AIRE DE REPOS(2) : Pendant que ma femme dort.
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS(2) : Pendant que ma femme dort.
AIRE DE REPOS (2) : Pendant que ma femme dort.
Nous sommes bloqués sur une aire d'autoroute dans le sud de la France, entre Montpellier et Nîmes. Marc et Sarah viennent d'appeler pour prévenir qu'ils auront du retard. Ils sont pris dans les bouchons et pensent nous rejoindre dans deux heures. Ensemble, nous devons rallier Bandol pour prendre possession de notre location estivale.
Mon épouse est fatiguée, elle a conduit tout le trajet. Elle incline le siège conducteur et décide de s'octroyer une sieste bien méritée. Je me retrouve comme un con dans la voiture, à attendre nos amis.
Je vois soudain un jeune rebeu sortir des toilettes et monter le talus qui mène à la pinède. Il paraît jeune, autour de la vingtaine. Il porte un bas de survêtement blanc et un sweat à cagoule qu'il rabat sur le visage en passant devant notre véhicule. Je ne suis pas certain qu'il m'ait vu, mais moi par contre, je l'ai bien maté.
En plus, je sais où il va. Il se rend dans le petit bois à la recherche d'une bonne baise.
Vous vous demandez comment je peux savoir tout ça? Je vous répondrais que malgré mes quinze années de mariage, j'ai toujours été attiré par les hommes. Je connais bon nombre de lieux de drague, surtout les aires d'autoroute. Et des petites frappes comme celle qui vient de passer ont souvent servi de défouloir à mes envies de défonce.
Je le vois disparaître dans le bosquet. Mon sang ne fait qu'un tour. Mes instincts de prédation se réveillent et aussitôt ma queue se redresse fièrement dans mon bermuda.
Elle vient de repérer sa proie!
Putain, l'occasion est trop belle. Surtout que je vais devoir me passer de mecs durant un mois entier.
Je regarde ma femme. Elle dort profondément. Je me retourne et annonce à ma fille de 12 ans et mon fils de10 que je sors me dégourdir les jambes. J'ai une peur bleue qu'ils décident de m'accompagner mais ils sont trop occupés à jouer sur leur console.
Une fois dehors, je m'empresse de franchir la barrière et m'enfonce dans le bois. J'avance prudemment. Tout semble calme. Aucun bruit, à par le chant des cigales. Bon sang! Je l'ai perdu, c'est bien ma veine. Je tousse un peu, me racle la gorge pour signifier ma présence...
Soudain, il me semble entendre un craquement de brindilles. Je m'aventure dans un petit sentier et ne tarde pas à tomber nez à nez avec mon beau maghrébin. Il a ouvert son sweat et laisse voir un torse mince et lisse. Il se pince un téton tout en malaxant sa queue à travers son survêt. Il est mignon, le visage fin, des yeux noisette et une peau sombre qui contraste avec le blanc de sa tenue. Il m'allume carrément en passant le bout de la langue sur ses lèvres. Ce doit être une bonne suceuse. Tout ce que je recherche. Et puis, si je peux le fourrer...
J'hésite un peu. Il ne faudrait pas que mes enfants m'appellent ou pire, que ma femme se pointe.
Il me fait signe d'approcher. Mon besoin de baise est trop fort. Je m'avance. Une fois à sa hauteur, il m'agrippe direct l'entrejambe.
Il malaxe ma queue à travers le short tout en me fixant droit dans les yeux puis prend la parole. Son fort accent oriental trahit ses origines.
- T'es beau gosse, toi. Tu dois pas venir souvent, je t'aurais repéré.
Il passe une main sous mon t-shirt et siffle d'admiration.
- Ben, mon salaud, t'es super bien foutu. Et en plus, poilu comme un singe.
Je ne dis rien, mais c'est vrai qu'à trente-sept ans il me reste encore de beaux restes. Quand on est coach sportif, la moindre des choses est de s'entretenir.
Il me pelote de partout. Ma queue, mes fesses, mes abdos,... tout y passe.
- Humm, t'as un cul d'enfer. Bien rond, bien musclé, comme je les aime.
Il me caresse la raie à travers l'étoffe du bermuda. Il me gratifie d'un clin d'œil avant d'ajouter...
- J 'ai bien envie d'y goûter.
Je me raidis. C'est OK pour une pipe rapide mais pas question de me faire prendre en pleine nature, à quelques mètres de ma famille.
Trop risqué!
Il devine ma réticence. Il devient plus câlin, me fait des papouilles dans le cou...
- Je m'appelle Riyad. Et toi?
Je lui balance un prénom bidon.
- Marius! C'est joli comme nom.
Il me fatigue à trop parler. J'ai juste envie de me vider les couilles. Je décide de prendre les choses en mains. Je lui baisse son bas de survêtement. Je suis à peine surpris de constater qu'il ne porte pas de sous-vêtements. Je caresse sa bite doucement entre mes doigts. Je la sens gonfler. Il est superbement bien monté. Je me sens de plus en plus excité.
- Elle te plaît ma queue, hein?
Je commence à saliver. Il comprend le signal et appuie sur ma nuque. Je me laisse tomber à genoux, sans aucune autre résistance. Mince, c'est pas ce qui était prévu mais ses 19cm me font trop envie.
Je le branle un peu. Sa tige prend du volume. Puis je lève les yeux et je vois son visage radieux. Il est fier de lui, ce jeune coq. En moins de cinq minutes, il a réussi à retourner la situation en sa faveur. De gibier potentiel il est devenu chasseur incontesté et il compte bien pousser son avantage jusqu'au bout. Je devine à son sourire mutin qu'il kiffe grave de voir un beau trentenaire à ses pieds quémandant les faveurs de sa queue.
Son regard coquin m'indique aussi que je ne suis pas au bout de mes peines.
J'ai une dernière pensée pour ma petite famille qui se repose à quelques mètres de là, puis j'ouvre la bouche et pointe ma langue vers ce gland turgescent. Je le lèche délicatement. Il mouille fort quand j'accélère mes coups de langue.
Je fais glisser son dard entre mes lèvres. Ma langue l'entoure, titille le méat, drainant encore plus de jus.
- Humm!!! C'est bon. Oui, continue,... t'arrête pas.
De l'entendre prendre autant son pied, décuple mon excitation.
Désormais, j'y vais franco. Je sens son corps se tendre de plaisir. J'ai gardé son gland en bouche alors que ma main branle la base de sa queue. Au fur et à mesure que son membre prend du volume, je l'enfourne le plus loin possible dans la bouche, jusqu'à sentir sa grosse prune butter contre ma luette. J'ai un mouvement de recul mais mon jeune arabe me maintient fermement la nuque.
- Non! Laisse-la bien au chaud.
Je reprends ma fellation. Sa bite est bien épaisse, bien longue, ce qui rend la prise difficile. Ma main droite remonte le long de sa cuisse et vient glisser sous ses petites couilles poilues. Deux noisette pleines de jus que je malaxe délicatement.
De mon autre main, j'ai baissé mon bermuda pour libérer ma propre queue. Je l'empoigne sans ménagement et me branle comme un malade.
Je le pompe sans relâche. Ma salive coule le long de son manche. Je le sors, le rentre, toujours plus vite. Il finit par se retirer et, sans un mot, remballe son matériel.
Je me redresse et le regarde avec surprise. Mes yeux le questionnent. Il me lance un regard noir.
- C'est pas ta bouche qui m'intéresse.
Je ne saisis pas tout de suite, puis je finis par comprendre qu'il en veut à mon cul. C'est pas du tout ce que je suis venu chercher mais en même temps, ce con m'a excité grave. J'ai la bite en feu. Je veux jouir, je vais pas pouvoir tenir jusqu'à ce soir.
Je consulte ma montre. Ça fait dix minutes que je me suis absenté. Avec un peu de chance, ma femme dort encore. Je regarde cette queue toujours bandée qui déforme la toile du survêt. Putain, elle me fait trop envie. J'ai la pastille qui me démange. Elle semble partante pour une baise rapide. Je finis par me convaincre en me disant que je ne reverrai plus jamais ce gars et que même si je n'ai été qu'actif jusqu'à ce jour, il faut bien un début à tout.
Je me retourne et me positionne de moi-même contre un arbre. J'écarte bien grand les cuisses afin de lui montrer mon envie de défonce.
- Ben voilà, c'est mieux.
Je l'entends baisser son froc et approcher. Il pose une main sur mes fesses et dirige l'index vers mon anus.
- Je vais bien te travailler.
Je panique un peu car je ne suis pas habitué à ce genre de pratique. Il tourne un peu autour de mon œillet avant d'introduire une phalange. Je grogne mais ma rondelle a bien avalé l'intrus. Il progresse jusqu'à ce que le doigt soient entièrement en moi. Il le fait tourner dans un sens puis dans l'autre. C'est bizarre comme sensation.
Il le rentre et le sort plusieurs fois. À chaque poussée, je gémis de plus belle. Mes jambes s'écartent toutes seules pour lui donner un meilleurs accès. Il ajoute son majeur à son index et me doigte encore plus profond. Cette fois, c'en est trop. Je beugle comme un veau qu'on mène à l'abattoir. Il doit me bâillonner avec une main pour éviter d'ameuter le voisinage.
- Penche-toi encore un peu.
Il n'a pas besoin de répéter. Je m'incline au maximum pour offrir mon cul de dominant à ce jeune caïd. Il me guide, me replace, m'enseigne les bases d'une bonne baise.
Nom d'un chien, il sait y faire pour son âge!
Il ressort ses doigts et les plaque sous mon nez. Ils sentent forts et portent quelques traces sombres. Il me force à ouvrir la bouche et à les sucer. J'ai un haut- le-cœur, je crois vomir, mais déjà je sens son gourdin forcer mon sphincter. Il pointe le gland, puis d'un coup de reins puissant, s'enfonce dans mes entrailles jusqu'aux couilles.
Je ne peux m'empêcher de gueuler à mort tant la douleur est intense. Il me dit de baisser d'un ton. Il en a de bonnes, lui. Je viens de me faire exploser le fion pour la première fois et il voudrait que je lui chante la Traviata!
Il pose ses mains fines sur mes hanches et me ramone le cul à toute vitesse. À chaque mouvement, il sort intégralement sa bite et la replonge aussitôt. Chaque enculade m'arrache un brame de douleur. Il me pilonne le cul encore un bon moment puis se retire et s'écarte un peu.
- Mets-toi à quatre pattes.
Bon sang, cette petite frappe va me rendre fou. Il est en train de dresser un dom. De me faire passer de l'autre côté de la barrière. Il brise une à une mes dernières résistances. D'habitude c'est moi qui ordonne, moi qui impose ma loi, moi qui domine mes partenaires mais aujourd'hui, il a bien compris que je ne suis pas en état de lui résister.
je suis trop en manque de queues pour faire le difficile et il en profite un max.
J'obéis sans me faire prier. Je suis maintenant dans la même position qu'une chienne en chaleur, prête à être fécondée. Le cul offert à sa convoitise. Je sens mon jeune beur s'installer au dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma croupe.
Je suis rouge de honte. J'ai la même attitude qu'un soumis. Je baisse la tête et constate avec effroi que mon sexe est dressé à l'horizontale.
Il glisse entre mes fesses et sa queue vient me perforer à nouveau. Cette fois, la pénétration est moins douloureuse, je ressens même du plaisir à me faire remplir. Je tends mon cul au maximum à la rencontre de son énorme pieu. Je ne peux le voir mais je le sais excité vu la façon dont il me pilonne.
- Ouais, c'est bon. Tu vois, j'ai fini par te le prendre ton boule.
Je ne dis rien. Je me pince les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Il a encore accéléré le rythme. Ses mains pèsent sur mes épaules et son bas-ventre claque contre mes fesses.
Je sens ses cuisses contractées contre mes flancs. Sa queue commence à s'agiter, prise de soubresauts. Il respire fort, proche de l'extase.
À cet instant, des pas résonnent près de nous. Je me redresse tant bien que mal. Mon jeune arabe est ressorti, le sexe pantelant. Il grogne de frustration. Mais hors de question que l'on remette ça. J'ai eu la peur de ma vie. Et puis ma femme doit se demander ce que je fabrique.
Je le plante là, la queue entre les jambes et dévale le talus en direction de ma voiture. Hélène est réveillée et consulte ses mails.
- Dis-donc, où étais-tu passé? On commençait à s'inquiéter.
Je jette un coup d'œil à la banquette arrière. Nos deux mioches n'ont pas décollé le nez de leur tablette. Mon fils me fait juste un signe de la main quand je rentre dans le véhicule.
- Bon, et bien c'est mon tour d'aller prendre l'air. Il y en a encore pour une demi-heure. Allez les enfants, dehors. Ça suffit de s'abrutir à ces jeux idiots.
Il râlent un peu mais suivent leur mère qui prend la direction du petit bois. Je souris malgré moi. Elle risque de ne pas être déçue du voyage.
Je ressors de la voiture et m'accoude à la portière. Je suis un peu frustré. J'aurais bien aimer jouir. En même temps, le lieu ne s'y prêtait guère.
Je suis perdu dans pensées, lorsque je vois une voiture de société s'arrêter à quelques mètres du bloc sanitaire. Un type de mon âge en sort. Il est en costume-cravate, grand, bâti comme un sportif avec des muscles saillants que l'on devine sous la chemise cintrée. Il a tout du bel hidalgo espagnol. Peau mate, yeux sombres et petite barbe noire de trois jours qui accentue son côté masculin.
Il croise mon regard et se palpe direct l'entrejambe en me fixant sans vergogne. Je me sens rougir jusqu'aux oreilles. Bordel, ils sont chauds dans le sud de la France...
Ma femme a dit qu'il restait environs trente minutes avant que Marc et Sarah n'arrivent. Ma queue s'est remise au garde-à-vous et déforme mon bermuda. Je ne vais quand même pas la laisser dans cet état.
Je lui emboîte le pas, non sans me retourner en direction du bosquet.
Je sais que c'est risqué mais je m'encourage. Je me trouve toutes les raisons valables pour y aller. Je n'en aurai que pour quelques minutes. Une bonne pipe ni vu, ni connue. Il me suce et puis voilà!...
Je le rejoins dans les toilettes pour hommes. Il n'est pas debout contre les urinoirs. Mince, où se cache-t-il?!
Mon cœur bat la chamade. Je m'apprête à ressortir lorsque une porte de cabine grince.
Je m'avance prudemment et, prenant mon courage à deux mains, je pousse la porte...
Mon bel Apollon se tient là, dans son costard-cravate, un sourire satisfait au bord des lèvres. Il me fait signe de refermer derrière moi. À peine retourné, il me presse contre lui et me galoche comme si on se connaissait depuis toujours. Un vrai baiser de mecs, baveux, puissant, râpeux... Bien profond. Il se décolle enfin pour me demander.
- Tu es marié?
J'acquiesce de la tête. Je m'apprête à lui retourner la question lorsque je vois briller une alliance à sa main gauche. Je lui souris. Il a des yeux magnifiques. Il respire le mâle. Il veut encore m'embrasser. Je le préviens que mon temps est compté.
- On doit faire vite, je suis pressé.
- Moi aussi. J'ai rendez-vous avec un client.
Il me prend la tête et pousse pour que je m'agenouille. Décidément, j'ai du mal à me faire respecter avec ces sudistes. Mais dans le fond, j'ai trop envie de découvrir sa queue.
Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée à genoux, juste à hauteur de braguette. Il me bloque la nuque pour la plaquer contre son pantalon de costume. Sa bite est déjà raide, elle déforme la fine toile de tergal. Je lèche d'abord le gland à travers l'étoffe pour bien lui signifier mon envie de pipe. Mes lèvres coulissent ensuite sur son manche bien long et s'attardent sur ses boules prisonnière du tissus.
Il commence à gémir. J'ôte son ceinturon de cuir et dézippe sa braguette pour découvrir un boxer noir bien rempli. Il sent bon. On devine que c'est un homme raffiné qui prend soin de lui.
- Montre-moi tes talents de suceur.
Je crains de le décevoir car en principe c'est moi qui me fait pomper. Mais sa queue me fait saliver. Sans plus attendre, je la prends en bouche. Elle est longue, presque 20cm, avec de grosses veines bleues qui remontent jusqu'au gland.
Il me complimente, trouve ma bouche accueillante et en profite pour s'enfonce encore un peu plus. Au fond de lui, il n'a jamais douté de son statut de maître dominant et je comprends vite que je suis là uniquement pour l'aider à se vider les couilles.
Son chibre se dresse dans toute sa virilité. Un vrai sexe reproducteur. Je m'applique à en gober le maximum. Je titille son dard puis glisse sur sa tige et ses couilles. Il me saisit alors par les cheveux et m'oblige à une gorge profonde. J'étouffe un peu. Mon nez est plongé dans ses poils noirs. Je commence à suffoquer. Il le voit et relâche la pression.
Très excité, le gars commence à me biffer avec sa queue pour me laisser le temps de reprendre mes esprits. Il m'oblige à ouvrir la bouche et replonge au fond de mon gosier. Je le suce tout en caressant son torse velu sous la chemise. Je le regarde en même temps. Il me fixe de ses beaux yeux noirs de manière autoritaire. Il me fait clairement comprendre quelle est la place de chacun.
Il est le boss et j'ai tout intérêt à lui obéir.
Cette situation nouvelle pour moi décuple ma frénésie. Plus rien n'existe en cet instant, ni le danger d'être surpris, ni ma femme à quelques mètres d'ici, ni mes gosses... Je me découvre salope soumise et j'aime ça.
Je redouble d'ardeur. Je sens sa queue de plus en plus dure et tendue. Il n'est pas loin de l'explosion.
Après quelques va-et-vient brutaux qui me déboîtent la mâchoire, mon beau représentant m'immobilise. Il se raidit et lâche un premier jet crémeux que j'avale tant bien que mal. D'autres, moins abondants me remplissent la bouche. Ça doit faire des jours qu'il ne s'est pas vidé, tant sa semence est abondante. Mes lèvres débordent de son foutre. Le liquide chaud et gluant me coule sur le menton, le long du cou...
J'entends soudain que l'on m'appelle.
- Papa, t'es-là? Ils viennent d'arriver.
C'est mon fils. Pris de panique, je me redresse et passe la tête par la porte que je viens d'entrebâiller. Je tente de paraître naturel même si j'ai les joues en feu.
- J'arrive, mon grand.
En sortant des pissotières, j'ai juste le temps de me rincer la bouche pour m'enlever ce goût de sperme que déjà Sarah s'approche de moi.
- Hello, Adrien! On arrive à l'instant.
Elle me fait la bise puis se recule, pointant un doigt interrogateur sur le haut de mon T-Shirt.
- C'est quoi toutes ces tâches blanches?!
FIN
Nous sommes bloqués sur une aire d'autoroute dans le sud de la France, entre Montpellier et Nîmes. Marc et Sarah viennent d'appeler pour prévenir qu'ils auront du retard. Ils sont pris dans les bouchons et pensent nous rejoindre dans deux heures. Ensemble, nous devons rallier Bandol pour prendre possession de notre location estivale.
Mon épouse est fatiguée, elle a conduit tout le trajet. Elle incline le siège conducteur et décide de s'octroyer une sieste bien méritée. Je me retrouve comme un con dans la voiture, à attendre nos amis.
Je vois soudain un jeune rebeu sortir des toilettes et monter le talus qui mène à la pinède. Il paraît jeune, autour de la vingtaine. Il porte un bas de survêtement blanc et un sweat à cagoule qu'il rabat sur le visage en passant devant notre véhicule. Je ne suis pas certain qu'il m'ait vu, mais moi par contre, je l'ai bien maté.
En plus, je sais où il va. Il se rend dans le petit bois à la recherche d'une bonne baise.
Vous vous demandez comment je peux savoir tout ça? Je vous répondrais que malgré mes quinze années de mariage, j'ai toujours été attiré par les hommes. Je connais bon nombre de lieux de drague, surtout les aires d'autoroute. Et des petites frappes comme celle qui vient de passer ont souvent servi de défouloir à mes envies de défonce.
Je le vois disparaître dans le bosquet. Mon sang ne fait qu'un tour. Mes instincts de prédation se réveillent et aussitôt ma queue se redresse fièrement dans mon bermuda.
Elle vient de repérer sa proie!
Putain, l'occasion est trop belle. Surtout que je vais devoir me passer de mecs durant un mois entier.
Je regarde ma femme. Elle dort profondément. Je me retourne et annonce à ma fille de 12 ans et mon fils de10 que je sors me dégourdir les jambes. J'ai une peur bleue qu'ils décident de m'accompagner mais ils sont trop occupés à jouer sur leur console.
Une fois dehors, je m'empresse de franchir la barrière et m'enfonce dans le bois. J'avance prudemment. Tout semble calme. Aucun bruit, à par le chant des cigales. Bon sang! Je l'ai perdu, c'est bien ma veine. Je tousse un peu, me racle la gorge pour signifier ma présence...
Soudain, il me semble entendre un craquement de brindilles. Je m'aventure dans un petit sentier et ne tarde pas à tomber nez à nez avec mon beau maghrébin. Il a ouvert son sweat et laisse voir un torse mince et lisse. Il se pince un téton tout en malaxant sa queue à travers son survêt. Il est mignon, le visage fin, des yeux noisette et une peau sombre qui contraste avec le blanc de sa tenue. Il m'allume carrément en passant le bout de la langue sur ses lèvres. Ce doit être une bonne suceuse. Tout ce que je recherche. Et puis, si je peux le fourrer...
J'hésite un peu. Il ne faudrait pas que mes enfants m'appellent ou pire, que ma femme se pointe.
Il me fait signe d'approcher. Mon besoin de baise est trop fort. Je m'avance. Une fois à sa hauteur, il m'agrippe direct l'entrejambe.
Il malaxe ma queue à travers le short tout en me fixant droit dans les yeux puis prend la parole. Son fort accent oriental trahit ses origines.
- T'es beau gosse, toi. Tu dois pas venir souvent, je t'aurais repéré.
Il passe une main sous mon t-shirt et siffle d'admiration.
- Ben, mon salaud, t'es super bien foutu. Et en plus, poilu comme un singe.
Je ne dis rien, mais c'est vrai qu'à trente-sept ans il me reste encore de beaux restes. Quand on est coach sportif, la moindre des choses est de s'entretenir.
Il me pelote de partout. Ma queue, mes fesses, mes abdos,... tout y passe.
- Humm, t'as un cul d'enfer. Bien rond, bien musclé, comme je les aime.
Il me caresse la raie à travers l'étoffe du bermuda. Il me gratifie d'un clin d'œil avant d'ajouter...
- J 'ai bien envie d'y goûter.
Je me raidis. C'est OK pour une pipe rapide mais pas question de me faire prendre en pleine nature, à quelques mètres de ma famille.
Trop risqué!
Il devine ma réticence. Il devient plus câlin, me fait des papouilles dans le cou...
- Je m'appelle Riyad. Et toi?
Je lui balance un prénom bidon.
- Marius! C'est joli comme nom.
Il me fatigue à trop parler. J'ai juste envie de me vider les couilles. Je décide de prendre les choses en mains. Je lui baisse son bas de survêtement. Je suis à peine surpris de constater qu'il ne porte pas de sous-vêtements. Je caresse sa bite doucement entre mes doigts. Je la sens gonfler. Il est superbement bien monté. Je me sens de plus en plus excité.
- Elle te plaît ma queue, hein?
Je commence à saliver. Il comprend le signal et appuie sur ma nuque. Je me laisse tomber à genoux, sans aucune autre résistance. Mince, c'est pas ce qui était prévu mais ses 19cm me font trop envie.
Je le branle un peu. Sa tige prend du volume. Puis je lève les yeux et je vois son visage radieux. Il est fier de lui, ce jeune coq. En moins de cinq minutes, il a réussi à retourner la situation en sa faveur. De gibier potentiel il est devenu chasseur incontesté et il compte bien pousser son avantage jusqu'au bout. Je devine à son sourire mutin qu'il kiffe grave de voir un beau trentenaire à ses pieds quémandant les faveurs de sa queue.
Son regard coquin m'indique aussi que je ne suis pas au bout de mes peines.
J'ai une dernière pensée pour ma petite famille qui se repose à quelques mètres de là, puis j'ouvre la bouche et pointe ma langue vers ce gland turgescent. Je le lèche délicatement. Il mouille fort quand j'accélère mes coups de langue.
Je fais glisser son dard entre mes lèvres. Ma langue l'entoure, titille le méat, drainant encore plus de jus.
- Humm!!! C'est bon. Oui, continue,... t'arrête pas.
De l'entendre prendre autant son pied, décuple mon excitation.
Désormais, j'y vais franco. Je sens son corps se tendre de plaisir. J'ai gardé son gland en bouche alors que ma main branle la base de sa queue. Au fur et à mesure que son membre prend du volume, je l'enfourne le plus loin possible dans la bouche, jusqu'à sentir sa grosse prune butter contre ma luette. J'ai un mouvement de recul mais mon jeune arabe me maintient fermement la nuque.
- Non! Laisse-la bien au chaud.
Je reprends ma fellation. Sa bite est bien épaisse, bien longue, ce qui rend la prise difficile. Ma main droite remonte le long de sa cuisse et vient glisser sous ses petites couilles poilues. Deux noisette pleines de jus que je malaxe délicatement.
De mon autre main, j'ai baissé mon bermuda pour libérer ma propre queue. Je l'empoigne sans ménagement et me branle comme un malade.
Je le pompe sans relâche. Ma salive coule le long de son manche. Je le sors, le rentre, toujours plus vite. Il finit par se retirer et, sans un mot, remballe son matériel.
Je me redresse et le regarde avec surprise. Mes yeux le questionnent. Il me lance un regard noir.
- C'est pas ta bouche qui m'intéresse.
Je ne saisis pas tout de suite, puis je finis par comprendre qu'il en veut à mon cul. C'est pas du tout ce que je suis venu chercher mais en même temps, ce con m'a excité grave. J'ai la bite en feu. Je veux jouir, je vais pas pouvoir tenir jusqu'à ce soir.
Je consulte ma montre. Ça fait dix minutes que je me suis absenté. Avec un peu de chance, ma femme dort encore. Je regarde cette queue toujours bandée qui déforme la toile du survêt. Putain, elle me fait trop envie. J'ai la pastille qui me démange. Elle semble partante pour une baise rapide. Je finis par me convaincre en me disant que je ne reverrai plus jamais ce gars et que même si je n'ai été qu'actif jusqu'à ce jour, il faut bien un début à tout.
Je me retourne et me positionne de moi-même contre un arbre. J'écarte bien grand les cuisses afin de lui montrer mon envie de défonce.
- Ben voilà, c'est mieux.
Je l'entends baisser son froc et approcher. Il pose une main sur mes fesses et dirige l'index vers mon anus.
- Je vais bien te travailler.
Je panique un peu car je ne suis pas habitué à ce genre de pratique. Il tourne un peu autour de mon œillet avant d'introduire une phalange. Je grogne mais ma rondelle a bien avalé l'intrus. Il progresse jusqu'à ce que le doigt soient entièrement en moi. Il le fait tourner dans un sens puis dans l'autre. C'est bizarre comme sensation.
Il le rentre et le sort plusieurs fois. À chaque poussée, je gémis de plus belle. Mes jambes s'écartent toutes seules pour lui donner un meilleurs accès. Il ajoute son majeur à son index et me doigte encore plus profond. Cette fois, c'en est trop. Je beugle comme un veau qu'on mène à l'abattoir. Il doit me bâillonner avec une main pour éviter d'ameuter le voisinage.
- Penche-toi encore un peu.
Il n'a pas besoin de répéter. Je m'incline au maximum pour offrir mon cul de dominant à ce jeune caïd. Il me guide, me replace, m'enseigne les bases d'une bonne baise.
Nom d'un chien, il sait y faire pour son âge!
Il ressort ses doigts et les plaque sous mon nez. Ils sentent forts et portent quelques traces sombres. Il me force à ouvrir la bouche et à les sucer. J'ai un haut- le-cœur, je crois vomir, mais déjà je sens son gourdin forcer mon sphincter. Il pointe le gland, puis d'un coup de reins puissant, s'enfonce dans mes entrailles jusqu'aux couilles.
Je ne peux m'empêcher de gueuler à mort tant la douleur est intense. Il me dit de baisser d'un ton. Il en a de bonnes, lui. Je viens de me faire exploser le fion pour la première fois et il voudrait que je lui chante la Traviata!
Il pose ses mains fines sur mes hanches et me ramone le cul à toute vitesse. À chaque mouvement, il sort intégralement sa bite et la replonge aussitôt. Chaque enculade m'arrache un brame de douleur. Il me pilonne le cul encore un bon moment puis se retire et s'écarte un peu.
- Mets-toi à quatre pattes.
Bon sang, cette petite frappe va me rendre fou. Il est en train de dresser un dom. De me faire passer de l'autre côté de la barrière. Il brise une à une mes dernières résistances. D'habitude c'est moi qui ordonne, moi qui impose ma loi, moi qui domine mes partenaires mais aujourd'hui, il a bien compris que je ne suis pas en état de lui résister.
je suis trop en manque de queues pour faire le difficile et il en profite un max.
J'obéis sans me faire prier. Je suis maintenant dans la même position qu'une chienne en chaleur, prête à être fécondée. Le cul offert à sa convoitise. Je sens mon jeune beur s'installer au dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma croupe.
Je suis rouge de honte. J'ai la même attitude qu'un soumis. Je baisse la tête et constate avec effroi que mon sexe est dressé à l'horizontale.
Il glisse entre mes fesses et sa queue vient me perforer à nouveau. Cette fois, la pénétration est moins douloureuse, je ressens même du plaisir à me faire remplir. Je tends mon cul au maximum à la rencontre de son énorme pieu. Je ne peux le voir mais je le sais excité vu la façon dont il me pilonne.
- Ouais, c'est bon. Tu vois, j'ai fini par te le prendre ton boule.
Je ne dis rien. Je me pince les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Il a encore accéléré le rythme. Ses mains pèsent sur mes épaules et son bas-ventre claque contre mes fesses.
Je sens ses cuisses contractées contre mes flancs. Sa queue commence à s'agiter, prise de soubresauts. Il respire fort, proche de l'extase.
À cet instant, des pas résonnent près de nous. Je me redresse tant bien que mal. Mon jeune arabe est ressorti, le sexe pantelant. Il grogne de frustration. Mais hors de question que l'on remette ça. J'ai eu la peur de ma vie. Et puis ma femme doit se demander ce que je fabrique.
Je le plante là, la queue entre les jambes et dévale le talus en direction de ma voiture. Hélène est réveillée et consulte ses mails.
- Dis-donc, où étais-tu passé? On commençait à s'inquiéter.
Je jette un coup d'œil à la banquette arrière. Nos deux mioches n'ont pas décollé le nez de leur tablette. Mon fils me fait juste un signe de la main quand je rentre dans le véhicule.
- Bon, et bien c'est mon tour d'aller prendre l'air. Il y en a encore pour une demi-heure. Allez les enfants, dehors. Ça suffit de s'abrutir à ces jeux idiots.
Il râlent un peu mais suivent leur mère qui prend la direction du petit bois. Je souris malgré moi. Elle risque de ne pas être déçue du voyage.
Je ressors de la voiture et m'accoude à la portière. Je suis un peu frustré. J'aurais bien aimer jouir. En même temps, le lieu ne s'y prêtait guère.
Je suis perdu dans pensées, lorsque je vois une voiture de société s'arrêter à quelques mètres du bloc sanitaire. Un type de mon âge en sort. Il est en costume-cravate, grand, bâti comme un sportif avec des muscles saillants que l'on devine sous la chemise cintrée. Il a tout du bel hidalgo espagnol. Peau mate, yeux sombres et petite barbe noire de trois jours qui accentue son côté masculin.
Il croise mon regard et se palpe direct l'entrejambe en me fixant sans vergogne. Je me sens rougir jusqu'aux oreilles. Bordel, ils sont chauds dans le sud de la France...
Ma femme a dit qu'il restait environs trente minutes avant que Marc et Sarah n'arrivent. Ma queue s'est remise au garde-à-vous et déforme mon bermuda. Je ne vais quand même pas la laisser dans cet état.
Je lui emboîte le pas, non sans me retourner en direction du bosquet.
Je sais que c'est risqué mais je m'encourage. Je me trouve toutes les raisons valables pour y aller. Je n'en aurai que pour quelques minutes. Une bonne pipe ni vu, ni connue. Il me suce et puis voilà!...
Je le rejoins dans les toilettes pour hommes. Il n'est pas debout contre les urinoirs. Mince, où se cache-t-il?!
Mon cœur bat la chamade. Je m'apprête à ressortir lorsque une porte de cabine grince.
Je m'avance prudemment et, prenant mon courage à deux mains, je pousse la porte...
Mon bel Apollon se tient là, dans son costard-cravate, un sourire satisfait au bord des lèvres. Il me fait signe de refermer derrière moi. À peine retourné, il me presse contre lui et me galoche comme si on se connaissait depuis toujours. Un vrai baiser de mecs, baveux, puissant, râpeux... Bien profond. Il se décolle enfin pour me demander.
- Tu es marié?
J'acquiesce de la tête. Je m'apprête à lui retourner la question lorsque je vois briller une alliance à sa main gauche. Je lui souris. Il a des yeux magnifiques. Il respire le mâle. Il veut encore m'embrasser. Je le préviens que mon temps est compté.
- On doit faire vite, je suis pressé.
- Moi aussi. J'ai rendez-vous avec un client.
Il me prend la tête et pousse pour que je m'agenouille. Décidément, j'ai du mal à me faire respecter avec ces sudistes. Mais dans le fond, j'ai trop envie de découvrir sa queue.
Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée à genoux, juste à hauteur de braguette. Il me bloque la nuque pour la plaquer contre son pantalon de costume. Sa bite est déjà raide, elle déforme la fine toile de tergal. Je lèche d'abord le gland à travers l'étoffe pour bien lui signifier mon envie de pipe. Mes lèvres coulissent ensuite sur son manche bien long et s'attardent sur ses boules prisonnière du tissus.
Il commence à gémir. J'ôte son ceinturon de cuir et dézippe sa braguette pour découvrir un boxer noir bien rempli. Il sent bon. On devine que c'est un homme raffiné qui prend soin de lui.
- Montre-moi tes talents de suceur.
Je crains de le décevoir car en principe c'est moi qui me fait pomper. Mais sa queue me fait saliver. Sans plus attendre, je la prends en bouche. Elle est longue, presque 20cm, avec de grosses veines bleues qui remontent jusqu'au gland.
Il me complimente, trouve ma bouche accueillante et en profite pour s'enfonce encore un peu plus. Au fond de lui, il n'a jamais douté de son statut de maître dominant et je comprends vite que je suis là uniquement pour l'aider à se vider les couilles.
Son chibre se dresse dans toute sa virilité. Un vrai sexe reproducteur. Je m'applique à en gober le maximum. Je titille son dard puis glisse sur sa tige et ses couilles. Il me saisit alors par les cheveux et m'oblige à une gorge profonde. J'étouffe un peu. Mon nez est plongé dans ses poils noirs. Je commence à suffoquer. Il le voit et relâche la pression.
Très excité, le gars commence à me biffer avec sa queue pour me laisser le temps de reprendre mes esprits. Il m'oblige à ouvrir la bouche et replonge au fond de mon gosier. Je le suce tout en caressant son torse velu sous la chemise. Je le regarde en même temps. Il me fixe de ses beaux yeux noirs de manière autoritaire. Il me fait clairement comprendre quelle est la place de chacun.
Il est le boss et j'ai tout intérêt à lui obéir.
Cette situation nouvelle pour moi décuple ma frénésie. Plus rien n'existe en cet instant, ni le danger d'être surpris, ni ma femme à quelques mètres d'ici, ni mes gosses... Je me découvre salope soumise et j'aime ça.
Je redouble d'ardeur. Je sens sa queue de plus en plus dure et tendue. Il n'est pas loin de l'explosion.
Après quelques va-et-vient brutaux qui me déboîtent la mâchoire, mon beau représentant m'immobilise. Il se raidit et lâche un premier jet crémeux que j'avale tant bien que mal. D'autres, moins abondants me remplissent la bouche. Ça doit faire des jours qu'il ne s'est pas vidé, tant sa semence est abondante. Mes lèvres débordent de son foutre. Le liquide chaud et gluant me coule sur le menton, le long du cou...
J'entends soudain que l'on m'appelle.
- Papa, t'es-là? Ils viennent d'arriver.
C'est mon fils. Pris de panique, je me redresse et passe la tête par la porte que je viens d'entrebâiller. Je tente de paraître naturel même si j'ai les joues en feu.
- J'arrive, mon grand.
En sortant des pissotières, j'ai juste le temps de me rincer la bouche pour m'enlever ce goût de sperme que déjà Sarah s'approche de moi.
- Hello, Adrien! On arrive à l'instant.
Elle me fait la bise puis se recule, pointant un doigt interrogateur sur le haut de mon T-Shirt.
- C'est quoi toutes ces tâches blanches?!
FIN
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Les avis des lecteurs
Ah! L'aire de St Aunès, qu'est-ce que j'ai pu baiser, là-bas... (snif)
Cela aussi m'est arrivé en allant en vacances dans le sud , une année ou il faisait bien chaud et nous avions emmené notre chat , j'avais décidé de rouler la nuit . Au bout d'un moment vers 2 h du matin je commençais à piquer du nez ( ma femme cela faisait un moment qu'elle dormait à coté de moi ) Arrivé du coté de l'aire de Saint Aunès sur l'A 9 ( aujourd'hui disparue ) Je m'arrête pour prendre un peu l'air et aller pisser , j'arrive dans les pissoirs et vois un mec short à demie baissé en train de se branler , je fini de pisser et lui prend sa bite en main pour finir ce qu'il avait commencé . Lui de ce fait commence a me toucher et tente de me baisser mon short ( petit short juste un élastique pour le maintenir ) et prend également ma bite déjà en semis érection pour me branler égale ment . Nous nous sommes sucer mutuellement à tour de rôle jusqu’à ce nous nous ayons juté tous les deux dans la bouche de l'autre une bonne dose de sperme bien chaud ).
Nous nous somme rhabiller rapidement car sa femme dormait également dans la voiture .
En revenant à la voiture ma femme s’était réveillé et m'a demandé ou j’étais si long temps , je lui ai répondu que j'ai marché un peu .
Nous nous somme rhabiller rapidement car sa femme dormait également dans la voiture .
En revenant à la voiture ma femme s’était réveillé et m'a demandé ou j’étais si long temps , je lui ai répondu que j'ai marché un peu .
Merci Caram, je l'aime bien celle-là, même si c'est pas la bandante, selon moi. :)
DeeWar
DeeWar
Belle histoire, très bien écrite. On ressent toute la réalité de ces rencontres rapides conditionnées par différents facteurs. J'ai été captivé.
Caramel35
Caramel35