Alain poursuit mon objectification

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Alain poursuit mon objectification Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Alain poursuit mon objectification
Ce chapitre est le cinquième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier et L’Antre de mon amant policier. Bonne lecture, vos commentaires m'aident à créer et produire de meilleurs récits.

*
J'ouvre lentement un œil, essayant d'ajuster ma vue à la lumière ambiante du matin. Je me demande : Quelle heure est-il ? Où suis-je ? Pendant une seconde ou deux, mon esprit cherche, autant léthargique que mon corps. Mais rapidement, je me rappelle de cette journée formidable, celle de mon emménagement chez Alain. Je souris, heureux. Mon esprit s'anime, mon corps reprend vie. Détendu par des heures de sommeil, je retrouve une énergie renouvelée. Quelle journée, me dis-je, en repassant en revue les scènes les plus lubriques et excitantes de fin de soirée.
Les images de la nuit précédente défilent dans mon esprit, me laissant un sentiment de plénitude et de plaisir. Je revois les caresses, les baisers, les regards passionnés, nos corps animés par les pulsions dévorantes asservies à nos envies. Je suis ravi de mon choix de vie, de cette nouvelle aventure qui s'ouvre à moi.

Je tourne la tête doucement pour voir si Andreia, mon nouveau maître, est réveillé. Je le vois paisible, couché sur le dos, respirant profondément d'un sommeil réparateur. J'hésite entre le réveiller doucement ou aller préparer un petit déjeuner qu'on prendra au lit.

Mais soudain, je me rappelle de ce rendez-vous chez le barbier d'Andreia. Je cherche mon smartphone sur la table de nuit, le trouve et regarde l'heure. Il est 9h30. Il ne me reste plus que 45 minutes. Merde, je dois me dépêcher. Je ne veux pas décevoir mon nouvel amant en manquant mon rendez-vous, le premier de ma transformation. Il serait âprement déçu.

Je me lève sans faire de bruit, quitte la chambre sur la pointe des pieds et me rends à la cuisine. Tout est nouveau pour moi, je me cherche. J'ouvre quelques portes d'armoires et du garde-manger pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent. mais je sens la présence d'Andreia derrière moi. Je me retourne et le vois, debout dans l'encadrement de la porte, son regard attendri posé sur moi.

Il me sourit, encore un peu endormi, et je suis saisi par sa beauté, même en simple slip. Son corps est sculpté, avec des muscles saillants qui se découpent sous sa peau hâlée, comme un tableau de maître. La lumière danse sur ses formes, faisant ressortir chaque courbe, chaque relief. Je me dis qu'il est tout aussi sexy ainsi, dans cette tenue décontractée, que lorsqu'il porte son cuir projetant un look de bad boy, exsudant la puissance et la séduction.

— Tu fais quoi, mon amour ? me demande-t-il de sa voix rauque et sensuelle.
— Heu ! J'allais te préparer un petit déjeuner à partager au lit. Mais je suis...
— En retard pour ton rendez-vous ?
— Disons que je dois remettre le petit déjeuner.

Andreia pouffe de rire en voyant mon état de quasi-panique.

— Allez ! saute dans la douche, oublie le petit déjeuner. Je te ferai un café pendant que tu te rafraîchis.
— Ah ! Merci, Andreia, lui dis-je en l'embrassant furtivement avant de me précipiter à la salle de bain.
À ma sortie, Andreia m'attend avec une tasse de café au lait. Il est adorable dans son jean super slim et son t-shirt rose bien seyant, qui valorise ses superbes muscles et illumine son teint basané.
— Allez ! va t'habiller, Kouros, mon amour. Je t'ai sorti de quoi à te vêtir, on doit partir bientôt.
— Tu viens avec moi chez le barbier ?
— Euh ! Je pensais aller saluer Ricky en passant me dit-il, sourire en coin.
— Ah ! D'accord, répondis-je, surpris.

J'entre dans la chambre et trouve les vêtements qu'il a minutieusement sélectionnés sur notre lit, disposés avec soin pour que je les découvre. Il y a un jean super slim, taille basse, noir enduit qui semble avoir été choisi spécialement pour moi, et un t-shirt super ajusté blanc à l'encolure en V, assez transparent pour que l'on remarque mon piercing et mes tétons pointus. La coupe et le tissu des fringues enjolivent et accentuent mes courbes, me faisant sentir comme une véritable icône de mode masculine. Ils me vont à la perfection et me présentent sous mes meilleurs jours, comme si j'avais été né pour les porter. Leur douceur les rend super agréable à porter. Je prends un moment pour me préparer, en remettant mes joncs, mon bracelet, ma montre et mes clous d'oreilles. Chaque détail compte, et je veux être sûr de faire bonne impression.
Je me trouve sexy à en mouiller légèrement mon froc, et j’espère que ça plaira à Andreia. Je jette un coup d’œil à ma montre : je dois y aller.


J'enfile des baskets blanches et je sors de l'appartement en temps pour rejoindre mon amant dans sa voiture. Je ne veux surtout pas le faire attendre, et j’ai hâte de voir la façon dont il va me regarder.

Arrivé dans la rue, il me klaxonne pour attirer mon attention. Je repère sa voiture qui avance et s'arrête devant l'immeuble de notre appartement. Je monte à bord et il me sourit en se penchant vers moi. Je lui tends ma bouche qu'il embrasse sensuellement.

— Tu es absolument ravissant dans ce jean, Kouros, me dit-il. Ton tee-shirt te donne un look super canon et ce piercing... il me rend complètement dingue !
— Merci, Andreia ! Je me sens tellement sexy. Je suis heureux de te plaire.
Andreia pose sa main sur ma cuisse, près de mon entrejambe, et serre tendrement. Son toucher est doux et excitant. Je le regarde, croise son regard et lui souris, en guise de satisfaction.
— Tu es prêt pour Ricky ? Tu verras, il a des doigts de fée.
— Je suis plus que prêt pour une nouvelle coupe. Tu resteras pour assister à la transformation ?
— Hum, je pensais plutôt faire les présentations et quitter ensuite. J'ai une ou deux courses à faire.
— Tu reviendras me chercher ?
— Bien sûr, mon adorable Kouros. Je meurs d'envie de voir ton nouveau look.

Je lui souris, et doucement, je pose ma main sur sa cuisse. Son sexe semble être à l'étroit dans son jean. Encouragé par ce que je vois, j’ose un peu plus. Je dépose avec délicatesse ma main sur la bosse naissante. La réaction d’Andreia ne se fait pas attendre, il laisse échapper un léger "mhm" de plaisir. Je le lutine tout le long du voyage, car j’adore entendre sa voix chaude et plaignante.

Lorsque Andreia entre dans le salon, l'air est électrisé par une explosion de joie. Le barbier, affairé à mettre en place son attirail d'outils pour l'ouverture, incarne à la perfection l'image du stéréotype du barbier, à un détail près. Rick est boosté à la testostérone. Sa chevelure et sa barbe courtes, impeccablement taillées, mettent en valeur ses lèvres pulpeuses et sensuelles, encadrées par un visage carré et viril. Ses yeux pers, comme deux pierres précieuses dans un univers de cheveux noirs, brillent d'une intensité hypnotique. Son corps ciselé par des heures passées au gym dégage une aura de puissance et de séduction. Il porte un tablier de cuir fauve qui souligne ses hanches étroites, et un short moulant qui met en valeur la musculature de ses jambes. Ses tatouages, qui ornent son corps comme des œuvres d'art, accentuent sa masculinité et sont magnifiquement exécutés. Ses mains, également tatouées, semblent d'une agilité exceptionnelle. Andreia lui fait la bise et me présente à Ricky, avec un sourire qui suggère qu'il connaît déjà les secrets de cet homme séduisant.

Les deux amis discutent quelques instants. Je n’en saisis rien de la discussion, leurs voix basses et complices étant quasi inaudibles. Puis, Andreia s'éclipse en me déposant un baiser bien senti sur la joue. Il se retourne vers Ricky, un sourire enjôleur aux lèvres, et lui lance :

— Tu en prends bien soin, mon pote. Tu me le rends impeccable.
— T'inquiète, Alain. Il sera mignon comme tout lorsque je te le rendrai.

Leurs propos à double sens me déconcerte. "Me rendre impeccable"... "Je te le rendrai"... Ces mots prononcés, comme si j’étais une marchandise qu'on échangeait. L'ambiguïté de leurs paroles me fragilise. Qu'ont-ils prévu pour moi, à mon insu ? Deviens-je parano ? Je me perds en conjectures, et Ricky attend que je m’assois sur sa chaise, alors qu’il prononce mon nom, pour la seconde fois, m’extirpant de mes élucubrations.

— Désolé, Ricky, je crois que j'étais distrait.
— Pas de soucis, mon beau, répond Ricky avec un sourire amusé, ravi de l’effet de ses doubles propos.
Il me sourit amicalement dès que je m'assieds dans la chaise de barbier. Je croise son regard perçant dans le miroir. Son sourire contagieux me met à l’aise.
— Hum ! Alors, tu sais ce que je vais te faire comme coupe ? dit-il de sa voix suave de baryton, en déposant ses mains sur mes épaules de manière si affectueuse que le geste s'apparente à une caresse.
— Hum... Un peu. Alain a évoqué une coupe dégradée, si je me rappelle bien.
— Voilà. Je me demandais si tu le savais, en passant ses mains dans ma tignasse. Son toucher est léger, et il me soutire un frisson de plaisir. On en a pas mal discuté, lui et moi. Je vais te réduire ta toison passablement pour te faire un dégradé avec des traits. C'est très tendance, et je suis certain que cela fera tourner les têtes et décrocher quelques mâchoires. Ça t'ira à merveille.

Et sans que je puisse lui demander le type de motif qu’il prévoyait exécuter, ses mains agiles et expertes se mettent en action, commençant à transformer mon apparence.
Je le regarde, fasciné par sa concentration à exécuter son travail avec minutie. Ricky a une panoplie de rasoirs étalés devant moi, qu'il utilise dans une série de gestes précis, quasi théâtrale. Les touffes de cheveux tombent sous le passage répété des rasoirs, et bientôt ma bouille est bien différente. Je ne crois pas avoir eu les cheveux aussi courts de ma vie, mais je dois admettre que je commence à apprécier le résultat.

Je ne tente pas d'entretenir une discussion, si futile soit-elle, trop occupé à regarder l'artiste faire son œuvre. Au départ, je dois l'admettre, cela m'inquiétait de laisser la décision de l'allure de ma coupe de cheveux entre les mains d'autrui. Mais Ricky semble savoir exactement ce qu'il fait, et j’ai hâte de voir le résultat final.

Il s'arrête un instant, puis fait pivoter la chaise à 180 degrés, de sorte que je me retrouve face à lui. Le geste est inattendu et produit son effet. Primo, il me coupe la vue du miroir par lequel j’observais chacun de ses gestes. Deuxio, je ne sais pas si cela était voulu, mais la hauteur de la chaise fait que mes yeux sont fixés sur son entrejambe, qui n'est plus qu'à quelques centimètres de mon nez. Je suis pris de court, appréciant la protubérance et m’imaginant, pendant quelques secondes, le cobra qui se cache sous le tissu tendu. Et ce n'est pas du petit calibre.

Ricky contemple son travail, évalue les prochaines étapes, tandis que je suis plus occupé à évaluer une partie de son anatomie, qui, à mon avis, est bien plus intéressante à admirer. Il recule pour mieux apprécier les détails, les coup de ciseaux et rasoir pour compléter le travail, et s'aperçoit que je suis concentré sur autre chose.

— Ça va, mon beau ? me lance-t-il avec un sourire.
— Euh, oui, ça va, Ricky.
— Ça te plaît ?
— La coupe ?

Il sourit à nouveau, ne voulant pas spécifier. Puis, voyant que j'hésite :

— Ma bosse, mon mignon.
Je me sens rougir et tente de m'excuser maladroitement, mais il éclate de rire.
— J'ai fait exprès ! Tu me chauffes avec ton joli minois d'Adonis. Je ne suis pas dupe. Je vois bien ce qui t’intéresse.

Je me tais de nouveau, complètement figé.

— J'ai presque fini, Kouros, mon ange. Tu verras, le résultat est magnifique. Il me reste plus qu'à compléter les traits. Ne bouge surtout pas.

La façon dont il me parle me chavire, produisant une ascendance sur moi. Je n’y peux rien, mes sens sont survoltés. Son ton, ainsi que ses propos, m'affectent profondément. Je me sens asservi, sous son charme. Je le suivrais n'importe où, tant il me plaît et me rassure. Je le sens comme un roc sur lequel on s'appuie, un refuge sûr.

Quelques instants plus tard, le malaise du départ estompé et la coupe terminée, il fait de nouveau pivoter la chaise, me permettant d’apprécier le résultat. Mon regard est immédiatement captivé par l’image que me renvoie le miroir. La coupe est absolument sublime, le motif ultra tendance et inimitable, ajoutant une touche de sophistication qui dégage un charme indéfinissable, me rendant irrésistible, attirant les regards et attisant la convoitise. J'adore. Je suis complètement conquis.

Ricky rayonne de me voir si content, son sourire illumine son visage et ses yeux brillent de satisfaction. Je me sens attiré par lui, mon cœur bat plus vite et je sens une vague de chaleur monter en moi. Je le remercie, d’une voix trahissant mon excitation, puis je me lève, mon corps tout près du sien.

Andreia ne devrait pas tarder. Mais, pour l’instant, je me retrouve seul avec Ricky, l’air vibrant d’une tension palpable. Je lui demande combien je lui dois, et il réplique d’un doux sourire : c’est aux frais de la maison. Ses yeux doux me contemplant. J’ai soudainement chaud, mon cœur palpite sous le poids de ce désir silencieux.

J’insiste, et il me répond d’une voix veloutée que j’aurai amplement le temps de bien le rétribuer très prochainement. Sa réponse produit une onde de choc me liquéfiant. Je sens une décharge électrique courir le long de ma colonne vertébrale. Je plonge mon regard dans le sien, un sourire naissant sur mes lèvres, tandis que mon cœur s’emballe, ivre d’anticipation à l’idée de nos retrouvailles prochaines.

Soudain, j'entends un sms entrer. C'est sûrement Andreia. Je lui fais la bise, à regret. Il profite de l’occasion de m’être collé à lui et me prend une fesse, la serre subtilement en y enfonçant ses doigts. Le geste reste discret, Ricky craignant la réaction d’Andreia qui pourrait l’épier depuis la voiture. Il me dit à bientôt, ses yeux lascifs me fixant avec une intensité qui me fait vibrer. Je lui dis au revoir, lui jetant un dernier regard avant d’ouvrir la porte et de partir.

À peine la porte refermée, la voiture d’Andreia apparaît à l’horizon. Il se gare près du trottoir pour me récupérer. J’entends les portes se déverrouiller. Je m’engouffre dans l’habitacle, referme la portière et me tourne pour qu’il puisse admirer le résultat.

— Wow ! s’exclame Andreia, submergé par l’éclat de son homme, le trouvant irrésistiblement séduisant.
— Tu aimes ? m’enquiers, espérant recevoir d’autres compliments.
— Tu es encore plus sexy que je m’y attendais. Ricky est une magicien.
— Ricky est extraordinaire, c’est vrai, admis-je, pensant que je le reverrais, peut-être, bientôt.
— C’est vraiment top, Kouros. Tu es beau à voir.
C’est tout à fait l’état dans lequel je me sens : irrésistiblement séduisant. Mon corps, sculpté et masculin, est habillé d’une tenue qui sexualise chaque courbe, chaque muscle, tandis que des bijoux délicats ajoutent une touche d’élégance, sans jamais compromettre ma virilité. Bien au contraire. Cette coupe hyper branchée, à la fois audacieuse et raffinée, attira bien des regards, me transformant en un homme qui fait tourner les têtes, un véritable objet de désir. Et c’est tant mieux.

Andreia reste discret sur les changements qu’il envisage pour Kouros. Cependant, son obsession est claire : faire de son amant une bête de sexe qui deviendra une hantise, troublant l’esprit reptilien de tous les mecs actifs de sa meute, et bien d’autres, jour et nuit.
Je commence à me sentir de plus en plus comme un objet de désir, un jouet sexuel que l'on peut convoiter et manipuler à des fins sexuelles, voire fantasmer. Pourtant, je me sens également puissant, car je peux exercer mon charme indéniable et mon magnétisme pour assouvir les miens. Je me résous à me laisser aller à ce jeu de séduction, à me laisser modeler par Andreia et à devenir l'objet de son désir. Je sais qu'en devenant plus séduisant et sensuel, j'aurai également une influence sur mon entourage.

La conversation prend soudain un autre tour lorsque j’évoque les emplettes qu'il a faites pendant que j'étais avec Ricky. Andreia devient mystérieux et répond de manière évasive avec une phrase creuse. Je n'insiste pas, mais je remarque qu'à notre arrivée, il est rentré les mains vides, ce qui me semble encore plus curieux.

Le reste de la journée s'écoule dans une douce détente. Nous nous prélassons sur la terrasse, savourant la farniente, puis prenons un apéritif en début de soirée. À mesure que l'air se rafraîchit, je décide de rentrer pour me doucher. Andreia me suit, son regard coquin et son ton badin laissant peu de doute sur ses intentions. Il suggère de passer le reste de la soirée au lit, et je lui réponds sur le même ton que j'accepte volontiers, à condition de terminer ma toilette. Il propose alors de m'accompagner, et j'hésite un instant, un sourire aux lèvres, avant de céder : "Pourquoi pas ?"

Andreia offre de me raser, et je suis pris au dépourvu. Je lui rappelle doucement que Ricky s'est déjà occupé de ma barbe plus tôt dans la journée, ce qui rend ce geste superflu. Je scelle mes mots d'un baiser humide et langoureux sur ses lèvres. Il sourit, ses yeux pétillant de malice, et me murmure à l'oreille qu'il a en réalité l'intention de tailler mes poils pubiens. Cette perspective m'enflamme, et je me prête volontiers à ce jeu érotique, comprenant maintenant que mon maître avait une idée bien précise en tête en me demandant de l'accompagner sous la douche.

Andreia commence par appliquer la crème à barbe sur mon pubis, ses doigts glissant doucement sur ma peau pour s'assurer qu'elle couvre bien toute la zone. J'essaie de rester zen, mais je sens mes sens s'enflammer sous ses caresses. Ensuite, il s'applique à bien lisser la mousse sur mon périnée, tenant mon pénis dans sa main tout en s'occupant de mon scrotum recroquevillé. Je respire difficilement, ses caresses me chauffent intensément, chaque geste éveillant en moi un désir ardent.

La lame commence à descendre sur ma peau, mes poils vaincus tombent sous l'action tranchante de l'outil. Mon pénis est en pleine érection, et la lame passe et repasse, la douceur de l'opération m'affolant. Je respire de plus en plus fort, chaque mouvement de la lame envoyant des frissons de plaisir à travers mon corps. Le moment est divin, chaque sensation amplifiée par la proximité de son corps contre le mien.

Andreia rince délicatement, utilisant un linge chaud et humide. La douceur de ce geste me fait chavirer, chaque contact de ses mains sur ma peau nue me faisant perdre la tête. Il me sèche avec une tendresse infinie, ses doigts effleurant ma peau sensible, et je suis en pleine érection, prêt à m'abandonner complètement à ses caresses.

Il dépose ses mains sur mon pubis, appréciant la douceur de ma peau fraîchement rasée. Je le regarde, agenouillé devant moi. Une main glisse derrière moi, me saisit une fesse tendrement, ses doigts s’aventurant profondément dans ma raie. L’autre main descend sur moi et attrape mon pénis. Je vois ses lèvres pulpeuses et humides s’approcher de mon gland, son souffle chaud le caresser, et sa langue sort doucement pour cueillir le nectar qui perle au bout de mon gland. J’émets un long gémissement et dépose mes mains sur sa tête, l’encourageant à poursuivre.
Il avale l'objet de ses désirs, qui pulse sous l'action de ses lèvres qui le massent goulûment, savourant le mélange de salive et de pré-sperme. La caresse buccale est si sensuelle que je peine à contrôler ma jouissance. La soirée ne fait que commencer, me dis-je.

Il redouble d'efforts, et les muscles de tout mon corps se tendent. Il m'invite à me laisser aller. Ce soir, le plaisir de me voir jouir intensément est autant pour lui que pour moi. Il me pompe divinement, sans arrêt pendant de longues minutes, chaque mouvement de sa bouche m'envoyant des vagues de plaisir. Mon esprit part en vrille. Je n'ai plus aucun contrôle sur la suite, et il reçoit mon nectar plein la gueule. Plusieurs jets à boire, en si peu de temps qu'un filet coule au coin de sa bouche. Il se relève, nos regards lascifs se rencontrent. Il m'embrasse. Un baiser lent et langoureux. Le temps d'avaler la semence, et que vibre dans ma bouche un murmure : "Allez, on va se coucher. Je suis épuisé. Puis demain, Ricky nous rend visite."

A suivre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire, très sexy, et surtout une très belle écriture qui entraîne le lecteur dans un érotisme torride...
Merci à toi, continue !!!



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