AIRE DE REPOS (4) : Toilettes publiques.
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS (4) : Toilettes publiques.
AIRE DE REPOS (4) : Toilettes Publiques.
Je me prénomme Vincent, j'ai vingt-trois ans et je suis marié à Élodie depuis deux ans. Je mesure un mètre quatre-vingts, blond, fluet (oui, j'ai horreur du sport) et mon visage est plutôt juvénile avec des traits fins et harmonieux. Nous avons un petit Tom qui vient de fêter ses six mois et pour marquer le coup, mes beaux-parents organisent une fête dans le Luberon.
Après deux heures de route nous sommes forcés de nous arrêter sur une aire de repos afin de changer les couches de notre nouveau-né. C'est ma femme qui s'en charge. Elle se dirige vers l'espace réservé aux bébés pendant que je rejoins les toilettes pour hommes.
J'arrive dans une pièce assez vaste dont les néons flamboyants illuminent le sol ainsi que les murs carrelés. Une dizaine de cabines sont disposées en longueur. Tout au bout, se trouve une rangée de vespasiennes incrustées dans la paroi où plusieurs hommes sont déjà en train d'uriner.
Je me place au niveau de l'une d'elle et desserre l'élastique de mon bermuda. Bien que marié, j'ai toujours eu une attirance pour le corps masculin. Je lorgne discrètement en direction des deux mecs qui m'encadrent et qui arborent chacun un sexe de belle taille. Ils pissent contre la faïence, le visage bien droit puis s'égouttent le haricot avant de remballer le matos et de s'éclipser vers les lavabos.
Je suis un peu jaloux par ce que je viens de voir. Tous ces hommes bien montés me font envie. J'aimerais en avoir une longue et grosse comme ces acteurs pornos que je matte en cachette car la mienne est de dimension modeste et ça me complexe un peu, même si Élodie m'assure que cela ne la dérange pas.
En allant me laver les mains, je remarque un homme qui se positionne à côté de moi et actionne le robinet d'eau froide dans la vasque, près de la mienne. Il me dévisage étrangement à travers le miroir mural. C'est un type habillé en costard-cravate, la cinquantaine, les cheveux poivre-sel avec des traits méditerranéens. Il dégage un charisme évident. Il est mince, musclé, tonique et je trouve qu'il transpire le sexe.
Je ne peux m'empêcher de mater la bosse qui déforme son pantalon en tergal. Le type à l'air monté comme un bourrin. Il a vu mon trouble à travers la glace et attend que les deniers visiteurs soient sortis pour m'adresser la parole.
- Alors, petit PD, on se rince l'œil,... en plus des mains!
Le ton se veut sarcastique. Je commence à rougir, voyant les yeux de l'homme se poser sur moi avec insistance. Il esquisse même un petit sourire en coin accompagné d'un froncement de sourcils qui n'augure rien de bon.
Je finis par détourner le regard mais il revient à la charge.
- Tu sais que c'est impoli de mater dans les urinoirs. Je pourrais te dénoncer au vigile de la station.
- Euh... Non, non, pas du tout, je ne regardais pas...
- Tss, tss, j'ai bien vu ton manège. T'avais les yeux qui traînaient, sale petit voyeur!
- Mais... Je vous assure...
- En plus, je t'ai aperçu avec ta femme et ton gosse. Tu maques pas d'air d'allumer les mecs alors que ta petite famille est juste à côté.
Bon sang, je suis coincé. Ce VRP est en train de me faire chanter et je ne vois pas comment je vais me sortir de ce guêpier.
- Tu veux voir une véritable queue de mec? enchaîne-t-il tout en se caressant la tige à travers l'étoffe du pantalon.
Je bégaie quelques mots incompréhensibles mais ne peux détacher ma vue de cette bosse qui semble encore avoir pris du volume. Le gars porte à droite. On voit bien la marque de son énorme gland qui pointe sous la ceinture.
Putain, qu'est-ce qu'il est gros!
Il me sort de ma rêverie en me bousculant un peu et, de sa voix grave, m'intime l'ordre de le suivre dans une cabine. Une fois à l'intérieur, il ôte sa chemise. C'est chaud! Il est vraiment canon... C'est du lourd! Au diable ma femme, mon petit Tom et tous les types qui se succèdent dans la salle, je veux vivre cette expérience unique.
Il dégrafe sa ceinture et zippe sa fermeture éclair. Il tire sur son slip, machinalement. Le tissus a l'air doux au toucher mais je n'ose y porter la main. Je ne sais pas si c'est à cause de son torse sec, fin et musclé ou la marque du bronzage intégral mais sa queue paraît énorme. Bon sang, je comprends mieux pourquoi sa braguette menaçait d'exploser.
Il m'observe de ses yeux noirs puis abaisse son sous-vêtement d'un geste sec. Je vois direct qu'il bande et je prends peur à la vue du terrible mandrin qui se dresse entre ses jambes.
- Holà, pas de panique. Tu voulais voir, ben maintenant, y a plus de marche arrière possible.
Je tente de négocier.
- Mon épouse doit s'impatienter...
- Raison de plus pour ne pas traîner.
Il me retourne face à la cuvette des WC, m'abaisse le short et m'enserre la taille de ses bras nerveux, son énorme chibre plaqué contre mes fesses.
- Humm, tu sens bon. On voit bien que t'as pas l'habitude... Putain, c'est ça qui m'excite chez les mecs!
J'essaie de me débattre. À ce moment là, quelqu'un tente d'ouvrir la porte de notre cabine. Il renonce et s'éloigne. Je l'entends jurer contre la société des autoroutes.
Mon représentant tente de m'amadouer.
- Allez, laisse-toi faire, tu en meurs d'envie autant que moi.
Il me retourne et me roule un palot d'enfer. Je reste sans réaction. C'est la première fois qu'un mec me galoche. Il m'embrasse longuement, me fouille de sa langue experte. Il me guide car il sait que je suis novice. Il me prend la main et la dirige vers son impressionnante trompe qui bat contre ma cuisse. Une fois de plus, sa taille me sidère.
À l'extérieur, c'est une succession de chasses d'eau qu'on active ou de sèche-mains automatiques qui tournent à plein régime. Mais à l'intérieur de cette cabine, nous sommes seuls au monde.
Sous la domination qu'exerce sur moi son chibre monstrueux, je me laisse emporter par la lubricité de ses baisers et commence à ressentir un plaisir qui va croissant. Il sait si bien y faire, qu'au bout de quelques minutes je me tords dans ses bras, gémissant comme une pucelle. Il me soumet aux caresses de sa langue et moi je fonds, implorant qu'elle me fouille encore plus fort et plus profond.
Le temps s'est suspendu. Élodie apparaît dans le flou de mes pensées bientôt remplacée par l'étreinte virile de mon partenaire.
Ce dernier me retourne une nouvelle fois et vient caresser mes fesses.
- Elles ont déjà servies?
Je fais « non » de la tête. Il a capté le message. Il va se farcir un jeune papa hétéro sur une aire d'autoroute bondée de monde à quelque mètres de sa femme et de son fils. Cette perspective décuple son ardeur.
- Détends-toi, mon beau. Je vais te faire du bien, tu vas voir...
Ma tête et mes bras prennent appuie contre le carrelage froid des toilettes. J'ai fermé les yeux et attend la suite avec anxiété. Il m'a demandé de bien écarter les jambes et ne tarde pas à glisser un doigt vers mon œillet.
Il mouille son médius de salive et le force dans mon anneau puis le retire, il mouille aussi son majeur et enfonce à nouveau ses deux doigts réunis, me faisant pousser un hoquet de surprise. Alors, doucement, il leur imprime un mouvement de va-et-vient, les enfonçant profondément à chaque fois, faisant naître en moi des sensations inconnues et délicieuses qui me font gémir de volupté. Je relève ma croupe et écarte mes fesses pour mieux m'offrir à la caresse affolante.
Il ressort ses doigts puis les enfonce dans ma bouche. Je ferme les yeux et les suce avec délectation.
- Prêt pour le grand saut?!
Il n'attend pas ma réponse.
- Je veux ton cul. Écarte-toi bien!
Je me cambre et il sépare mes lobes fessiers pour une première pénétration. Je sens son manche de pioche dressé tenter de forcer ma porte secrète. C'est un échec.
- Putain, qu'est-ce que t'es serré. Un vrai cul de gonzesse.
La comparaison n'est guère flatteuse pour moi mais bon, je me garde bien de répliquer. Le temps presse et c'est sûr, Élodie doit s'impatienter à présent. Je tente de trouver plusieurs scénarios à mon absence prolongée. Je n'aurais qu'à dire que je suis allé faire un tour dehors en les attendant...
Cette éventualité calme un peu mes angoisses. Loin de mes préoccupations, mon beau représentant de commerce crache plusieurs fois dans sa pogne pour enduire sa belle queue de salive. J'entends son souffle dans mon dos qui m'indique à quel point il est pris par l'excitation. Le cœur battant, je me cambre pour accueillir son bazooka alors que je sens une appréhension grandissante s'emparer de moi.
Il m'agrippe les hanches et m'attire sur sa trique qu’il dirige sur ma rosette encore vierge. Je fais un effort pour respirer calmement mais je sens la peur m'envahir.
- Prends-la comme un homme. Tu n'es pas le premier qui va se balancer au bout de ma queue.
Je ne dis rien mais un trouble obscur me submerge et me plonge dans une émotion que je ne maîtrise pas. Je sens mon cœur battre la chamade et mes tempes bourdonner. Je me suis mis à haleter et à gémir, pris dans un vertige qui me jette dans des affres inconnues.
Tout près de nous, le ballet des portes qui claquent redouble de plus belle. Le gens ont sans doute compris que notre cabine était condamnée puisque aucun ne tente d'actionner la poignée. Ça nous laisse un peu de répit.
L'excitation commence à redescendre. Je suis resté trop éloigné de ma famille et je commence à baliser. Surtout, une sourde appréhension de la puissance du terrible mandrin et de la douleur qu'il va me causer me fait reculer. Je n'ai plus envie.
Mon beau quinqua grisonnant l'a bien compris. Il n'insiste pas. Il me demande de lui faire face et de m'agenouiller.
- Suce-moi. Je suis trop excité.
Je m'exécute docilement. Là aussi, se sera une première s'il va jusqu'au bout. Je me retrouve face au monstre qui m'impressionne tant. Je vois le gros gland turgide tressauter sous l'effet de l'excitation. Il me touche le visage à plusieurs reprises, laissant des traînées translucides sur mes joues et mon front. Tremblant d'appréhension, j'empoigne la forte hampe et dirige l'énorme cabochon gorgé de sève vers ma bouche.
Lèvres distendues je le prends en bouche, étonné par sa grosseur et commence maladroitement des mouvements de succion. Son goût musqué me surprend, mais sur ses conseils, je l'humecte de salive. Il coulisse bien, à présent dans ma cavité buccale. Il m'encourage du regard, satisfait de ma prestation. Pour un peu, il jurerait que je n'en suis pas à ma première queue. Sans doute le nombre impressionnant de film de cul que je me suis tapé...
Je le pipe de plus en plus fort, comme ces acteurs porno, en prenant soin de pétrir ses lourdes couilles velues. Il râle de plaisir et m'agrippe la nuque. J'intensifie les mouvements de succion tout en branlant sa lourde hampe gorgée de sang.
Il monte, monte encore, je le sens se tendre en une intense contraction de tout son corps.
Alors il se relâche et, dans un long feulement, il éjacule, faisant exploser dans ma bouche un geyser de foutre lourd, âcre et visqueux. La sensation me bouleverse mais je ne peux recracher tant ses larges battoirs me retiennent prisonnier.
- Avale, sale PD, avale!!!
Je me laisse insulter sans broncher tout en pompant son jus dont je découvre le goût âcre et salé dans un vertige lubrique qui me renverse. Les jets sont si puissants que son éjaculation inonde ma bouche. Un flot de liqueur chaud et épais s'échappe de la commissure de mes lèvres et se déverse sur mon menton. Jusque sur le col du T-shirt.
Merde, comment je vais justifier de ces tâches suspectes auprès d'Élodie?!
Il relâche enfin la pression sur ma tête. Je reste immobile quelques instants, interdit, chaviré, émerveillé et effrayé par ce que je viens d'accomplir, incapable de réaliser l'incongruité de la chose.
Mon corps est couvert de sueur. Je suis en nage. J'essuie mes lèvres dégoulinantes de sperme. Je cherche mon second souffle. Je n'arrive pas à saisir ce qui m’est arrivé. Je suis émerveillé en même temps qu'étreint par un terrible sentiment de culpabilité.
Lui, ne se pose pas tant de questions. Il s'est rhabillé rapidement, à rajusté sa cravate et sans même un regard dans ma direction, s'est extrait de la cabine. Aussitôt, un type a cherché à entrer et s'est trouvé interdit face à ma présence, le pantalon sur les chevilles, à genoux sur le carrelage.
J'ai même cru l'entendre ronchonner en me traitant de sale tarlouze.
C'est à cet instant précis que le vigile a fait irruption dans les toilettes pour demander si monsieur Duval s'y trouvait.
Merde... Élodie a fini par donner l'alerte!!!
FIN
Je me prénomme Vincent, j'ai vingt-trois ans et je suis marié à Élodie depuis deux ans. Je mesure un mètre quatre-vingts, blond, fluet (oui, j'ai horreur du sport) et mon visage est plutôt juvénile avec des traits fins et harmonieux. Nous avons un petit Tom qui vient de fêter ses six mois et pour marquer le coup, mes beaux-parents organisent une fête dans le Luberon.
Après deux heures de route nous sommes forcés de nous arrêter sur une aire de repos afin de changer les couches de notre nouveau-né. C'est ma femme qui s'en charge. Elle se dirige vers l'espace réservé aux bébés pendant que je rejoins les toilettes pour hommes.
J'arrive dans une pièce assez vaste dont les néons flamboyants illuminent le sol ainsi que les murs carrelés. Une dizaine de cabines sont disposées en longueur. Tout au bout, se trouve une rangée de vespasiennes incrustées dans la paroi où plusieurs hommes sont déjà en train d'uriner.
Je me place au niveau de l'une d'elle et desserre l'élastique de mon bermuda. Bien que marié, j'ai toujours eu une attirance pour le corps masculin. Je lorgne discrètement en direction des deux mecs qui m'encadrent et qui arborent chacun un sexe de belle taille. Ils pissent contre la faïence, le visage bien droit puis s'égouttent le haricot avant de remballer le matos et de s'éclipser vers les lavabos.
Je suis un peu jaloux par ce que je viens de voir. Tous ces hommes bien montés me font envie. J'aimerais en avoir une longue et grosse comme ces acteurs pornos que je matte en cachette car la mienne est de dimension modeste et ça me complexe un peu, même si Élodie m'assure que cela ne la dérange pas.
En allant me laver les mains, je remarque un homme qui se positionne à côté de moi et actionne le robinet d'eau froide dans la vasque, près de la mienne. Il me dévisage étrangement à travers le miroir mural. C'est un type habillé en costard-cravate, la cinquantaine, les cheveux poivre-sel avec des traits méditerranéens. Il dégage un charisme évident. Il est mince, musclé, tonique et je trouve qu'il transpire le sexe.
Je ne peux m'empêcher de mater la bosse qui déforme son pantalon en tergal. Le type à l'air monté comme un bourrin. Il a vu mon trouble à travers la glace et attend que les deniers visiteurs soient sortis pour m'adresser la parole.
- Alors, petit PD, on se rince l'œil,... en plus des mains!
Le ton se veut sarcastique. Je commence à rougir, voyant les yeux de l'homme se poser sur moi avec insistance. Il esquisse même un petit sourire en coin accompagné d'un froncement de sourcils qui n'augure rien de bon.
Je finis par détourner le regard mais il revient à la charge.
- Tu sais que c'est impoli de mater dans les urinoirs. Je pourrais te dénoncer au vigile de la station.
- Euh... Non, non, pas du tout, je ne regardais pas...
- Tss, tss, j'ai bien vu ton manège. T'avais les yeux qui traînaient, sale petit voyeur!
- Mais... Je vous assure...
- En plus, je t'ai aperçu avec ta femme et ton gosse. Tu maques pas d'air d'allumer les mecs alors que ta petite famille est juste à côté.
Bon sang, je suis coincé. Ce VRP est en train de me faire chanter et je ne vois pas comment je vais me sortir de ce guêpier.
- Tu veux voir une véritable queue de mec? enchaîne-t-il tout en se caressant la tige à travers l'étoffe du pantalon.
Je bégaie quelques mots incompréhensibles mais ne peux détacher ma vue de cette bosse qui semble encore avoir pris du volume. Le gars porte à droite. On voit bien la marque de son énorme gland qui pointe sous la ceinture.
Putain, qu'est-ce qu'il est gros!
Il me sort de ma rêverie en me bousculant un peu et, de sa voix grave, m'intime l'ordre de le suivre dans une cabine. Une fois à l'intérieur, il ôte sa chemise. C'est chaud! Il est vraiment canon... C'est du lourd! Au diable ma femme, mon petit Tom et tous les types qui se succèdent dans la salle, je veux vivre cette expérience unique.
Il dégrafe sa ceinture et zippe sa fermeture éclair. Il tire sur son slip, machinalement. Le tissus a l'air doux au toucher mais je n'ose y porter la main. Je ne sais pas si c'est à cause de son torse sec, fin et musclé ou la marque du bronzage intégral mais sa queue paraît énorme. Bon sang, je comprends mieux pourquoi sa braguette menaçait d'exploser.
Il m'observe de ses yeux noirs puis abaisse son sous-vêtement d'un geste sec. Je vois direct qu'il bande et je prends peur à la vue du terrible mandrin qui se dresse entre ses jambes.
- Holà, pas de panique. Tu voulais voir, ben maintenant, y a plus de marche arrière possible.
Je tente de négocier.
- Mon épouse doit s'impatienter...
- Raison de plus pour ne pas traîner.
Il me retourne face à la cuvette des WC, m'abaisse le short et m'enserre la taille de ses bras nerveux, son énorme chibre plaqué contre mes fesses.
- Humm, tu sens bon. On voit bien que t'as pas l'habitude... Putain, c'est ça qui m'excite chez les mecs!
J'essaie de me débattre. À ce moment là, quelqu'un tente d'ouvrir la porte de notre cabine. Il renonce et s'éloigne. Je l'entends jurer contre la société des autoroutes.
Mon représentant tente de m'amadouer.
- Allez, laisse-toi faire, tu en meurs d'envie autant que moi.
Il me retourne et me roule un palot d'enfer. Je reste sans réaction. C'est la première fois qu'un mec me galoche. Il m'embrasse longuement, me fouille de sa langue experte. Il me guide car il sait que je suis novice. Il me prend la main et la dirige vers son impressionnante trompe qui bat contre ma cuisse. Une fois de plus, sa taille me sidère.
À l'extérieur, c'est une succession de chasses d'eau qu'on active ou de sèche-mains automatiques qui tournent à plein régime. Mais à l'intérieur de cette cabine, nous sommes seuls au monde.
Sous la domination qu'exerce sur moi son chibre monstrueux, je me laisse emporter par la lubricité de ses baisers et commence à ressentir un plaisir qui va croissant. Il sait si bien y faire, qu'au bout de quelques minutes je me tords dans ses bras, gémissant comme une pucelle. Il me soumet aux caresses de sa langue et moi je fonds, implorant qu'elle me fouille encore plus fort et plus profond.
Le temps s'est suspendu. Élodie apparaît dans le flou de mes pensées bientôt remplacée par l'étreinte virile de mon partenaire.
Ce dernier me retourne une nouvelle fois et vient caresser mes fesses.
- Elles ont déjà servies?
Je fais « non » de la tête. Il a capté le message. Il va se farcir un jeune papa hétéro sur une aire d'autoroute bondée de monde à quelque mètres de sa femme et de son fils. Cette perspective décuple son ardeur.
- Détends-toi, mon beau. Je vais te faire du bien, tu vas voir...
Ma tête et mes bras prennent appuie contre le carrelage froid des toilettes. J'ai fermé les yeux et attend la suite avec anxiété. Il m'a demandé de bien écarter les jambes et ne tarde pas à glisser un doigt vers mon œillet.
Il mouille son médius de salive et le force dans mon anneau puis le retire, il mouille aussi son majeur et enfonce à nouveau ses deux doigts réunis, me faisant pousser un hoquet de surprise. Alors, doucement, il leur imprime un mouvement de va-et-vient, les enfonçant profondément à chaque fois, faisant naître en moi des sensations inconnues et délicieuses qui me font gémir de volupté. Je relève ma croupe et écarte mes fesses pour mieux m'offrir à la caresse affolante.
Il ressort ses doigts puis les enfonce dans ma bouche. Je ferme les yeux et les suce avec délectation.
- Prêt pour le grand saut?!
Il n'attend pas ma réponse.
- Je veux ton cul. Écarte-toi bien!
Je me cambre et il sépare mes lobes fessiers pour une première pénétration. Je sens son manche de pioche dressé tenter de forcer ma porte secrète. C'est un échec.
- Putain, qu'est-ce que t'es serré. Un vrai cul de gonzesse.
La comparaison n'est guère flatteuse pour moi mais bon, je me garde bien de répliquer. Le temps presse et c'est sûr, Élodie doit s'impatienter à présent. Je tente de trouver plusieurs scénarios à mon absence prolongée. Je n'aurais qu'à dire que je suis allé faire un tour dehors en les attendant...
Cette éventualité calme un peu mes angoisses. Loin de mes préoccupations, mon beau représentant de commerce crache plusieurs fois dans sa pogne pour enduire sa belle queue de salive. J'entends son souffle dans mon dos qui m'indique à quel point il est pris par l'excitation. Le cœur battant, je me cambre pour accueillir son bazooka alors que je sens une appréhension grandissante s'emparer de moi.
Il m'agrippe les hanches et m'attire sur sa trique qu’il dirige sur ma rosette encore vierge. Je fais un effort pour respirer calmement mais je sens la peur m'envahir.
- Prends-la comme un homme. Tu n'es pas le premier qui va se balancer au bout de ma queue.
Je ne dis rien mais un trouble obscur me submerge et me plonge dans une émotion que je ne maîtrise pas. Je sens mon cœur battre la chamade et mes tempes bourdonner. Je me suis mis à haleter et à gémir, pris dans un vertige qui me jette dans des affres inconnues.
Tout près de nous, le ballet des portes qui claquent redouble de plus belle. Le gens ont sans doute compris que notre cabine était condamnée puisque aucun ne tente d'actionner la poignée. Ça nous laisse un peu de répit.
L'excitation commence à redescendre. Je suis resté trop éloigné de ma famille et je commence à baliser. Surtout, une sourde appréhension de la puissance du terrible mandrin et de la douleur qu'il va me causer me fait reculer. Je n'ai plus envie.
Mon beau quinqua grisonnant l'a bien compris. Il n'insiste pas. Il me demande de lui faire face et de m'agenouiller.
- Suce-moi. Je suis trop excité.
Je m'exécute docilement. Là aussi, se sera une première s'il va jusqu'au bout. Je me retrouve face au monstre qui m'impressionne tant. Je vois le gros gland turgide tressauter sous l'effet de l'excitation. Il me touche le visage à plusieurs reprises, laissant des traînées translucides sur mes joues et mon front. Tremblant d'appréhension, j'empoigne la forte hampe et dirige l'énorme cabochon gorgé de sève vers ma bouche.
Lèvres distendues je le prends en bouche, étonné par sa grosseur et commence maladroitement des mouvements de succion. Son goût musqué me surprend, mais sur ses conseils, je l'humecte de salive. Il coulisse bien, à présent dans ma cavité buccale. Il m'encourage du regard, satisfait de ma prestation. Pour un peu, il jurerait que je n'en suis pas à ma première queue. Sans doute le nombre impressionnant de film de cul que je me suis tapé...
Je le pipe de plus en plus fort, comme ces acteurs porno, en prenant soin de pétrir ses lourdes couilles velues. Il râle de plaisir et m'agrippe la nuque. J'intensifie les mouvements de succion tout en branlant sa lourde hampe gorgée de sang.
Il monte, monte encore, je le sens se tendre en une intense contraction de tout son corps.
Alors il se relâche et, dans un long feulement, il éjacule, faisant exploser dans ma bouche un geyser de foutre lourd, âcre et visqueux. La sensation me bouleverse mais je ne peux recracher tant ses larges battoirs me retiennent prisonnier.
- Avale, sale PD, avale!!!
Je me laisse insulter sans broncher tout en pompant son jus dont je découvre le goût âcre et salé dans un vertige lubrique qui me renverse. Les jets sont si puissants que son éjaculation inonde ma bouche. Un flot de liqueur chaud et épais s'échappe de la commissure de mes lèvres et se déverse sur mon menton. Jusque sur le col du T-shirt.
Merde, comment je vais justifier de ces tâches suspectes auprès d'Élodie?!
Il relâche enfin la pression sur ma tête. Je reste immobile quelques instants, interdit, chaviré, émerveillé et effrayé par ce que je viens d'accomplir, incapable de réaliser l'incongruité de la chose.
Mon corps est couvert de sueur. Je suis en nage. J'essuie mes lèvres dégoulinantes de sperme. Je cherche mon second souffle. Je n'arrive pas à saisir ce qui m’est arrivé. Je suis émerveillé en même temps qu'étreint par un terrible sentiment de culpabilité.
Lui, ne se pose pas tant de questions. Il s'est rhabillé rapidement, à rajusté sa cravate et sans même un regard dans ma direction, s'est extrait de la cabine. Aussitôt, un type a cherché à entrer et s'est trouvé interdit face à ma présence, le pantalon sur les chevilles, à genoux sur le carrelage.
J'ai même cru l'entendre ronchonner en me traitant de sale tarlouze.
C'est à cet instant précis que le vigile a fait irruption dans les toilettes pour demander si monsieur Duval s'y trouvait.
Merde... Élodie a fini par donner l'alerte!!!
FIN
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hello, Pillus.
En effet, je me suis mélangé les pinceaux avec tous ces doigts. ^^
J'aurais dû y mettre carrément la main. :)
DeeWar
En effet, je me suis mélangé les pinceaux avec tous ces doigts. ^^
J'aurais dû y mettre carrément la main. :)
DeeWar
Histoire sympa, bien racontée et qui montre bien que le plus hétéro des hommes peut basculer d'un seul coup dans l'homosexualité et trouver cela à son goût.
Une remarque, médius et majeur sont synonymes et désignent le même doigt. Le vrp introduit le majeur et l'index ou bien le majeur et l'annulaire.
Une remarque, médius et majeur sont synonymes et désignent le même doigt. Le vrp introduit le majeur et l'index ou bien le majeur et l'annulaire.
et pendant ce temps le bébé se promène dans les toilettes!!