AIRE DE REPOS (5) : Tel est pris...

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AIRE DE REPOS (5) : Tel est pris... Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS (5) : Tel est pris...
AIRE DE REPOS (5) :Tel est pris...


… L'homme était fin prêt. Après avoir mangé ma bite et bu ma semence, il n'attendait qu'une chose: se faire prendre comme une bête enragée.

Mais il fallait avant tout que je récupère un peu, sa pipe m'ayant complètement vidé les couilles. J'avais besoin de quelques minutes pour recharger.

J'en profitai pour me déshabiller entièrement, nos ébats m'ayant chauffé les sens. Les poils épais de mon torse mouillaient ma chemise et mon front transpirait à grosses gouttes, mais hors de question d'arrêter. Pour faire remonter la pression, ma chienne m'offrit une danse des plus lascives, cambrant sa croupe face à moi et la faisant frotter contre mon engin qui commençait déjà à se réactiver.

L'homme voulut ôter ses vêtements lui aussi, mais face à mon refus, il accepta de les garder. Il connaissait l'effet que provoquait un uniforme sur des spécimen comme moi. Il enleva seulement ses bottes pour laisser ses pieds respirer un peu. J'admirais au passage ces magnifiques cuisses musclées, prisonnières du pantalon bleu marine. Sa bite déformait tout le devant et le dard suintait contre la ceinture sécuritaire ce qui me faisait encore plus bander.

Nous profitâmes également de cette courte pause pour faire plus ample connaissance. Il me révéla avoir 28 ans. Il était en couple avec sa copine et on venait de l'affecter dernièrement dans la région, au titre d'adjudant-chef.

Pendant qu'il répondait à son répartiteur pour lui indiquer que tout allait bien, je sentis ma bite se remettre au garde-à-vous. Un simple coup d’œil sur son boule en appui sur sa moto suffisait à me faire exploser le cerveau. De ce mec, émanait une telle virilité que j'avais du mal à réaliser la chance qui s'offrait à moi. Il m'avait arrêté pour excès de vitesse et nous nous étions compris au premier regard.

Et maintenant...

*****

Maintenant, affublé d'un simple short, je m'avance et me colle à lui. Il paraît surpris mais ne me repousse pas. Il continue de discuter avec le responsable du centre de contrôle des autoroutes. Ma main descend vers ses fesses et je ne peux m'empêcher de les peloter sans retenue.Il gémit un peu, alors, je frotte carrément ma bosse contre sa raie. Il a du mal à poursuivre sa conversation et doit se mordre les lèvres à plusieurs reprises pour ne rien laisser paraître.

Aussitôt terminé, il se retourne et me roule un patin baveux. Il fouille dans sa poche puis en ressort un préservatif qu'il me tend. Ses yeux m'implorant de le sauter.

- À cause de ma femme... me dit-il, presque en s'excusant.

Je lui souris pour le rassurer.

- Tu as bien raison. Avec ça au moins, je vais pouvoir t'enfiler bien comme il faut, sans risquer de la contaminer.

Il tâte ma queue à travers le nylon. Elle a repris des couleurs.

- Je n'allais pas laisser un keuf affamé comme toi dans le besoin. Tu m'as pompé comme une reine, à moi de te baiser comme un roi.

Sans plus attendre, mon beau gendarme se jette en travers de sa bécane, la tête en appui contre le guidon. Il cambre bien haut ses reins, comme pour recevoir sa récompense. Tel un toutou bien dressé. Voyant qu'il n'en peut plus d'attendre, je me place en position, ma pine pointée droit sur son trou. J'abaisse son sous-vêtement juste assez pour avoir accès à ma terre promise puis enduis mes doigts de gel avant d'en badigeonner généreusement le rectum de ma dulcinée (oui, j'aime bien parler de mes amants au féminin).

Encore un doigt ou deux et le voilà prêt à se faire embrocher. Je retire mon lycra et m'aperçois que ma bite est encore plus dure et gonflée que tout à l'heure. Je peux la voir frémir, secouée par les battements de mon cœur.

Je l'encapuchonne puis me saisis des hanches de ma petite femelle pour m'assurer un bon appui. J'appose mon gland triomphant contre ses parois d'entrée. Je pousse légèrement. Je sens que ça glisse et là, tout s'accélère. Je me vois en train d'enculer un représentant des forces de l'ordre, sur une aire d'autoroute, la veste d'uniforme remontée jusqu'aux épaules et son pantalons moulant sur les chevilles.

Le type a la tête enfoncée sur le compteur de vitesse, il serre les dents pour ne pas crier.

Je sens que ça s'élargit doucement, encore quelques centimètres puis, soudain, mon gland est comme avalé par ce cul divin et magique, presque englouti. J'entends mon motard qui couine doucement à chaque centimètre absorbé. Je commence mes coups de reins, tout en restant délicat avec cet anus accueillant. Je pénètre un peu plus profondément à chaque fois. C'est un gagne terrain qui se mérite.

Ma queue n'est même pas entrée à la moitié que déjà, ma petite cochonne se met à gémir de plus en plus fort, accompagnant son cul avec mes mouvements. Au bout de quelques minutes, j'arrive quasiment au bout: encore une dernière poussée et je serai totalement planté dans cette chatte de mec. Sans prévenir, je donne un fort coup de bassin et l'empale pour de bon. Surpris, le flic lâche un juron d'une voix aiguë en sentant mon membre atteindre le fond. Il s'accroche aux poignées de son bolide tout en haletant comme une chienne essoufflée.

- Alors, t'en penses quoi de ma queue? lui dis-je entre deux coups de reins.

- C'est... han! Elle est... géniale, merde...! Ta queue est... hummm... géniaaaale!

À chaque aller-retour, mon adjudant-chef m'offre des râles à faire gauler la lune, la sensation de mon membre dans son ventre le fait crier de plaisir et le rend encore plus obscène dans ses gestes. Agrippé à sa moto comme s'il allait tomber d'une falaise, il libère sa jolie queue totalement imberbe et commence à s'astiquer sur le cuir de la selle. Le limant avec entrain, mes grosses prunes poilues cognent contre les siennes, vierges de tout poil. À ce moment là, j'oublie totalement que je baise un haut gradé de la gendarmerie, peu m'importe, ce militaire m'offre une des parties de jambes en l'air les plus torrides que j'ai connu depuis des années. Je finis même par être excité à l'idée de sauter un type si macho dans une tenue semblable. Sa pipe était magique, sans doute l'une des meilleures que l'on m'ait faite jusqu'à présent, mais que dire de son cul! Un pur bonheur, autant à mater qu'à fourrer.
Ses sphincters se resserrent autour de mon chibre et me donnent une sensation absolument exquise. Sentir cette croupe de mâle en rut claquer contre mon ventre, c'est juste formidablement génial!

Une dizaine de minutes après, nous sommes toujours en pleine action. Ayant changé de position, nous nous retrouvons maintenant allongés dans l'herbe, sur le côté (en position de la cuillère, vous voyez), moi toujours en train de fourrager ma petite fliquette qui n'en peut plus d'être prise avec cette bestialité. Les couinements timides ont été remplacés par des jappements de femelle en pleine jouissance. Incapable de parler ou de réfléchir, ma belle cochonne s'est transformée en grosse truie affamée de mâles fortement membrés.

Ses beuglements sont quelques peu atténués par deux de mes doigts qui roulent une pelle à sa langue tandis que mon autre main est occupée à lui maintenir une jambe en l'air afin d'amplifier mes mouvements (et d'avoir un bon équilibre aussi).

********

… Notre partie de baise dura encore vingt bonnes minutes, hyper excité et trop envieux de continuer à le sauter ainsi. Au bout d'une demi-heure complète, je sentis que l'orgasme revenait et montait. Il imprégnait chaque partie de mon corps et commençait à envahir mon cerveau. Mon gendarme, lui, avait déjà éjaculé depuis longtemps. Aidé par mes soins, il avait craché sa semence sur un parterre de fleurs. À ce moment là, je l'entendis pousser un grognement semblable à celui d'un pourceau qu'on égorge. Heureusement que nous étions suffisamment à l'écart pour laisser libre court à nos délires sonores.

Sa jouissance devait être tellement forte qu'il avait presque perdu connaissance mais mes coups de bélier le ramenèrent à la réalité. Une évidence bien réelle, celle d'un motard des autoroute en train de se faire remplir par un chauffard de la route.

Je sentis cette vague de chaleur monter en moi et, dans le feu de l'action, ne pus sortir que ces quelques mots :

- Putain c'est trop bon...! je,... .je veux jouir en toi! Laisse moi jouir dans ton... humm ! Dans ton cul...

- Ouais! Han! Je... .humm. Vas-y, oui... Crache tout au fond! Féconde-moi,... hann!.. donne moi ton jus!

En écoutant ces mots, je me mis à accélérer fortement la cadence tout en lui empoignant le cou pour le maintenir contre moi. Encore trois, quatre poussées et le revoici... mon tsunami, mais en beaucoup plus fort. Un orgasme d'une puissance inouïe, extrême et brutal qui me submergea. Presque aussi fort qu'un raz-de-marée. Les légers spasmes du début devinrent une violente déferlante au niveau de mon bassin déchaîné qui fracassait ses ultimes barrières. Mon rythme cardiaque s'accéléra brusquement, emportant mes coups de queue dans un rythme encore plus impitoyable et agressif. Puis, lors d'un ultime pilonnage au fin fond de ses entrailles, j'explosai. Je ne voyais pas de mes propres yeux mais je sentais des litres et des litres de sperme chaud remplir le préservatif. En percevant tout ce foutre lui chauffer l'anus, mon amant fut secoué par un nouvel orgasme. Il venait de jouir du cul.
Une larme coula de ses yeux, sa respiration était pareille à celle d'un coureur de marathon et son trou se resserra encore plus fort sur ma tige, lui tirant les dernières gouttes.

Nous restâmes ainsi un bon moment, ma bite enfoncée dans son cul blindé de jus et mes doigts dans sa bouche. Sans parler. La seule chose qui rompait le silence était notre souffle saccadé après cette chevauchée fantastique.

Lorsque je me retirai enfin de mon gendarme, ma bite un peu ramollie laissa échapper un dernier filet de sperme. Je retirai la capote et mon beau militaire me demanda la permission de la garder. J'ignorais ce qu'il comptait en faire mais j'accédais à sa requête.

Une fois rhabillés, nous discutâmes une dernière fois.

- Alors, t'as aimé?

- Super! Jamais on m'avait pris comme ça.

- Content que ça t'ai plu, on remet le couvert quand tu veux.

- Vendredi prochain, ce serait top... Je suis de repos et ma femme va à son cours de gym.

- Parfait. Je te file mon 06, tu me contactes dès que tu peux.

Sur ces mots nous échangeâmes un long et tendre baiser avant de nous séparer à regret.

*******

Voilà, depuis ce jour, chaque fois qu'il est dispo, je passe un moment chez lui. Nous continuons de faire l'amour comme au premier jour, avec des positions à chaque fois plus excitantes et des paroles toujours plus obscènes. J'ai exigé qu'il revête sa tenue de flic car ça le rend plus sexy et bandant. Depuis quelques jours, je l'amène dans des endroits glauques pour se faire sucer par des mecs qui raffolent de l'uniforme.

Je pense même renoncer à ma vie de queutard pour consacrer tout mon temps libre à cette petite cochonne que j'ai inconsciemment initiée à un monde nouveau, de par sa différence, sa sensualité et surtout... par sa croupe phénoménalement grandiose et incroyablement affriolante.

******

Un jour, Arnaud (c'est son prénom) me raconta une aventure vécue avec un de ses collègues. Ils venaient de terminer leur tournée et avaient garé leurs motos dans le hangar de la gendarmerie. Il matait souvent Fred, son binôme avec qui il aimait travailler. C'était un grand gaillard d'un mètre quatre-vingt-cinq pour quatre-vingt-dix kilos, marié et père de trois garçons. Il le trouvait beau comme un dieu, le portrait craché de Brandon Beemer.

Ils étaient sous la douche et se savonnaient mutuellement. À un moment, mon mec lui avait saisi la bite en le félicitant de sa grosseur. Fred ne s'était pas offusqué et l'avait même encouragé à poursuivre. Mon amant s'était alors retrouvé à genoux, dévisageant cette queue avec gourmandise. Il l'avait décalottée avant de la prendre en bouche.

Son partenaire mouillait fort et il avait lapé la fente pour en récupérer le contenu. Fred avait fermé les yeux et gémissait lentement. Mon mec en profitait pour caresser ses grosses cuisses velues. Il s'appliqua à lécher le gland avec passion. Il coulissait tout le long de sa hampe jusqu'à ce que son nez s'écrase sur un épais buisson de poils noirs. Ah, ces hétéros! Pas facile de les voir se raser de partout.

Arnaud lui malaxait les couilles tout en se félicitant d'entendre son collègue ânonner à chaque coup de langue. Il sentit que Fred allait tout lâcher, alors il se releva, lui tourna le dos et vint appuyer ses deux mains contre le mur carrelé de la douche, dans une position sans équivoque. Il écarta les jambes et se mit à cambrer fortement son boule bien en arrière.

Fred hésita un instant avant de se décider. On voyait bien que c'était une première pour lui. Il approcha son sexe qui était tendu comme une arbalète et posa son gland à l'entrée de la rosette de son binôme. Arnaud frémit au contact de cette grosse prune baveuse et m'avoua qu'il avait pensé à moi en cet instant, se remémorant notre première baise sur une aire d'autoroute.

Passé le moment d'indécision, Fred avait reprit le contrôle. Il lui dit qu'il allait lui défoncer le cul. La première tentative s'avéra infructueuse. Un mauvais mouvement avait propulsé Arnaud sur le sol. Il s'était retrouvé les quatre fers en l'air dans le bac à douche. Qu'à cela ne tienne, Fred avait saisi l'occasion pour asseoir son avantage. Il avait pris sa bite en main et la guidait vers le trou de son complice. Arnaud la sentit buter contre sa pastille avant de forcer le verrou et de progresser centimètre par centimètre. Tout en restant enfoncé, Fred lui releva les jambes qu'il posa sur ses larges épaules puis commença à forer son colon. Arnaud avait crié autant de surprise que de douleur. Il m'avoua qu'il en avait une bien plus grosse que moi, autour de 23cm par 6. J'en salivais intérieurement...

Après quelques minutes, tout son manche était rentré. Il s'habituait peu à peu à cette énorme présence qui le chauffait. Il contractait son œillet pour bien sentir cette bite de cheval. Il entendait les couilles de Fred taper contre ses fesses, il était au paradis des enculés. La douleur avait disparu pour laisser place au plaisir. Son collègue prit ses tétons avec ses gros doigts et les pinça très fort, reproduisant sans doute les mêmes gestes qu'avec sa femme. Cette manœuvre amplifia encore sa jouissance. Mon doudou était au bord de l'explosion... ''Presque aussi fort qu'avec toi'', me dit-il avant de poursuivre. Il ressentait plein de papillons dans le ventre et chaque coup de boutoir lui arrachait des plaintes incontrôlées. Il finit par jouir sans même se toucher.

Fred continuait à le limer, lui prenant les hanches et le soulevant pour le faire ensuite retomber dans le bac. Arnaud subissait ces assauts de manière passive. Il venait de se vider et peu à peu la réalité reprenait le dessus. Il aurait souhaité plus de douceur de la part de son partenaire mais ce dernier se concentrait sur son propre plaisir. Il laissait libre cours à ses phantasmes refoulés depuis trop longtemps. On aurait dit un fauve lâché en pleine nature que seuls ses instincts primaires guidaient.

Sous la furia des assauts, Arnaud faillit tourner de l'œil. Il planait entre deux mondes, mi-consentant, mi-forcé. Il ne résista pas lorsque Fred le retourna pour lui présenter son pieu à sucer. Il ouvrit la bouche et laissa l'intrus progresser jusqu'au fond de sa gorge. Il glissa une main sous les bourses de son pipé et s'aventura jusqu'à sa rondelle. Le beau militaire marié ne protesta pas, écartant même les cuisses pour faciliter le passage. Arnaud fit glisser un doigt qui trouva rapidement sa prostate. L'effet fut immédiat. Fred se vida en longs jets crémeux dans la bouche d'Arnaud.

********

Cet récit me fit triquer comme un fou. Pour venger mon mec, je me jurais qu'un jour je coincerais ce bâtard d'hétéro. J'étais certain que sous l'uniforme se cachait une vraie salope, un passif refoulé qui n'attendait qu'une occasion pour se faire trouer.

Et bingo. À force de patience, l'occasion se présenta un mois plus tard, lors d'un contrôle de routine. Il ne me fallut que dix minutes pour le retourner comme une crêpe.

Mais ça, c'est une autre histoire...

FIN

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Monsieur se lâche sur le vocabulaire. Pour avoir niqué avec un commandant pendant de nombreuses années, je confirme qu'ils sont chauds. Avec lui, j'ai découvert des merveilles. On s'est graissé le cul sans capote nombre de fois et, à plusieurs reprises, il m'a offert en spectacle toutes ses capacités en niquant un mec devant moi. Du grand art.
Caramel35



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