». Elle constate sur les murs que des numéros de téléphone sont écrits avec des infos au dessus du genre « bonne salope » « bouche à baiser » « petite chienne ». Elle a très envie de se faire du bien ici, seule, dans les toilettes des hommes au milieu de nulle part. Elle rentre dans la dernière cabine et la referme derrière elle et remarque que dans la porte, un trou a grossièrement été percée. Un gros trou, permettant de laisser passer une bite épaisse. Agathe se dit que les quelques rumeurs quant à cet endroit ne sont peut-être pas que des foutaises : il est de notoriété publique que cette aire de repos est un endroit très apprécié des voyageurs pour se faire sucer ou baiser. Tout à coup, un bruit de moteur à l’extérieur déclenche les battements effrénés de son cœur…Elle reste silencieuse, enfermée dans la cabine et une minute plus tard, la porte des toilettes homme s’ouvre. Elle entend un bruit de froissement, puis celui de l’écoulement de la pisse au fond d’une des pissotières à l’entrée. Silencieuse, le cœur battant la chamade, Agathe écoute d’une oreille attentive pendant quelques instants. Elle se demande si elle ne va pas tenter quelque chose mais aussitôt, le mec se dirige vers la sortie et elle entend la porte claquer. Raté ! En même temps, elle n’avait pas forcément de plan en tête. Seule, dans le froid des chiottes, qui est aussi mordant qu’à l’extérieur, elle se pose sur la lunette et se caresse sous sa robe, par-dessus sa culotte, sentant sa petite chatte se réchauffer…Au moment où elle s’apprête à venir, haletante, les doigts en pleine action sur son clito, elle entend des bruits de pas et la porte des toilettes s’ouvrent de nouveau. Étrange, elle n’a pourtant pas entendu le bruit de moteur, elle se dit qu’elle était peut être trop à fond pour s’en rendre compte. Elle entend siffler dans l’échos des toilettes, et le même bruit d’éclaboussures indique que l’homme est en train de se vider la vessie. Agathe se dit que cette fois, elle va tenter : elle se met à genoux devant la porte de la cabine et fait « PSSST » a travers le trou. Le sifflement s’arrête net. Elle réitère l’opération et là, les pas, prudents, se dirigent vers sa cabine. Elle passe sa langue dans le trou et la fait bouger dans tous les sens. Un grognement retentit de derrière et une voix rauque demande avec un fort accent : « Pute ? » Agathe passe un de ses doigts et fait signe de venir avec. S’attendant à ce que le mec se jette sur l’occasion, elle entend les pas repartir rapidement vers la sortie, puis la porte claque.
Elle attend, un peu dans l’incompréhension mais une minute plus tard, la porte s’ouvre à nouveau et cette fois, les bruits de pas retentissent mais ils sont plusieurs. Deux homme cette fois. Ils échangent dans un drôle de dialecte qu’elle ne pige pas et un silence s’installe pendant quelques secondes. Au moment ou Agathe se dit qu’elle va refaire passer sa langue, deux doigts apparaissent dans le trou ; ils sont sales et boudinés. Elle a pour idée dans un premier temps de les sucer mais devant une telle hygiène, elle préfère plutôt sortir un de ses petits seins aux tétons durs et le présenter aux doigts de l’homme. Ce dernier a une expression surprise et ricane en parlant à son pote dans sa langue. Il tripote le téton d’Agathe qui pointe. Elle se touche la chatte en même temps qu’elle regarde ce doigt infect en contact avec elle. Il masse le téton de plus en plus vite, entre ses deux doigts. Agathe respire de plus en fort. Elle entend une voix, les doigts disparaissent, aussitôt remplacés par d’autres : ceux de l’autre gars. Ce dernier beugle quelque chose à son pote et cette fois, il pince sans aucune douceur le téton d’Agathe qui, sous la surprise, pousse un petit cri. Les deux se marrent. Elle recule, les doigts disparaissent, ils s’échangent quelques mots et un bruit de zip retentit…Agathe a une petite idée de la suite.
Une bite longue et très fine, apparaît du trou dans la cabine. Elle est tellement fine qu’il aurait était possible d’en faire passer deux comme ça. Elle entend les mecs ricaner derrière la porte et elle sens sa chatte s’humidifier. Elle approche doucement sa main et pose ses doigts sur la queue, puis referme sa main entière dessus. Elle sent la bite grandir sous ses doigts et elle branle doucement le type, en décalottant. Une forte odeur s’émane du sexe mais ça l’excite encore plus…elle accélère le mouvement en souriant, amusé de voir le membre durcir comme le bois d’un manche à balais et d’entendre son propriétaire lâcher de longs soupirs ; elle lui fait plaisir ! Elle a baissé sa culotte sur ses cuisses et se caresse la chatte de son autre main, elle sent qu’elle mouille abondamment et s’approche des couilles, petites et velues, sous la longue queue. Elle met un tout petit coup de langue sur l’une en continuant sa masturbation, puis elle passe à l’autre, elle alterne plusieurs fois comme ça et enfin, elle en prend une dans sa bouche qu’elle suce comme un bonbon. Le mec est aux anges derrière la porte vu comme il respire de plus en plus vite. Elle lui suce les boules tout en accélérant sa branlette lorsqu’elle entend l’autre mec élever la voix. Le premier répond de façon agressive ; ils commencent à s’embrouiller puis la queue et ses boules disparaissent avant de laisser place à la queue de l’autre mec ; cette fois, elle passe difficilement dans le trou tellement elle est large. De taille moyenne, un peu bronzé. Deux belles couilles rasées en dessous. Le mec donne un ordre qu’elle comprend très bien, d’une voix forte : « Suce ! » Agathe s’empare de la bite et la branle, découvrant un gros gland violacé à l’odeur encore plus forte que la bite d’avant. Le mec dit un truc, son pote répond avant de partir des toilettes laissant Agathe juste avec l’homme.
Elle lui suce les boules avec gourmandise, les mouillant tellement que de la salive coule à grands filets de bave jusqu’au sol carrelé. À genoux devant la queue, Agathe se doigte très profond. Elle mord la peau des couilles du gars qui adore vu le grognement de contentement qu’il émet. « Pute ! Suce ma bite ! Allez ! » Rugit-il dans un français approximatif. Elle décalotte, lui mettant le gland à nu et crache dessus avant d’appliquer sa salive blanche et visqueuse en le branlant dans un bruit « savonneux ». Il halète comme un chien et redit, plus fermement : « Suce, allez, ma bite, ta bouche, pute ! » Agathe approche sa bouche, ouverte en grand, et fait rentrer la grosse bite de l’homme mais sans la toucher, juste pour qu’il sente le souffle chaud de la jeune fille puis, elle referme les lèvres dessus et la prend cette fois sur sa langue ; la bite est tellement large que la bouche d’Agathe est bien pleine ! Elle recule doucement sa tête pour lui polir toute la longueur et s’attarde finalement sur son gland poisseux avec un arrière goût salé et elle a l’impression de sentir l’odeur de l’urine ; il se trouve que c’est lui qui a pissé juste avant. Elle tête l’énorme gland du type comme s’il s’agissait d’une grosse fraise tagada violette et le branle rapidement en même temps. Elle décrit aussi des tours dessus avec sa langue et lèche son pré-sperme salé qui coule en si grande quantité qu’elle l’avale avec sa salive.
Vu que le mec a rentré toute sa queue ainsi que ses couilles, c’est elle qui maitrise la situation ; elle adore sucer des bites, depuis toujours. Elle fait maintenant de longs va et viens avec sa tête en suçant la grosse queue du gars qui lâche des grognements sourds et plus sonore. La porte des toilettes s’ouvre à nouveau. Le nouvel arrivant doit être le pote du gars puisqu’ils parlent la même langue. Elle continue de le sucer en prenant bien soin de mettre toute sa bite – heureusement pas trop grande – dans sa bouche, jusqu’aux porte de sa gorge, presque aux amygdales. Elle met ses deux mains à plat contre la porte de chaque côté du trou en allant encore plus vite dans ses mouvements de tête. Elle entend le bruit d’appareil photo d’un téléphone portable et un ricanement gras. Le mec sort sa queue et dit : « bouche ! Photo ! Allez pute ! » Agathe fait passer ses lèvres par le trou et fait apparaître sa langue. Le gars au gros gland frotte sa bite dessus en riant et l’autre prend plusieurs photos en se marrant aussi puis il ressort des toilettes.
Il remet sa grosse queue dans le trou et Agathe la reprend en bouche tout en émettant de petits gémissements avec sa gorge tellement elle savoure en suçant sa bite entière, à pleine bouche. Sa salive, en grosse quantité, coule jusque sur les couilles de l’homme. Elle l’entend lâcher de plus en plus de grognements rauques et elle sent qu’il va venir vu comme sa queue s’agite seule, comme prise de spasmes. Elle continue d’aller de plus en plus vite et le branle en même temps, dans un bruit de succion et elle entend le mec , avec une voix rauque qui montre qu’il est au bord de l’explosion : « Ah ! Avale Pute, avale ! » Et après tout…pourquoi pas ? Elle a toujours aimé ça, le sperme, tant le goût que la consistance ; elle garde la bite en bouche et accélère les va et viens et la branlette, sentant qu’il va tout lâcher d’un moment à l’autre. En effet, quelques secondes plus tard, dans un gémissement rauque et sonore, qui résonne dans toute la pièce, elle le sent venir dans sa gorge, à grands flots de sperme qui lui tapissent les amygdales et le palais. Agathe avale la majeur partie tout de suite, la bite encore enfoncée dans la bouche, mais la quantité est trop importante et elle doit la ressortir dans un long filet de bave en toussant et crachant sur le carrelage un mélange de mouille et de sperme.
Le mec part dans un rire gras et Agathe l’entend ranger sa queue dans un bruit de braguette. Il dit d’une voix forte et encore essoufflé : « Adieu Pute ! » Puis il repart vers la porte des toilettes, la laissant seule, un goût poisseux dans toute la bouche et les lèvres un peu collante. Les genoux douloureux et les bas déchirés à cet endroit là, elle se relève doucement, la chatte inondée et s’assoit sur la cuvette pour se faire venir, une main dans sa culotte, contre son clito. Elle repense à cette pipe d’aire de repos qu’elle vient de tailler à un parfait inconnu dont elle ne verra jamais le visage et elle se sent mouiller encore plus ! Soudain, la porte des toilettes se rouvre et elle entend la voix du premier mec, celui à la longue bite : « Pute, toujours là ? » Elle sourit et retourne à genoux devant le trou. « Oui. » dit-elle dans un souffle. Elle fait passer ses doigts à travers, fait signe de venir et en un instant, il passe sa queue toute fine à nouveau dans le trou.
Agathe se frotte le clito avec tout le plat de sa main alors que de l’autre, elle tape une branlette rapide au type qui pousse des gémissements de plaisir. Elle a une idée qui lui travers l’esprit et la fait frétiller : elle baisse le haut de sa robe ainsi que son soutien-gorge et se retrouve avec sa petite poitrine à l’air. Ensuite, elle prend la longue bite du gars en bouche et l’avale entière ; plus grande que celle de l’autre type, Agathe la sent bien plus au fond dans sa gorge et en la suçant de toute sa longueur, elle manque de s’étouffer quelque fois et doit la refaire sortir, de la salive lui coulant des lèvres jusqu’à son menton mais elle adore ça, sentir sa bouche prise totalement jusqu’au fond. Elle réitère l’opération à plusieurs reprise, toujours en branlant le mec en même temps et elle sent qu’il ne lui en faut pas beaucoup : elle sort sa queue de sa bouche et vient la frotter contre sa poitrine qu’elle imbibe d’un mélange de salive et de pré sperme. Elle colle le bout du gland contre ses tétons, le mec gémit encore et semble adorer ça. Elle le resuce encore un peu mais c’est la fois de trop : elle sent quelques gouttes de sperme sur sa langue et ressort donc sa queue rapidement ; le mec crache de longs jets en hurlant de plaisir dans une plainte aiguë d’animal blessé. Les yeux fermés, Agathe sent qu’il vient sur son front et le reste, dans ‘les cheveux. Il dit « Encore ! » Et elle positionne sa queue juste devant sa poitrine : il lâche encore quelques jets de sperme dans une quantité moins importante. Agathe se frotte de plus en plus vite en même temps, à bout de souffle et lâchant la queue du gars, elle se sent partir : elle glisse sur le côté en gémissant sans retenue et se retrouve sur le carrelage sale, des cheveux lui collant au visage, toute en sueur et enfin, elle vient dans un hurlement strident qui doit s’entendre à des kilomètres à la rond…elle reste allongée, là, reprenant son souffle et réalisant tout ce qu’il vient de se passer.
Au dehors, quelques minutes plus tard, elle entend un bruit de moteur qui lui indique que les mecs sont partis. Elle se relève, s’essuie le visage et la poitrine avec du PQ et va se passer un peu d’eau sur les cheveux. Dans la glace, elle revoit derrière elle les Graffitis sur les murs avec les numéros et une idée lui vient soudain en tête : elle retourne dans la cabine avec le trou dans la porte et, en dessous, elle note son numéro de téléphone avec son rouge à lèvre et écrit « Pute » à côté en se marrant. Elle sait que ce n’est pas très malin de faire ça mais elle se dit « Pourquoi pas après tout ? N’est ce pas ce que je suis dans le fond ? » rebouchant le tube, les bas foutus au niveau de ses genoux et toute échevelée, Agathe ramasse son sac à main et sort des toilettes. Elle se dirige vers la Route nationale, histoire de faire du stop pour rentrer chez elle. Satisfaite et surtout, beaucoup moins frustrée.
Elle se maquille – met du eye-liner et un soupçon de rouge à lèvre pétant – et enfile une robe en laine qui s’arrête juste au-dessus de ses genoux. Il fait froid, elle met donc des bas et un long manteau bien chaud qui s’arrête à peu près au même niveau que sa robe. Elle a une idée en tête : sortir de chez elle pour aller s’installer à l’arrêt de bus juste en face en espérant qu’un automobiliste s’arrête et lui propose un « tour ». Elle descend, sort de son immeuble sous un vent glacial et va s’installer. Elle imagine qu’un mec, plus âgé et un peu pervers, s’arrête et lui propose de la prendre.
Justement, quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête, conduite par une femme qui doit avoir une cinquantaine d’années : - Bonsoir ! Il n’y a plus de bus à cette heure-ci !
Agathe s’attendait à un homme, qu’elle aurait pu allumer.
- Oui, j’avais oublié…mentit Agathe.
- Tu veux que je te dépose quelque part ?
Parfait ! Agathe a une idée en tête : l’aire de repos vers le lac, à une dizaine de minutes de sa ville. Il était fréquent que des routiers s’y arrêtent et ce, à toutes les heures et Agathe avait toujours fantasmé en s’imaginant pleine de situations sur cet endroit.
- Allez monte ! Dit la femme. Tu vas pas rester dans le froid comme ça.
Agathe s’exécute et la femme lui demande : « Tu allais où comme ça ? » Agathe cherche une excuse dans sa tête et répond du tac-o-tac :- Rejoindre une amie, sur l’aire de repos du lac.
- Oh ! Mais faut pas aller là bas le soir ! S’indigna la femme. Tu es sûre que…- Oui, oui, vous inquiétez pas !
La conductrice ne rajoute rien mais semble mal à l’aise durant tout le trajet à l’idée de déposer une gosse dans cet endroit. Juste avant d’y arriver, elle demanda une ultime fois : - T’es sûre que tu veux que je te dépose là ?
- Oui, certaine !
Le femme ne discute pas et s’engage sur le parking de la petite aire de repos. Il n’y a absolument personne, ni véhicule, ni âme qui vive. Un bâtiment au centre, qui se trouve être les toilettes, représente la seule source de lumière hormis le seul lampadaire du parking.
- Tu veux attendre ici ? Toute seule ? Tu me rappelles ma fille. Je la laisserai pas seule ici, tu sais ?
- Vous inquiétez pas ! Tout ira bien ! Dit Agathe dans un sourire.
Attendant que la femme parte, dans le froid glaciale, Agathe va vers les toilettes et au lieu de prendre le côté « femmes » elle tourne les talons et rentre dans celui côté « homme ». Elle constate sur les murs que des numéros de téléphone sont écrits avec des infos au dessus du genre « bonne salope » « bouche à baiser » « petite chienne ». Elle a très envie de se faire du bien ici, seule, dans les toilettes des hommes au milieu de nulle part. Elle rentre dans la dernière cabine et la referme derrière elle et remarque que dans la porte, un trou a grossièrement été percée. Un gros trou, permettant de laisser passer une bite épaisse. Agathe se dit que les quelques rumeurs quant à cet endroit ne sont peut-être pas que des foutaises : il est de notoriété publique que cette aire de repos est un endroit très apprécié des voyageurs pour se faire sucer ou baiser. Tout à coup, un bruit de moteur à l’extérieur déclenche les battements effrénés de son cœur…Elle reste silencieuse, enfermée dans la cabine et une minute plus tard, la porte des toilettes homme s’ouvre. Elle entend un bruit de froissement, puis celui de l’écoulement de la pisse au fond d’une des pissotières à l’entrée. Silencieuse, le cœur battant la chamade, Agathe écoute d’une oreille attentive pendant quelques instants. Elle se demande si elle ne va pas tenter quelque chose mais aussitôt, le mec se dirige vers la sortie et elle entend la porte claquer. Raté ! En même temps, elle n’avait pas forcément de plan en tête. Seule, dans le froid des chiottes, qui est aussi mordant qu’à l’extérieur, elle se pose sur la lunette et se caresse sous sa robe, par-dessus sa culotte, sentant sa petite chatte se réchauffer…Au moment où elle s’apprête à venir, haletante, les doigts en pleine action sur son clito, elle entend des bruits de pas et la porte des toilettes s’ouvrent de nouveau. Étrange, elle n’a pourtant pas entendu le bruit de moteur, elle se dit qu’elle était peut être trop à fond pour s’en rendre compte. Elle entend siffler dans l’échos des toilettes, et le même bruit d’éclaboussures indique que l’homme est en train de se vider la vessie. Agathe se dit que cette fois, elle va tenter : elle se met à genoux devant la porte de la cabine et fait « PSSST » a travers le trou. Le sifflement s’arrête net. Elle réitère l’opération et là, les pas, prudents, se dirigent vers sa cabine. Elle passe sa langue dans le trou et la fait bouger dans tous les sens. Un grognement retentit de derrière et une voix rauque demande avec un fort accent : « Pute ? » Agathe passe un de ses doigts et fait signe de venir avec. S’attendant à ce que le mec se jette sur l’occasion, elle entend les pas repartir rapidement vers la sortie, puis la porte claque.
Elle attend, un peu dans l’incompréhension mais une minute plus tard, la porte s’ouvre à nouveau et cette fois, les bruits de pas retentissent mais ils sont plusieurs. Deux homme cette fois. Ils échangent dans un drôle de dialecte qu’elle ne pige pas et un silence s’installe pendant quelques secondes. Au moment ou Agathe se dit qu’elle va refaire passer sa langue, deux doigts apparaissent dans le trou ; ils sont sales et boudinés. Elle a pour idée dans un premier temps de les sucer mais devant une telle hygiène, elle préfère plutôt sortir un de ses petits seins aux tétons durs et le présenter aux doigts de l’homme. Ce dernier a une expression surprise et ricane en parlant à son pote dans sa langue. Il tripote le téton d’Agathe qui pointe. Elle se touche la chatte en même temps qu’elle regarde ce doigt infect en contact avec elle. Il masse le téton de plus en plus vite, entre ses deux doigts. Agathe respire de plus en fort. Elle entend une voix, les doigts disparaissent, aussitôt remplacés par d’autres : ceux de l’autre gars. Ce dernier beugle quelque chose à son pote et cette fois, il pince sans aucune douceur le téton d’Agathe qui, sous la surprise, pousse un petit cri. Les deux se marrent. Elle recule, les doigts disparaissent, ils s’échangent quelques mots et un bruit de zip retentit…Agathe a une petite idée de la suite.
Une bite longue et très fine, apparaît du trou dans la cabine. Elle est tellement fine qu’il aurait était possible d’en faire passer deux comme ça. Elle entend les mecs ricaner derrière la porte et elle sens sa chatte s’humidifier. Elle approche doucement sa main et pose ses doigts sur la queue, puis referme sa main entière dessus. Elle sent la bite grandir sous ses doigts et elle branle doucement le type, en décalottant. Une forte odeur s’émane du sexe mais ça l’excite encore plus…elle accélère le mouvement en souriant, amusé de voir le membre durcir comme le bois d’un manche à balais et d’entendre son propriétaire lâcher de longs soupirs ; elle lui fait plaisir ! Elle a baissé sa culotte sur ses cuisses et se caresse la chatte de son autre main, elle sent qu’elle mouille abondamment et s’approche des couilles, petites et velues, sous la longue queue. Elle met un tout petit coup de langue sur l’une en continuant sa masturbation, puis elle passe à l’autre, elle alterne plusieurs fois comme ça et enfin, elle en prend une dans sa bouche qu’elle suce comme un bonbon. Le mec est aux anges derrière la porte vu comme il respire de plus en plus vite. Elle lui suce les boules tout en accélérant sa branlette lorsqu’elle entend l’autre mec élever la voix. Le premier répond de façon agressive ; ils commencent à s’embrouiller puis la queue et ses boules disparaissent avant de laisser place à la queue de l’autre mec ; cette fois, elle passe difficilement dans le trou tellement elle est large. De taille moyenne, un peu bronzé. Deux belles couilles rasées en dessous. Le mec donne un ordre qu’elle comprend très bien, d’une voix forte : « Suce ! » Agathe s’empare de la bite et la branle, découvrant un gros gland violacé à l’odeur encore plus forte que la bite d’avant. Le mec dit un truc, son pote répond avant de partir des toilettes laissant Agathe juste avec l’homme.
Elle lui suce les boules avec gourmandise, les mouillant tellement que de la salive coule à grands filets de bave jusqu’au sol carrelé. À genoux devant la queue, Agathe se doigte très profond. Elle mord la peau des couilles du gars qui adore vu le grognement de contentement qu’il émet. « Pute ! Suce ma bite ! Allez ! » Rugit-il dans un français approximatif. Elle décalotte, lui mettant le gland à nu et crache dessus avant d’appliquer sa salive blanche et visqueuse en le branlant dans un bruit « savonneux ». Il halète comme un chien et redit, plus fermement : « Suce, allez, ma bite, ta bouche, pute ! » Agathe approche sa bouche, ouverte en grand, et fait rentrer la grosse bite de l’homme mais sans la toucher, juste pour qu’il sente le souffle chaud de la jeune fille puis, elle referme les lèvres dessus et la prend cette fois sur sa langue ; la bite est tellement large que la bouche d’Agathe est bien pleine ! Elle recule doucement sa tête pour lui polir toute la longueur et s’attarde finalement sur son gland poisseux avec un arrière goût salé et elle a l’impression de sentir l’odeur de l’urine ; il se trouve que c’est lui qui a pissé juste avant. Elle tête l’énorme gland du type comme s’il s’agissait d’une grosse fraise tagada violette et le branle rapidement en même temps. Elle décrit aussi des tours dessus avec sa langue et lèche son pré-sperme salé qui coule en si grande quantité qu’elle l’avale avec sa salive.
Vu que le mec a rentré toute sa queue ainsi que ses couilles, c’est elle qui maitrise la situation ; elle adore sucer des bites, depuis toujours. Elle fait maintenant de longs va et viens avec sa tête en suçant la grosse queue du gars qui lâche des grognements sourds et plus sonore. La porte des toilettes s’ouvre à nouveau. Le nouvel arrivant doit être le pote du gars puisqu’ils parlent la même langue. Elle continue de le sucer en prenant bien soin de mettre toute sa bite – heureusement pas trop grande – dans sa bouche, jusqu’aux porte de sa gorge, presque aux amygdales. Elle met ses deux mains à plat contre la porte de chaque côté du trou en allant encore plus vite dans ses mouvements de tête. Elle entend le bruit d’appareil photo d’un téléphone portable et un ricanement gras. Le mec sort sa queue et dit : « bouche ! Photo ! Allez pute ! » Agathe fait passer ses lèvres par le trou et fait apparaître sa langue. Le gars au gros gland frotte sa bite dessus en riant et l’autre prend plusieurs photos en se marrant aussi puis il ressort des toilettes.
Il remet sa grosse queue dans le trou et Agathe la reprend en bouche tout en émettant de petits gémissements avec sa gorge tellement elle savoure en suçant sa bite entière, à pleine bouche. Sa salive, en grosse quantité, coule jusque sur les couilles de l’homme. Elle l’entend lâcher de plus en plus de grognements rauques et elle sent qu’il va venir vu comme sa queue s’agite seule, comme prise de spasmes. Elle continue d’aller de plus en plus vite et le branle en même temps, dans un bruit de succion et elle entend le mec , avec une voix rauque qui montre qu’il est au bord de l’explosion : « Ah ! Avale Pute, avale ! » Et après tout…pourquoi pas ? Elle a toujours aimé ça, le sperme, tant le goût que la consistance ; elle garde la bite en bouche et accélère les va et viens et la branlette, sentant qu’il va tout lâcher d’un moment à l’autre. En effet, quelques secondes plus tard, dans un gémissement rauque et sonore, qui résonne dans toute la pièce, elle le sent venir dans sa gorge, à grands flots de sperme qui lui tapissent les amygdales et le palais. Agathe avale la majeur partie tout de suite, la bite encore enfoncée dans la bouche, mais la quantité est trop importante et elle doit la ressortir dans un long filet de bave en toussant et crachant sur le carrelage un mélange de mouille et de sperme.
Le mec part dans un rire gras et Agathe l’entend ranger sa queue dans un bruit de braguette. Il dit d’une voix forte et encore essoufflé : « Adieu Pute ! » Puis il repart vers la porte des toilettes, la laissant seule, un goût poisseux dans toute la bouche et les lèvres un peu collante. Les genoux douloureux et les bas déchirés à cet endroit là, elle se relève doucement, la chatte inondée et s’assoit sur la cuvette pour se faire venir, une main dans sa culotte, contre son clito. Elle repense à cette pipe d’aire de repos qu’elle vient de tailler à un parfait inconnu dont elle ne verra jamais le visage et elle se sent mouiller encore plus ! Soudain, la porte des toilettes se rouvre et elle entend la voix du premier mec, celui à la longue bite : « Pute, toujours là ? » Elle sourit et retourne à genoux devant le trou. « Oui. » dit-elle dans un souffle. Elle fait passer ses doigts à travers, fait signe de venir et en un instant, il passe sa queue toute fine à nouveau dans le trou.
Agathe se frotte le clito avec tout le plat de sa main alors que de l’autre, elle tape une branlette rapide au type qui pousse des gémissements de plaisir. Elle a une idée qui lui travers l’esprit et la fait frétiller : elle baisse le haut de sa robe ainsi que son soutien-gorge et se retrouve avec sa petite poitrine à l’air. Ensuite, elle prend la longue bite du gars en bouche et l’avale entière ; plus grande que celle de l’autre type, Agathe la sent bien plus au fond dans sa gorge et en la suçant de toute sa longueur, elle manque de s’étouffer quelque fois et doit la refaire sortir, de la salive lui coulant des lèvres jusqu’à son menton mais elle adore ça, sentir sa bouche prise totalement jusqu’au fond. Elle réitère l’opération à plusieurs reprise, toujours en branlant le mec en même temps et elle sent qu’il ne lui en faut pas beaucoup : elle sort sa queue de sa bouche et vient la frotter contre sa poitrine qu’elle imbibe d’un mélange de salive et de pré sperme. Elle colle le bout du gland contre ses tétons, le mec gémit encore et semble adorer ça. Elle le resuce encore un peu mais c’est la fois de trop : elle sent quelques gouttes de sperme sur sa langue et ressort donc sa queue rapidement ; le mec crache de longs jets en hurlant de plaisir dans une plainte aiguë d’animal blessé. Les yeux fermés, Agathe sent qu’il vient sur son front et le reste, dans ‘les cheveux. Il dit « Encore ! » Et elle positionne sa queue juste devant sa poitrine : il lâche encore quelques jets de sperme dans une quantité moins importante. Agathe se frotte de plus en plus vite en même temps, à bout de souffle et lâchant la queue du gars, elle se sent partir : elle glisse sur le côté en gémissant sans retenue et se retrouve sur le carrelage sale, des cheveux lui collant au visage, toute en sueur et enfin, elle vient dans un hurlement strident qui doit s’entendre à des kilomètres à la rond…elle reste allongée, là, reprenant son souffle et réalisant tout ce qu’il vient de se passer.
Au dehors, quelques minutes plus tard, elle entend un bruit de moteur qui lui indique que les mecs sont partis. Elle se relève, s’essuie le visage et la poitrine avec du PQ et va se passer un peu d’eau sur les cheveux. Dans la glace, elle revoit derrière elle les Graffitis sur les murs avec les numéros et une idée lui vient soudain en tête : elle retourne dans la cabine avec le trou dans la porte et, en dessous, elle note son numéro de téléphone avec son rouge à lèvre et écrit « Pute » à côté en se marrant. Elle sait que ce n’est pas très malin de faire ça mais elle se dit « Pourquoi pas après tout ? N’est ce pas ce que je suis dans le fond ? » rebouchant le tube, les bas foutus au niveau de ses genoux et toute échevelée, Agathe ramasse son sac à main et sort des toilettes. Elle se dirige vers la Route nationale, histoire de faire du stop pour rentrer chez elle. Satisfaite et surtout, beaucoup moins frustrée.
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Que j'aime tes histoires. C'est comme si tu étais dans ma tête, dans mon con et dans mon cul en même temps.