Jay et Hugo : pièces de résistance de la partouze (1)

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Jay et Hugo : pièces de résistance de la partouze (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jay et Hugo : pièces de résistance de la partouze (1)
Ce chapitre est le onzième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier, L’Antre de mon amant policier, Alain poursuit mon objectification, Le plan licencieux d’Alain, Au lit avec Ricky, Basta Jay ! Une sulfureuse soumission en guise de réconciliation! et Célébrations au SPA ! Pour mon maître ou pour moi ?

*
Andreia me semblait distrait au retour du spa et regardait sans cesse son téléphone, comme si une nouvelle importante allait arriver imminemment. Rien ne semblait l'intéresser. Après quelques tentatives de suggestions pour la soirée, je l'abandonne à son humeur fantasque et m'isole, décidant de finir la soirée en regardant des vidéos.
Le lendemain, ainsi que les jours qui suivent, nous vaquons à nos activités professionnelles et personnelles. Le temps qu'il me dédie est franchement banal et minimal. Il a l'esprit ailleurs. Je me demande si notre relation est sur le point de s'évanouir. Je le crains et me demande ce qui a bien pu le faire tiédir autant. Est-ce le mec qu'il a rencontré dans les toilettes du spa ? Est-ce autre chose ? Je n'en sais rien.
Hormis ces appels et messages texte reçus, dont j'aimerais bien connaître l'origine. Sauf que son smartphone est scotché à lui comme une sangsue sur un poisson. Lui demander serait inutile, voire intrusif. Cependant, je ne désespère pas et joue de patience. L'ayant épié, j'attends le moment propice pour entrer son code que j'ai mémorisé et chercher des indices expliquant cette soudaine panne de libido. Cela m'excite et me stresse, sachant que si j'étais pris sur le fait, je subirais les foudres de mon maître.
Juste avant une soirée qui s'annonçait ennuyeuse, Andreia m'informe qu'il doit sortir quelques minutes. Il garde le mystère, se préservant de me donner le moindre détail. Je pense aussitôt qu'il est parti pour un rendez-vous galant, mais lorsque je vois son téléphone sur la table, je chasse cette idée de mon esprit. La chance me sourit, me dis-je. Je m'empresse de saisir son appareil et de le fouiller le plus rapidement possible, ne sachant pas quand il reviendra.
J'entre le code. Dieu merci ! C'est le bon. Je commence par consulter le registre des appels entrants. Un nom attire mon attention : Tuan. Je ne le connais pas. Serait-ce le gars du sauna à qui il a fait une démonstration de son savoir-faire ? Son partenaire ? Je décide de vérifier les appels sortants. Rien. Donc, c'est Tuan qui l'a contacté de son propre chef. Peut-être est-ce une ancienne flamme ? Impossible de conclure à quoi que ce soit, je passe maintenant aux textos.
Bastien réclame un rendez-vous pour compléter mon tatouage. Andreia lui répond qu'il aimerait l'inviter à venir le rencontrer d'abord. Aucune suite à cet échange.
Tiens ! Celui-ci vient de Ricky. Il semble plus ancien. Il le remercie pour cette nuit de partage et pour le cadeau charnel du matin. Les deux rigolent. L'échange se termine sur : "On récidive bientôt," dit Andreia. Soudain, je ressens le plaisir intense que cette étreinte sensuelle avec Ricky m'a procuré et la jouissance de l'avoir eue en moi, me transportant au pays de l'extase. Ils veulent récidiver. J’en rêve. Je suis excité rien qu’à y penser. Prochain texto.
Celui-ci vient de Hugo, lui disant que Tuan va l’appeler. L’échange est plutôt long. Je le fais dérouler sous mes yeux. Trop énervé pour me concentrer, craignant le retour d’Andreia, je capte quelques mots clés qui me font vibrer : "adoré ton attouchement", "Tuan est OK", "actif", "passif", "sodomie et fellation", "rencontre à quatre ?", "ajouter d’autres mecs ?" et "Tuan t’appellera".
Puis, il y a cet autre message de Bastien : "Ok pour vendredi soir." Et celui de Ricky : "Ce vendredi ? Ouais, mec !"
Ce vendredi ! Dans deux jours ! Qu'est-ce qu'Andreia trame ? Je fantasme, mon cerveau s'emballe. À quoi rime tout ça ? Je ferme le téléphone et le dépose. Puis, je me ravise à la dernière seconde. Vérifiez les courriels, puis je ferme tout, même si j'ai l'impression de violer l'intimité de mon amant en fouillant son téléphone. Et voilà ! Cette invitation lancée par Andreia. Ce vendredi. Prix de présence : Hugo et Jay. Les invités : Ricky, Bastien et Tuan. Mon corps se tend, un frisson gagne mon anus jusqu'à mes testicules, après avoir parcouru mon échine. Une partouze dont Hugo, le passif du sauna qui s'est fait peloter par mon maître, et moi serons le prix à partager entre ces quatre mâles à la libido débridée. Le sang afflue dans mon sexe.
Je jette un coup d'œil par la fenêtre, redoutant le retour d’Andreia. Mais il n'y a personne. Je tourne en rond, mon corps tendu par l'excitation à l'idée de me faire sauvagement baiser par quatre virils lascars qui me perçoivent comme leur objet de prédilection. Il y a aussi cette nervosité latente, cette peur de me faire prendre la main dans le sac. Je sais qu'Andreia détecterait immédiatement mon état s’il rentrait maintenant. Je dois me calmer. Mais mon cerveau est en feu, me bombardant d'images sensuelles et provocantes, me faisant imaginer les plaisirs de la soirée à venir.
Je suis à genoux devant Hugo sur un tatami, nos bouches soudées dans un baiser passionné, tandis qu'Andreia et Bastien prennent tour à tour Hugo avec une ardeur sauvage. Le même manège se répète avec moi, Ricky et Tuan me défonçant avec une bestialité enivrante. Nos gémissements étouffés par nos baisers résonnent comme des plaintes d'éphèbes. Les assauts sont puissants et affolants, nous plongeant dans un tourbillon de plaisir intense.
Puis la scène s'arrête, interrompue par un afflux de nouvelles images. Cette fois, Hugo et moi sommes dos à dos, reliés par un gode double qui glisse entre nos reins à chaque fois que nos corps se rapprochent sous impulsion de nos partenaires qui nous enfoncent fougueusement leur zob profondément dans la gorge, nous faisant gémir de concert, exacerbant l’excitation des actifs. Plaisir et désir fusionnent, tout comme notre salive au liquide séminal, coulant sensuellement le long de nos mentons, de nos cous et sur nos torses.
Mon cerveau, hors de contrôle, continue de suggérer des images de plus en plus explicites et suggestives, cherchant à nourrir mon imaginaire sexuel qui est parti en vrille. Des milliers d’images, de souvenirs de copulations jouissives, se bousculent dans mon esprit.
J’entends le bruit métallique d’une poignée qui tourne, suivi du grincement d’une porte qui s’ouvre. Il est de retour, et je suis dans tous mes états. Je dois redescendre sur terre et me calmer. Sinon, il détectera mon instabilité émotionnelle et me questionnera. Je remets le cellulaire exactement là où je l’ai trouvé.
— Kouros ?
— Oui !
— Tu peux venir m’aider ?
— Bien sûr.
Je me lève et essaie de me contenir. Lorsque j'arrive dans le vestibule, Andreia est sur le seuil, les bras chargés de plusieurs sacs. Je me dépêche de le décharger de quelques-uns. Puis, il entre dans la maison, tout sourire. Sa bonne humeur me détend, dissipant toute trace d'inquiétude ou d'excitation résiduelle.
— Tu as dévalisé un commerce ?
— Presque ! répond-il en riant.
— C’est quoi toutes ces choses ?
— Euh ! Tu verras. Pour le moment, aide-moi à les déposer dans la salle de jeu.
— D’accord.
— Et tu ne regardes pas dans les sacs !
— Ah ! Non ! Pourquoi ?
— Parce que c’est pour… comment te dire. Tiens, pour une surprise.
— Une surprise ?
— Ouais ! Tu verras…hum… ce vendredi, céda Andreia après une hésitation.
Fin de la conversation sur les emplettes, j’avais obtenu la pièce du puzzle qui manquait. Sauf que Andreia se sentait porté par les dernières nouvelles qu’il avait reçues sur son téléphone, soit la confirmation que Tuan et Hugo, ainsi que les deux mâles alpha que sont Rick et Bastien, avaient accepté son invitation. Il avait fort à faire avant vendredi et décida de passer la soirée enfermé dans la salle de jeu avec une interdiction formelle d’y entrer d’ici là.
Juste avant de fermer l’antre, se rappelant soudainement, il m’informa que Bastien m’attendait dans une heure à son studio pour finir le tatouage et m’avisa de bien me comporter, sinon une cage de chasteté m’attendait.
Je reçus cet avertissement avec un mélange de plaisir et d'appréhension. J’étais excité à l’idée de revoir Bastien, de sentir sa main sur ma peau et la douce douleur provoquée par son dermographe. Mais je me questionnais sur ma capacité à résister à son charme ensorcelant. Bastien prenait un vilain plaisir à murmurer des mots qui faisaient monter la température en moi, des allusions à connotation sexuelle qui me faisaient frissonner. Il les ponctuait de pauses, laissant planer le suspense et jouant avec ma charge libidinale, minant ma volonté. Il était passé maître dans l’art de flirter, d’élaborer une série de propos qui sonnaient plus comme une invitation voluptueuse, un appel à la débauche. Il était un conquérant redoutable.
Je m'étais préparé à cette rencontre, déterminé à ne pas succomber à ses tentations, même si je me sentais fragile et que l'idée de porter une cage de chasteté m’obsédait considérablement.
Lorsque je franchis la porte du studio, Bastien m'attendait déjà, et son sourire eut raison de ma résistance, faisant s'effondrer lamentablement mes défenses et provoquant une faille dans ma fragilité. Cela déchaîna mon excitation sexuelle.
Dès qu'il me fit la bise, je sus que j’étais à fleur de peau et serais incapable de tout refus s'il saisissait l'occasion pour me séduire. Heureusement, l'accueil fut chaleureux, mais expéditif, m'invitant à m'installer sur la chaise, ce qui permit à mon corps de se détendre. On discuta peu. Bastien était concentré, et je sentais que quelque chose avait changé dans son attitude, mais je ne pouvais pas définir quoi.
Une fois terminé, j'admirai l'œuvre burinée sur ma peau, remerciant sincèrement Bastien et le complimentant pour son travail. Il resta assez distant jusqu'à mon départ, et lorsque je fus sur le seuil de la porte, je lui lançai : " À très bientôt !". Comme si cela relevait davantage d'une certitude que d'un vœu. Je vis le doute envahir le visage de Bastien, qui se demandait manifestement si je savais quelque chose à propos de cette soirée de vendredi.
Andreia me fit dévêtir totalement à mon retour du tatoueur. Il voulait non seulement contempler le travail de Bastien, mais aussi apprécier les progrès de mon objectification. Et cela lui plut. Il était fier des progrès réalisés et n’était jamais à court d’idées pour me rendre encore plus désirable.
Il me proposa une épilation intégrale et un nouveau piercing, localisé entre le scrotum et l'anus, m'expliquant qu'il adorerait manipuler l’anneau avec sa langue et ses dents lors des anulingus. J'acceptai ses propositions, à son plus grand plaisir. Et évidemment, il voulait que tout soit prêt pour ce vendredi.
Lorsque je le questionnai sur ce qu'il prévoyait pour vendredi, à mon grand étonnement, il décida de me dévoiler qu'il avait invité Bastien, Ricky, Tuan et Hugo pour une soirée intime entre amis. Puis, se doutant que je ne reconnaîtrais pas les deux derniers noms, il ajouta qu'ils étaient le couple du sauna. Puis, rajouta que Hugo et moi serions livrés aux fantasmes les plus secrets de quatre virils mâles des plus pervertis. Un spasme de plaisir traversa mon corps pour remonter jusque dans ma nuque.
*
Le premier invité à se pointer fut Ricky. J’étais ravi de le revoir et l’enlaçai pour lui faire la bise. Ricky se retira ensuite en tenant ma main et admira ma tenue de majordome, qui se limitait à un débardeur en résille noir lacé, un nœud papillon, un string en cuir et des bottes de combat. Ricky trouva ma tenue exquise, remarquant le tatouage et ma peau lisse qui amplifiaient mon corps sculpté. Je l’amenai dans la salle de jeu où son ami Alain (Andreia) l’attendait. Je n’avais pas le droit d’y entrer encore et gardai l’entrée de la salle jusqu’à l’arrivée du prochain invité.
Peu de temps après, Bastien actionna le carillon d’entrée. J’ouvris la porte, toujours un peu fébrile à l’idée de le revoir, me rappelant l’étreinte virile, presque bestiale, qui m’avait troublé de désir. Son sourire carnassier, toujours accroché à ses lèvres, me fit frissonner d’anticipation. Il me fit la bise, non sans avoir palpé la marchandise, comme je m’y attendais.
Andreia prit la relève après l’arrivée de Bastien, qui s’engouffra dans l’antre en saluant Ricky. Andreia se pencha et me souffla à mon oreille que le couple formé de Hugo et Tuan ne devrait pas tarder, car il les suivait sur son iPhone. Il m’expliqua ce qu’il avait prévu pour faire décoller la soirée. Il le fallait bien, car la bougie d’allumage n’était nul autre que moi et Hugo. Dès que le carillon tinta de nouveau, Andreia me demanda de le suivre pour faire connaissance.
Me tenant derrière lui, mon corps frémissant d'anticipation, je ne vis pas immédiatement nos invités entrer. Lorsque mon amant pivota, libérant soudain mon champ de vision, Hugo apparut. Sa beauté m’éblouit. Il me jeta un regard perçant et fit la bise à mon maître, très sensuelle, créant une légère tension, avant de répéter le même geste avec moi, son souffle effleurant ma joue.
Son compagnon Tuan entra ensuite, tel un grand félin : un superbe homme aux traits asiatiques qui semblait faire vibrer l'air autour de lui. Son regard intense, comme une caresse électrique, me traversa de part en part, dégageant une sensualité si puissante qu'il aurait pu faire succomber le plus vertueux des hommes.
Pendant qu'Andreia refermait la porte et entreprenait de nous présenter, je déshabillai des yeux Tuan, qui portait un magnifique body string sans manche en latex noir et des bottes militaires. Sa peau était si collée à son corps que je pouvais deviner ses muscles ciselés sous son épiderme, sans aucune trace de graisse superflue. Sa bouche sensuelle, ses yeux en amande et son nez fin étaient à couper le souffle. Je ne pouvais m'empêcher de le dévorer des yeux, et je sentis les battements de mon cœur s'accélérer. Et dire qu'Andreia voulait que je danse pour lui et l'attiser avec un striptease des plus obscènes.
Mon regard indiscret ne passa pas inaperçu. Un subtil sourire se dessina sur ses lèvres pendant qu'il porta la main à son sexe, comme pour souligner son intérêt. Je m'avançai pour lui souhaiter la bienvenue. Il déposa sa main sur ma hanche, me tirant légèrement vers lui et me fit la bise, mon corps frémissant d'excitation.
Je croisai le regard de Hugo en me retournant, décidé à l’amener avec moi, laissant derrière les deux mâles actifs régler les derniers détails de la soirée. Je m’engouffrai dans la salle de bain avec lui, le temps de parfaire mon apparence. J’en profitai pour tracer une ligne noire sur mes paupières et appliquer un gloss pour accentuer mes lèvres charnues. Pendant que je me préparais, Hugo s’appuya contre le mur derrière moi. Je lui lançai des regards occasionnels en discutant. Il était inutile pour lui de recourir à davantage d’artifices pour briller davantage, car il était déjà irrésistiblement beau.
Ce trentenaire androgyne dégageait une assurance sexuelle indescriptible. Ses yeux verts brillaient d'une intensité irrésistible, tandis que ses lèvres pulpeuses semblaient inviter aux baisers. Ses cheveux mi-longs brun foncé, agrémentés de mèches blondes négligemment ramenées sur le côté, dévoilaient ses côtés rasés, lui conférant un look à la fois séduisant et provocateur.
Son corps svelte et longiligne, à peine musclé, resplendissait dans le débardeur en résille bien ajusté, mettant en valeur ses mamelons percés et laissant entrevoir des tatouages mystiques sur sa peau. Ses gants d'opéra et son legging en latex noir, brillant comme ses Doc Martens, ajoutaient une touche de séduction à son apparence, brouillant les frontières entre les genres et rendant difficile de déterminer si Hugo était un homme ou une femme. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il serait le clou de la soirée, et une pointe d'envie me traversa l'esprit.
Je rangeai mon maquillage, pivotai lentement, et glissai ma main le long de son bras, l'invitant à me suivre d'un geste langoureux. Nos regards s'accrochèrent, électriques, chargés de désir. Il planta ses yeux dans les miens, sa voix devenue un murmure sensuel : "Tu es si sexy...humm… dommage que tu sois passif." Un sourire provocateur aux lèvres, je le défiai du regard : "Qui t'a dit que j'étais passif ? Je suis plutôt... versatile, surtout quand de beaux hommes comme toi me font de l'effet." Ma voix vibrait d'une promesse à peine voilée.
Il me rendit mon sourire, un éclair de désir traversant ses prunelles. J'aurais voulu l'embrasser sur-le-champ, sentir ses lèvres contre les miennes, le goûter. Mais la fête nous appelait, et la tension entre nous n'en devenait que plus délicieusement insoutenable.
Lorsque nous investîmes les lieux de plaisirs, une musique doucement langoureuse jouait en sourdine, voilant à peine les voix des quatre protagonistes qui nous attendaient patiemment, verres de scotch à la main.
Ricky, remarquant nos silhouettes se dessiner dans la pénombre, alerta la meute qui célébra notre arrivée si attendue. Prévoyant, je précédai Hugo. Connaissant la sexualité démesurée de trois des quatre invités, je ne voulais surtout pas qu'ils l'effarouchent si tôt dans la soirée.
Arrivé tout près d'eux, je pris soin de présenter Hugo au groupe, observant du coin de l'œil Tuan, calé dans son fauteuil, qui nous dévorait des yeux avec une intensité presque palpable.
Alors, Ricky, le premier, puis Bastien se levèrent pour accueillir Hugo, l'enlaçant chaleureusement et lui donnant une bise d'une sensualité à peine contenue, de ces baisers que seuls des hommes émoustillés savent prodiguer. C'est à ce moment que je compris qu'ils avaient visionné une vidéo pour pimenter leur attente, une scène où l'acteur principal se faisait prendre virilement par un couple particulièrement bien membré.
Je m'occupai de verser un scotch à Hugo et remarquai que Bastien le dévorait du regard, sa main glissant sensuellement vers son entrejambe, massant avec une insistance à peine voilée sa protubérance désireuse. Je souris à Bastien, me penchai et chuchotai à l'oreille de Hugo qu'il avait déjà conquis le plus bestial du groupe. Hugo me sourit et jeta un regard discret à Bastien, qui le dévorait littéralement des yeux.
Nous calâmes nos verres et les resservîmes, sachant que ces hommes virils, désormais excités par la scène pornographique qui jouait, ne tarderaient pas à vouloir consumer leur désir, sans le moindre délai.
Alors, je pris les devants, attrapai la télécommande et éteignis le téléviseur. Des cris de protestation fusèrent, jusqu'à ce que je m'élance sur l'estrade. Je commençai par faire le tour, adoptant une dégaine provocante, mes yeux verrouillés sur ceux de mes adorateurs, déterminé à les faire saliver d'envie et à faire monter leur désir.
Puis, d'une voix sensuellement autoritaire, je commandai une musique disco. Les premiers accords retentirent, promettant un spectacle qui allait embraser la soirée. Je me mis à me déhancher, chaque mouvement calculé pour les faire languir, transformant l'estrade en mon terrain de séduction.
Sans tarder, la meute s'avança pour apprécier le spectacle, attirée par ma danse lascive et ma gestuelle érotique. Je croisai le regard de Hugo, et d'un index provocateur, avec un air malicieux, l'invitai à me rejoindre. Alors, il déposa son verre, adoptant une démarche féline et sensuelle, et attrapa ma main tendue pour se hisser sur l'estrade.
L’ androgyne qui fit littéralement fondre les regards des prédateurs dès ses premiers pas de danse. Chaque homme le dévorait des yeux, consumé par un désir à peine contenu.
Hugo se mit de l’avant, ses hanches ondulant d'une manière délicieusement provocante, chaque mouvement une invitation au désir. Bastien le siffla avec un enthousiasme à peine contenu, déclenchant des rires complices parmi les autres, comme si nous étions dans l'arrière-salle d'un club de danseurs érotiques.
Mais l'atmosphère n'avait rien de léger. La tension sexuelle était devenue presque palpable, vibrant dans l'air comme une électricité contenue. Les pantalons moulants de ces hommes affamés offraient un spectacle révélateur, chaque courbe et saillie trahissant leurs désirs les plus ardents.
Je décidai de saisir l'occasion : Hugo, qui se caressait langoureusement en roulant des hanches, passa devant moi. Un seul de ses regards suffit à me faire ressentir une attraction irrésistible, aussi puissante qu'une décharge électrique.
Alors, je me glisse derrière Hugo et l'enlace, le serrant sensuellement contre moi, mes mains parcourant son torse avec une lenteur calculée. Il incline la tête vers l'arrière, offrant la courbe de son cou. J'en profite pour tracer sa nuque de ma langue, sentant sa respiration s'accélérer.
Ma main s'arrête sur son torse, massant son téton, jouant avec son piercing. Un frisson le parcourt, le faisant haleter. Sa bouche s'entrouvre, ses yeux se ferment dans une extase naissante. De mon autre main, je saisis son sexe à travers le latex qui l'épouse, mes doigts s'enfonçant avec une pression suggestive, lui soutirant un long gémissement. Mon regard ancré dans celui de Tuan défie et provoque, transformant chaque geste en un jeu de séduction consentie dont l'objet est son protégé. Mon regard défiant embrasait la pièce, signalant à tous que Hugo m'appartenait. Il se liquéfiait de plaisir entre mes bras, ondulant contre moi, tandis que les regards affamés des autres le dévoraient. Tuan impuissant à le soustraire à mon étreinte.
Les autres, consumés par un désir frustré, ne pouvaient que contempler la scène, leurs corps tendus par une excitation à peine contenue. Chaque mouvement de Hugo contre moi était une provocation, chaque caresse une démonstration de possession.
Puis, je saisis sa main et fis monter son bras en arc de cercle, l'invitant à une danse impromptue. Hugo s'élança en arrière, son corps s'étirant à la limite de nos bras tendus. D'un geste ferme et chorégraphié, je le ramenai vers moi. Comme dans un tango argentin passionné, il se retrouva dans mes bras, sa jambe ancrée contre ma hanche. Nos visages se frôlaient, nos regards brûlants de désir. Je glissai mes doigts dans sa chevelure abondante, jusqu'à la nuque, et pris possession de ses lèvres, de sa bouche, dans un baiser des plus enivrants.
Stoïques, nos langues se découvrirent, nos corps s'entremêlant, fusionnant l'un dans l'autre, complètement coupés du monde extérieur. Complètement ? Non ! Car des pas se firent entendre derrière moi et tout autour de nous. J'ouvris l'œil pour m'apercevoir que Bastien s'apprêtait à poser sa bouche affamée et humide sur le cou de Hugo, voulant nous séparer au même moment que Tuan et Ricky venaient de s'inviter aussi dans la mêlée, essayant de participer au baiser prolongé que Hugo et moi partagions. Andreia, agrippée à mes jambes et à celles de Hugo, était sur le point de déposer sa langue sur le galbe de latex du sexe de Hugo.
Bastien poursuivit sa manœuvre et inséra ses bras entre nous, tirant le corps de Hugo contre le sien, tentant de nous séparer. Andreia, complicité évidente, se releva entre nous deux. Notre étreinte céda devant tant de détermination. Andreia localisa la bouche de sa proie et l'investit, prêt à lui faire vivre une danse linguale du plus passionnée. Bastien, par-derrière, étendit son cou et s'invita dans le partage de ce doux baiser érotique, massant le corps androgyne de Hugo, incapable de résister à l'envie de s'en assouvir.
Dès que Bastien brisa notre étreinte, Ricky se glissa vers moi, déterminé à renouveler le plaisir de m'embrasser, de me sucer les lèvres, la langue, de me goûter. Sa tension sexuelle, le tenaillant. Ses mains caressaient mon corps avec une virilité endiablée, et ses tétons redressés et durs frôlaient les miens, m'excitant davantage. Tuan, agenouillé, avait enfoui son visage entre mes fesses, sa langue lubrifiant mon anus à grandes lapées, ses larges mains serrant mes cuisses, ses doigts s'enfonçant dans ma peau, ivre de désir.
Je n'aurais su dire où je me trouvais. Après quelques minutes seulement de baise enflammée, mon slip avait été arraché, mon nœud papillon défait, et mon débardeur en résille déchiré par ces deux bêtes insatiables. Dès que ma rondelle fut bien luisante, prête à être effleurée par ce demi-dieu asiatique, que ma queue soumise à la torture par la merveilleuse ventouse de Ricky fut sur le point d'exploser ; que Ricky et Tuan, incapables d'attendre davantage, la tension étant devenue insoutenable, Ricky me prit dans ses bras et m'intima de lui faire un ciseau autour de sa taille avec mes jambes. Mes mains tenant sa tête pour mieux lui dévorer la bouche. Sa queue massant mon périnée et Tuan, les deux pieds bien ancrés au sol, sexe en main, entama une pénétration lentement et profonde. D’abord mesuré, son mouvement s’accéléra, alternant entre douceur et rudesse, comme pour me corriger, me punir d'avoir profité de son poulain, Hugo. Tuan me pénétra avec une ardeur magnifique, me soutirant des gémissements sourds : "Hummm ! Mmmmm ! Ahhhhh !" Ces plaintes langoureuses semblaient légitimer Tuan à poursuivre sa pénétration, affolé par mes cris de jouissance.
Et comme si me faire défoncer par une large hampe de quelques 20 centimètres ne suffisait pas à assouvir les deux prétendants, Ricky proposa un nouveau plan à trois. Sur le lit cette fois.
Tuan s'allongea sur le dos, m'invitant à m'approcher. Ricky, derrière moi, ses mains soutenant mes fesses, proposa de m'asseoir sur cette belle verge, dure comme de l'acier. Sans attendre une réponse, me sachant éperdue, il me déposa sur Tuan qui, tenant son arme dans son poing, aligna son gland dégoulinant sur mon anus. Ricky me laissa choir et Tuan me tenant par la taille m’empalant sans trop de résistance. Je haletais, terriblement échauffé par le frottement de sa large bite contre la paroi de mon anus, fortement étiré.
Je me laissai emporter par l'intensité de Tuan, perdu dans une sodomie des plus sensorielles. Chaque descente sur son sexe me faisait gémir, mon corps secoué par de voluptueux spasmes, de plus en plus intense, comme dans un crescendo et ma jouissance explosant à chaque fois que son gland atteignait son point culminant, comme un feu d’artifice.
Les yeux mi-clos, noyées de désir, je contemplais ce mec aux yeux en amande et à la bouche humide me forer le cul à me rendre tout simplement dingue. Et savoir que Ricky profitait du spectacle me plaisait encore plus. Sauf que c'était un subterfuge bien orchestré par les deux complices pour me mener à ce point de non-retour, où je serais totalement à leur merci.
Ricky vint s'asseoir derrière moi, me cajoler avec une douceur langoureuse, ses doigts glissant sur ma peau comme une caresse de soie. Ses lèvres effleuraient mon cou, ma nuque et mes épaules, envoyant des frissons de plaisir dans tout mon corps.
Tuan ralentissant son ardeur, je pris ce moment pour reprendre mes esprits, mon cœur battant à tout rompre. Ricky, d'une douceur sans égale, me susurrait à l'oreille, ses mots doux et sensuels. Il me poussa doucement avec son torse, me faisant pencher vers Tuan, qui m'attendait les bras ouverts, un sourire de vainqueur sur les lèvres. Je suivis le mouvement de Ricky, ma bouche effleurant celle de Tuan, sa queue toujours en moi, chaude et pulsante.
Je sentis Ricky bouger derrière moi, son gland touchant subrepticement mon anus, envoyant des ondes de plaisir, une décharge d'électricité d’un érotisme intense et sauvage qui s’empara de tout mon corps. Mon esprit s'emballa à l'idée de cette double pénétration.
Ricky me murmura de bien respirer et pressa son gland contre mon anus, testant l'élasticité de mon sphincter qui céda sur son passage. Il se mit à décrire le plaisir qu'il ressentait pendant qu'il entamait la lente et sulfureuse pénétration. Ses mots, sensuels et passionnés, me transportaient. Il me confiait d’une voix chaude et suave, affectée par l’excitation de me pénétrer en double, à quel point j'étais étroit, combien ma chair l'enveloppait délicieusement, l’indescriptible plaisir de sentir son zob glisser sur la queue de Tuan et étirer encore un peu la paroi de mon anus. Ils manœuvraient avec une délicatesse calculée, voulant s'assurer que je garde à jamais en mémoire cette délicieuse sodomie. Deux corps m'investissant simultanément, lors d’un coït exubérant de luxure, me propulsant dans les nimbes d’une extase indescriptible, tanguant entre douleur agréable et orgasmique.

À suivre
(La suite de la partouze, bientôt)

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