Le plan licencieux d’Alain.

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le plan licencieux d’Alain. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le plan licencieux d’Alain.
Ce chapitre est le sixième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier, L’Antre de mon amant policier et Alain poursuit mon objectification. Bonne lecture! Vos commentaires m'aident à créer et produire de meilleurs récits.

*

C'est une érection puissante qui me réveilla au petit matin, mon corps déjà en émoi. Les mots "Ricky nous rend visite" résonnèrent dans mon esprit, capturant toutes mes pensées. Rien ne pouvait apaiser ce désir naissant. C'était tout ce qu'Andreia avait bien voulu me révéler, mais cela suffisait amplement à enflammer mon imagination toute la nuit. Je savais que cette rencontre serait orchestrée avec une précision minutieuse par Andreia, qui aimait garder le contrôle sur chaque détail. Pourtant, mon esprit s'envola librement, explorant chaque possibilité, chaque sensation. Bien que je ne me souvienne que de bribes de mes rêves érotiques, le plaisir intense ressenti à mon réveil était indéniable, laissant mon corps frémissant de désir.
Je me lève doucement, mon maître dort profondément, inconscient de mon éveil. Je débande, soulagé par la dissipation de la tension. J’urine et me regarde dans le miroir, laissant mon regard glisser sur mon corps. Ce qui attire mon attention n'est pas ma chevelure, magnifiquement réussie, mais la douceur de ma peau, désormais lisse, entre mon pubis et mon périnée. Andreia a fait un travail étonnant, créant une surface de peau qui invite à la caresse. Je la sens sous mes doigts, douce et chaude, comme une promesse de plaisir. Le résultat est envoûtant, et je me sens prêt à me laisser aller à la volupté.
J'ouvre le robinet et prends une gorgée d'eau. Je l'avale et me dis que ma bouche semble encore goûter le sperme. Alors, je décide de me rafraîchir, renonçant à me remettre au lit, car je ne pourrais pas me rendormir.
Puis, je me prends un café et m'installe à la terrasse avec ma tablette. Andreia semble accumuler des heures de sommeil supplémentaires. Ça promet pour plus tard, me dis-je. Je profite de ce moment pour visiter quelques sites gay. Le temps s'écoule, et je suis déjà à mon deuxième café lorsque je vois apparaître sur la terrasse mon amour de maître. Il est vêtu d'un simple short, et son corps est encore humide de la douche, sa tignasse dégoulinante.
Il s'approche de moi, me fait la bise. Il me demande si je vais bien. Nous échangeons des formules de politesse que tous les couples connaissent, avant d'entamer d'autres discussions. Il s'assoit et prend une gorgée de café.
— Tu lis quoi ? me demande Andreia.
— Euh... pas grand-chose.
— Mais encore ?
— Pour ne rien te cacher, je navigue sur un site de récits érotiques.
— C'est ce que je me disais. Ça se voit !
Je pouffe de rire, incapable de cacher mon amusement. Je suis décidément trop facile à deviner, c'en est presque embarrassant. Andreia rit de bon cœur avec moi, son sourire illuminant son visage. Il continue de me dévisager, son regard brûlant, pendant que je poursuis ma lecture. Je me sens examiné, mais j'essaie de rester calme et de me concentrer sur les mots qui défilent sur l'écran. Mais son regard me distrait, m’émoustille, et je n’y peux rien. Et de temps en temps, j'essaie de lever discrètement les yeux pour voir ce qu'il fait, mais nos regards se croisent inexorablement chaque fois, comme si nous étions liés par un fil invisible.
Je perds le fil de ma lecture et décide de changer de site pour un qui nécessite moins de concentration. Je lance une vidéo qui me semble intéressante. Ce sont deux hommes au corps parfaitement ciselé. Petit bassin, longue queue épaisse agrémentée d’un anneau. Les torses bien musclés et larges sont mis en valeur par la prise de vue. Ils baisent fougueusement. Le top sodomise son partenaire avec une telle ardeur que ce dernier gémit lascivement, ne pouvant rien contre les salves de transes que lui fait subir son amant. Les deux ont des corps merveilleusement tatoués. Un pur délice à regarder.
Andreia se lève, et je suis attentif à chacun de ses mouvements sans lever les yeux. Il s'approche et s'arrête juste derrière moi. Il observe la vidéo pendant quelques secondes, son regard pesant sur moi. Je suis à la fois excité et curieux de sa réaction. Il pose doucement une main sur mon épaule, et je sens la chaleur de sa peau à travers le tissu de mon vêtement.
— Tu aimes cette vidéo ?
— Je la trouve excitante, oui.
— Et qu'est ce qui t'excite, mon beau Kouros ?
— Hum... j'sais pas. Les mecs sont vraiment tops. J'adore ce genre de corps.
— D'accord. Tu aimes les tatouages ?
— Si j'aime ? J'adore un mec bien tatoué.
— Moi aussi. Tu voudrais te faire tatouer pour moi, mon mignon ?
— Bien sûr, Andreia. Je veux te faire plaisir. Tu pourrais aussi te faire tatouer avec moi.
— Mouais. Mais si on commençait par toi ?
— D’accord !
— Alors, si on allait chez le tatoueur aujourd'hui, ça te dirait ?
— Tu es sérieux ?
— Absolument. Mais rappelle‑toi qu'il faut être de retour pour la fin de l'après‑midi : Ricky vient passer la soirée avec nous.
— Ouais, je sais, Andreia.
Je referme la tablette et me jette dans ses bras pour l'embrasser avec fougue. Il m’accueille avec la plus grande sensualité. Je profite de sa bouche moite, si invitante. Puis, il me tape une miche, brise l’étreinte.
— Quel genre de tatouage aimerais-tu avoir ?
Hésitant, n'ayant pas vraiment réfléchi à cette éventualité, je ne savais pas trop quoi répondre. Il y avait plusieurs choses à prendre en compte. La partie du corps à tatouer, le type de tatouage, l'ampleur, la couleur... Enfin, une foule de détails qui, à mon avis, faisaient qu'un tatouage était réussi ou non. Ce que je savais, c'était que j'aimais certains mecs tatoués plus que d'autres. Mais je ne m'étais jamais attardé sur la raison. Alors, Andreia me proposa de me guider dans la meilleure sélection possible, en commençant par sélectionner, parmi une foule de mecs musclés, ceux que je trouvais particulièrement sexy.
J'ai fini par réaliser que les types ayant un pectoral et une manche à motif floral m'excitaient particulièrement. Les mains tatouées, encore plus. Ça donnait un air terriblement masculin. J'avais aussi un faible pour des poèmes écrits le long des flancs, sur le haut d'une fesse ou les avant-bras. Andreia m’avait été de bons conseils.
S'assurant que j'étais prêt à poursuivre ma transformation, il passa un appel à un ami personnel qui s’avérait être un excellent tatoueur. Dès que l'appel fut terminé, il me sourit et me proposa d'aller le rencontrer, sans rendez-vous, aujourd'hui même, après notre routine de musculation.
Me trouvant toujours hésitant, il me proposa d'aller simplement en discuter avec lui, quitte à me faire tatouer ultérieurement. Encore une fois, Andreia avait su trouver la solution idéale. J'acceptai.
Bastien était un véritable artiste. Il avait gagné la confiance de plusieurs personnalités et ses œuvres étaient encensées sur les médias sociaux. Inutile de le dire, il était très en demande. J'étais impressionné par son studio, la qualité de son travail, mais surtout par le fait que mon mec ait pu obtenir une rencontre à si brève échéance.
Andreia entra dans la boutique le premier, s'esclaffa de joie et salua chaleureusement Bastien en le prenant dans ses bras, lui faisant la bise, avant de me présenter.
Bastien avait une bouille séduisante : coupe dégradée, toupet carré et dessus légèrement plus long, éclairci d’un mélange de gris et de noir. Sa barbe, discrète, renforçait son côté viril ; sa moustache, plus fournie et soigneusement taillée, mettait en valeur sa bouche charnue. Il était solidement bâti — épaules larges, bassin étroit — habitué du gym, et bien sûr, tatoué.
Je m'approche pour le saluer. Il passe sa main derrière mon dos et appuie fermement sur mes reins, puis dépose un baiser appuyé sur chacune de mes joues. Un baiser qui pourrait passer pour autre chose que celui d'une simple salutation entre amis. Sa main se relâche, glisse lentement sur ma hanche, avant que l'étreinte ne se termine. Le geste est langoureux et plaisant.
Je suis légèrement déstabilisé par la sensualité de son accueil, qui me fait frissonner comme si une brise froide avait passé sur ma peau. J'imagine qu'Andreia l'a remarqué, et je sens son regard sur moi, comme un poids léger sur ma nuque. J'essaie de me ressaisir, mais mon cerveau me télégraphie des ondes provenant directement de ma zone plaisir, comme un appel irrésistible. Bastien l'a bien compris et me demande doucement ce qu'il peut faire pour moi, de sa voix douce et calmante. Je finis par expliquer à Bastien mon désir de me faire tatouer, et mon mec se glisse dans la conversation pour nuancer que ce désir est aussi le sien. Je souris de cette omission, sentant une étincelle de désir entre nous.
Bastien se montre très attentionné et tactile, son comportement et ses gestes le démontrent clairement. Après un moment de discussion, il glisse son index sur les parties de mon corps, feignant de dessiner et de colorier la série de tatouages à exécuter. La douceur et la sensualité de ces gestes répétés me troublent, et je sens mon corps s'échauffer, mes frissons de plaisir se transformant en une excitation croissante.
Après environ trente minutes, nous concluons sur un tatouage floral qui enveloppera mon pectoral jusqu'au téton, orné d'un piercing, ainsi que mon épaule. Le tatouage descendra le long de mon bras, s'enroulant autour de mes muscles, jusqu'à ma main, où une rose colorée et customisée ornera ma peau, accentuant mes courbes musculaires. De plus, sur chaque flanc, une pensée sera tatouée en écriture cursive, ajoutant une touche personnelle à mon nouveau tatouage.
Il ne restait plus qu'à fixer le rendez-vous lorsque Andreia demanda à voir les tatouages éphémères. Il en choisit quelques-uns, sans savoir immédiatement qu'ils me sont destinés. Il s'acquitte de la facture, salue Bastien et me prend par la taille, son bras se refermant autour de ma hanche comme un étau. Je le regarde, il me sourit et me murmure à l'oreille : "Ricky va adorer", me dit-il, en glissant sa main sur ma fesse, puis la serrant, un geste possessif et sans équivoque. J'ai à peine le temps de jeter un œil à Bastien, qui comprend le message subtil de mon maître : il est mien. Pas touche. Le regard de Bastien se détourne, et je sens une tension dans l'air, comme si un territoire venait d'être marqué.
Je m'assois dans la voiture, passablement confus par la fin de notre rencontre avec Bastien et les propos à l’égard de Ricky. Son sourire malicieux se dessine lentement sur ses lèvres, trahissant son amusement. Il voit bien que j'essaie de décrypter le sens de ses dernières paroles, mais il me laisse languir, savourant mon incompréhension. Les explications que j'attends ne viennent pas, et je commence à me sentir impatient. Alors, pour faire durer le suspense et prolonger son plaisir, il enchaîne sans fournir aucune clarification. Je tente finalement la question qui me brûle les lèvres, espérant obtenir des réponses.
— Ricky va adorer, lui dis-je, doucement. Qu'est-ce que tu insinues ? Je n'ai pas bien saisi l'essence de ton propos.
— Qu'as-tu compris, mon beau ? demande-t-il en me caressant la cuisse.
— Que Ricky va adorer les tatouages ? Ils sont pour Ricky, ces tatouages ? lui demandant de préciser, en sentant mon pouls s’accélérer. Alors, là, je ne te suis pas.
— Il y a deux choses, dit-il en me regardant intensément. Les tatouages sont bien pour toi. Je compte te les appliquer dès notre arrivée à la maison. Tu iras t'installer sur la table de massage. Je m'occuperai du reste.
— Et la deuxième ?
— Et, je suis certain que tu comprends la suite, maintenant, murmure-t-il en me soufflant à l'oreille, son haleine chaude caressant mon oreille. Ricky adore les mecs tatoués, en me regardant avec un sourire lascif qui m’attise. Bon ! ... Ricky ne vient pas simplement nous visiter ce soir. Tu as un compte en souffrance. Il vient collecter son dû.
Un silence pesant s'abat sur nous, comme un voile de nuit qui tombe sur la ville, étouffant les bruits de la rue. La dernière phrase de Andreia eut l'effet d'un choc sismique sur mon corps. Je commence à comprendre, les pièces du puzzle se mettant lentement en place dans mon esprit. Je me doutais bien que Ricky, le beau barbier, ne venait pas que nous visiter. Mon maître venait de m'annoncer l'inévitable : Ricky venait pour obtenir compensation, sous la complicité de mon amant. Maintenant, je le savais et ne pourrais pas y échapper. Mon cœur battait à tout rompre, comme un tambour dans la jungle, son rythme effréné résonnant dans mes oreilles, me rappelant que je serais la pièce de résistance.
Je regardai Andreia, qui souriait toujours, ses yeux brillant d'excitation comme des étoiles dans la nuit. Il semblait prendre plaisir à me voir ainsi, attentif et exalté, comme un chat qui joue avec une souris. J'osai poursuivre, ma voix trahissant ma fébrilité, comme une feuille qui tombe de l'arbre, cherchant à me faire confirmer ce que j’espérais.
— Tu vas... hum... tu vas me laisser entre les mains de Ricky ? demandai-je, espérant une réponse positive, mais doutant de la réaction de mon maître, qui avait déjà démontré son possessivité envers Bastien.
— En partie, répondit Alain, son sourire s'élargissant comme un soleil qui se lève, illuminant son visage d'une lueur séductrice.
Sa réponse provoqua une chaude transe qui envahit tout mon corps, faisant courir des spasmes de plaisir le long de ma colonne vertébrale. L'idée de Ricky et moi, au lit, me fit bander d'anticipation, imaginer des scénarios excitants, mon esprit s'emballant à l'idée de ce qui allait se passer.
— On a un plan… Ricky et moi, continua-t-il, son regard toujours aussi brillant d'excitation. Je crois que tu vas adorer. Mais, je ne veux pas t'en dire plus pour l'instant ; l'attente en soi, l'expectative de découvrir un secret produit une charge de dopamine qui peut s'avérer enivrante, presque aussi enivrante que le plaisir que nous allons partager. Son ton était comme une caresse, qui amplifiait l’excitation sexuelle, pourtant déjà omniprésente.
— Allez, Alain ! insistai-je, mon impatience grandissante.
— Andreia ou maître, mon beau Kouros, répondit-il, son ton devenant plus abrupt, voulant asseoir son autorité.
— Tu vas m'offrir à Ricky dans un plan à trois ? lui soufflai-je, adoptant un ton de soumission, sachant que ça lui plairait.
— Et tu seras merveilleusement baisé, comme tu le souhaites le plus ardemment, répondit Alain, son ton devenant plus lascif. Je parie que tu dois déjà être délesté de ton innocence, juste à entendre que nous t’aurons, tous deux, à assouvir nos rêves les plus fantasques. Que de plaisirs charnels t'attendent, mon mignon, murmura-t-il, sa voix chaude m’ensorcelant, tandis qu'il me caressait sensuellement la cuisse.
Andreia me jeta un regard, ses yeux noyés dans le désir, et me prit la main. Une chaleur intense envahit mon corps sans quoi je ne sache que répondre. J'étais dans un état second, venant d'apprendre subitement que dans quelques heures, tout au plus, je serais la proie partagée de deux taureaux en rut.
Je m'imaginais une soirée chaude, très chaude, peut-être sauvagement chaude. Je m'attendais à être l'objet de leur partage, voué à assouvir leurs passions les plus secrètes. Une soirée exténuante, ponctuée de surprises que ces deux zélotes sexuels mijotaient probablement depuis quelques jours. J’espérais être à la hauteur et tenir le coup.
Arrivés à la maison, nous prenons une pause. J'en profite pour faire une sieste, mais mon sommeil est agité, terrassé par des images lubriques et des scènes salaces qui tourbillonnent dans ma tête comme un cyclone de désir. Mon esprit est en feu, imaginant tous les scénarios possibles, tous les plaisirs que je pourrais éprouver ce soir. Quel est ce plan, dont mon mec ne veut me dévoiler le moindre détail ? Il le sait bien qu'en me préservant de me les donner, je deviendrais si excité que son plaisir, le mien et celui de Ricky n'en seraient que décuplés.
Alain en profite pour préparer les lieux en prévision de cette soirée, transformant notre maison en un véritable paradis des sens. La salle de jeu est aménagée pour un plan à trois, avec des jeux de lumière, des musiques sensuelles et des odeurs enivrantes qui flottent dans les airs. Le cellier est bien garni, le bar aussi, avec des boissons aphrodisiaques. Il prévoit commencer la soirée au salon, où il espère que les préliminaires débuteront, une fois tous bien détendus et exaltés. Alain ne ménage rien pour s’assurer que cette soirée soit inoubliable, une soirée qui va nous faire découvrir de nouveaux plaisirs et de nouvelles sensations.
Lorsque je me réveille, je le retrouve sur la terrasse, détendu et serein, profitant du soleil et de la fraîcheur de l'air. Il m'accueille avec douceur et me demande comment je vais, son regard bienveillant et attentionné. Je sais qu'il désire que tout se passe bien et que je puisse répondre aux désirs de notre invité, Ricky. On en discute, et je lui pose des questions sur les préférences de Ricky, sur ce qu'il aime et sur ce qui le fait vibrer. Je connais maintenant certaines de ses préférences et me fais une idée sur la façon de lui faire vivre une expérience unique, excitante à souhait.
Je me retire et entame un rituel qui m'assurera d'être au sommet de ma forme. Je commence par ma toilette, me lavant et me parfumant pour être frais et prêt pour la soirée. Je porte une attention particulière à mes parties intimes, sachant que Ricky, tout comme Alain, adore faire jouir en prodiguant de longs et juteux anulingus. Je me fais donc un plaisir de me préparer avec soin, pour être à la hauteur de leurs attentes. Ensuite, je me fringue sans trop réfléchir, car Alain a déjà prévu le tout, à la demande de Ricky. Je mets les vêtements qu'il a choisis pour moi, des vêtements qui me font sentir séduisant et sexy, qui mettent en valeur mes courbes et mes formes. Je me sens prêt à affronter la soirée et assouvir les désirs de Ricky. Je prends une profonde inspiration, essayant de calmer mon excitation qui tend à s'emballer, mais qui ne peut pas être totalement contrôlée. Je sens que je suis prêt à tout, que je suis prêt à me donner à Ricky et à Alain, à leur donner tout ce qu'ils veulent.
Le carillon se fait entendre, et mon maître me demande d'aller ouvrir. Par chance, j'ai terminé mes préparatifs et je suis fin prêt à me présenter devant ces messieurs, séduisant, désirable, masculin et répondant fidèlement à l'image qu'ils veulent que je projette. La soirée peut commencer, me dis-je. Ils en auront plein la vue.
J'ouvre la porte sans regarder qui y est, mais je sens déjà une certaine excitation dans l'air. Devant moi, se trouve dans la brunante du soir un étalon qui, à sa seule vue, provoque une puissante décharge électrique le long de mon échine tant il dégage une masculinité assumée et confiante. C'est Ricky, dans toute sa splendeur, vêtu de cuir, qui met en valeur ses muscles et sa virilité. Son short est court et ajusté, laissant peu de place à l'imagination. Je peux sentir mon sexe se dresser, au point de craindre que mon gland se pointe à l’extérieur de son cachot. Je le salue chaleureusement, heureux de le revoir. Rick détecte une certaine excitation dans ma voix.
Il entre, me fait la bise et m'enlace doucement avant de desserrer l'étreinte. Son odeur de musc mêlée à celle du cuir et de sa douce sueur m'enivre, me fait tourner la tête. Son toucher est chaud et sensuel, et je peux sentir une certaine tension sexuelle s'installer entre nous. Je me sens attiré par lui, et mon pouls s'accélère.
Alain arrive aussitôt, l'invitant à entrer et lui faisant la bise aussi. Les deux hommes échangent des regards complices, et je peux sentir que la soirée sera chaude, très chaude. Mes amants s'entendent comme larrons en foire, et je sais que je suis au centre de leur attention. Je crains un peu pour mon fion, mais je suis également excité par la perspective de cette soirée, qui promet d'être intense et passionnée.
Je comprends au fil de la soirée qu’Alain et Ricky sont deux potes de partouzes, des amis qui partagent une passion pour les expériences sexuelles intenses et variées. Leur "amitié" remonte à un certain temps, lorsque, plus jeunes, ils garnissaient, à deux, leurs tableaux de chasse, enchaînant les conquêtes et les expériences sexuelles. Ce soir, je suis définitivement le gibier bien frais qu'ils ont pisté, et après un ou deux shooters, Ricky lance l'assaut en m'intimant de venir m'asseoir sur lui, plus précisément, de le chevaucher.
Je peux sentir mon cœur battre plus vite et mon sexe se dresser à l'écoute de sa demande, mais je suis également un peu intimidé par la perspective de me donner à deux hommes à la fois. Je regarde Alain, qui me sourit et me fait un signe de tête, comme pour me dire "vas-y, c'est parti". Ricky me regarde également, ses yeux brillant d'excitation et de désir.
Je prends une profonde inspiration et je m'approche de Ricky, qui me tend les bras, assis dans le sofa de cuir. Je dépose mes mains sur ses épaules, osant me tenir après les sangles de son harnais pendant que je le chevauche. Je peux sentir son sexe se dresser sous moi, dès le contact de mes cuisses sur les siennes. La sensation est intense et l’excitation monte rapidement. Alain nous regarde, un sourire sur les lèvres, et je vois qu'il est excité par la scène.
Ricky dépose ses mains sur mes cuisses et les glisse vers l'arrière, les passant sous les sangles de mon jockstrap. Il saisit mes fesses fermement et enfonce ses doigts dans ma chair, avant de continuer leur course jusqu'à la cible, son regard fixé sur moi, observant chaque mouvement de mon corps. Les doigts se rejoignent entre ma raie, en direction de mon anus qu'ils tentent d'assaillir. La caresse me fait gémir de plaisir, mon corps se tendant légèrement sous la pression de ses doigts. Alors que mes mains caressent sa barbe, sa nuque et ses larges épaules, je me penche sur lui pour l'embrasser, offrant par le fait même un meilleur accès pour tester la souplesse de mon fion.
Ricky entrouvre sa bouche alors que ma langue tente une intrusion, désirant rejoindre la sienne. L’attouchement est électrique et en quelques millisecondes, il pénètre profondément sa langue et la ressort, ses lèvres assaillent les miennes, les lèchent, les sucent. Il les mordille et recommence, son baiser devenant de plus en plus intense. Complètement sous son emprise, je sens ses mains se refermer sur moi, possessives, tandis qu'il relève mes fesses, me tirant vers lui, exposant mon fion rose, étiré et doigté, à la vue d'Alain, qui observe, perdu dans son propre plaisir, se masturbant lentement. Nos bouches restent soudées, coupées du monde extérieur, noyées dans une sulfureuse étreinte sexuelle qui nous consume.
Ricky se cale dans le sofa et m'attire vers lui, m'étreignant avec force. Son excitation est palpable et se traduit par des caresses appuyées. Ses mains baladeuses et insatiables parcourent mon dos, mes fesses, mes cuisses, comme si elles cherchaient à absorber chaque parcelle de mon corps. Son désir pour moi est si intense qu'il me dévore sans répit, comblant cette privation qui l'habite depuis notre première rencontre.
Sa bouche quitte la mienne, le temps de reprendre son souffle. Puis, tandis qu'il se met à dévorer mon cou, il glisse un majeur, puis un index en moi, profondément. Un cri de plaisir m'échappe. Ricky s'affole à m'entendre et accentue ses mouvements, faisant danser ses doigts dans mon rectum, titillant ma prostate. Je suis submergé par des vagues de transe qui se succèdent dans mon corps, me faisant perdre pied. En proie à une soumission totale, aux prises avec ses assauts virils, je gémis, couine et geins, délectant le plaisir d'être prisonnier de ses bras.
Les muscles de ses bras semblent se relâcher, l'étau se desserre. Il me laisse me redresser en appuyant mes bras sur les assises du sofa. Je le regarde, encore assis sur lui, et je suis frappé par sa séduction et sa virilité. Sa bouche humide et ses lèvres pulpeuses, entrouvertes, laissent entrer l'air qui, depuis quelques minutes, avait été trop rare. Nous reprenons nos esprits, le temps de laisser la tension sexuelle retomber à un niveau moins explosif.
Ricky me sourit en caressant doucement mes cuisses, son torse montant et descendant au rythme d'une respiration profonde. Il me tape une fesse et me dit : "Allez, viens, on va poursuivre dans la salle de jeux."
Je descends de sur lui et vois Alain, caméra à la main, filmant nos préliminaires. La réalité de la situation me frappe soudainement : il était dans le coup avec Ricky. Je décide de ne pas y prêter attention, trop excité sexuellement. Tout ce que je désire, c'est poursuivre nos ébats. Ricky me tourmente, me faisant monter l'envie. Je ne peux pas imaginer que la soirée se termine sans qu'il soit en moi.
Dès que j'entre dans la salle, Ricky me prend une fesse fermement, son impatience de continuer à me baiser est évidente. Je tourne la tête légèrement, nos regards se croisent. Je lui décroche un sourire espiègle, et il réagit immédiatement. Il passe son bras autour de mon cou, me tire vers lui et me loge un bisou bien appuyé sur les lèvres. Puis, il retire son bras, me laissant avec ma fébrilité à contrôler.
Alain propose de commencer par regarder ce qu'il a filmé et nous sert un verre de whisky pour nous faire patienter, le temps de brancher sa caméra sur l'écran. Il se dépêche, conscient que la tension sexuelle qui nous habite est indéniable et que la lourde charge de testostérones qui coule dans nos veines nous pousse irrésistiblement l'un vers l'autre, Ricky et moi. Il craint que nous ne puissions pas résister à notre désir, encore longtemps.
L'écran projette la vidéo, et nous sommes immédiatement plongés dans l'ambiance. On entend le cuir crisser, les bruits de bouches et de harnais, qui nous font frissonner. Je me vois de dos, fesses dénudées, mon fion reposant sur cette grosse bosse enveloppée dans une coquille de cuir qui épouse parfaitement ma raie. Puis, je vois Ricky prendre l'initiative et me caresser, ma raie s'ouvrir sous la force de ses doigts, ma rondelle bien en vue, en gros plan. Je bande de plus belle, mon excitation montant en flèche. Je trouve la scène des plus excitantes, presque irréelle. Je m'entends encourager mon amant par les râlements joussifs. C'est chaud, terriblement chaud, et je sens mon corps réagir de plus en plus fort.
Je cale le reste de mon verre et le dépose, les yeux rivés sur l'écran. Je sens Ricky s'approcher derrière moi, ses bras glisser devant moi, agrippant mon sexe d'une main ferme et mon pectoral orné d'un piercing de l'autre. Il me lèche l'oreille et me murmure à l'oreille comment la scène l'excite, son souffle chaud contre ma peau. Je ne peux répondre autre chose qu'un son de satisfaction, trop épris des caresses de mon homme viril qui pousse sa queue contre ma raie, me faisant frissonner de plaisir.
Je tourne la tête pour accueillir sa délicieuse bouche, et il me resserre contre lui, attrape mes lèvres avec les siennes. Sa langue, prenant la relève, investit ma bouche, et je me tourne davantage, attiré par la sensualité du baiser. Ricky m'accueille dans ses bras et glisse ses mains sur mes fesses. Je lui prends la tête entre mes mains pour mieux goûter ses lèvres, sa bouche et sa langue, avec laquelle la mienne valse en un rythme passionné.
La vidéo a cédé la place à une musique douce et sensuelle. J'entends des pas derrière moi, mais je suis déjà sous l'emprise de Ricky, qui m'étreint virilement, mettant mon corps en état d’alerte maximale. La puissance de ses caresses, sa façon d'embrasser, de me communiquer qu'il est fou de moi, me rend furieusement épris de lui. Chaque geste, chaque baiser, chaque mouvement de son corps me transporte dans un monde de plaisir et de désir intense. Son rythme, sa façon de me prendre, de me mener aux confins de la jouissance, me chavire et me fait perdre pied. Je meurs d'impatience de connaître la suite, de sentir son corps contre le mien, de nous laisser emporter par notre passion et d'atteindre le point de bascule qui nous fera exploser de plaisir.
Ses mains remontent le long de mon corps, générant une douce chaleur. Derrière moi, je sens un souffle chaud me caresser la nuque, me faisant frissonner. Puis, des mains se déposent sur mes hanches, et un corps se presse contre le mien, me faisant sentir son poids et sa puissance. Je tourne la tête, instinctivement, mais Ricky saisit mon menton et me maintient en place, son regard fixé sur moi. Mon maître entre en jeu, et je reconnais immédiatement ses étreintes, qui me font sentir désirable et invitent à la soumission. Ses mains glissent devant et attrapent mon torse, me faisant sentir son étreinte ferme et possessive. Je suis pris entre deux mâles, qui recherchent leur plaisir dans un scénario où je n'ai pas de voix, où je suis l'objet de leur désir. Cela m'excite au plus haut point.
Nous nous embrassons à trois, les caresses m'étant quasi-exclusivement destinées. Les sensations ressenties sous les touchers attentionnés de ces deux hommes, qui palpent érotiquement mon corps, sont indescriptibles. Chaque partie de mon corps est auscultée et câlinée avec une douceur et une indécence qui me font fondre. Mes mamelons sont pincés avec délicatesse, mon cou léché avec tendresse, mes oreilles mordillées avec une douce brutalité, mes cuisses palpées avec une fermeté qui me fait frémir, et ma queue visitée en alternance par ces quatre mains expertes, qui me grisent de plaisir. Je me sens dans un état second, sans énergie, laissant ma destinée, bien volontairement, à ces deux fauves affamés qui me dévorent de leurs caresses.
Andreia me susurre de m'agenouiller, et je m'exécute immédiatement. Ricky prend un léger recul, me permettant d'obéir à mon maître. Je sais ce qu'ils veulent, et ils ne seront pas déçus. Le temps de descendre sur mes genoux, mes deux adorateurs se cajolent, s'embrassent avec passion. Voir ces deux hommes se délecter de la bouche de l'autre est un spectacle bandant qui m'embrase. Je les agrippe chacun par une jambe, prêt à les sucer. Sans attendre, Ricky passe sa main derrière ma tête et me presse le visage contre sa coquille. La bouche ouverte, j'essaie tant bien que mal de le masser avec mes lèvres, mais je n'y parviens pas facilement. Il relâche la pression, ce qui me permet de mieux me positionner. Je descends dessous lui pour lécher ses couilles qui se laissent entrevoir sous cette seconde peau qui peine à les retenir. J'entends le son d'un râlement étouffé dans une bouche, m'indiquant qu'ils se sucent encore la langue.
Une première coquille se détache, révélant la majestueuse érection de mon maître, luisante de liquide séminal. Je délaisse la coquille de Ricky pour me consacrer à l'objet de mes désirs, que je commence à lécher avec une lenteur délibérée, partant de la base pour remonter jusqu'au gland. Chaque mouvement de ma langue est précis, chaque caresse est calculée pour exciter au maximum. La main de mon maître se pose sur ma joue, puis derrière ma tête, pour me guider dans cette danse sensuelle.
L'autre coquille se détache à son tour, dévoilant la puissante érection de Ricky. Trop heureux de pouvoir découvrir cet engin que Ricky gardait bien secret, je me tourne vers lui avec excitation au moment même qu’il surgit de son cache-sexe en cuir dans toute sa splendeur. Son zob est impressionnant par sa dimension, sculpté à merveille ; un organe nervuré, bien rose, d’une belle rigidité qui me fait autant saliver que douter de ma capacité de l’accueillir en moi. N’en déplaise à ma raison, je me jette dessus avec avidité, mes lèvres se refermant autour de sa large verge. Je la lèche, la masse, la suce et me l'enfonce profondément dans ma gorge, appréciant chaque détail de son anatomie. Les sons de fellation saliveuse qui s'échappent de ma bouche sont la seule musique qui nous entoure.
Je relève les yeux et croise le regard de Ricky. Son magnifique gland est captif de mes lèvres qui le serrent et de ma langue qui le caresse. Ricky et Alain se tiennent par les épaules, comme si Alain réconfortait Ricky encaissant les spasmes de jouissance que la fellation lui procure. Nos regards se croisent. Leurs bouches entrouvertes et humides salivent. Je saisis la bite d'Alain et la fais disparaître dans ma bouche, tout en tenant fermement celle de Ricky par sa base. Je le laisse reprendre ses esprits, tandis que je m'acharne sur la bite de mon mec qui semble avoir été négligé. Mais à en juger par ses gémissements de plaisir, il est loin de s'en plaindre.
Je décide d’alterner entre les deux queues, pour éviter que ni Ricky, ni Alain ne refroidissent. Entre les succions de bites et de couilles, je masse le gland de mon autre amant avec le pouce, utilisant le pré-sperme comme lubrifiant naturel.
Rapidement, les deux mâles s’affolent, râlent et encaissent des ondes de transe qui les rendent vulnérables, les poussent au bord du précipice. Leurs corps frémissent de plaisir. Je les entends s’échanger des bisous et sens leurs urètres se gorger de sperme. Je ralentis le rythme, et suspends même les caresses quelques secondes, le temps de les laisser redescendre. Mais dès que je les entends respirer plus calmement, je ressaisis leurs verges, les rapproche pour les masturber ensemble, frotter leur gland l’un contre l’autre en y promenant ma langue pour capter ce délicieux mélange de nectar. Alors, le concert de gémissements reprend aussitôt.
Je les emmène dans un voyage entre épuisement et extase, les maintenant dans cet état pendant de longues minutes, sans leur laisser le choix entre les deux. Ricky et Alain en sont fous et en redemandent sans cesse. Jusqu'à ce qu'ils soient sur le point de jouir, leur excitation atteignant un pic. Je suis tenté de les faire basculer et franchir cette limite, de les pousser à m’éjaculer sur mon visage. Mais ils ont d'autres plans pour l’instant. Mon maître me demande de me relever en touchant mon bras, à bout de souffle, incapable de s'exprimer.
Je délaisse à regret ces deux sublimes queues, leur jus encore frais sur mes lèvres. Dès que je suis relevé, je le partage avec eux. Nous échangeons un baiser langoureux, nos bouches imprégnées de leur semence. C'est foutrement excitant de sentir leur langue et leurs lèvres sur ma peau, comme s'ils goûtaient à un fruit défendu. Ils me sucent la langue et les lèvres avec avidité, tandis que je sens leur excitation monter en flèche. Alain me touche une fesse fermement, son toucher est électrisant, pendant que Ricky masse mon mamelon percé avec douceur. Je me sens pris entre les deux, à l'aube d'une nouvelle étreinte charnelle, mon corps tendu vers l'extase.
Cette seconde préliminaire est comme une entracte sensuelle, où ils se détendent avant le dernier acte. Ils sont particulièrement attentionnés à mon endroit, généreux de leurs caresses et de leur affection. Je me sens dévoré comme une proie, mon corps soumis à leur appétit insatiable. Leurs bouches sont comme des ventouses qui cherchent à trouver un coin de mon corps à bécoter, sucer ou mordiller, tandis que leurs mains sont concentrées à me masturber lentement, langoureusement, avec une douceur qui me fait fondre. Et puis, il y a leurs doigts de magiciens qui tapotent et toupillent dans mon anus, me faisant frissonner de plaisir.
Je ne suis pas dupe, ces caresses servent autant à m'attiser qu'à me préparer à ce qu'ils désirent le plus : me démonter. J'en suis conscient et espère qu'ils ne ménageront pas leur ardeur, même si je redoute la merveilleuse bite de Ricky, toujours si excité et qui voudra sûrement prendre son pied. Je suis à la fois impatient et un peu inquiet, sachant que je vais être soumis à leur passion débridée.
Ces minutes de cajolerie sont un pur délice, un moment de grâce où mon corps et mon esprit sont en liesse, profitant pleinement de cette détente jouissive. Mes amants se préparent, leurs regards échangés avec une complicité silencieuse. Ricky jette un clin d'œil à Alain, à mon insu, et celui-ci me souffle à l'oreille : "Viens avec moi". J'obtempère, mon cœur s'affolant à l'idée de ce qui va suivre. Alain m'amène dans le sling, où il fixe mes jambes bien écartées avec des mousquetons et des sangles. Je suis à la fois surexcité par la position, angoissé aussi, anticipant une sodomie des plus bestiales. Mon corps est tendu, prêt à subir les assauts de mes amants, tandis que mon esprit est envahi de pensées contradictoires : excitation et peur, plaisir et douleur.
Alain se positionne devant moi, ses mains caressant doucement mes abdominaux. Il m'intime de me détendre, sa voix suave et rassurante. Il fait gicler du lubrifiant d'un tube sur ses doigts, qu'il appose délicatement sur mon anus, déjà bien dilaté et souple après avoir été tant doigté. Je n'ai de yeux que pour lui, mon cœur battant à tout rompre, tandis que je le désire ardemment. Je sais comment il baise bien, avec une douceur et une précision qui me rendent fou d'amour. Mais, il se retire soudainement, et je vois Ricky, ses yeux noyés de lascivité, s'approcher de moi avec un sourire langoureux.
Il dépose ses chaudes mains sur mes hanches, son toucher est électrisant. Je me sens vulnérable, mais aussi terriblement excité.
— Prends-moi doucement, Ricky, lui dis-je d'un ton suppliant, ma voix tremblante d'anticipation.
— Pas de souci, mon mignon, me répond-il, sa voix rauque et séductrice. Je ne veux pas de mal.
De sa main, il vérifie la souplesse de mon sphincter, d’un toucher doux, mais ferme. Je geins subtilement, mon corps réagissant à son contact. Il semble ravi de m'entendre, un sourire de satisfaction se dessinant sur son visage.
— Accroche-toi, mon beau, me dit-il, sa voix chargée de promesses.
De sa main droite, Ricky prend son pénis et balance son bassin de l'avant, permettant à son gland de toucher mon anus. Il teste l'élasticité de mon sphincter, son regard fixé sur moi avec une intensité qui me fait frissonner. Alain, qui s'est rapproché de moi, est excité à l'idée de voir un pieu surdimensionné forer mon cul, et me caresse doucement les abdominaux, me suggérant de respirer profondément pour me détendre.
Ricky perce l'orifice, qui cède avec peine, et pause, me donnant un temps d'adaptation. Il me sent serré, ce qui l'excite d'autant plus, et son regard s'allume d'une lueur de plaisir. Mon sphincter se détend lentement, et il se glisse en moi doucement, forçant son passage vers le fond. Je le sens bien en moi, son pénis épais et long, et me demande combien de centimètres de queue je peux encore prendre, ne me sentant pas complètement pénétré. La sensation est intense, et je me sens étiré, mon corps s'adaptant à la présence de Ricky en moi.
Il se retire doucement, puis revient en moi avec une poussée plus forte, son long pénis lubrifié glissant en moi avec une légère douleur. Mais je suis prêt à aller plus loin, et je lui fais signe de la tête, le souffle court, que tout est OK. Son sourire de vainqueur en dit long, à la fois heureux et excité par la perspective qu'il pourra me sodomiser à fond.
Alors, il entame un sensuel va-et-vient, ses mouvements de bassin lents et profonds, qui me rappellent un langoureux tango. La danse est intense, les corps soudés, les souffles mêlés. L'énergie des amants sensuellement épris l'un de l'autre est palpable, et le rythme accélère vers la finale, chaque coup de reins plus puissant, plus profond. Je me sens emporté dans un tourbillon de plaisir, mon corps répondant à chaque mouvement de Ricky, notre union devenant de plus en plus totale.
Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, le souffle court, je gémis lourdement à chaque coup de reins, mon corps tendu à l'extrême. Ricky est affolé, il réplique avec une intensité croissante, son corps se raidissant, sa queue se durcissant davantage. Je sens son excitation monter, son désir de jouir devenant inévitable. Mon corps le demande, suppliant qu'il me délivre de ce supplice que ma prostate ne peut plus encaisser. Mais, mon esprit, lui, veut que Ricky puisse me défoncer encore et encore, me posséder totalement.
Je suis noyé dans l'extase, mon corps en feu, mon esprit en transe. Et puis, soudain, je le sens se retirer, son pénis glissant hors de moi avec un doux bruit de succion. Je suis laissé pantelant, mon corps encore vibrant de plaisir, mon esprit encore sous l'emprise de l'extase. La sensation est intense. Je me demande si je vais pouvoir survivre à cette décharge de plaisir.
Je ferme les yeux, essaie de reprendre mon souffle, mon torse se gonflant pour aspirer de l'air frais. Mais avant que je puisse me ressaisir, Andreia me pénètre d'un trait, son pénis épais et chaud s'enfonçant en moi avec une force qui me coupe le souffle. Il se met à me pomper virilement, ses coups de reins puissants et réguliers me lançant dans une montagne russe d'émotions. Je hurle ma jouissance, mon corps se tendant à l'extrême, tandis que mon maître, cette fois, me démonte sans ménagement, son regard fixé sur moi avec une intensité qui me fait chavirer.
La sensation est intense. Je me sens défoncé, mon corps soumis à une torture délicieuse. Mais, je ne peux les arrêter ; je ne le désire pas de toute façon. Je suis emporté dans un tourbillon de plaisir, mon corps répondant à chaque coup de reins d'Andreia, chaque mouvement de mon maître. Je suis à leur merci, soumis à leur plaisir, et le suis avec délice.
Andreia se retire, laissant mon fion luisant de pré-sperme et de lubrifiant. Mon esprit est parti en vrille depuis si longtemps, dès les premières pénétrations. Je suis dans un état de transe, mon corps soumis à une torture délicieuse. J'espère reprendre mes esprits, mais avant que je puisse me ressaisir, je sens Ricky revenir me baiser à nouveau.
Ils alternent pendant plusieurs minutes, en donnant la charge à fond, chaque fois interrompant le coït pour ne pas éjaculer trop vite et faire durer leur plaisir. Je suis soumis à une véritable tempête de plaisir, mon corps encaissant les assauts répétés jusqu'à en perdre mon tonus, épuisé. Mon souffle est court, mon cœur bat à tout rompre, et je me sens comme si j'allais m'effondrer.
Alors, de concert, mes amants se retirent et commencent à se masturber mutuellement, leurs mouvements synchronisés et intenses. Ils atteignent l'orgasme simultanément, leurs semences chaudes et abondantes se répandant sur mon torse et mon visage. Je les observe, un sourire aux lèvres, tandis qu'ils reprennent leur souffle. Dans leurs yeux, je lis leur plaisir et leur satisfaction. Ils se penchent vers moi, m'embrassant avec tendresse et gratitude, scellant ainsi cette soirée mémorable. Je leur rends leur sourire, comblé et heureux de faire partie de leur univers.
A suivre

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Andreia signifie mâle viril en ancien grec tandis que Kouros signifie jeune homme qui pouvait participer à des initiations. C’est la volonté d’Alain, le maître, d’exiger à Jay d’utiliser ces noms.

Histoire Coquine
alain devient andreia et jay kouros, pourquoi ?



Texte coquin : Le plan licencieux d’Alain.
Histoire sexe : Une rose rouge
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