Basta Jay !

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Basta Jay ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Basta Jay !
Ce chapitre est le septième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier, L’Antre de mon amant policier, Alain poursuit mon objectification, Le plan licencieux d’Alain et Au lit avec Ricky.
*
Allongé dans un transat, les yeux fermés derrière des verres solaires polarisés, je revivais les moments de la soirée et de la matinée précédente, où j'avais fait connaissance avec Ricky. Faire connaissance ? Non, pas tout à fait ! Nous avions largement dépassé le stade des présentations. Nous avions cédé à la concupiscence, si on peut dire.
Rapidement, les moments les plus intenses vinrent se bousculer dans mon esprit, ravivant ce plaisir indescriptible d’avoir été pris en charge par deux superbes mâles actifs et adeptes de la baise sensuelle et langoureuse. Je sentis ma queue se gonfler, mon scrotum se resserrer, et mes mamelons se dresser. C’est alors qu’Andreia arriva sur la terrasse, notant sans difficulté l’état dans lequel je me trouvais.
— À quoi tu rêves, Kouros, mon mignon ? demanda-t-il.
— Hum, rien de particulier. Je ne m’attendais pas à cette question, répondis-je.
— Hum ! Tes pensées semblent bien excitantes à voir la bosse dans ton maillot. Tu bandes souvent en rêvassant ? me demanda-t-il.
— Comme tous les hommes, répondis-je, pas très doué pour ce genre d’interrogatoire. Puis. de rajouter, sur un ton amoureux, tu joues à la police ? Quel délit ai-je commis ?

Andreia mit en échec, ajusta son tir.
— Bien sûr que non, mon beau Kouros, rétorqua Andreia, sur un ton légèrement vexé. Je suis toujours excité de voir ton magnifique corps tendu, érotique à en baver. Je voulais simplement savoir quelle pensée était à l’origine de cette érection.
Et sans attendre de réponse, Andreia s'assit en califourchon sur ma transat, forçant à me redresser et à m'appuyer contre le dossier, afin de lui faire une place.
— Je ne voulais pas déranger ton moment de détente après la muscu. Je suis désolé. Je voulais simplement discuter.
— Andreia ! Il n'y a pas de souci. Ta question m'a simplement surpris. Et je ne suis pas très bon dans les interrogatoires.
— Tu pensais à Ricky ? demanda-t-il, coupant court aux excuses.
— À toi et à lui. Forcément, car vous étiez deux à me baiser.
Je vois. C’est vrai que c’était très excitant de te prendre en alternance. J’ai bien vu que tu en as perdu tous tes moyens.

Je lui souris, un sourire de reconnaissance, bien senti.

— Et ta matinée ? C’était comment ? enchaîna-t-il en me caressant une cuisse bien sensuellement.

Je me demandais ce que mon maître cherchait à savoir. Après tout, c’était lui qui m’avait laissé dans le grand lit de la salle de jeu, seul avec Ricky, pour y passer la nuit. Pensait-il que j’allais revenir dans notre chambre au réveil ? Enfin, l’espérait-il ? Je n’avais jamais envisagé les choses sous cet angle. Alors, je lui répondis que la soirée ayant été des plus éreintantes, je m’étais réveillé tard en matinée pour m’apercevoir que j’étais seul avec son ami barbier. Sans plus.
Visiblement, ce n'était pas ce qu'il voulait savoir. Il semblait plus intéressé par des détails précis, sans pour autant me demander de les lui communiquer. Alors, il me demanda ce que j'avais fait à mon réveil, sachant désormais l'heure à laquelle j'avais ouvert l'œil et celle à laquelle j'avais pris ma douche. En bon policier, il connaissait certains faits sur la ligne du temps. Il voulait savoir ce qui s'était passé entre ces deux événements.
Je me sentais troublé. Avais-je profité de Ricky sans son consentement ? Je sentais une tension monter, un étau se resserrer autour de moi. Alors, je décidai de jouer au repentant et posai à mon tour une main sur sa cuisse, débutant le récit de nos ébats, sans toutefois lui fournir un détail important : celui des deux amants ayant initié les ébats qui se terminèrent comme prévu, bien harponné par mon barbier.
Le récit de la matinée dans les bras puissants de Ricky l'excite, à en juger par la tâche luisante sur l'empreinte de son gland dans mon maillot bien ajusté qu'il porte à merveille.
La conversation semble terminée et je comprends qu'il est satisfait du compte-rendu, lorsqu'il s'approche de moi et attrape doucement mon menton pour déposer ses belles lèvres charnues sur les miennes. Je l'accueille avec sensualité et lui caresse même un pectoral. Il se retire, son regard plongé dans mes yeux, et me demande :
Et qui des deux a pris les devants ?
— C’est moi, maître ! avouai-je, ma voix tremblante d’effroi, voulant mettre fin à ce supplice.
Andreia se leva doucement, son corps musclé se découpant dans la lumière, et rentra dans l’appartement. Je le suivis des yeux, mon regard accroché à ses formes parfaites, me demandant si j’avais commis une erreur. Je crois que Ricky m’aurait dévoré, peu importe l’initiateur des ébats. On aurait baisé ensemble, quoi qu’il advienne. Était-ce du contrôle ou de la jalousie de la part d’Andreia ? Était-il triste de savoir que j’avais attisé et incité son ami à me sodomiser, à me prendre avec une telle fureur ? Soudain, le doute et la culpabilité d’avoir cédé à la tentation me hantent, mon cœur battant à tout rompre. Avais-je déçu mon maître ? Je décidai d’aller le rejoindre, ne pouvant pas rester dans cet état de tension bien longtemps. Je devais savoir pourquoi il semblait si affecté par notre conversation, pourquoi son rejet m’affectait ainsi.
J'entre dans la cuisine et le rejoins. Il est debout devant le comptoir, un verre d'eau à la main, son regard perdu dans le vide. Je l'attrape doucement par derrière et l'enlace tendrement, mes bras se refermant autour de sa taille. Je lui susurre à l'oreille des excuses, ma voix chaude et apaisante, et lui demande ce qui ne va pas. Il me laisse le cajoler, le réconforter, son corps se détendant légèrement dans mes bras. Je lui dis que seul lui compte, que je ne veux pas ruiner notre relation, que je l'aime et que je veux tout faire pour le rendre heureux.
— Il se retourne doucement, ses yeux rencontrant les miens avec une intensité qui me fait frissonner. Il met ses mains sur mes hanches et m'avoue qu'il regrette de m'avoir laissé une matinée dans les bras de son ami. Je l'embrasse, animé par une soudaine envie de le rassurer, de l'aimer et de lui communiquer autrement que par des mots. Je dévore sa bouche, son cou, sentant son corps se tendre contre le mien. Je sens l'excitation nous gagner et lui dis :
— Il n'y a que toi qui comptes.

Ému et émoustillé à la fois, il retrouve ma bouche et la laboure sensuellement pendant de longues minutes, nos langues dansant ensemble dans un rythme passionné. Son souffle chaud contre ma peau me fait frissonner. Finalement, il interrompt notre lascive danse linguale, son regard brillant de désir.

— Allez, Kouros, on doit y aller. Le tatoueur nous attend.

J'avais complètement oublié ce rendez-vous, mais je savais que mon maître y attachait une grande importance. Il voulait que je sois la parfaite incarnation de la séduction, que chaque muscle de mon corps soit sculpté avec précision, que ma peau soit lisse et douce au toucher, que mes cheveux soient coiffés de manière à mettre en valeur mes traits fins, que ma barbe soit taillée avec soin et que je porte mes joncs et clous d'oreille avec élégance. Il aimait me voir vêtu de vêtements qui moulent mon corps, qui mettent en valeur mes courbes et mes lignes, et qui font ressortir la sensualité qui émane de moi.
Lorsqu'il me regardait, je sentais son regard brûlant sur ma peau, comme une caresse qui me faisait frissonner. Il aimait me déshabiller du regard, me faire sentir comme si j'étais à lui, comme si mon corps était un temple qu'il pouvait explorer à loisir. Et moi, je me sentais fier de lui appartenir, d’être son jouet, son instrument de plaisir.
Ma sexualisation se poursuivait inexorablement. La prochaine étape, il l'avait décidé, serait de me faire tatouer une manche et un pectoral. Son idée était claire : il voulait que son amant soit un être qui respire la sensualité et la puissance. Il avait une vision précise de ce qu'il voulait obtenir, et j'étais le support idéal pour matérialiser son fantasme. Il aimait que je sois la convoitise de ses amis.
Le tatouage était plus qu'une simple marque sur la peau ; c'était une transformation profonde, une métamorphose qui allait me rendre encore plus irrésistible à ses yeux. Il voulait que je sois son idéal masculin, son compagnon de rêve, celui qui allie beauté, force et séduction. Et pour cela, il était prêt à investir temps, argent et attention pour me façonner à cette image qu’il avait en tête.
Je me souviens soudainement de ce tatoueur aux allures de malabar, qui dégageait une virilité brute et assumée. Comment s'appelait-il déjà ? Ah oui, Bastien ! Ce Bastien qui m'avait accueilli avec une bise qui n'en était pas vraiment une. En réalité, c'était une bise, mais son étreinte ferme, sa main derrière mon dos et ses lèvres qui pesaient sensuellement sur mes joues communiquaient bien plus qu'un simple "enchanté de te connaître". Je ressentais une étincelle de désir, un "un jour, je t'aurai dans mon lit" qui me faisait frémir. Rien que d'y penser, je me sentais excité.
Et maintenant, j'allais subir une première séance de tatouage, à la demande de mon Andreia. Me retrouver sous le charme de Bastien m'excitait au plus haut point. Je me disais que cette expérience allait être une véritable épreuve de feu, une rencontre entre mon corps et son art. Je sentais mon cœur battre plus vite, mon souffle s'accélérer, tandis que je me préparais à affronter la douleur et le plaisir qui allaient suivre.
Dès notre arrivée, Bastien s'anime, un sourire éclatant sur son visage. Il est visiblement heureux de retrouver son ami Alain, et les deux hommes échangent une bise et une accolade chaleureuse. Puis, c'est mon tour. L'échange est un peu plus réservé que le précédent, et je me rappelle soudainement que mon maître avait fait sentir à Bastien, en quittant son commerce, son mécontent quant à l'ardeur de son accueil envers moi.

Bastien me regarde avec un intérêt particulier, un regard brillant d'excitation.

— C'est un plaisir de te retrouver, Jay, dit-il avec un sourire. J'aime ce moment avec un nouveau client complètement vierge de tatouages. Je me sens investi d'une responsabilité particulière envers un nouvel adepte. Je vais prendre soin de toi, et faire en sorte que cette expérience soit inoubliable.
Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, Alain, encore ébranlé, remercia Bastien de bien s'occuper de moi. Bastien était conscient qu'il allait déposer ses mains expertes sur le nouvel amant de son pote, et que le tatouage devait fidèlement refléter la sélection discutée plus tôt cette semaine.

— Tu veux attendre ici ou que je t’appelle quand j'ai fini ? demanda-t-il à Alain.
— Je serai de retour dans deux heures, répondit Alain, en me jetant un regard de mise en garde qui semblait dire : "ne te laisse pas séduire". Je le saluai avant de me diriger vers le studio de Bastien.
Les deux amis discutèrent un moment ensemble, échangeant des plaisanteries et des regards complices. Puis, Bastien entre dans le studio, à son tour, pour entamer le traçage de l'œuvre d'art qui ornera mon corps. Il ferme la porte derrière lui, et je me retrouve seul, attendant que l'artiste commence à travailler sur ma peau, sentant une tension sexuelle s’installer entre nous. Bastien sait qu'il me plaît. Je lui plais aussi. Et bien qu'il doive rester concentré sur son travail, sa gestuelle trahit son désir. Sa voix profonde et sensuelle aussi.
Bastien m'installe confortablement dans sa chaise et l'ajuste pour qu'il puisse dessiner sur mon pectoral. Il note que je porte un piercing au téton et me complimente sur celui-ci, son regard s'attardant un instant sur la petite boule d'argent qui orne mon sein. Puis, ses mains gantées de latex noir, sa bouche recouverte d'un masque, sa casquette portée avec la visière vers l'arrière, il me chuchote que je ressentirais une certaine douleur. C'est malheureusement inévitable, dit-il avec un sourire en coin.
Et puis, il ose comparer cela à certaines pratiques sexuelles qui s'avèrent à la fois douloureuses et jouissantes à la fois, son sourire se faisant plus large sous son masque. Il lève les yeux vers moi, un instant, observant ma réaction, et note un sourire sur mon visage. Il ne peut s'empêcher de flirter et de tenir des propos à double sens, certains m'émoustillant passablement.
Sa voix, étouffée par le masque, est comme une caresse qui me fait frissonner. Il me parle de douleur et de plaisir, de sensations qui se mélangent et se confondent, de backroom, de cuir, de fouet et martinet. Je me sens comme un objet de désir, et cela me rend à la fois fébrile et excité. Mais je ne peux pas m'empêcher de sourire.
Je décide de ne pas trop répondre, de ne pas l'encourager à continuer sur cette voie, voulant qu'il se concentre sur son travail. Mais mon regard et mes pensées sont irrésistiblement attirés par son magnifique corps, si costaud et puissant. Ses larges épaules poilues, ainsi que ses bras et mains tatoués, me font chavirer. Chaque geste qu'il pose est magnifiquement exécuté avec une masculinité si forte, que je sens mon pouls battre en accéléré.
Je me sens comme hypnotisé par la façon dont il travaille, par la précision et la force de ses mouvements. Ses muscles se gonflent sous sa peau lorsqu'il appuie sur l'aiguille, et je peux sentir la tension qui émane de lui. Mon regard est attiré par les tatouages qui ornent ses bras et ses mains, des dessins complexes et détaillés qui semblent prendre vie sous mes yeux.
Mon corps réagit à la présence de Bastien, à la façon dont il se déplace, à la façon dont il travaille. Je sens que je suis en train de tomber sous son charme.
Bien avant le temps prévu, Bastien s'arrête de graver. Le pectoral et l'épaule sont terminés, il ne reste que le bras à faire. Il me demande comment je me sens, ne voulant pas insuffler une douleur indue qui durerait plusieurs heures. Il est soucieux de mon bien-être, et je peux voir la préoccupation dans ses yeux. Mais, ma réponse ne l’aide en rien ayant apprivoisé la douleur. J’hésite entre de continuer de le laisser graver ma peau ou aller à la découverte de ce qu’il trame pour la suite du temps qu’il nous reste.
Il se lève, et je ne peux pas m'empêcher de remarquer ses cuisses musclées et poilues, son bassin merveilleusement enveloppé dans un short moulant et court. Il admet simplement avoir besoin d'une pause, quelques minutes pour se détendre. Il s'allume une clope et tire sur celle-ci, laissant échapper la volute de fumée.
On discute de la suite, et je peux sentir la tension entre nous. Il termine sa pause, jette le mégot et regarde sa montre. Il se dit qu'Alain sera de retour dans 40 minutes. Que faire, poursuivre le traçage ou s'offrir son mec en pâture ? Il me regarde avec un sourire coquin, et je peux voir la question qu’il se pose dans ses yeux. Voudra-t-il me donner une petite avance sur le reste du tatouage, ou préfèrera-t-il me donner autre chose ?
N'en pouvant plus d’attendre, je tente de me lever, tant bien que mal, ma bite tendue et à l'étroit dans mon jean moulant qui n'a plus d'espace pour l'accueillir. Je réussis à descendre de la chaise et me retrouve devant lui, torse nu, mon corps frissonnant d'excitation. Je descends lentement le curseur de ma fermeture éclair, révélant une appétissante bosse testant l’élasticité de mon slip en similicuir. Son regard se fixe sur moi, et je sens son désir s'intensifier. Je sais que je suis qu’à quelques secondes de lui offrir sa récompense.
Je prends le temps d'admirer, une fois de plus, sa masculinité puissante, son corps sculpté. Dès lors que je constate ses yeux brûlant de désir, nos regards se verrouillent. Je sens mon pouls s'accélérer, et mon cœur palpiter dans ma poitrine.
Hésitant encore à franchir la ligne rouge, la tension sexuelle atteint son paroxysme lorsque, sans prévenir, Bastien m'agrippe la nuque d'une main et le bas du dos de l'autre, et me tire vers lui avec une force irrésistible. Ses lèvres s'écrasent sur les miennes, et je sens son souffle chaud et son odeur enivrante qui me fait tourner la tête. Il enfouit sa langue dans ma bouche, et je me laisse emporter par le désir, cédant à l'appel de son corps chaud et de ses caresses. La peur de me faire prendre en flagrant délit d'infidélité décuple mon excitation. Je ne désire plus qu’une chose : me faire prendre par Bastien, ici, dans son studio, maintenant.
Son emprise est solide, et je me sens comme une poupée de chiffon, liquéfié à l'idée de me laisser posséder par cet homme. Il me dévore littéralement, s'offre mon corps sans aucune réserve. Je le caresse avec une soif insatiable, comme si je n'avais pas baisé depuis des lunes. L'effet qu'il me fait est tel que mon esprit a coupé tous les liens avec le monde extérieur, emporté par un vortex d’intenses sensations.
Il tient ma tête solidement dans sa large main tatouée, tandis que l'autre main, qui me tenait le dos, descend explorer ma raie. Sans perdre de temps, elle s'insinue jusqu'à ma rondelle et, avec son majeur, tapote mon anus pour me faire monter d'un cran, avant de me doigter profondément. Je me cambre, le dos arqué, en proie à d'intenses ondes de plaisir, offrant mon cou à Bastien qui le suce avec une avidité vorace, complètement noyé dans son désir de m'amener plus loin.
Bastien est tellement excité qu'il ne compte pas faire durer le plaisir. De toute façon, il n'a pas ce luxe. Alain sera de retour dans quelques minutes. Alors, il me soulève délicatement et me dépose sur mes pieds, me fait pivoter sur moi-même, exposant mon dos sur lequel il laisse glisser sensuellement sa main, appréciant chaque muscle. Il descend mon jean, qui semble être une seconde peau, suffisamment bas pour pouvoir manœuvrer à sa guise. L'opération ne prend que quelques secondes, chaque geste empreint de détermination et de désir.
Bastien, voulant m'entendre jouir, se penche vers moi et me murmure à l'oreille des paroles enflammées : "J'adore me taper de jolies lopes comme toi." Ses mots percutants déclenchent une explosion de jouissance qui prend possession de mon corps. Il s'agenouille alors, enfouissant son visage entre mes fesses avec une telle ardeur que je ne peux m'empêcher de laisser échapper un gémissement. Mes fesses s'écartent avec douceur mais fermeté, sa langue cherchant à atteindre mon anus avec des caresses linguales qui me font perdre pied.
Sa langue chaude et humide lèche mon anus passionnément, à me faire frémir. Je bruis de plaisir pendant que ses mains qui agrippent mes cuisses le font avec une tendresse qui contraste avec l'intensité de la sensation. Je me laisse aller, complètement abandonné à ce moment de pur jouissance. Il tente d'introduire sa langue pointue, testant la souplesse du sphincter. Ses caresses me font craquer de désir. Il continue à me préparer, lubrifiant mon anus jusqu'à ce qu'il me juge prêt à l'accueillir dans une anticipation mêlée de crainte et d'excitation, ne sachant pas exactement à quoi m'attendre quant à la taille ou le diamètre de sa hampe avec laquelle il me transpercera et me transportera au septième ciel.
Je sens son souffle chaud et sa langue chaude s'éloigner. Il se relève. Ses mains glissent le long de mon corps, s'attardant sur mes mamelons qui se dressent dès qu'ils les touchent. Il s'accroche à mes épaules et dépose sa verge entre mes fesses, son gland titillant mon scrotum. La caresse est des plus charnelles et tellement délicieuse que je gémis d'anticipation, impatient de connaître le moment ultime, cette pénétration que j'attends avec tant d'impatience. Il poursuit sa manœuvre, m'attisant encore et encore. Je m'ouvre plus grand, l'invitant à profiter du moment, de moi. Il est conscient du contrôle qu'il a sur moi.
Je lui touche une cuisse, insistant qu’il me prenne, qu’il cueille son prochain trophée de chasse. Il ne procède pas immédiatement, voulant marquer sa domination. Il attrape son membre et dépose son gland gonflé sur mon anus, le pressant doucement, forçant l'élasticité du sphincter qui cède, laissant glisser son long sexe en moi avec une lenteur délibérée. Un gémissement guttural m'échappe, déclenché par la sensation intense de son pénis qui me comble, me faisant vibrer de plaisir.
Il s'arrête, sa respiration lourde et profonde, ses mains crispées sur mes hanches, me maintenant fermement en place. Il s'enfonce en moi, le plus profondément possible, sous mes gémissements continus qui résonnent comme une douce complainte érotique, un chant de désir et de plaisir. Je sens son corps contre le mien, sa chaleur, son souffle sur ma peau, et je voudrais que le temps s'arrête, que ce moment dure éternellement, que nous soyons à jamais prisonniers de cette volupté.
Lorsqu'il atteint l'apex, ses fesses se resserrent instinctivement, tentant de toucher le second sphincter du bout de son gland. Je sens son zob gonflé profondément en moi, et je m'affole, submergé par la sensation de son emprise. Il m'enlace virilement, ses bras autour de moi, me maintenant fermement en place, sous mon halètement et mes geignements louangeurs. Il me mordille les oreilles, son souffle chaud sur ma peau, et son organe, totalement gonflé, étirant la paroi de mon rectum, me faisant vibrer de plaisir.
Il empoigne mon sexe et le masturbe lentement, sensuellement, langoureusement, chaque caresse est un délice. Ses doigts glissent sur ma peau, créant des sensations exquises qui se mêlent à la pression de son sexe en moi. Je suis pris dans un tourbillon de plaisir, incapable de bouger, de respirer, de penser, ne pouvant que ressentir.
Je lutte pour me retenir, mais c'est de plus en plus difficile. Que cherche-t-il ? Veut-il que je jouisse ou bien tient-il à décharger sa semence en moi ? Veut-il faire coïncider nos orgasmes, en même temps ? La réponse se fait attendre. Seules ses mains se relâchent, libérant leur emprise sur moi. Elles glissent jusqu'à mes hanches, qu'il saisit solidement, je me sens comme dans un étau. Il se retire lentement, partiellement, pour mieux m'enfoncer de nouveau, avant d'augmenter le rythme de la sodomie et la tonalité de mes mugissements.
Il me pilonne sans pitié, perdu dans son monde aux confins de l'abîme, mon corps ne pouvant plus encaisser les assauts. Je l'entends grogner, libérant la tension de ses muscles tendus et de sa bite qui me farcit de plusieurs jets de sperme chaud. Son orgasme est intense, et je sens sa semence se répandre en moi, comme un leg engravé dans nos mémoires.
Le carillon de la porte d’entrée retentit. C’est Alain!

A suivre

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