Célébrations au SPA ! Pour mon maître ou pour moi ?

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Célébrations au SPA ! Pour mon maître ou pour moi ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Célébrations au SPA ! Pour mon maître ou pour moi ?
Ce chapitre est le neuvième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier, L’Antre de mon amant policier, Alain poursuit mon objectification, Le plan licencieux d’Alain, Au lit avec Ricky et Basta Jay ! et Une sulfureuse soumission en guise de réconciliation !

*

Le plein-jour ondulant sous l’effet de la brise, laissait entrer une lumière qui semblait danser sur les murs de la chambre, enveloppant la pièce d’une atmosphère diaphane et mystique.
Je dormais d’un sommeil profond et réparateur, encore submergé par les émotions de ma toute première soumission sexuelle — une épreuve aussi bouleversante que transformatrice. Jamais auparavant, je n’avais ressenti une telle intensité émotionnelle : des sensations puissantes, parfois indescriptibles, oscillant entre douleur et extase, mais qui, paradoxalement, se révélèrent providentielles pour notre réconciliation. Cette nuit hors du commun, tant sur le plan physique que psychologique, avait cimenté le lien qui m’unissait à mon nouveau maître, Andreia. Avec lui, je découvrais le bienfaits de la soumission que cette dynamique de couple pouvait m’apporter. Andreia me comprenait intimement, veillant avec une attention délicate à ce que mes besoins émotionnels et corporels soient pleinement comblés.
À mon réveil, je réalisai que nous avions dormi dans notre chambre. L’air frais qui s’infiltrait doucement par la fenêtre me vivifiait, éveillant mes sens un à un, m’extirpant avec délicatesse de ma torpeur. La première sensation qui m’envahit fut celle d’une plénitude totale, comme si mon corps avait traversé un marathon d’émotions. Une douce fatigue, empreinte de satisfaction, témoignait du cap que nous venions de franchir.
Puis, je perçus la chaleur enveloppante de mon amant : son corps tout chaud pressé contre mon dos, ses bras m’enlaçant avec tendresse. Son odeur, mélange enivrant de musc, de cuir et de virilité, flottait dans l’air, familière et rassurante.
Andreia s'anima, ses bras resserrant leur étreinte autour de moi, son corps se lovant contre le mien avec une tendresse possessive. Sa caresse était douce et voluptueuse, d’une sensualité qui faisait courir des frissons érotiques le long de ma colonne vertébrale. Il effleura mon oreille de ses lèvres charnues, déposa un tendre baiser sur ma nuque, puis se rassoupit, son souffle chaud contre ma peau. Mon cœur s'emballa, empli de gratitude et de bonheur à l'idée qu'il m'avait pardonné mes incartades. Ce matin-là, tout était redevenu possible.
Je refermai mes yeux, décidant de patienter jusqu'à son réveil, et me mis à repasser le fil des événements de la soirée. Mon sexe se gorgea de sang, développant une puissante érection, chaque souvenir déclenchant une vague de désir qui me submergeait. Mon corps se tendait, parcouru de légers spasmes érotiques qui finirent par me faire frétiller, réveillant Andreia.
— Bonjour, me murmura-t-il doucement, en me pressant contre lui.
— Bonjour, répondis-je, lui demandant si je l'avais réveillé.
Je sentis son sourire contre ma nuque, m'indiquant que non.
— C'est mon sexe qui est coupable de mon réveil, dit-il, en le collant contre mes fesses, sa belle et ronde queue voulant se glisser entre mes cuisses.
Andreia émerge lentement de sa torpeur matinale, ses doigts glissant sensuellement sur ma peau, cherchant à attiser le feu qui sommeille en moi. Ses lèvres, encore endormies, se réveillent peu à peu, s’activant avec une douceur exquise, tandis que sa langue trace des chemins de plaisir qui me font frissonner. Je me laisse envelopper par le désir, savourant chaque instant de ce ballet érotique. Puis, son corps tout entier s’anime, se mouvant avec une grâce hypnotique, chaque geste, chaque caresse, chaque souffle, contribuant à enflammer mes sens et à me plonger dans un état de délicieuse extase.

Il empoigne mon sexe, le massant langoureusement, tandis que sa langue pénètre l'orifice de mon oreille, ses lèvres attaquants mon lobe pour le sucer avec une douceur enivrante. Mon corps explose d'émotions, chaque fibre de mon être vibre de désir. Je me retourne vers lui, et sa bouche capture ma lèvre supérieure, la suçant légèrement avant que sa langue ne s'enfonce entre mes lèvres à la recherche de la mienne. Elles se caressent, dansent langoureusement, se mêlant dans une étreinte passionnée.
Je suis complètement sous le charme de cette étreinte matinale. Je voudrais que ce moment s'éternise, mais notre rythme effréné nous empêchera de prolonger ce plaisir. Tous deux déjà passablement excités, nous sommes sur le point de céder à notre désir. Andreia semble déterminé à précipiter les choses, impatient de jouir. Je ne peux pas en être certain, mais son corps, fortement émoustillé, me télégraphie les signes qu’il est visiblement au bord de l'explosion.
Désirant ardemment une fellation, sentir sa chaude langue sucer mon gland et ses lèvres masturber ma verge, je lui souffle cette demande à l'oreille. Il refuse, m’interdit l’orgasme, m’intimant plutôt de le chevaucher. Je m’exécute avec obéissance. Il saisit mes mains, et entame une pénétration profonde qui me fait râler de plaisir, ma tête basculant vers l’arrière. Il m’empêche de le toucher et me lime le cul avec une ardeur bestiale, avant de jouir en moi.

Je suis un peu frustré, malgré le fait que mon maître ait habilement stimulé ma prostate, me permettant de prendre mon pied. Je me laisse choir à côté de lui, reprenant mes esprits. Il en profite pour me caresser, m'embrasser et me proposer d’aller au spa. Je lui souris, ravi de l'invitation, ma contrariété ayant soudainement disparu.

Je me lève, vais à la salle de bain pour prendre une douche et me préparer. À ma sortie, Andreia souhaite me parler et m’expliquer le déroulement de notre visite au spa. Il m’indique que les vêtements et le maillot de bain qu’il aimerait que je porte sont sur la commode dans notre chambre. Il ajoute qu’il a prévu une petite surprise pour pimenter la sortie, qui, d’après lui, devrait me plaire. Curieux, je l’embrasse puis me précipite vers la chambre.
Je contemple ce maillot minimaliste, d'une coupe si audacieuse qu'elle mettra en parfaite lumière mes muscles abdominaux et fessiers. Chaque ligne de mon ventre plat et de mon joli cul bombé sera mise en valeur, dessinant une géographie musculaire qui ne manquera pas de captiver les regards. Mon sexe, soigneusement mis en écrin dans l'espace étroit qui lui est réservé, sera à peine contenu, laissant deviner ses contours et suscitant sans doute quelques regards appuyés et désirs inavoués.
J'approuve ce choix sans la moindre réserve, une sensation de fierté et de sensualité m'envahissant. Je me vois déjà me pavaner avec assurance, imaginant les regards admiratifs et les murmures de désir qui accompagneront chacun de mes mouvements.
Mais il y a autre chose : ce jouet qui repose sur la commode, et rien qu'à le regarder, je sens une excitation grandissante. À côté, une note manuscrite de mon maître, précise que je dois le porter durant notre visite au spa. C'est un anneau pelvien sophistiqué, muni d'une boule ovale qui n’est, ni plus, ni moins qu’un plug. Ce dispositif ingénieux restreint subtilement le flux sanguin de mon pénis tout en exerçant une pression délicate sur ma prostate.
Rien que d'y penser, mon corps frémit. La boule est conçue pour bouger sensuellement dans mon rectum à chacun de mes mouvements, créant une stimulation constante et insidieuse. L'anneau, quant à lui, maintiendra mon sexe dans un état de semi-érection permanente. Mon maillot minimaliste n'aura d'autre choix que d’accentuer encore plus le relief de mon zob, en espérant éviter un débordement.

Je m’allonge sur le dos après avoir appliqué un peu de lubrifiant sur le jouet. L'insertion nécessite une certaine force pour faire céder le sphincter, mais j'y parviens après quelques secondes, déclenchant une sensation délicieuse. Ensuite, je tire délicatement sur le jouet pour étirer l'anneau qui enserrera la base de mon pénis. Je serre mon anus pour éviter que la boule ne glisse hors de mon rectum. La manœuvre s'avère complexe, le lien entre l'anneau et le plug se tendant difficilement, ainsi conçu pour créer une tension qui éveillera mes zones érogènes au moindre mouvement.
J'enfile ensuite le short couleur beige fait de coton et élasthane, qui épouse parfaitement mon corps, accentuant mes courbes de manière séduisante Un marcel blanc complète ma tenue, valorisant mes épaules bien définies. Le vêtement me va à merveille. L'image que me renvoie le miroir me plaît au point de mouiller mon maillot. Mes abdominaux et pectoraux sont accentués par ce vêtement qui les galbe de manière sensationnelle. Les pointes de mes mamelons, légèrement perceptibles à travers le tissu, ajoutent une touche de sensualité à mon apparence, révélant mon piercing, marque indéniable de ma sexualisation.
Je lance un ultime coup d’œil pour m’assurer que rien ne m’échappe, tout en glissant à mon poignet de charmants bracelets à billes et ajoute un rang de perles qui vient délicatement souligner la courbe de mon cou. Puis je m’empresse de rejoindre Andreia, qui doit déjà m’attendre pour le départ.
Mon maître bien-aimé n’est pas en reste : lui aussi arbore une tenue irrésistible qui sublime sa virilité naturelle. Son short marron épouse ses courbes avec une précision flatteuse, tandis que son t-shirt blanc, si moulant qu’on le croirait peint sur sa peau, souligne chaque relief de son torse sculpté. Lorsqu’il m’aperçoit, son sourire s’élargit avec une chaleur sincère. Mon allure le ravit, je le sens dans son regard fier, prêt à afficher sans réserve l’orgueil de m’avoir à ses côtés. À peine me suis-je assez rapproché pour qu’il m’effleure, il glisse une main derrière mon dos, m’attire contre lui et m’offre un baiser sensuel, posé avec tendresse sur mes lèvres. Puis laisse glisser sa main doucement sur une de mes fesses avant de tapoter mon plug, m’envoyant une décharge érotique parcourant tout mon corps. Il sourit de malice, fier de son coup. Je souris à mon tour, heureux de savoir que ça lui plaît.
Nous quittons pour le spa.
Andreia se montre avare de commentaire pour ce qui est du spa. Lorsque je lui demande s’il préfère le rituel du sauna vapeur, suivi de la cascade glacée et d’un moment de repos, il esquive avec un sourire et me répond qu’il aime tout… mais surtout être avec moi. Je récidive et lui demande s’il préfère le bain tourbillon, le sauna sec ou se caresser discrètement dans en eaux chaudes au risque de se faire épier ? Je reçois un sourire énigmatique, en guise de réponse. Je comprends que je n’en saurai pas plus. Enfin, pas pour l’instant.
À la réception, il m’invite à m’asseoir au salon d’accueil, pendant qu’il règle les formalités d’accueil avec le préposé. Je ne suis pas dupe et connais maintenant son petit côté dominant.
Il se retourne et me fait signe de venir le rejoindre. Le préposé glisse un bracelet torsadé, muni d'une clé, à mon poignet et nous invite à nous diriger vers le vestiaire, avec nos robes de chambre et serviettes. Je suis Andreia sans trop discuter des activités qu'il a prévues, préférant lui faire remarquer la sérénité des lieux. Il acquiesce et m'assure que les installations sont d’un luxe inouï.
Je me dévêts et me dirige vers le dortoir de douches. L'idée de me promener nu, avec un anneau pelvien bien visible et une boule insérée dans mon rectum, m'excite. Je me demande si c'est si évident, mais n'ose pas le demander à mon maître. Je suis contraint, un bien grand mot, de le porter. Je l'accepte, surtout en considérant l'excitation que le gode me procure.
Je rejoins Andreia et prends place à ses côtés, l’eau chaude et réconfortante ruisselant sur mon corps que je savonne abondamment. Je jette un coup d’œil à mon amant, qui semble se rincer l’œil. Je souris légèrement, content de voir que je ne suis pas le seul à apprécier le spectacle.
Nous nous séchons et enfilons nos maillots. Le mien me donne du fil à retordre, tant il est serré. Mon maître me regarde me débrouiller avec mon défi, légèrement inquiet de voir un débordement involontaire. Je parviens à tout faire entrer, à mon plus grand soulagement, sachant que la partie n'était pas gagnée d'avance.
Andreia suggère de débuter par le sauna vapeur. Lorsqu’il ouvre la porte, un torrent de vapeur nous enveloppe, si dense que nous arrêtons, fermons les yeux, le temps de nous habituer à l’atmosphère ambiant. Dès que nous rouvrons les yeux, des silhouettes commencent à émerger de la brume, leurs formes se découpant lentement dans la vapeur, comme des fantômes.
Dans un coin, deux hommes sont allongés, leurs corps chauds et humides, dans une étreinte passionnée. Deux autres hommes, isolés, sont assis sur le banc du milieu, leurs serviettes glissées sur leurs cuisses, révélant leurs formes masculines. Nous nous installons sur le banc supérieur, Andreia s'adossant au mur, ses yeux fermés, tandis que je reste assis, mon regard fixé sur le couple enlacé, leurs corps luisants de sueur.
La brume diaphane qui remplit le sauna est comme un voile de séduction qui danse devant mes yeux, transformant le lieu en un sanctuaire de plaisir et de désir. Les deux hommes enlacés, semblent s’adonner à un rituel sexuels et s’étreignent discrètement. Celui qui repose sur l'autre a basculé sa tête sur l'épaule de son amant et semble haleter, comme s'il était à la limite de l'extase.
Je suis captivé par la scène qui se déroule devant moi, mon regard rivé sur l’homme passif, dont seul son visage trahit l'émotion qu'il ressent, son corps semblant inerte, en parfait contrôle. Mon esprit s'échauffe, cherchant à comprendre cette cajolerie qui lui procure cette jouissance. Je plisse les yeux, essayant de discerner la partie de son corps que son amant stimule. La tension dans l'air est palpable, et je sens mon propre corps réagir à cette scène d’une grande sensualité.
Soudain, je réalise que mon maître me regarde, son regard fixé sur moi avec une intensité qui me fait frissonner. Il semble épier les réactions que provoquent ces images sulfureuses sur moi, comme s'il cherchait à déchiffrer le code à l’origine de mon excitation. Je sens mon cœur battre plus vite, et je retourne épier les deux exhibitionnistes, n’essayant pas de cacher mon émotion.
Son plaisir est à son comble, son corps se tend, sa tête se tourne quasi imperceptiblement, touchant le pectoral de son partenaire. Sa joue caresse le mamelon déjà redressé, l'implorant à poursuivre cet attouchement qui attise sa jouissance. Je devine cette main cachée sous la serviette, qui doit être en train de le caresser, de le stimuler avec douceur et précision. Puis, son corps se met à onduler légèrement, l'eau qui perle sur sa peau brille dans la lumière faible du sauna, et cette bouche entrouverte, me transporte dans un monde d'érotisme exaltant, où les sens sont exacerbés et les désirs sont déchaînés.
Andreia me tend la main, m'effleurant légèrement, juste assez pour me tirer de ce monde fantasmatique où j'étais perdu. Je le regarde ; il sourit, ses yeux brûlant de désir. Je lui renvoie un sourire de plaisir coupable, comme si j'avais été surpris en flagrant délit d’espionnage. Son sourire s'élargit, et il me fait signe de me rapprocher. Je me love contre lui, ma tête nichée sur son épaule, mon corps se fondant contre le sien, nos peaux chaudes et humides. Il me chuchote : « Ça te plaît ? » Inutile de répondre, il sait déjà, il sent mon cœur battre contre le sien, il voit dans mes yeux la réponse.
Son regard désormais porté sur les deux mecs à la libido débordante. Il me demande ce qui me plaît dans cette scène. Je réponds : la volupté dans la discrétion et cette audace discrète à laquelle ils s'adonnent, impunément. « Cette audace me plaît aussi », me dit-il, « tout comme leurs corps bien définis que je devine à travers la brume ». Puis il me demande si j'aimerais faire leur rencontre, son regard brûlant de désir. La question m'étonne, ne sachant pas ce qui me plaît le plus : épier le couple lascif ou participer à l'étreinte. Andreia me répond que l'un n'empêche pas l'autre, son sourire laissant entendre que tout est possible, que les limites sont repoussées. Alors, je lui souffle à l'oreille : « Et si on les suivait ? » Le couple s'apprête à quitter pour la prochaine station, et je sens mon cœur battre plus vite à l'idée de les suivre, de les rejoindre dans leur jeu. Mais il y a ce massage en duo pour lequel nous sommes attendus, nous prive d'exécuter le plan. La filature devra attendre.
Les deux masseurs qui s'occuperont des corps de demi-dieux de Kouros et Andreia ont quitté la salle momentanément, laissant le couple s'installer sur leur tables respectives. Sans se questionner, tous les deux retirent leur maillot de bain, révélant leurs corps sculptés et musclés, leurs peaux luisantes de sueur. Ils attendent le retour des masseurs baraqués aux mains puissantes qui manipuleront les muscles et caresseront la peau des deux amants, les préparant à une expérience de détente et de plaisir intense. L'air est chargé d'anticipation et de désir, et les deux amants se regardent, leurs yeux brûlant de passion.
On frappe et entre, mon masseur chuchote à mon oreille de me détendre, son souffle chaud contre ma peau. Il me questionne sur l'intensité des touchers désirés. Je lui réponds que je préfère les massages bien sentis, peu importe la zone de mon corps. Il me recouvre d'une couverture chaude, jusqu'au bas du dos, et enduit ses mains d'huile parfumée. Il les pose délicatement sur mes épaules et les glisse le long de mon échine, cette caresse m'électrise. Je sens que l'heure qui vient sera des plus délectables, et que je vais me laisser aller à un plaisir intense.
Je me sens de plus en plus détendu à mesure que le temps s'écoule. Chaque muscle, de ma nuque aux mollets, en passant par le fessier et les cuisses, a été l'objet d'une attention experte des mains de mon masseur. Alors qu'il se penche vers moi et me murmure de me retourner, le temps de masser mes pectoraux, j'obtempère, mon esprit embrouillé par tant de manipulations apaisantes. Je me tourne sur le dos, et le drap glisse, révélant mon corps, mon sexe cerclé de cet anneau de silicone attaché à un plug. Je sens mon cœur battre plus vite, et je cherche à me recouvrir, mais le masseur a déjà attrapé le drap et me le dépose lentement sur moi, son toucher effleurant ma peau avec une douceur qui me fait frissonner. Son regard croise le mien, et je détecte une étincelle de désir dans ses yeux.
J'essaie de réprimer ce désir naissant résultant de ce toucher délibéré ou pas, mais c'est peine perdue. Lorsque le masseur, ses mains enduites d'huile, masse mes pectoraux, s'attardant sur mes mamelons et les touchant, à chaque passage, effleurant mon piercing, je sens mon corps s'enflammer. Je jette un coup d'œil discret, entrouvrant les yeux, et vois le plaisir qu'il ressent à m'attoucher. Son regard croise le mien un instant, et je sens une étincelle de passion dans ses yeux, ce qui attise mon feu intérieur.
Ses mains glissent sur ma peau avec une douceur qui frôle la caresse, me faisant oublier que c'est un toucher thérapeutique. Lorsque la séance se termine, sa voix chaude et apaisante me guide pour que je prenne mon temps pour me rhabiller, tandis qu'il m'attend à l'extérieur de la salle de massage, me laissant seul avec mes sensations. Je reste allongé, perdu dans mes pensées, laissant mon esprit vagabonder, et je sens mon corps encore vibrer de plaisir. La voix d'Andreia me ramène à la réalité, me demandant si j'ai aimé, son ton doux et curieux, son regard brûlant de désir.
Je parviens à remettre mon maillot minimaliste, un peu mal à l'aise après la séance de massage, mais surtout encore sous l'effet des caresses que j'ai reçues. Andreia ouvre la porte pour sortir le premier et engage la conversation avec son masseur sur les bienfaits de cette petite heure de détente sur son anatomie. Je le rejoins, partageant mes propres impressions sur la séance que j'ai vécue, et je sens encore la chaleur de ses mains sur ma peau.
Lorsque je vois Andreia serrer la main de son masseur pour le remercier une dernière fois, je décide de l'imiter. Mais mon masseur à moi réagit autrement. Il me fait la bise chaleureusement, ses yeux baissés pour apprécier la forme de ma verge qui se dessine à travers le tissu de mon maillot. Son regard est empreint d'admiration, et je sens une vague de chaleur monter en moi, mon cœur battant plus vite. Je tourne les talons, rejoignant mon amant qui m'attend, son sourire malicieux me faisant deviner qu'il a compris ce qui s'est passé.
"Ton masseur a sûrement apprécié le massage autant que toi", me souffle-t-il à l'oreille, son haleine chaude contre ma peau, me faisant frissonner.
Une douche chaude et apaisante était une merveilleuse façon de conclure cette journée pimentée de détente et de plaisir. Mais, contrairement à ce que je pense, notre séjour n'est pas sur sa fin. Le regard perçant de mon maître repère les deux hommes qui batifolaient dans le sauna au moment que nous sortons de la douche. Le mec allongé sur son amant reconnait Andreia et le mate de la tête au pied, sans gêne. Son mec le suivant derrière n'ayant aucune idée de ce qui se passe. Andreia le regarde intensément, mais l'homme soutient son regard, ce qui l'allume. Nous poursuivons notre chemin, et eux aussi, sauf que Andreia garde un œil sur le mec, le dégustant de ses yeux.
Il jette un regard dans notre direction, croisant celui de mon maître. Il se dirige vers les urinoirs, son sexe dressé sous son caleçon. Andreia me murmure : "Attends-moi, ici, je reviens." Nu, Andreia suit discrètement l'homme et jette un œil sur son amant afin qu'il ne se doute pas qu'il a pris en chasse son tourtereau. Je sens mon cœur battre plus vite, anticipant ce qui va se passer.
Je l'observe entrer dans les cabinets de toilette, nerveux de ne pas savoir ce qui se passe ou de voir son copain aller le rejoindre. Il ne me reste qu'à monter le guet, attendant avec anxiété la suite des événements. Le temps passe et je commence à m'inquiéter. Mon esprit s'emballe et produit des scénarios les plus lubriques les uns que les autres, dans lesquels mon maître a pris possession de sa proie. Mon cœur bat plus vite, et je sens une vague de jalousie monter en moi. J'espère avec impatience la sortie d'Andreia, me demandant ce qui s'est passé et s’il a réussi à... Je suis interrompu par la porte des cabinets de toilette qui s'ouvre, et Andreia en sort, un sourire de vainqueur sur les lèvres. Son sexe exhibant une érection naissante. Il me regarde avec un air de satisfaction, qui en dit long sur le succès de l’opération de filature.
Je lui jette un regard, les yeux écarquillés en secouant la tête légèrement, l'incitant à me raconter. Il me sourit à nouveau, fier de son coup, son regard brillant de satisfaction.
— Tu aimerais une aventure à quatre ? me murmure-t-il ? Selon lui, son mec t’aurait bien pris en charge, si tu vois ce que je veux dire ! Et pour tout te dire, je le trouve mignon, aussi.
Je suis sans voix, mon cœur battant plus vite. Je ne sais que répondre.
— C'est tout ce que vous avez fait ? Discuter ?
— Pour être honnête, je lui ai fait une petite démonstration de mes talents pour l'impressionner et le motiver à convaincre son partenaire. Tu as vu son maillot en sortant ?
Je ne voulais pas répondre, la jalousie et la colère montant en moi en l'écoutant parler avec tant de désinvolture. Puis, me ressaisissant :
— Une petite démonstration de tes talents ?
— Ouais ! J’ai glissé ma main dans son maillot pendant qu’il pissait et je l’ai doigté. Je sentais son excitation monter, et il a répondu à mes caresses avec un gémissement étouffé.
Je ne sus quoi répondre, ma queue réagissant à ses propos salaces, se dressant sous l'effet de l'excitation.
— Je les ai invités pour une partouze. J’ai son numéro de portable, dit-il en pointant sa caboche, toujours émoustillé. Et lui le mien, rajouta-t-il.
J’adorerais me farcir ce mec !
A suivre

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