AIRE DE REPOS (1) : Un artisan bien outillé.
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS (1) : Un artisan bien outillé.
AIRE DE REPOS (1) : Un artisan bien outillé.
Simon M. est un jeune de vingt ans. Pas très grand, plutôt rond avec quelques boutons d'acné, la nature ne l'a guère gâté. Il voudrait se trouver un mec, un gentil petit gars avec qui partager sa vie. Pourtant, malgré tous ses efforts, il n'a reçu jusqu'à présent que refus et mépris.
Aussi, vient-il souvent sur cette aire d'autoroute dans l'espoir de trouver le grand amour. Il est comme ça, Simon M, un doux rêveur dans l'âme.
Il attend depuis deux heures lorsqu'il voit arriver un fourgon d'entreprise. Il en sort un type plutôt bien foutu, autour de la quarantaine, musclé juste ce qu'il faut avec le crâne rasé. Tout ce qui émoustille notre dragueur.
Après être resté un moment dans les toilettes, l'homme réapparaît enfin. Il inspecte les environs puis remarque Simon. Il ne détourne pas le regard, on dirait même qu'il le mate de loin. Notre guetteur n'en croit pas ses yeux. Cet Apollon s'intéresserait-il à lui?!
Son petit cœur bat la chamade. Il rougit, commence à faire des plans sur la commette...
Une petite voix intérieure lui dit de redescendre sur terre. De ne pas s'emballer inutilement. Pourquoi ne pas s'enfoncer dans les buissons, un peu à l'écart et attendre?
C'est ce qu'il fait, la boule au ventre.
Peu après, il entend du bruit. Quelqu'un doit se trouver à proximité. C'est son joli quadra qui se rapproche tout en frottant sa braguette. Son regard balaie les à-côtés. Le sol est jonché de préservatifs usagés, de kleenex et même de quelques seringues. Manifestement, notre visiteur n'est pas très chaud pour baiser dans ce lieu.
L'homme prend sur lui et se rapproche de Simon. Il est tout près, désormais. Il sent bon. C'est ce qu'on pourrait appeler un bel homme. Grand, calvitie prononcée et visage carré qui accentue encore un peu plus sa virilité de mâle dominant. Simon suppose que c'est un artisan vu son pantalon bicolore. Son t-shirt laisse deviner une musculature puissante et ferme. Une barbe de trois jours renforce son côté masculin.
Il engage la conversation sans tenter quoi que ce soit. Il l'interroge sur son âge, ses passions... et se demande ce que peut bien foutre un jeune comme lui dans cet endroit. La conversation continue sans contrainte, avec respect. Simon le questionne à son tour. Il apprend que son interlocuteur est divorcé, un peu seul et qu'il n'a pas joui depuis six jours. Il est en recherche de câlins et finit même par lui proposer de passer un petit moment ensemble.
Un craquement de brindilles interrompt la conversation. Sortant précipitamment des fourrés, ils se retrouvent nez à nez avec un employé de la société d'autoroute qui inspecte les lieux. Ce dernier les regarde bizarrement mais ne dit rien. Nos deux acolytes ne demandent pas leurs restes et rejoignent les pissotières d'un pas alerte. L'artisan propose à Simon de le sucer dans son camion.
Une telle proposition ne se refuse pas!
Ils se dirigent vers son utilitaire. À l'intérieur, c'est un peu le foutoir. Il fait vite du rangement et lui propose de monter. Il lui tend la main et Simon se retrouve tout contre lui quand il referme la porte latérale coulissante. Soudain, seul un éclairage blafard permet d'y voir un peu clair.
Des bras puissants enserrent alors Simon et une bouche avide prend possession de la sienne. Avant qu'il n'ai pu réagir, l'artisan lui caresse les fesses et lui griffe le bas du dos. Son corps est parcouru de frissons. Il répond à ses baisers fougueux, enroule sa langue à la sienne et ne peut s'empêcher d'émettre quelques plaintes érotiques. Il se surprend à éprouver du plaisir dans les bras d'un homme mûr, incroyablement sexy et qui lui communique sa formidable envie de sexe.
L'homme soulève Simon et pose son cul sur ce qui lui sert d'établi. Il se débarrasse de son t-shirt. Le voilà torse nu, chaud bouillant. La lumière n'est pas forte mais on devine aisément ses muscles proéminents. Il se colle à lui, frotte son torse velu contre le sien, lui fait sentir toute sa musculature de senior. Il plaque une main sur sa braguette gonflée. Il lui fait tâter son bâton bien raide à travers l'étoffe du pantalon de travail.
Ivre de désir, Simon se laisse guider. Il parcourt chaque centimètre de peau. Les creux, les déliés, les muscles bandés par l'effort... Il caresse ses bras puissants, sa poitrine poilue qui ruisselle de sueur... Il n'a jamais connu une chose aussi forte. Ce mec est en train de l'envoûter. Il recherche ses lèvres désespérément pour prolonger cet instant magique.
Il rompt le baiser, reprend son souffle. Il lui sourit béatement. Il sait qu'il a l'air idiot, les fesses écartées sur son établi de travail. Il lui murmure quelques mots dans le creux de l'oreille. Il n'a pas l'habitude de parler à des inconnus, surtout dans cette posture mais il se surprend à le complimenter sur son corps d'athlète. Il vit l'instant à fond, sans aucun tabou.
Putain, qu'est-ce qu'il est bien dans les bras de ce mec!
L'artisan prend de l'assurance, rassuré par le comportement de Simon. D'un geste sûr, la boucle de son ceinturon est ouverte. Son pantalon tombe sur ses chaussures. Son boxer est descendu. Son sexe apparaît, superbement tendu. Pas un sexe proéminent comme certains mais une queue bien équilibrée avec au bout un gland en forme d'ogive. L'ouvre-cul parfait!
Il aide Simon à se mettre à l'aise. Il fait une chaleur étouffante dans la camionnette et bientôt flotte une odeur forte mêlée de chantier et de fauves en rut. Même s'ils transpirent à grosses gouttes, leur envie de sexe est trop forte pour arrêter.
L'homme entreprend à son tour de déshabiller son jeune partenaire. Lorsqu'il découvre la verge dure et fièrement dressée de Simon, notre bel artisan sent monter une bouffée de désir qu'il ne peut refréner. Ses yeux pétillent d'excitation. Il se lèche les babines avant de se pencher et d'enfourner cette colonne de chair qui n'attend que ça.
Simon a fermé les yeux et gémit doucement. Il sent cette langue rappeuse qui tourne autour de son gland. Il découvre ces lèvres gourmandes qui glissent sur sa hampe. Sa glotte, qui caresse le nœud, lui faisant découvrir des plaisirs insoupçonnés.
L'artisan devine son extase, se redresse, sourit, puis vient farfouiller sa langue dans sa bouche. Il replonge ensuite sur le manche de Simon qui n'a pas faibli.
Il se remet à l'ouvrage sans aucune retenue. Sa bouche chaude et humide enserre le dard avec une douceur extrême. Il ne coulisse pas comme un forcené, au contraire, il prend son temps. On sent qu'il veut faire durer le plaisir et amener progressivement son partenaire jusqu'à la jouissance ultime.
Il lui soulève les jambes et le cul pour prendre plus facilement en bouche ses couilles. Simon se laisse manipuler, complètement offert.
Il gémit à chaque coup de langue. C'est super bon ce qu'il fait. Ce salaud lui roule les boules, les suçote, les malaxe, les râpe de sa langue large et gluante. Ce mec a un savoir-faire extraordinaire.
Il s'attaque bientôt à sa rondelle. Bordel, c'était pas ce qu'il était venu chercher mais c'est tellement bon. Sa bouche experte l'aspire comme une ventouse ...
Il écarte ses deux demi-lunes. Simon pousse un peu pour lui donner un meilleur accès. Sa langue passe et repasse, lui arrachant des miaulements de plaisir. Il salive abondamment son œillet avant d'y introduire un doigt. Il vrille à l'intérieur. Son geste est lent, régulier, sans à-coups. Progressivement, sa pastille se détend et Simon pousse de lui-même son cul vers la grosse phalange de l'artisan. Ce dernier reprend sa queue en bouche. Il l'enfourne jusqu'au menton. Notre jeune pipé sent la barbe virile de l'homme lui gratter les couilles. C'est un sentiment indescriptible. Même s'il s'est fait sucer plusieurs fois, jamais un gars ne l'a amené à un tel niveau de plénitude.
D'instinct, ses mains vont caresser sa tête dégarnie, ses joues qui râpent, sa nuque puissante. La langue de son suceur s'enroule autour du nœud puis des lèvres expertes glissent sur sa tige. Ses va-et-vient font leur effet. Simon perd tout contrôle. Il tente désespérément de ralentir la montée de sève qui le torpille mais sa lutte semble perdue d'avance.
Ses râles de plaisir, ajoutés à son corps qui se tend font redoubler d'effort le quadra qui accélère le rythme pour le soumettre, fort de son expérience de suceur.
En vieux briscard, il sait quand le point de rupture va se produire. Quand la digue cédera enfin, libérant des flots de sperme chaud. Il sent le gland palpiter, il devine le tremblement des jambes, le corps parcouru de spasmes... Sa victoire est proche. Ce petit jeune ne fera pas exception, il finira par cracher son foutre comme tous les autres qu'il a déjà pompé. Il lui porte l'estocade. Il malaxe les couilles tout en aspirant le dard bien profond en bout de gorge. L'effet est immédiat. De longs jets chauds et crémeux inondent sa bouche. Un tsunami de sperme qu'il déguste avec délectation. Un grognement de satisfaction atteste qu'il est comblé. Il avale des litres et des litres de foutre. À vingt ans, les réserves sont inépuisables. Il recueille les dernières gouttes de son jus sur le bout de la langue tout en lui massant les boules avec sa main de travailleur. Simon est toujours le cul posé sur l'établi, les jambes relevées et les mains accrochées aux étagères. Il reprend peu à peu ses esprits, tant le plaisir l'a foudroyé.
L'artisan finit par se redresser. Il ouvre bien grand la bouche, lui montre sa langue engluée de sperme et de salive. Il avale tout, s'assurant de ne rien perdre. Il se lèche les babines, satisfait comme s'il venait de déguster un bon millésime. Son regard illuminé et son sourire épanoui en disent long sur le plaisir que vient de lui offrir son visiteur.
Mais notre bel artisan n'en a pas fini. Il n'a pas joui, lui. Profitant du moment d'hébétude de Simon, il le plaque contre la porte coulissante. D'un geste rapide et assuré il crache dans sa grosse pogne, astique sa bite bien raide et la positionne contre le petit trou de son amant. D'un geste sec, il le pénètre jusqu'à la garde.
Sa queue est tellement faite pour le plaisir qu'elle a glissé sans faiblir, bien au fond, provoquant des décharges électriques à chaque poussée. La bouche écrasée contre la porte l'empêche de gueuler. L'homme le serre fort et il s'accouple en lui avec frénésie. Ses coups de reins sont à la fois puissants et sensuels. Il le harponne sans faiblir. Sa queue pilonne son fondement tel un marteau-piqueur, s'enfonçant toujours plus loin.
On entend les gens qui discutent dehors, à proximité de la camionnette. Simon se retient de crier son envie d'être possédé. Il se mord les lèvres jusqu'au sang sous les coups de boutoir qui le perforent sans ménagement.
Le fait d'être contraint de se faire baiser dans un utilitaire, ajouté à l'odeur de chantier que l'homme dégage de lui, son parfum musqué qu'il a sécrété au boulot, font perdre la tête à Simon qui n'a plus qu'une idée en tête: offrir son petit cul pour qu'il le pénètre bien profond et qu'il plaque encore mieux ses couilles chaudes contre lui.
Impossible de résister à cette bête de sexe. L'excitation est trop forte. Encouragé par les gémissements de son nouvel enculé qui ne peut plus se retenir, l'artisan le gratifie pendant quelques minutes d'un intense pilonnage qui lui démonte le cul avant de finir par décharger un torrent de foutre gluant, fier du devoir accompli. Il jute fort, soulageant ses couilles remplies à ras bord. Simon sent les vibrations de la grosse queue qui lui ramone les boyaux. Des coulées de foutre lui tapissent les intestins. Vu la nervosité du mandrin, il imagine la pression des éjaculations. Il se fait féconder comme une petite pute en chaleur. À cette pensée, son trou palpite d'allégresse et il resserre son œillet pour traire les dernières gouttes de ce précieux nectar.
Son amant est exténué. Il reste immobile quelques secondes avant de lui déposer un baiser délicat dans le creux de l'épaule. Il redevient l'homme tendre et attentionné qui a fait fondre Simon. Il ne se retire pas tout de suite, restant bien au chaud à l'intérieur de lui. Il voudrait lui dire de rester encore. C'est la première fois qu'il ressent ça avec un homme. Une douce quiétude après l'accouplement...
L'artisan finit par déculer, il consulte sa montre et lâche un juron. Il est en retard et son patron risque de lui passer un savon. Il se rhabille vite, imité par Simon. Du jus coule de son cul et descend sur sa cuisse. Pour sûr, il a dû lui en larguer une grosse dose vu son excitation.
Ils descendent de la camionnette et se serrent la main comme deux bons potes avant que l'artisan ne remonte dans l'habitacle.
Un bruit de moteur trouble la douce quiétude du parking, désert à cette heure-ci.
Simon voit s'éloigner le véhicule utilitaire, un pincement au cœur. Un dernier coup de klaxon en signe d'adieu, et puis plus rien.
Simon, vingt ans, reste seul comme un con. Tel un petit pédé qu'il sera toujours... le cul en vrac et le cœur en mille morceaux.
FIN
Simon M. est un jeune de vingt ans. Pas très grand, plutôt rond avec quelques boutons d'acné, la nature ne l'a guère gâté. Il voudrait se trouver un mec, un gentil petit gars avec qui partager sa vie. Pourtant, malgré tous ses efforts, il n'a reçu jusqu'à présent que refus et mépris.
Aussi, vient-il souvent sur cette aire d'autoroute dans l'espoir de trouver le grand amour. Il est comme ça, Simon M, un doux rêveur dans l'âme.
Il attend depuis deux heures lorsqu'il voit arriver un fourgon d'entreprise. Il en sort un type plutôt bien foutu, autour de la quarantaine, musclé juste ce qu'il faut avec le crâne rasé. Tout ce qui émoustille notre dragueur.
Après être resté un moment dans les toilettes, l'homme réapparaît enfin. Il inspecte les environs puis remarque Simon. Il ne détourne pas le regard, on dirait même qu'il le mate de loin. Notre guetteur n'en croit pas ses yeux. Cet Apollon s'intéresserait-il à lui?!
Son petit cœur bat la chamade. Il rougit, commence à faire des plans sur la commette...
Une petite voix intérieure lui dit de redescendre sur terre. De ne pas s'emballer inutilement. Pourquoi ne pas s'enfoncer dans les buissons, un peu à l'écart et attendre?
C'est ce qu'il fait, la boule au ventre.
Peu après, il entend du bruit. Quelqu'un doit se trouver à proximité. C'est son joli quadra qui se rapproche tout en frottant sa braguette. Son regard balaie les à-côtés. Le sol est jonché de préservatifs usagés, de kleenex et même de quelques seringues. Manifestement, notre visiteur n'est pas très chaud pour baiser dans ce lieu.
L'homme prend sur lui et se rapproche de Simon. Il est tout près, désormais. Il sent bon. C'est ce qu'on pourrait appeler un bel homme. Grand, calvitie prononcée et visage carré qui accentue encore un peu plus sa virilité de mâle dominant. Simon suppose que c'est un artisan vu son pantalon bicolore. Son t-shirt laisse deviner une musculature puissante et ferme. Une barbe de trois jours renforce son côté masculin.
Il engage la conversation sans tenter quoi que ce soit. Il l'interroge sur son âge, ses passions... et se demande ce que peut bien foutre un jeune comme lui dans cet endroit. La conversation continue sans contrainte, avec respect. Simon le questionne à son tour. Il apprend que son interlocuteur est divorcé, un peu seul et qu'il n'a pas joui depuis six jours. Il est en recherche de câlins et finit même par lui proposer de passer un petit moment ensemble.
Un craquement de brindilles interrompt la conversation. Sortant précipitamment des fourrés, ils se retrouvent nez à nez avec un employé de la société d'autoroute qui inspecte les lieux. Ce dernier les regarde bizarrement mais ne dit rien. Nos deux acolytes ne demandent pas leurs restes et rejoignent les pissotières d'un pas alerte. L'artisan propose à Simon de le sucer dans son camion.
Une telle proposition ne se refuse pas!
Ils se dirigent vers son utilitaire. À l'intérieur, c'est un peu le foutoir. Il fait vite du rangement et lui propose de monter. Il lui tend la main et Simon se retrouve tout contre lui quand il referme la porte latérale coulissante. Soudain, seul un éclairage blafard permet d'y voir un peu clair.
Des bras puissants enserrent alors Simon et une bouche avide prend possession de la sienne. Avant qu'il n'ai pu réagir, l'artisan lui caresse les fesses et lui griffe le bas du dos. Son corps est parcouru de frissons. Il répond à ses baisers fougueux, enroule sa langue à la sienne et ne peut s'empêcher d'émettre quelques plaintes érotiques. Il se surprend à éprouver du plaisir dans les bras d'un homme mûr, incroyablement sexy et qui lui communique sa formidable envie de sexe.
L'homme soulève Simon et pose son cul sur ce qui lui sert d'établi. Il se débarrasse de son t-shirt. Le voilà torse nu, chaud bouillant. La lumière n'est pas forte mais on devine aisément ses muscles proéminents. Il se colle à lui, frotte son torse velu contre le sien, lui fait sentir toute sa musculature de senior. Il plaque une main sur sa braguette gonflée. Il lui fait tâter son bâton bien raide à travers l'étoffe du pantalon de travail.
Ivre de désir, Simon se laisse guider. Il parcourt chaque centimètre de peau. Les creux, les déliés, les muscles bandés par l'effort... Il caresse ses bras puissants, sa poitrine poilue qui ruisselle de sueur... Il n'a jamais connu une chose aussi forte. Ce mec est en train de l'envoûter. Il recherche ses lèvres désespérément pour prolonger cet instant magique.
Il rompt le baiser, reprend son souffle. Il lui sourit béatement. Il sait qu'il a l'air idiot, les fesses écartées sur son établi de travail. Il lui murmure quelques mots dans le creux de l'oreille. Il n'a pas l'habitude de parler à des inconnus, surtout dans cette posture mais il se surprend à le complimenter sur son corps d'athlète. Il vit l'instant à fond, sans aucun tabou.
Putain, qu'est-ce qu'il est bien dans les bras de ce mec!
L'artisan prend de l'assurance, rassuré par le comportement de Simon. D'un geste sûr, la boucle de son ceinturon est ouverte. Son pantalon tombe sur ses chaussures. Son boxer est descendu. Son sexe apparaît, superbement tendu. Pas un sexe proéminent comme certains mais une queue bien équilibrée avec au bout un gland en forme d'ogive. L'ouvre-cul parfait!
Il aide Simon à se mettre à l'aise. Il fait une chaleur étouffante dans la camionnette et bientôt flotte une odeur forte mêlée de chantier et de fauves en rut. Même s'ils transpirent à grosses gouttes, leur envie de sexe est trop forte pour arrêter.
L'homme entreprend à son tour de déshabiller son jeune partenaire. Lorsqu'il découvre la verge dure et fièrement dressée de Simon, notre bel artisan sent monter une bouffée de désir qu'il ne peut refréner. Ses yeux pétillent d'excitation. Il se lèche les babines avant de se pencher et d'enfourner cette colonne de chair qui n'attend que ça.
Simon a fermé les yeux et gémit doucement. Il sent cette langue rappeuse qui tourne autour de son gland. Il découvre ces lèvres gourmandes qui glissent sur sa hampe. Sa glotte, qui caresse le nœud, lui faisant découvrir des plaisirs insoupçonnés.
L'artisan devine son extase, se redresse, sourit, puis vient farfouiller sa langue dans sa bouche. Il replonge ensuite sur le manche de Simon qui n'a pas faibli.
Il se remet à l'ouvrage sans aucune retenue. Sa bouche chaude et humide enserre le dard avec une douceur extrême. Il ne coulisse pas comme un forcené, au contraire, il prend son temps. On sent qu'il veut faire durer le plaisir et amener progressivement son partenaire jusqu'à la jouissance ultime.
Il lui soulève les jambes et le cul pour prendre plus facilement en bouche ses couilles. Simon se laisse manipuler, complètement offert.
Il gémit à chaque coup de langue. C'est super bon ce qu'il fait. Ce salaud lui roule les boules, les suçote, les malaxe, les râpe de sa langue large et gluante. Ce mec a un savoir-faire extraordinaire.
Il s'attaque bientôt à sa rondelle. Bordel, c'était pas ce qu'il était venu chercher mais c'est tellement bon. Sa bouche experte l'aspire comme une ventouse ...
Il écarte ses deux demi-lunes. Simon pousse un peu pour lui donner un meilleur accès. Sa langue passe et repasse, lui arrachant des miaulements de plaisir. Il salive abondamment son œillet avant d'y introduire un doigt. Il vrille à l'intérieur. Son geste est lent, régulier, sans à-coups. Progressivement, sa pastille se détend et Simon pousse de lui-même son cul vers la grosse phalange de l'artisan. Ce dernier reprend sa queue en bouche. Il l'enfourne jusqu'au menton. Notre jeune pipé sent la barbe virile de l'homme lui gratter les couilles. C'est un sentiment indescriptible. Même s'il s'est fait sucer plusieurs fois, jamais un gars ne l'a amené à un tel niveau de plénitude.
D'instinct, ses mains vont caresser sa tête dégarnie, ses joues qui râpent, sa nuque puissante. La langue de son suceur s'enroule autour du nœud puis des lèvres expertes glissent sur sa tige. Ses va-et-vient font leur effet. Simon perd tout contrôle. Il tente désespérément de ralentir la montée de sève qui le torpille mais sa lutte semble perdue d'avance.
Ses râles de plaisir, ajoutés à son corps qui se tend font redoubler d'effort le quadra qui accélère le rythme pour le soumettre, fort de son expérience de suceur.
En vieux briscard, il sait quand le point de rupture va se produire. Quand la digue cédera enfin, libérant des flots de sperme chaud. Il sent le gland palpiter, il devine le tremblement des jambes, le corps parcouru de spasmes... Sa victoire est proche. Ce petit jeune ne fera pas exception, il finira par cracher son foutre comme tous les autres qu'il a déjà pompé. Il lui porte l'estocade. Il malaxe les couilles tout en aspirant le dard bien profond en bout de gorge. L'effet est immédiat. De longs jets chauds et crémeux inondent sa bouche. Un tsunami de sperme qu'il déguste avec délectation. Un grognement de satisfaction atteste qu'il est comblé. Il avale des litres et des litres de foutre. À vingt ans, les réserves sont inépuisables. Il recueille les dernières gouttes de son jus sur le bout de la langue tout en lui massant les boules avec sa main de travailleur. Simon est toujours le cul posé sur l'établi, les jambes relevées et les mains accrochées aux étagères. Il reprend peu à peu ses esprits, tant le plaisir l'a foudroyé.
L'artisan finit par se redresser. Il ouvre bien grand la bouche, lui montre sa langue engluée de sperme et de salive. Il avale tout, s'assurant de ne rien perdre. Il se lèche les babines, satisfait comme s'il venait de déguster un bon millésime. Son regard illuminé et son sourire épanoui en disent long sur le plaisir que vient de lui offrir son visiteur.
Mais notre bel artisan n'en a pas fini. Il n'a pas joui, lui. Profitant du moment d'hébétude de Simon, il le plaque contre la porte coulissante. D'un geste rapide et assuré il crache dans sa grosse pogne, astique sa bite bien raide et la positionne contre le petit trou de son amant. D'un geste sec, il le pénètre jusqu'à la garde.
Sa queue est tellement faite pour le plaisir qu'elle a glissé sans faiblir, bien au fond, provoquant des décharges électriques à chaque poussée. La bouche écrasée contre la porte l'empêche de gueuler. L'homme le serre fort et il s'accouple en lui avec frénésie. Ses coups de reins sont à la fois puissants et sensuels. Il le harponne sans faiblir. Sa queue pilonne son fondement tel un marteau-piqueur, s'enfonçant toujours plus loin.
On entend les gens qui discutent dehors, à proximité de la camionnette. Simon se retient de crier son envie d'être possédé. Il se mord les lèvres jusqu'au sang sous les coups de boutoir qui le perforent sans ménagement.
Le fait d'être contraint de se faire baiser dans un utilitaire, ajouté à l'odeur de chantier que l'homme dégage de lui, son parfum musqué qu'il a sécrété au boulot, font perdre la tête à Simon qui n'a plus qu'une idée en tête: offrir son petit cul pour qu'il le pénètre bien profond et qu'il plaque encore mieux ses couilles chaudes contre lui.
Impossible de résister à cette bête de sexe. L'excitation est trop forte. Encouragé par les gémissements de son nouvel enculé qui ne peut plus se retenir, l'artisan le gratifie pendant quelques minutes d'un intense pilonnage qui lui démonte le cul avant de finir par décharger un torrent de foutre gluant, fier du devoir accompli. Il jute fort, soulageant ses couilles remplies à ras bord. Simon sent les vibrations de la grosse queue qui lui ramone les boyaux. Des coulées de foutre lui tapissent les intestins. Vu la nervosité du mandrin, il imagine la pression des éjaculations. Il se fait féconder comme une petite pute en chaleur. À cette pensée, son trou palpite d'allégresse et il resserre son œillet pour traire les dernières gouttes de ce précieux nectar.
Son amant est exténué. Il reste immobile quelques secondes avant de lui déposer un baiser délicat dans le creux de l'épaule. Il redevient l'homme tendre et attentionné qui a fait fondre Simon. Il ne se retire pas tout de suite, restant bien au chaud à l'intérieur de lui. Il voudrait lui dire de rester encore. C'est la première fois qu'il ressent ça avec un homme. Une douce quiétude après l'accouplement...
L'artisan finit par déculer, il consulte sa montre et lâche un juron. Il est en retard et son patron risque de lui passer un savon. Il se rhabille vite, imité par Simon. Du jus coule de son cul et descend sur sa cuisse. Pour sûr, il a dû lui en larguer une grosse dose vu son excitation.
Ils descendent de la camionnette et se serrent la main comme deux bons potes avant que l'artisan ne remonte dans l'habitacle.
Un bruit de moteur trouble la douce quiétude du parking, désert à cette heure-ci.
Simon voit s'éloigner le véhicule utilitaire, un pincement au cœur. Un dernier coup de klaxon en signe d'adieu, et puis plus rien.
Simon, vingt ans, reste seul comme un con. Tel un petit pédé qu'il sera toujours... le cul en vrac et le cœur en mille morceaux.
FIN
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme dans les trains, on emprunte les même rails mais chacun peut regarder le paysage et s'attarder sur des détails différents. Au plaisir de te lire.
Caramel35
Caramel35
Très très belle histoire qui me rappelle de biens bons souvenirs .
Moi ancien routier je fréquentais beaucoup les aires de repos je m'arrangeais de faire mes pauses en ces lieux ou je savais trouver de la compagnie . Je draguais dans les wc ou les bois autours , lors ce qu'un mec me plaisait bien après quelques attouchements , je l'invitais dans ma cabine . Rideaux tirés, a poile dans la couchette tout y passait , branle , suce , 69 , et baise souvent chacun son tour . Il m'est même arrivé de garder des mecs pour la nuit complète et baiser et être baisé à plusieurs reprises .
Moi ancien routier je fréquentais beaucoup les aires de repos je m'arrangeais de faire mes pauses en ces lieux ou je savais trouver de la compagnie . Je draguais dans les wc ou les bois autours , lors ce qu'un mec me plaisait bien après quelques attouchements , je l'invitais dans ma cabine . Rideaux tirés, a poile dans la couchette tout y passait , branle , suce , 69 , et baise souvent chacun son tour . Il m'est même arrivé de garder des mecs pour la nuit complète et baiser et être baisé à plusieurs reprises .
Hello, Caramel35.
En effet, je me suis inspiré de ton histoire pour écrire la mienne. Tes écrits sont de très haute facture et je trouve ta plume particulièrement raffinée (comparé à certains textes publiés dans tous les sites qui nous concernent).
Je pense que tu te retrouveras également dans la prochaine histoire (si elle est validée): " Artillerie lourde".
Au plaisir de te lire à nouveau. :-)
DeeWar
En effet, je me suis inspiré de ton histoire pour écrire la mienne. Tes écrits sont de très haute facture et je trouve ta plume particulièrement raffinée (comparé à certains textes publiés dans tous les sites qui nous concernent).
Je pense que tu te retrouveras également dans la prochaine histoire (si elle est validée): " Artillerie lourde".
Au plaisir de te lire à nouveau. :-)
DeeWar
Magnifique histoire, extrêmement bien écrite et décrite, dans un français parfait. Une similitude, en mieux, de mon histoire "un bon coup de langue" sous mon pseudo Caramel35.
J'ai pris plaisir à revivre ce bon moment vécu lorsque j'étais "jeune".
J'ai pris plaisir à revivre ce bon moment vécu lorsque j'étais "jeune".