AIRE DE REPOS (3) : L'aire du Pilar

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AIRE DE REPOS (3) : L'aire du Pilar Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS (3) : L'aire du Pilar
AIRE DE REPOS (3) : L'aire du Pilar.


Salam, les potos. Moi c'est Ahmed, un p'tit beur du blédar. Je viens de fêter mes 18ans le mois dernier. Je suis grand, maigre, les cheveux crépus et un petit bouc de salafiste. On dit que je suis pas le plus beau, pourtant des mecs, je m'en fais à la douzaine. J'suis toujours en chasse et tous les jours c'est carton plein. Des jeunes, des viocs, des pédés, des hétéros mariés, tout le monde y passe. Faut croire que ça les démange une pine de 23cm dans le boule.

Bon, aujourd'hui je vais devoir me la mettre sur l'oreille. Je suis de garde devant la pissotière du Pilar, un lieu de drague sur l'A9 et depuis deux heures que je glande, ben rien... Que dalle, même pas un petit vieux.

Je suis confortablement installé dans ma caisse en face des sanitaires et j'attends, la zik à donf. Au bout d'une plombe, je vois défiler quelques habitués que je me suis tringlé plusieurs fois mais là, pas question de recommencer. Ma queue a besoin de nouveauté.

Je vois soudain un mec, la trentaine, sortir d'une voiture de sport, genre Ferrari décapotable et s'engouffrer dans l'entrée. Je le sens pas, le type, je saurais pas dire pourquoi mais je le sens pas.

Il est grand, svelte, plutôt sportif. Il porte une chemise blanche avec un vieux jeans usé à l'entrejambe et d'après ce que je peux en voir il arbore une queue bien droite et bien épaisse qui déforme le tissus de manière obscène.

Ni une, ni deux, je sors de ma bagnole et pénètre à mon tour dans les toilettes. Elles sont crades, sombres, et puantes de pisse mais c'est le meilleur endroit pour faire du bizz.

Je m'installe à côté du gars dans l'urinoir resté libre. Je le dévisage à la dérobée. Putain, il est canon. Belle gueule de macho, sourcils épais, yeux bleus, cheveux courts taillés en brosses avec de belles lèvres pulpeuses et une petite barbe de trois jours.

Mon zeb se met direct au garde-à-vous! Lui, continue de pisser sans me jeter un regard. Puis, quand il a expurgé les dernières gouttes, au lieu de remballer son matos il commence à s'astiquer la queue d'un mouvement lent mais régulier.

Je reste sans voix. Ce bellâtre serait d'accord pour se taper une queue?!

Il finit par tourner son regard dans ma direction et mate direct mon service trois pièces. Il a une petite lueur de vice au fond des yeux et d'un mouvement de tête me fait signe de le suivre dans une cabine.

Je lui emboîte le pas illico (en attendant de lui déboîter autre chose!). Je ferme la porte derrière nous et ressors mon zob toujours aussi raide. Il perd pas une seconde et se jette à genoux devant moi. Il a pas peur de tâcher son jeans, celui-là.

En deux-deux, il a ma ziba dans la main et sa langue chaude me lèche le gland. Sa bouche se fait joueuse et titille le frein. Je lui saisis la nuque et lui intime l'ordre de me pomper. Le bel Hidalgo ne se fait pas prier, il entrouvre ses lèvres et engouffre mon zboub comme un mort de faim. Je commence à piner sa belle petite gueule d'ange. Ses mains serrent la base de mes couilles afin de tendre la peau et provoquer le maximum d'érection. Il se régale et je remarque l'agilité de ses lèvres sur mon dard.

Bordel, on dirait qu'il a fait ça toute sa vie...

Lorsque je rencontre un bon suceur j'aime lui attacher les mains derrière le dos et le laisser me faire cracher uniquement avec sa bouche. C'est le pied total de baiser dans ce lieu pourri pendant que le mec s'active avec passion et arrache du plus profond de toi des râles de plaisir.

Ce joli trentenaire va prendre cher. Je vais lui faire la totale, il m'excite trop. Je le chope par les oreilles et l'oblige à pomper plus profond. Le gars a de la ressource, il répond à mon attente. Sa langue descend toujours plus loin en direction de mon pubis. Il tête mon gland comme un faon téterait sa mère, avec gourmandise, alternant les gorges profondes et les léchouilles de ouf. Des larmes coulent sur son beau visage, témoin de ses efforts pour me faire gicler.

Je l'autorise enfin à utiliser ses mains. Il déboutonne fébrilement son pantalon et s'astique la queue comme un chien, devant mes skets pourries.

Mais je veux pas qu'il jute sinon il risque de se casser, ce con. Je le redresse et le plaque contre le mur, les pieds bien écartés au dessus des toilettes turques. Il n'est pas trop d'accord et proteste faiblement. D'un geste rapide, je lui baisse son jeans et découvre deux belles fesses bien fermes et bien poilues. Tout ce que je kiffe...

Je viens caler mon gros gland circoncis à l'entrée de sa caverne. Son cul paraît serré et me laisse deviner qu'il ne doit pas souvent se faire mettre. Je n'aurai que plus de plaisir à sentir ma queue perforer ses intestins.

Au premier essai, il crie si fort que je suis obligé de lui couvrir la bouche avec ma main. Je place l'autre le long de son ventre musclé et velu pour épouser parfaitement son corps et ainsi rentrer profondément sans gêne.

Un bon coup de rein et ma teub s'enfonce à moitié. Il mord ma main et immédiatement après me la lèche pour se faire pardonner. C'est le moment choisi pour l'estocade finale. Je le perfore sans faiblir. J'avance tel un matador. Il souffle fort, cherche à se détendre puis suce mes doigts en signe de reconnaissance.

Bon toutou, va, qui fait des fêtes à son maître à défaut de remuer la queue.

Je suis en lui, presque au fond, et il aime ça. Doucement mais sûrement j'entame un va-e-vient vicieux qui l'envoie voltiger au septième ciel. J'use de toute ma science. Il couine de plaisir à chaque plongée et lorsque je touche enfin sa prostate il gueule sa putain de mère qu'il est devenu pédé.

Je le calme un peu en ralentissant. Il grogne de frustration. Je sens son anus serrer mon chibre. Putain, ce beau gosse est en manque total. Faut lui donner ce qu'il réclame sinon toute l'autoroute va lui passer dessus.

En cador expert, j'assume de ouf. Je le bourrine comme la dernière des catins. Il est ballotté des tous les côtés et pourtant je suis pas épais... sauf ma teub!

J'introduis deux doigts en plus de ma queue. Il gémit, cherche à se retirer mais j'impose ma présence. Mes boules bien chargées viennent buter sur ses fesses défoncées. Je le besogne à grands coups de lattes dans le cul.

Après un bon quart d'heure de limage intensif, je sens qu'il faut que je marque mon territoire. Je sors ma queue bien raide, le retourne et l'oblige à s'accroupir sur le chiotte turc.

Face à sa gueule de mec viril, j'attaque une branlette rapide et efficace. Je le force à me fixer. Je lis son envie dans son regard de braise. Il me supplie des yeux de faire durer cet instant de domination. Il serait prêt à se faire tuer pour goûter encore à ma teub.

Je suis tellement dominant qu'une décharge de plaisir m'envahit et que je vois mon zbouby cracher sur mon keumé avec tellement de pression que les deux premiers jets viennent s'écraser sur ses lèvres. Il lèche mon sperme en vraie lopsa et je finis par lui champouiner les cheveux avec le reste de ma crème.

Il est toujours à genoux sur les chiottes, un peu sonné même s'il me semble chercher quelque chose dans mon fûte.

Il se redresse, rajuste son pantalon, défroisse sa chemise et me balance sous le nez une carte tricolore.

- Police Nationale! Vous êtes en état d'arrestation pour exhibition sur la voie publique.

FIN

Les avis des lecteurs

Ouais, c'est dingue de voir que des histoires complètement inventées peuvent avoir quelques résonances dans la réalité. ;)

Histoire Erotique
Un truc de ce genre m'est arrivé sur une autoroute en Belgique . Moi ancien routier lors d'un passage en Belgique sur une aire de repos je vois un mec aller dans les fourrées , J'attend un peu et le suis , après quelques minute de recherche je le retrouve et m'approche de lui il semblait se toucher les parties . Arrivé a sa hauteur , moi aussi me touche et la il sort une carte tricolore ( rouge , jaune et noir ) et me demande ce que je cherche ? et me dit de déguerpir au plus vite si je ne veux pas d'histoires .
Ce que je fis sans demander de quoi il s'agit , l'érection a vite disparu et suis monté dans mon camion et démarré au plus vite .

Ouais, d'accord avec toi. C'est le meilleur des fantasmes. :))

DeeWar

Histoire Erotique
Franchement c'est très bien écrit et toujours autant excitant . Les policiers c'est vraiment les meilleurs fantasme .



Texte coquin : AIRE DE REPOS (3) : L'aire du Pilar
Histoire sexe : Une rose rouge
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