Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 1

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 1
Chapitre 1 : L’entretien décisif avec le Dr Morel
Virginie ajusta le col de sa blouse blanche, légèrement fébrile. Elle avait reçu un message du docteur Morel lui demandant de le rejoindre dans son bureau pour un "rendez-vous important". Son cœur battait plus vite alors qu’elle traversait le couloir du service.
Lorsqu’elle entra, elle trouva le docteur Morel adossé à son bureau, un léger sourire en coin. À ses côtés, son confrère du service de maternité, l’air détendu, comme spectateur d’une scène dont il semblait connaître l’issue avant même qu’elle ne commence.
— Virginie, asseyez-vous, ordonna le docteur Morel d’une voix grave.
Elle obéit, croisant ses jambes, sentant le tissu de sa blouse remonter légèrement sur ses cuisses. Elle pouvait sentir son regard sur elle, insistant, presque brûlant. Ce regard, elle le connaissait. Il l’avait déjà porté sur elle le week-end dernier, quand il l’avait surprise nue dans le domaine naturiste.
Le docteur Morel fit un pas vers elle, prenant le dossier posé sur son bureau.
— Vous savez pourquoi je vous ai convoquée ?
Elle secoua la tête, jouant l’innocence. Il s’attarda sur elle, détaillant son corps sous la blouse, le souvenir de sa peau nue encore vif dans son esprit.
— J’ai étudié votre dossier… Une erreur médicale ? Une opportunité de carrière ? Ou peut-être avais-je juste envie de vous revoir ?
Virginie déglutit, son ventre se nouant sous l’ambiguïté de sa proposition.
— Une opportunité de carrière, murmura-t-elle, la voix légèrement tremblante.
Virginie sentit un frisson lui parcourir l’échine alors que le docteur Morel se penchait légèrement vers elle, son souffle chaud effleurant son oreille.
— J’ai une seule condition… murmura-t-il d’une voix grave et assurée.
Elle leva les yeux vers lui, cherchant dans son regard l’ombre d’un jeu ou d’un défi. Mais il était sérieux, terriblement sérieux.
— Depuis que je vous ai vue nue le week-end dernier, cette image ne quitte pas mon esprit… avoua-t-il en traçant du bout des doigts la ligne invisible de sa clavicule, juste au-dessus du tissu de sa blouse. J’aimerais vous revoir ici, dans mon bureau. Mais plus encore… j’aimerais que vous nous offriez le plaisir de vous regarder.
Il marqua une pause, laissant ses paroles s’imprégner en elle, distillant leur effet dans chaque fibre de son être.
— Vous regarder vous caresser… et jouir devant nous.
Virginie retint son souffle. Elle pouvait sentir le regard du confrère toujours appuyé sur elle, silencieux mais présent, témoin de cette proposition indécente.
— Si vous acceptez, cette opportunité est à vous, ajouta le docteur Morel en s’écartant légèrement, comme pour lui laisser le choix.
Son cœur battait à tout rompre. L’idée était à la fois troublante et terriblement excitante. Elle aimait jouer, elle aimait l’adrénaline du regard des autres sur elle. Et surtout… l’idée d’être désirée, convoitée.
Un silence pesant s’installa dans la pièce.
Virginie, lentement, fit glisser un des boutons de sa blouse entre ses doigts, hésitante, puis planta son regard brûlant dans celui du docteur Morel.
— Et si je vous montrais à quel point je suis motivée ?
Elle déboutonna un premier bouton… puis un deuxième…
Le docteur Morel et son confrère ne bougeaient pas, suspendus à ses gestes.
Virginie sentit la chaleur monter en elle, une douce langueur l’enveloppant alors qu’elle déboutonnait lentement sa blouse. Son regard oscillait entre le docteur Morel et son confrère, capteur de leur désir silencieux. Ils ne bougeaient pas, mais l’électricité dans l’air était palpable.
Un troisième bouton céda sous ses doigts fins, dévoilant un bout de dentelle blanche, délicate et provocante. Elle prenait son temps, savourant l’instant, jouissant déjà du pouvoir qu’elle exerçait sur eux.
Elle fit glisser la blouse de ses épaules, la laissant tomber derrière elle, dévoilant ses seins fermes et lourds, que ses sous-vêtements soutenaient à peine. Un léger sourire effleura ses lèvres lorsqu’elle remarqua la façon dont le docteur Morel s’était redressé, son regard brûlant d’envie, sans un mot.
Le dernier rempart céda bientôt : d’un geste assuré, elle fit glisser son soutien-gorge, libérant enfin ses seins à la vue des deux hommes. Sa respiration s’accéléra lorsqu’elle sentit leurs regards avides la dévorer du regard.
Délicatement, elle se leva et fit glisser sa jupe le long de ses hanches, la laissant tomber à ses pieds dans un froissement sensuel. Puis elle glissa ses doigts sous l’élastique de sa culotte, la faisant descendre lentement, tout en les fixant, savourant chaque seconde de cette mise à nu volontaire.
Totalement exposée, elle recula vers la chaise, s’y installa avec nonchalance, écartant doucement les cuisses pour s’offrir à leur regard.
Un frisson parcourut sa peau nue alors qu’elle sentit l’intensité de leurs yeux sur elle.
Le docteur Morel croisa les bras, s’adossant à son bureau, un sourire en coin.
— Montrez-nous, Virginie… Montrez-nous à quel point vous voulez cette opportunité.
Elle ferma un instant les paupières, laissant son souffle s’accélérer, puis glissa une main le long de son ventre, effleurant sa peau frissonnante avant de descendre plus bas…
Virginie laissa un soupir glisser entre ses lèvres alors qu’elle effleurait du bout des doigts la courbe de son sein. Son téton, déjà durci par l’excitation, frissonna sous cette caresse délicate. Elle le pinça légèrement, savourant cette première onde de plaisir qui la traversa.
Le docteur Morel et son confrère ne disaient toujours rien, mais elle sentait l’intensité de leurs regards sur elle. Cette tension silencieuse amplifiait son désir, l’enivrait.
Elle laissa sa main descendre lentement, effleurant son ventre, traçant des cercles invisibles autour de son nombril avant d’atteindre l’intérieur de ses cuisses. Elle les écarta un peu plus, offrant à leur regard le spectacle intime de son abandon.
Son autre main retrouva son sein, jouant avec son téton entre ses doigts, tandis que la première s’approchait de la source brûlante de son plaisir. Elle frôla d’abord son clitoris du bout des doigts, à peine, juste assez pour sentir son propre frisson d’anticipation.
Elle mordit sa lèvre.
Puis, enfin, elle appuya légèrement, entamant un lent mouvement circulaire.
Un léger gémissement lui échappa.
La pièce était silencieuse, si ce n’était le son humide et délicieusement indécent de ses caresses. Elle pouvait déjà sentir sa mouille glisser entre ses doigts, témoignant de son excitation.
Sans la quitter du regard, le docteur Morel se redressa, s’approchant légèrement, comme pour mieux admirer le spectacle.
— Continue, murmura-t-il d’une voix rauque.
Virginie obéit, glissant un doigt entre ses lèvres humides, le retirant lentement avant de recommencer, savourant chaque mouvement, chaque caresse.
Virginie laissa échapper un soupir tremblant alors que ses doigts glissaient plus profondément entre ses lèvres humides. Son corps réagissait instinctivement, se cambrant sous l’onde de plaisir qui la traversait.
Ses doigts jouaient avec son clitoris, le caressant avec une lenteur exquise, attisant l’excitation qui la consumait. Son autre main agrippait fermement son sein, son téton dur sous la pression de ses doigts habiles.
Le silence de la pièce n’était troublé que par sa respiration haletante et le son indécent de sa mouille, de plus en plus audible à chaque mouvement.
Le docteur Morel échangea un bref regard avec son confrère avant de revenir sur elle, captivé.
Elle mordit sa lèvre en introduisant un premier doigt en elle, lentement, savourant la sensation de son intimité se refermant autour. Puis un deuxième, sans hésitation.
Elle les fit glisser en elle, d’abord lentement, accompagnant chaque mouvement d’un gémissement étouffé.
Elle ouvrit les yeux, cherchant le regard du docteur Morel, y trouvant cette lueur de désir brut qui l’excitait encore plus.
— Vous aimez ça, murmura-t-elle entre deux halètements, sa voix tremblante de plaisir.
Le docteur Morel esquissa un sourire en coin.
— Continue… montre-nous jusqu’où tu peux aller.
Un frisson parcourut sa peau. Elle voulait plus.
Son corps réclamait plus.
Ses doigts accélérèrent, pénétrant plus profondément, plus intensément. Elle ajouta un troisième doigt, étouffant un cri de plaisir en basculant légèrement les hanches pour mieux sentir chaque va-et-vient.
Son souffle devint erratique. Ses caresses sur son clitoris se firent frénétiques, son autre main malaxant son sein avec avidité.
Les vagues de plaisir montaient, incontrôlables, la submergeant peu à peu. Ses cuisses tremblaient. Sa poitrine se soulevait au rythme saccadé de son plaisir grandissant.
Puis, soudain, l’explosion. Son dos se cambra violemment, sa main se figea sur son sexe, son corps entier secoué par un orgasme puissant, incontrôlable. Un gémissement rauque lui échappa, suivi d’un long soupir de satisfaction.
Ses doigts restèrent en elle quelques instants, captifs des dernières contractions de son plaisir.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle croisa le regard brûlant du docteur Morel puis celui de son confrère, toujours silencieux mais visiblement troublé.
Elle se redressa lentement, un sourire provocant aux lèvres.
— Alors, ai-je décroché mon opportunité ? souffla-t-elle, espiègle.
Le docteur Morel s’approcha, pencha légèrement la tête, et laissa planer un silence avant de répondre, d’un ton chargé de désir contenu :
— Je crois qu’on ne pouvait espérer meilleure démonstration…
Virginie reprit doucement son souffle, laissant son corps frissonner sous les dernières vagues de plaisir. Elle ferma les yeux un instant, savourant cette douce langueur qui l’envahissait. Puis, lentement, elle retira ses doigts de son intimité, les portant à ses lèvres pour en goûter la saveur, le regard planté dans celui du docteur Morel.
Elle savait l’effet qu’elle venait d’avoir sur eux. Et elle adorait ça.
Dans un geste sensuel, elle se redressa, prit le temps de caresser sa peau encore brûlante avant de se lever et de ramasser sa blouse. Elle la réajusta sur ses épaules, la boutonnant lentement, presque à regret. Son soutien-gorge retrouva sa place, mais lorsqu’elle fit glisser sa jupe sur ses hanches, elle laissa sa culotte au sol, un sourire malicieux aux lèvres.
Elle laissa son regard effleurer celui du docteur Morel, puis du confrère.
— Considérez ça comme un souvenir… murmura-t-elle en un souffle taquin.
Elle tourna les talons, les jambes encore légèrement tremblantes, et quitta le bureau avec assurance, laissant derrière elle un silence chargé de tension.
En sortant du bureau du docteur Morel, Virginie sentit son cœur battre encore fort dans sa poitrine opulente, à la fois d’excitation et d’une légère gêne. Elle venait d’obtenir le poste qu’elle convoitait tant dans le service de la maternité, mais l’entretien avait pris une tournure… particulière.
Elle sortit son téléphone et envoya un message à Steve :
— J’ai la bonne nouvelle !
Steve ne tarda pas à répondre :
— Bravo, ma chérie ! Ça s’est bien passé ?
Virginie mordilla sa lèvre, hésitante, avant d’écrire :
— Oui, mais… il y avait une condition…
Intrigué, Steve la relança aussitôt :
— Laquelle ?
Elle inspira profondément, puis tapota sur son écran avec un sourire malicieux :
— J’ai dû me faire jouir devant eux…
L'attente du retour de Steve fit monter en elle une montée d’adrénaline. Elle savait qu'il adorerait ce qu’elle allait lui raconter…
Steve ne tarda pas à répondre :
— Je suppose que tu l’as fait… et que tu as aimé ça ?
Virginie frissonna en lisant son message. Son souffle s’accéléra légèrement alors qu’elle repensait à l’instant où elle avait dû s’abandonner sous leurs regards insistants. Ses doigts glissèrent sur l’écran tandis qu’elle tapait sa réponse :
— Oui…
Elle savait que cette simple réponse provoquerait chez Steve une montée de désir instantanée. Il ne la fit pas attendre :
— Tu es même encore humide alors…
Virginie se mordit la lèvre. Il la connaissait trop bien. Elle était encore troublée par l’expérience, son corps vibrant encore du plaisir qu’elle avait ressenti en se donnant en spectacle.
— Tu veux vérifier ? écrivit-elle avec un brin de provocation.
Mais Steve ne répondit pas à ce dernier message.
Virginie ajusta le col de sa blouse blanche, légèrement fébrile. Elle avait reçu un message du docteur Morel lui demandant de le rejoindre dans son bureau pour un "rendez-vous important". Son cœur battait plus vite alors qu’elle traversait le couloir du service.
Lorsqu’elle entra, elle trouva le docteur Morel adossé à son bureau, un léger sourire en coin. À ses côtés, son confrère du service de maternité, l’air détendu, comme spectateur d’une scène dont il semblait connaître l’issue avant même qu’elle ne commence.
— Virginie, asseyez-vous, ordonna le docteur Morel d’une voix grave.
Elle obéit, croisant ses jambes, sentant le tissu de sa blouse remonter légèrement sur ses cuisses. Elle pouvait sentir son regard sur elle, insistant, presque brûlant. Ce regard, elle le connaissait. Il l’avait déjà porté sur elle le week-end dernier, quand il l’avait surprise nue dans le domaine naturiste.
Le docteur Morel fit un pas vers elle, prenant le dossier posé sur son bureau.
— Vous savez pourquoi je vous ai convoquée ?
Elle secoua la tête, jouant l’innocence. Il s’attarda sur elle, détaillant son corps sous la blouse, le souvenir de sa peau nue encore vif dans son esprit.
— J’ai étudié votre dossier… Une erreur médicale ? Une opportunité de carrière ? Ou peut-être avais-je juste envie de vous revoir ?
Virginie déglutit, son ventre se nouant sous l’ambiguïté de sa proposition.
— Une opportunité de carrière, murmura-t-elle, la voix légèrement tremblante.
Virginie sentit un frisson lui parcourir l’échine alors que le docteur Morel se penchait légèrement vers elle, son souffle chaud effleurant son oreille.
— J’ai une seule condition… murmura-t-il d’une voix grave et assurée.
Elle leva les yeux vers lui, cherchant dans son regard l’ombre d’un jeu ou d’un défi. Mais il était sérieux, terriblement sérieux.
— Depuis que je vous ai vue nue le week-end dernier, cette image ne quitte pas mon esprit… avoua-t-il en traçant du bout des doigts la ligne invisible de sa clavicule, juste au-dessus du tissu de sa blouse. J’aimerais vous revoir ici, dans mon bureau. Mais plus encore… j’aimerais que vous nous offriez le plaisir de vous regarder.
Il marqua une pause, laissant ses paroles s’imprégner en elle, distillant leur effet dans chaque fibre de son être.
— Vous regarder vous caresser… et jouir devant nous.
Virginie retint son souffle. Elle pouvait sentir le regard du confrère toujours appuyé sur elle, silencieux mais présent, témoin de cette proposition indécente.
— Si vous acceptez, cette opportunité est à vous, ajouta le docteur Morel en s’écartant légèrement, comme pour lui laisser le choix.
Son cœur battait à tout rompre. L’idée était à la fois troublante et terriblement excitante. Elle aimait jouer, elle aimait l’adrénaline du regard des autres sur elle. Et surtout… l’idée d’être désirée, convoitée.
Un silence pesant s’installa dans la pièce.
Virginie, lentement, fit glisser un des boutons de sa blouse entre ses doigts, hésitante, puis planta son regard brûlant dans celui du docteur Morel.
— Et si je vous montrais à quel point je suis motivée ?
Elle déboutonna un premier bouton… puis un deuxième…
Le docteur Morel et son confrère ne bougeaient pas, suspendus à ses gestes.
Virginie sentit la chaleur monter en elle, une douce langueur l’enveloppant alors qu’elle déboutonnait lentement sa blouse. Son regard oscillait entre le docteur Morel et son confrère, capteur de leur désir silencieux. Ils ne bougeaient pas, mais l’électricité dans l’air était palpable.
Un troisième bouton céda sous ses doigts fins, dévoilant un bout de dentelle blanche, délicate et provocante. Elle prenait son temps, savourant l’instant, jouissant déjà du pouvoir qu’elle exerçait sur eux.
Elle fit glisser la blouse de ses épaules, la laissant tomber derrière elle, dévoilant ses seins fermes et lourds, que ses sous-vêtements soutenaient à peine. Un léger sourire effleura ses lèvres lorsqu’elle remarqua la façon dont le docteur Morel s’était redressé, son regard brûlant d’envie, sans un mot.
Le dernier rempart céda bientôt : d’un geste assuré, elle fit glisser son soutien-gorge, libérant enfin ses seins à la vue des deux hommes. Sa respiration s’accéléra lorsqu’elle sentit leurs regards avides la dévorer du regard.
Délicatement, elle se leva et fit glisser sa jupe le long de ses hanches, la laissant tomber à ses pieds dans un froissement sensuel. Puis elle glissa ses doigts sous l’élastique de sa culotte, la faisant descendre lentement, tout en les fixant, savourant chaque seconde de cette mise à nu volontaire.
Totalement exposée, elle recula vers la chaise, s’y installa avec nonchalance, écartant doucement les cuisses pour s’offrir à leur regard.
Un frisson parcourut sa peau nue alors qu’elle sentit l’intensité de leurs yeux sur elle.
Le docteur Morel croisa les bras, s’adossant à son bureau, un sourire en coin.
— Montrez-nous, Virginie… Montrez-nous à quel point vous voulez cette opportunité.
Elle ferma un instant les paupières, laissant son souffle s’accélérer, puis glissa une main le long de son ventre, effleurant sa peau frissonnante avant de descendre plus bas…
Virginie laissa un soupir glisser entre ses lèvres alors qu’elle effleurait du bout des doigts la courbe de son sein. Son téton, déjà durci par l’excitation, frissonna sous cette caresse délicate. Elle le pinça légèrement, savourant cette première onde de plaisir qui la traversa.
Le docteur Morel et son confrère ne disaient toujours rien, mais elle sentait l’intensité de leurs regards sur elle. Cette tension silencieuse amplifiait son désir, l’enivrait.
Elle laissa sa main descendre lentement, effleurant son ventre, traçant des cercles invisibles autour de son nombril avant d’atteindre l’intérieur de ses cuisses. Elle les écarta un peu plus, offrant à leur regard le spectacle intime de son abandon.
Son autre main retrouva son sein, jouant avec son téton entre ses doigts, tandis que la première s’approchait de la source brûlante de son plaisir. Elle frôla d’abord son clitoris du bout des doigts, à peine, juste assez pour sentir son propre frisson d’anticipation.
Elle mordit sa lèvre.
Puis, enfin, elle appuya légèrement, entamant un lent mouvement circulaire.
Un léger gémissement lui échappa.
La pièce était silencieuse, si ce n’était le son humide et délicieusement indécent de ses caresses. Elle pouvait déjà sentir sa mouille glisser entre ses doigts, témoignant de son excitation.
Sans la quitter du regard, le docteur Morel se redressa, s’approchant légèrement, comme pour mieux admirer le spectacle.
— Continue, murmura-t-il d’une voix rauque.
Virginie obéit, glissant un doigt entre ses lèvres humides, le retirant lentement avant de recommencer, savourant chaque mouvement, chaque caresse.
Virginie laissa échapper un soupir tremblant alors que ses doigts glissaient plus profondément entre ses lèvres humides. Son corps réagissait instinctivement, se cambrant sous l’onde de plaisir qui la traversait.
Ses doigts jouaient avec son clitoris, le caressant avec une lenteur exquise, attisant l’excitation qui la consumait. Son autre main agrippait fermement son sein, son téton dur sous la pression de ses doigts habiles.
Le silence de la pièce n’était troublé que par sa respiration haletante et le son indécent de sa mouille, de plus en plus audible à chaque mouvement.
Le docteur Morel échangea un bref regard avec son confrère avant de revenir sur elle, captivé.
Elle mordit sa lèvre en introduisant un premier doigt en elle, lentement, savourant la sensation de son intimité se refermant autour. Puis un deuxième, sans hésitation.
Elle les fit glisser en elle, d’abord lentement, accompagnant chaque mouvement d’un gémissement étouffé.
Elle ouvrit les yeux, cherchant le regard du docteur Morel, y trouvant cette lueur de désir brut qui l’excitait encore plus.
— Vous aimez ça, murmura-t-elle entre deux halètements, sa voix tremblante de plaisir.
Le docteur Morel esquissa un sourire en coin.
— Continue… montre-nous jusqu’où tu peux aller.
Un frisson parcourut sa peau. Elle voulait plus.
Son corps réclamait plus.
Ses doigts accélérèrent, pénétrant plus profondément, plus intensément. Elle ajouta un troisième doigt, étouffant un cri de plaisir en basculant légèrement les hanches pour mieux sentir chaque va-et-vient.
Son souffle devint erratique. Ses caresses sur son clitoris se firent frénétiques, son autre main malaxant son sein avec avidité.
Les vagues de plaisir montaient, incontrôlables, la submergeant peu à peu. Ses cuisses tremblaient. Sa poitrine se soulevait au rythme saccadé de son plaisir grandissant.
Puis, soudain, l’explosion. Son dos se cambra violemment, sa main se figea sur son sexe, son corps entier secoué par un orgasme puissant, incontrôlable. Un gémissement rauque lui échappa, suivi d’un long soupir de satisfaction.
Ses doigts restèrent en elle quelques instants, captifs des dernières contractions de son plaisir.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle croisa le regard brûlant du docteur Morel puis celui de son confrère, toujours silencieux mais visiblement troublé.
Elle se redressa lentement, un sourire provocant aux lèvres.
— Alors, ai-je décroché mon opportunité ? souffla-t-elle, espiègle.
Le docteur Morel s’approcha, pencha légèrement la tête, et laissa planer un silence avant de répondre, d’un ton chargé de désir contenu :
— Je crois qu’on ne pouvait espérer meilleure démonstration…
Virginie reprit doucement son souffle, laissant son corps frissonner sous les dernières vagues de plaisir. Elle ferma les yeux un instant, savourant cette douce langueur qui l’envahissait. Puis, lentement, elle retira ses doigts de son intimité, les portant à ses lèvres pour en goûter la saveur, le regard planté dans celui du docteur Morel.
Elle savait l’effet qu’elle venait d’avoir sur eux. Et elle adorait ça.
Dans un geste sensuel, elle se redressa, prit le temps de caresser sa peau encore brûlante avant de se lever et de ramasser sa blouse. Elle la réajusta sur ses épaules, la boutonnant lentement, presque à regret. Son soutien-gorge retrouva sa place, mais lorsqu’elle fit glisser sa jupe sur ses hanches, elle laissa sa culotte au sol, un sourire malicieux aux lèvres.
Elle laissa son regard effleurer celui du docteur Morel, puis du confrère.
— Considérez ça comme un souvenir… murmura-t-elle en un souffle taquin.
Elle tourna les talons, les jambes encore légèrement tremblantes, et quitta le bureau avec assurance, laissant derrière elle un silence chargé de tension.
En sortant du bureau du docteur Morel, Virginie sentit son cœur battre encore fort dans sa poitrine opulente, à la fois d’excitation et d’une légère gêne. Elle venait d’obtenir le poste qu’elle convoitait tant dans le service de la maternité, mais l’entretien avait pris une tournure… particulière.
Elle sortit son téléphone et envoya un message à Steve :
— J’ai la bonne nouvelle !
Steve ne tarda pas à répondre :
— Bravo, ma chérie ! Ça s’est bien passé ?
Virginie mordilla sa lèvre, hésitante, avant d’écrire :
— Oui, mais… il y avait une condition…
Intrigué, Steve la relança aussitôt :
— Laquelle ?
Elle inspira profondément, puis tapota sur son écran avec un sourire malicieux :
— J’ai dû me faire jouir devant eux…
L'attente du retour de Steve fit monter en elle une montée d’adrénaline. Elle savait qu'il adorerait ce qu’elle allait lui raconter…
Steve ne tarda pas à répondre :
— Je suppose que tu l’as fait… et que tu as aimé ça ?
Virginie frissonna en lisant son message. Son souffle s’accéléra légèrement alors qu’elle repensait à l’instant où elle avait dû s’abandonner sous leurs regards insistants. Ses doigts glissèrent sur l’écran tandis qu’elle tapait sa réponse :
— Oui…
Elle savait que cette simple réponse provoquerait chez Steve une montée de désir instantanée. Il ne la fit pas attendre :
— Tu es même encore humide alors…
Virginie se mordit la lèvre. Il la connaissait trop bien. Elle était encore troublée par l’expérience, son corps vibrant encore du plaisir qu’elle avait ressenti en se donnant en spectacle.
— Tu veux vérifier ? écrivit-elle avec un brin de provocation.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent! Un récit qui m'amènera à lire vos autres textes
bon scenario bien detaille bonne ecriture
Très très chaud bonne description
Daniel
Daniel

