Au lit avec Ricky

Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Au lit avec Ricky
Ce chapitre est le septième d'une série qui inclut dans l’ordre, Poursuite policière, La salle d'interro, Comblé pour avoir soudoyé un policier, L’Antre de mon amant policier, Alain poursuit mon objectification er Le plan licencieux d’Alain.
Bonne lecture! Vos commentaires m'aident à créer et produire de meilleurs récits.
*
Le lendemain matin, je me réveillai sans la moindre idée de l'endroit où je me trouvais. Mon esprit était embrumé, incapable de se rappeler le moment et l'endroit où je m'étais couché. Mon corps se sentait inerte, sans énergie, mais étrangement détendu, comme après un long massage sensuel. Lentement, j'ouvris un œil et compris que j'étais dans le grand lit de la salle de jeu. Je le refermai aussitôt, laissant les souvenirs affluer peu à peu, entremêlés et confus.
Les images revinrent progressivement, comme un flot de pensées qui se bousculaient dans ma tête. Je me souvins des chauds baisers de Ricky, des sensuels va-et vient d'Andreia qui me sodomisait langoureusement, de leurs éjaculations, de la façon dont ils capturaient leur sperme avec leur langue pour me le donner à boire en m'embrassant. Un sourire se dessina sur mon visage tandis que je savourais l'instant.
Je glissai ma main entre mes fesses, à l'endroit où je ressentais encore une légère douleur. Ma main en ressortit humide, dégoulinante de sperme. Pas de doute, j'avais été fécondé avec ardeur.
Je me retourne sur le dos, encore dans les brumes de l'éveil. La respiration profonde d'un homme qui dort paisiblement me parvient. C'est sûrement mon maître Andreia, pensai-je. Je tourne la tête vers la droite pour l'admirer, et mon cœur rate un battement lorsque je vois que c'est Ricky. Une décharge électrique parcourt mon corps, et un espoir naît en moi : qu'il se réveille bientôt, heureux d'avoir passé la nuit dans ses draps. Peut-être a-t-il arraché une dernière faveur à mon maître Andreia : celle de terminer la soirée ensemble, pour assouvir tous ses désirs les plus charnels, me dis-je.
Je le regarde, assoupit et serein. Ses lèvres couleur aubergine, cernées par cette courte barbe qui souligne la mâchoire carrée et virile de son visage. Ses paupières, légèrement plus brunes que sa peau, et son visage détendu lui donnent une allure de dieu grec. Qu’il est séduisant ce mec !
Mes yeux glissent sur son corps. Ricky est étendu sur le côté, une jambe repliée, m'empêchant de voir son pénis bien charnu, ses couilles rondes et dures. Ses bras qui étreignent son oreiller avec une tendresse, me fait sourire. Je me demande comment le soustraire des bras de Morphée, le réveiller de ce sommeil profond.
Je l'observe un moment, et ma raison se retire, laissant libre cours à mon instinct primal. Mon cerveau reptilien prend le relais, me dictant de le réveiller, de profiter de l'instant, de le séduire, de le subjuguer et de l'émoustiller pour qu'il l’enlace virilement et me baise. L’envie de le toucher, de le caresser, de le dévorer de baisers me submerge, et je sens mon désir monter en flèche.
Par où commencer ? Je ne veux surtout pas le surprendre. Simplement le faire émerger doucement de son sommeil pour voir ses beaux yeux marrons et lui soutirer un sourire craquant.
Sans trop savoir, j'effleure sa hanche du revers de ma main. Il bouge légèrement, comme pour mieux se caller dans le lit douillet. J'attends un moment, puis je rapplique avec autant de douceur, laissant traîner ma main le long de sa cuisse, cette fois. Ça y est, il la déplie, dévoilant sa jolie verge non circoncise et ses testicules bien serrés dans un scrotum alléchant. Il s'étire comme un gros matou, afin de s'extirper de sa torpeur. Puis il ouvre les yeux, m'aperçoit, et son visage s'éclaire d'un sourire immédiat. Il dépose un câlin bien senti sur ma hanche, avant de me susurrer un suave "bonjour !"
— Salut ! Tu es si beau que je n'ai pas pu résister à te réveiller, lui dis-je avec un sourire.
— Tu as bien fait, me répond-il avec un grand sourire, ses yeux brillant de désir.
Je lui caresse la joue, voulant lui communiquer mon envie, mon désir de le toucher, de l'embrasser. Il passe sa main derrière mon dos et me tire vers lui, ses lèvres sulfureuses se posant sur les miennes. Sa langue chaude envahit ma bouche, et je l'enlace, sentant le feu du désir ardent se répandre à vitesse grand V entre nous.
Il se relève légèrement, son genou glissant entre mes jambes, et sa verge, devenue dure, quasi-instantanément, caresse la mienne tout aussi exaltée. Le contact est électrique, et nous sommes tous les deux pris dans un tourbillon de désir, nos corps se mouvant instinctivement l'un vers l'autre.
Je suis totalement sous l'emprise de Ricky lorsqu'il prend ma bouche d'assaut, ses lèvres chaudes et humides qui sucent les miennes, sa langue qui danse avec la mienne dans un rythme sauvage et passionné. Mon esprit s'embrase, mon corps vibre de désir, et Ricky s'installe entre mes jambes, sa queue magnifique qui palpite contre ma raie, mes jambes accrochées à ses hanches, fermées en ciseau, l'invitant à se presser davantage contre moi.
Sa bouche affamée continue de labourer la mienne, ses bras serrant mon corps embrasé comme s’il ne voulait pas me laisser partir, ma tête reposant dans l'une de ses grandes mains qui la maintient fermement, son pouce caressant ma joue. Je suis pris dans une étreinte solide, charnelle, qui me fait fondre dans un océan de plaisir, sans aucune façon de m'en libérer, ne voulant que me régaler de cet instant de pure volupté.
Ses lèvres chaudes glissent le long de mon cou, laissant une traînée de feu sur leur passage, son souffle chaud qui caresse ma peau sensible. Je sens son cœur battre contre le mien, son rythme accéléré qui témoigne de son désir, et je sais que nous sommes tous les deux prêts à nous abandonner à cette passion qui nous consume.
Il se relève, ses yeux lascifs, mi-clos, me regardant avec une passion dévorante. Sa bouche est entrouverte, les lèvres luisantes de salive, laissant échapper une goutte. Il dépose une main sur mes hanches et, de l'autre, fait danser mon mamelon percé entre ses doigts, le faisant tourner et virer avec une douce brutalité. Le piercing est tiré, me soutirant un gémissement étouffé, un mélange de plaisir et de douleur qui me laisse pantelant. Il récidive à plusieurs reprises, chaque fois me soutirant un bruissement érotique qui monte en crescendo. Puis, il dépose sa main sur l'autre hanche et caresse ma raie de sa longue et large queue, qu'il tente d'insinuer entre mes fesses avec une lenteur délibérée, comme s'il voulait savourer chaque instant de cette caresse.
Elle glisse à merveille, son corps ondulant contre le mien, et par trois reprises, il tente de s'introduire en moi, chaque tentative me propulsant à l'orée de l'extase, me faisant frémir de désir. La tension monte, mon corps se tend, et puis, cette fois, il y parvient, me pénétrant d'une passion sexuelle remplie de langueur, de douceur et de feu. Il s'enfonce en moi comme une lame de désir.
Il s'y glisse facilement, grâce au reste de sperme et de lubrifiant encore présent en moi, depuis hier, qui facilite son entrée, lui permettant de s'enfoncer profondément en moi. La sensation est indescriptible, un mélange de plaisir et de douleur, de désir et de satisfaction, qui me fait râler de plaisir, mon corps secoué de spasmes, mon cœur battant à tout rompre.
Empalé à en sentir son pelvis comprimer mon périnée, ses mains fermement ancrées sur mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma chair, je me cambre pour accueillir chaque centimètre de sa magnifique teub, la sentant glisser jusqu’au plus profond de moi. Il maintient sa position et ses mains puissantes agrippent mes poignets qu’il garde fermement chaque côté de ma tête. Je suis dans tous mes états, gémissant mon assentiment pour cette sodomie exquise.
Nos regards se croisent. Il se retire très lentement. Je sens son pénis glisser comme une suave caresse, me propulsant dans une transe de plaisir intense. Le plaisir semble durer une éternité. Guider par mes yeux qui se sont refermés pour mieux le sentir, Ricky comprend le plaisir que je ressens. Il s’enfonce de nouveau en moi, à ne plus qu’y voir que ses couilles, et se retire tout aussi lentement que la première fois. Je cambre mon dos, encaissant les délicieux spasmes érotiques provoqués par son énorme pénis qui caresse ma prostate, confirmant l’emprise qu’il a sur moi. Puis il récidive, encore et encore, jusqu’à ce que je me mette à geindre comme une chatte en chaleur, noyé dans les abîmes de l’extase.
Après un moment, il relâche son étreinte sur mes poignets, son corps toujours profondément ancré en moi. Je desserre le ciseau de mes jambes qui le maintenait collé à moi et les laisse choir le long des siennes. Il fait une pause, et nous saisissons cette occasion pour reprendre notre souffle et redescendre, évitant ainsi l'éjaculation hâtive causée par l'intensité de nos ébats matinaux.
Il presse mon fessier de nouveau, s'assurant que toute sa verge soit bien au chaud en moi, et arrache un lascif gémissement de mes lèvres. Je lui caresse les abdominaux du bout de mes doigts, l'encourageant à continuer. Mais Ricky a autre chose en tête. Je le vois à la façon dont il me regarde, scrupuleusement. Il réfléchit à la suite à donner à notre fornication.
Il empoigne mon pénis et le masturbe doucement, tout en titillant ma prostate avec une lenteur exquise. Je sombre à nouveau dans les abîmes interdites. De son pouce, il lubrifie mon gland avec une douceur affolante. Je crains de ne plus pouvoir me retenir, et il le sait.
Il se retire alors et s'assoit à côté de moi, m'invitant à venir le rejoindre. J'obéis, m'asseyant sur lui tandis que sa verge glisse jusqu'au plus profond de mes entrailles, déclenchant un intense sensation qui sublime mon corps.
À fleur de peau, sur le point de jouir, je l'enlace de mes bras et de mes jambes, me pressant contre lui de toutes mes forces. Je me tortille sur sa hampe, nos regards verrouillés l'un à l'autre. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser passionné, nos langues s'entremêlent avec une avidité palpable. Ses caresses sensuelles me font perdre tous mes moyens, chaque mouvement de ses hanches me rapprochant de l'extase. Collés l'un à l'autre, nos corps ne font qu'un. L'étreinte est si intense que je sens chaque fibre de mon être vibrer. Je sens son corps se raidir, ses mains m'étreignant fermement. Sa bouche, telle une ventouse, suce ma langue avec une avidité insatiable. Dans un moment de pure extase, il me féconde de son sperme onctueux du matin, tandis que je le couvre d'une écrémure abondante.
Quelques secondes s'écoulent, peut-être un peu plus, avant que la tension ne se dissipe. Je m'efforce de retrouver mon souffle, mon front appuyé contre le sien, mes mains caressant doucement sa nuque et son dos. Ricky, appuyé sur ses bras, halète également, cherchant à redescendre de l’extase.
Nos regards se croisent, et nous échangeons un sourire complice, heureux d'avoir partagé un moment mémorable dans les bras l'un de l'autre. Je l'embrasse furtivement une dernière fois, puis je me retire de sur lui. Pour prolonger ce moment de plaisir, je décide de lui prodiguer une courte fellation, voulant entendre encore une fois sa voix virile et suave. Puis, je me lève et je me dirige vers la salle de bain, laissant derrière nous un espace chargé de souvenirs impérissables.
Alors que je me lève pour quitter le lit, Ricky m'attrape délicatement la main. Je me retourne pour le regarder, et il me dit d'une voix suave :
— J'ai adoré, mon beau. Tu es dans ma peau, tu sais ! On se revoit bientôt ?
Je souris, flatté par ses paroles. Je lui réponds :
— Tu baises comme un dieu, Ricky. Mais c'est Andreia qui décidera, tu sais !
Je reprends le chemin de la salle de bain, la main de Ricky glisse doucement sur la mienne, comme s'il essayait de tisser un fil invisible entre nous. Son toucher est léger, mais chargé de promesses.
A suivre
Bonne lecture! Vos commentaires m'aident à créer et produire de meilleurs récits.
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Le lendemain matin, je me réveillai sans la moindre idée de l'endroit où je me trouvais. Mon esprit était embrumé, incapable de se rappeler le moment et l'endroit où je m'étais couché. Mon corps se sentait inerte, sans énergie, mais étrangement détendu, comme après un long massage sensuel. Lentement, j'ouvris un œil et compris que j'étais dans le grand lit de la salle de jeu. Je le refermai aussitôt, laissant les souvenirs affluer peu à peu, entremêlés et confus.
Les images revinrent progressivement, comme un flot de pensées qui se bousculaient dans ma tête. Je me souvins des chauds baisers de Ricky, des sensuels va-et vient d'Andreia qui me sodomisait langoureusement, de leurs éjaculations, de la façon dont ils capturaient leur sperme avec leur langue pour me le donner à boire en m'embrassant. Un sourire se dessina sur mon visage tandis que je savourais l'instant.
Je glissai ma main entre mes fesses, à l'endroit où je ressentais encore une légère douleur. Ma main en ressortit humide, dégoulinante de sperme. Pas de doute, j'avais été fécondé avec ardeur.
Je me retourne sur le dos, encore dans les brumes de l'éveil. La respiration profonde d'un homme qui dort paisiblement me parvient. C'est sûrement mon maître Andreia, pensai-je. Je tourne la tête vers la droite pour l'admirer, et mon cœur rate un battement lorsque je vois que c'est Ricky. Une décharge électrique parcourt mon corps, et un espoir naît en moi : qu'il se réveille bientôt, heureux d'avoir passé la nuit dans ses draps. Peut-être a-t-il arraché une dernière faveur à mon maître Andreia : celle de terminer la soirée ensemble, pour assouvir tous ses désirs les plus charnels, me dis-je.
Je le regarde, assoupit et serein. Ses lèvres couleur aubergine, cernées par cette courte barbe qui souligne la mâchoire carrée et virile de son visage. Ses paupières, légèrement plus brunes que sa peau, et son visage détendu lui donnent une allure de dieu grec. Qu’il est séduisant ce mec !
Mes yeux glissent sur son corps. Ricky est étendu sur le côté, une jambe repliée, m'empêchant de voir son pénis bien charnu, ses couilles rondes et dures. Ses bras qui étreignent son oreiller avec une tendresse, me fait sourire. Je me demande comment le soustraire des bras de Morphée, le réveiller de ce sommeil profond.
Je l'observe un moment, et ma raison se retire, laissant libre cours à mon instinct primal. Mon cerveau reptilien prend le relais, me dictant de le réveiller, de profiter de l'instant, de le séduire, de le subjuguer et de l'émoustiller pour qu'il l’enlace virilement et me baise. L’envie de le toucher, de le caresser, de le dévorer de baisers me submerge, et je sens mon désir monter en flèche.
Par où commencer ? Je ne veux surtout pas le surprendre. Simplement le faire émerger doucement de son sommeil pour voir ses beaux yeux marrons et lui soutirer un sourire craquant.
Sans trop savoir, j'effleure sa hanche du revers de ma main. Il bouge légèrement, comme pour mieux se caller dans le lit douillet. J'attends un moment, puis je rapplique avec autant de douceur, laissant traîner ma main le long de sa cuisse, cette fois. Ça y est, il la déplie, dévoilant sa jolie verge non circoncise et ses testicules bien serrés dans un scrotum alléchant. Il s'étire comme un gros matou, afin de s'extirper de sa torpeur. Puis il ouvre les yeux, m'aperçoit, et son visage s'éclaire d'un sourire immédiat. Il dépose un câlin bien senti sur ma hanche, avant de me susurrer un suave "bonjour !"
— Salut ! Tu es si beau que je n'ai pas pu résister à te réveiller, lui dis-je avec un sourire.
— Tu as bien fait, me répond-il avec un grand sourire, ses yeux brillant de désir.
Je lui caresse la joue, voulant lui communiquer mon envie, mon désir de le toucher, de l'embrasser. Il passe sa main derrière mon dos et me tire vers lui, ses lèvres sulfureuses se posant sur les miennes. Sa langue chaude envahit ma bouche, et je l'enlace, sentant le feu du désir ardent se répandre à vitesse grand V entre nous.
Il se relève légèrement, son genou glissant entre mes jambes, et sa verge, devenue dure, quasi-instantanément, caresse la mienne tout aussi exaltée. Le contact est électrique, et nous sommes tous les deux pris dans un tourbillon de désir, nos corps se mouvant instinctivement l'un vers l'autre.
Je suis totalement sous l'emprise de Ricky lorsqu'il prend ma bouche d'assaut, ses lèvres chaudes et humides qui sucent les miennes, sa langue qui danse avec la mienne dans un rythme sauvage et passionné. Mon esprit s'embrase, mon corps vibre de désir, et Ricky s'installe entre mes jambes, sa queue magnifique qui palpite contre ma raie, mes jambes accrochées à ses hanches, fermées en ciseau, l'invitant à se presser davantage contre moi.
Sa bouche affamée continue de labourer la mienne, ses bras serrant mon corps embrasé comme s’il ne voulait pas me laisser partir, ma tête reposant dans l'une de ses grandes mains qui la maintient fermement, son pouce caressant ma joue. Je suis pris dans une étreinte solide, charnelle, qui me fait fondre dans un océan de plaisir, sans aucune façon de m'en libérer, ne voulant que me régaler de cet instant de pure volupté.
Ses lèvres chaudes glissent le long de mon cou, laissant une traînée de feu sur leur passage, son souffle chaud qui caresse ma peau sensible. Je sens son cœur battre contre le mien, son rythme accéléré qui témoigne de son désir, et je sais que nous sommes tous les deux prêts à nous abandonner à cette passion qui nous consume.
Il se relève, ses yeux lascifs, mi-clos, me regardant avec une passion dévorante. Sa bouche est entrouverte, les lèvres luisantes de salive, laissant échapper une goutte. Il dépose une main sur mes hanches et, de l'autre, fait danser mon mamelon percé entre ses doigts, le faisant tourner et virer avec une douce brutalité. Le piercing est tiré, me soutirant un gémissement étouffé, un mélange de plaisir et de douleur qui me laisse pantelant. Il récidive à plusieurs reprises, chaque fois me soutirant un bruissement érotique qui monte en crescendo. Puis, il dépose sa main sur l'autre hanche et caresse ma raie de sa longue et large queue, qu'il tente d'insinuer entre mes fesses avec une lenteur délibérée, comme s'il voulait savourer chaque instant de cette caresse.
Elle glisse à merveille, son corps ondulant contre le mien, et par trois reprises, il tente de s'introduire en moi, chaque tentative me propulsant à l'orée de l'extase, me faisant frémir de désir. La tension monte, mon corps se tend, et puis, cette fois, il y parvient, me pénétrant d'une passion sexuelle remplie de langueur, de douceur et de feu. Il s'enfonce en moi comme une lame de désir.
Il s'y glisse facilement, grâce au reste de sperme et de lubrifiant encore présent en moi, depuis hier, qui facilite son entrée, lui permettant de s'enfoncer profondément en moi. La sensation est indescriptible, un mélange de plaisir et de douleur, de désir et de satisfaction, qui me fait râler de plaisir, mon corps secoué de spasmes, mon cœur battant à tout rompre.
Empalé à en sentir son pelvis comprimer mon périnée, ses mains fermement ancrées sur mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma chair, je me cambre pour accueillir chaque centimètre de sa magnifique teub, la sentant glisser jusqu’au plus profond de moi. Il maintient sa position et ses mains puissantes agrippent mes poignets qu’il garde fermement chaque côté de ma tête. Je suis dans tous mes états, gémissant mon assentiment pour cette sodomie exquise.
Nos regards se croisent. Il se retire très lentement. Je sens son pénis glisser comme une suave caresse, me propulsant dans une transe de plaisir intense. Le plaisir semble durer une éternité. Guider par mes yeux qui se sont refermés pour mieux le sentir, Ricky comprend le plaisir que je ressens. Il s’enfonce de nouveau en moi, à ne plus qu’y voir que ses couilles, et se retire tout aussi lentement que la première fois. Je cambre mon dos, encaissant les délicieux spasmes érotiques provoqués par son énorme pénis qui caresse ma prostate, confirmant l’emprise qu’il a sur moi. Puis il récidive, encore et encore, jusqu’à ce que je me mette à geindre comme une chatte en chaleur, noyé dans les abîmes de l’extase.
Après un moment, il relâche son étreinte sur mes poignets, son corps toujours profondément ancré en moi. Je desserre le ciseau de mes jambes qui le maintenait collé à moi et les laisse choir le long des siennes. Il fait une pause, et nous saisissons cette occasion pour reprendre notre souffle et redescendre, évitant ainsi l'éjaculation hâtive causée par l'intensité de nos ébats matinaux.
Il presse mon fessier de nouveau, s'assurant que toute sa verge soit bien au chaud en moi, et arrache un lascif gémissement de mes lèvres. Je lui caresse les abdominaux du bout de mes doigts, l'encourageant à continuer. Mais Ricky a autre chose en tête. Je le vois à la façon dont il me regarde, scrupuleusement. Il réfléchit à la suite à donner à notre fornication.
Il empoigne mon pénis et le masturbe doucement, tout en titillant ma prostate avec une lenteur exquise. Je sombre à nouveau dans les abîmes interdites. De son pouce, il lubrifie mon gland avec une douceur affolante. Je crains de ne plus pouvoir me retenir, et il le sait.
Il se retire alors et s'assoit à côté de moi, m'invitant à venir le rejoindre. J'obéis, m'asseyant sur lui tandis que sa verge glisse jusqu'au plus profond de mes entrailles, déclenchant un intense sensation qui sublime mon corps.
À fleur de peau, sur le point de jouir, je l'enlace de mes bras et de mes jambes, me pressant contre lui de toutes mes forces. Je me tortille sur sa hampe, nos regards verrouillés l'un à l'autre. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser passionné, nos langues s'entremêlent avec une avidité palpable. Ses caresses sensuelles me font perdre tous mes moyens, chaque mouvement de ses hanches me rapprochant de l'extase. Collés l'un à l'autre, nos corps ne font qu'un. L'étreinte est si intense que je sens chaque fibre de mon être vibrer. Je sens son corps se raidir, ses mains m'étreignant fermement. Sa bouche, telle une ventouse, suce ma langue avec une avidité insatiable. Dans un moment de pure extase, il me féconde de son sperme onctueux du matin, tandis que je le couvre d'une écrémure abondante.
Quelques secondes s'écoulent, peut-être un peu plus, avant que la tension ne se dissipe. Je m'efforce de retrouver mon souffle, mon front appuyé contre le sien, mes mains caressant doucement sa nuque et son dos. Ricky, appuyé sur ses bras, halète également, cherchant à redescendre de l’extase.
Nos regards se croisent, et nous échangeons un sourire complice, heureux d'avoir partagé un moment mémorable dans les bras l'un de l'autre. Je l'embrasse furtivement une dernière fois, puis je me retire de sur lui. Pour prolonger ce moment de plaisir, je décide de lui prodiguer une courte fellation, voulant entendre encore une fois sa voix virile et suave. Puis, je me lève et je me dirige vers la salle de bain, laissant derrière nous un espace chargé de souvenirs impérissables.
Alors que je me lève pour quitter le lit, Ricky m'attrape délicatement la main. Je me retourne pour le regarder, et il me dit d'une voix suave :
— J'ai adoré, mon beau. Tu es dans ma peau, tu sais ! On se revoit bientôt ?
Je souris, flatté par ses paroles. Je lui réponds :
— Tu baises comme un dieu, Ricky. Mais c'est Andreia qui décidera, tu sais !
Je reprends le chemin de la salle de bain, la main de Ricky glisse doucement sur la mienne, comme s'il essayait de tisser un fil invisible entre nous. Son toucher est léger, mais chargé de promesses.
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