Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 4

- Par l'auteur HDS Steve40 -
Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 4
Chapitre 4 : Une soirée enflammée à l'hôtel

Après quelques derniers échanges, les deux couples quittèrent la salle pour rejoindre leur hôtel.
L’ambiance dans la voiture était lourde. Bernard, le regard dur, fixait la route sans un mot. Son silence était pesant, chargé d’une frustration évidente. Nathalie gardait les yeux baissés, mal à l’aise, tandis que Virginie jetait quelques regards à Steve, qui, lui, affichait un sourire satisfait, encore sous l’excitation de la soirée.
Finalement, Bernard brisa le silence, sa voix pleine de reproches :
— Franchement, Nathalie… Tu aurais pu faire un effort. Regarde Virginie, elle s’est donnée à fond, elle…
Nathalie se crispa. Elle savait que la conversation allait tourner en dispute.
Dans l’ombre, Steve posa une main sur la cuisse de Virginie, la caressant doucement, comme pour lui rappeler qu’ils allaient continuer cette soirée d’une façon bien plus agréable…
Arrivés à l’hôtel, Bernard tenta de ravaler sa frustration. Il savait que s’énerver davantage ne mènerait à rien. Il soupira et, d’une voix plus calme, proposa :
— On prend un dernier verre dans notre chambre ? Histoire de finir la soirée sur une note plus légère…
Virginie et Steve échangèrent un regard complice avant d’accepter. Après une soirée aussi intense, l’idée d’un dernier moment ensemble les tentait bien.
Une fois dans la grande suite, Nathalie ne dit pas un mot et s’éclipsa immédiatement dans la salle de bain. Elle avait besoin de souffler, de s’éloigner du regard de Bernard, encore chargé de reproches.
Dans le grand salon, l’ambiance était étrange. Virginie s’installa sur un fauteuil en face de Steve, qui n’avait pas quitté son air satisfait. Il servit les verres pendant que Bernard, visiblement toujours contrarié, s’asseyait en soupirant.
— Elle exagère, grogna-t-il. Franchement, elle aurait pu faire un effort…
Virginie croisa les jambes lentement, son corps encore chaud de sa propre expérience. Elle observa Bernard d’un regard malicieux.
— Tout le monde ne se sent pas à l’aise avec ce genre de plaisir en public…
Elle but une gorgée de son verre, sentant le regard brûlant de Steve sur elle. L’atmosphère était électrique, flottant entre tension et désir.
Dans la salle de bain, Nathalie s’observait dans le miroir, mordillant sa lèvre inférieure. Avait-elle réellement raté une occasion de se lâcher ? Ou était-ce simplement que ce monde n’était pas le sien ?
Elle ferma les yeux, essayant d’ignorer les voix qui résonnaient dans le salon.
Dans le salon, l’ambiance était toujours lourde, mais Bernard semblait s’être calmé… en apparence. Il porta son verre à ses lèvres, puis, d’un geste rapide, attrapa le téléphone de la chambre et composa un numéro.
— Oui, bonsoir… J’aimerais un service particulier. Une expérience… intime pour ma compagne.
Virginie et Steve échangèrent un regard intrigué, tandis que Bernard raccrochait avec un sourire satisfait. Il ne donna aucune explication, se contentant de siroter son verre en attendant.
Quelques minutes plus tard, Nathalie sortit enfin de la salle de bain. Ses cheveux encore humides collaient à sa peau, et son corps était drapé d’un simple essuie, qu’elle tenait fermement contre elle.
Bernard leva les yeux vers elle, un sourire froid étirant ses lèvres.
— Retire-le.
Nathalie s’arrêta net, son cœur ratant un battement.
— Qu… quoi ?
— J’ai une surprise pour toi, dit-il d’un ton autoritaire. Reste comme ça. Nue.
Virginie et Steve, toujours installés dans le salon, observaient la scène avec une fascination mêlée de malaise. Nathalie hésita, son regard fuyant, mais elle savait que Bernard ne lâcherait pas l’affaire.
Lentement, ses doigts tremblants défirent l’essuie, le laissant glisser le long de son corps jusqu’au sol. Son ventre se contracta sous le regard insistant de Bernard… et de Steve, qui ne cachait pas son intérêt.
Soudain, un bruit se fit entendre à la porte. La “surprise” de Bernard venait d’arriver…
Nathalie hésita, son regard oscillant entre Bernard et la porte close. Elle savait qu’il ne plaisantait pas. Son cœur battait fort dans sa poitrine tandis qu’elle avançait lentement, son corps entièrement exposé sous les regards brûlants.
Elle posa une main sur la poignée, inspirant profondément avant d’ouvrir la porte. Deux hommes se tenaient là, souriants, une bouteille de champagne à la main. Ils jetèrent un regard appréciateur sur son corps nu, sans même chercher à cacher leur désir.
Bernard, toujours aussi calme, s’approcha, prit la bouteille et tendit une liasse de billets à l’un des hommes.
— Voilà, elle est à vous, annonça-t-il d’un ton posé.
Un silence s’abattit dans la pièce. Virginie et Steve, jusqu’alors spectateurs curieux, échangèrent un regard stupéfait.
Mais c’est Nathalie qui brisa l’instant figé.
Elle releva la tête, son regard se durcissant.
— Non.
Sa voix était claire, sans hésitation.
Bernard plissa les yeux.
— Nathalie…
Elle lui fit face, pour la première fois avec une assurance nouvelle.
— Tu voulais que je me lâche ? Très bien. Mais ce sera à MA manière.
Un sourire énigmatique se dessina sur ses lèvres tandis qu’elle s’approchait lentement des deux hommes. Mais au lieu de subir la situation, elle prit le contrôle. Ses doigts effleurèrent l’un d’eux, traçant un frisson sur sa peau, tandis qu’elle jetait un dernier regard à Bernard, défiant, prête à lui montrer qu’elle n’était plus la femme timide qu’il croyait posséder.
Nathalie sentit une chaleur nouvelle s’emparer d’elle. C’était comme si un verrou venait de sauter dans son esprit. Ce soir, elle ne serait plus spectatrice de son propre désir. Elle allait s’abandonner, non pas pour Bernard, mais pour elle-même.
Les deux hommes, surpris par son changement d’attitude, échangèrent un regard complice avant de se laisser guider par son initiative. Un frisson d’anticipation parcourut son corps lorsqu’elle s’approcha du premier, laissant ses doigts explorer son torse, puis glisser plus bas, l’effleurant juste assez pour provoquer une réaction.
Virginie était installée confortablement sur le canapé, coincée entre Steve et Bernard. Sa robe légère épousait ses formes à la perfection, mettant en valeur sa poitrine généreuse qu’elle aimait tant exhiber. L’ambiance était lourde de tension, et son désir montait à mesure que les regards de ses deux compagnons se posaient sur elle avec insistance.
Un frisson d’excitation parcourut son corps lorsqu’elle glissa doucement sa main le long de sa cuisse nue, caressant sa peau frémissante. Son souffle s’accéléra alors qu’elle laissa ses doigts remonter lentement vers l’intérieur, effleurant cette zone sensible qui réclamait déjà plus d’attention.
Steve, excité par ce spectacle, ne résista pas plus longtemps. Il posa sa main ferme sur la sienne, l’arrêtant dans son geste, puis fit glisser ses doigts jusqu’à l’ourlet de sa robe.
— Laisse-moi faire, souffla-t-il d’une voix rauque.
Sans attendre, il entreprit de faire glisser le tissu le long de son corps, dévoilant lentement sa peau brûlante sous les yeux avides de Bernard. Elle se retrouva en sous-vêtements délicats, sa peau frissonnant sous le contact de l’air tiède.
Virginie frémissait, envahie par une délicieuse impatience…
Sous leurs regards brûlants, Virginie frémissait. Le désir qui montait en elle était irrésistible, attisé par les caresses de Steve et Bernard qui exploraient son corps avec une lenteur délicieuse.
Les mains de Steve glissèrent sur sa taille avant de remonter vers sa poitrine, tandis que Bernard s’aventurait sur ses cuisses, savourant chaque frisson qu’il provoquait. Virginie se cambra légèrement, savourant cette double attention qui la faisait chavirer.
— Vous me voulez tous les deux, souffla-t-elle dans un sourire provocant.
Steve et Bernard échangèrent un regard complice avant de se rapprocher encore, prêts à la combler de plaisir…
Virginie échangea un regard brûlant avec Nathalie, comme pour l’encourager à plonger encore plus loin dans cette nouvelle expérience. D’un geste lent et assumé, elle glissa une main entre ses cuisses, frémissant sous ses propres caresses. Elle se laissa aller, bercée par cette excitation qui montait en elle. Son corps frissonnait sous les caresses de Steve et de Bernard. Face à eux, Nathalie et les deux hommes les observaient. Elle pouvait presque entendre leur souffle saccadé, sentir leurs regards brûlants effleurer sa peau.
Steve, devinant son trouble, passa une main ferme sur sa hanche, l’attirant plus près. Il aimait la voir ainsi, abandonnée à ses désirs les plus inavouables. Il effleura la dentelle fine de son soutien-gorge, puis laissa glisser ses doigts sur ses seins, caressant sa peau échauffée sous ces regards fantomatiques.
Virginie ferma les yeux un instant, s’imaginant au centre de cette scène. Elle était l’objet du désir, offerte à ces spectateurs silencieux qui savouraient chaque frisson, chaque soupir qu’elle laissait échapper. Elle imaginait des mains effleurant ses cuisses, une chaleur diffuse qui l’enveloppait. L’excitation était à son comble, et son corps se cambra sous l’intensité du moment.
— Tu aimes ça, murmura Steve contre son oreille, sentir leurs regards sur toi ?
Un frisson la traversa. Elle ouvrit les yeux et hocha doucement la tête. Oui, elle aimait ça. Cette sensation d’être désirée, de se donner en spectacle, de n’être plus qu’une femme consumée par le plaisir…
Virginie sentit son désir monter en flèche. L’idée d’être observée, admirée, la rendait folle. D’un geste lent et sensuel, elle glissa les bretelles de son soutien-gorge le long de ses épaules, offrant peu à peu sa poitrine à la lueur tamisée de la chambre.
Steve, fasciné par sa beauté, l’aida à retirer complètement le morceau de dentelle qui tomba négligemment sur le divan. Ses seins, fermes et généreux, se dressaient sous l’excitation. Il effleura ses tétons durcis du bout des doigts, les pinçant légèrement, arrachant un gémissement à Virginie.
Son corps réagissait à la moindre caresse. Son souffle court trahissait son impatience. Lentement, elle fit glisser son dernier rempart de tissu, dévoilant son intimité déjà trempée d’envie. L’idée d’être nue sous ces regards la fit frissonner de plaisir.
Steve et Bernard laissèrent leurs mains explorer chaque parcelle de son corps brûlant. Steve descendit lentement, caressant ses hanches, ses cuisses, effleurant à peine la chaleur moite entre ses jambes et Bernard caressa ses seins, jouant avec ses tétons durcit
— Regarde-les, murmura-t-il en relevant son menton. Ils te veulent, ils te désirent autant que nous…
Virginie ouvrit les yeux, ses hanches ondulèrent instinctivement, cherchant plus de contact. Elle n’était plus qu’une femme consumée par le plaisir, offerte, exposée, vibrante sous les caresses expertes de Steve et de Bernard. Elle écarta un peu plus les jambes, s’offrant totalement. Les doigts de Steve caressaient la chair tendre de son intimité, effleurant son clitoris avec une lenteur exquise. Virginie haletait, perdue entre la réalité et l’illusion. Elle se sentait au centre de toutes les attentions, ses gémissements se mélangeant aux soupirs de Steve, qui ne quittait pas son corps des yeux.
Bernard amplifia ses propres caresses, mordillant doucement l’un de ses tétons tandis que ces mains fantasmées jouaient avec son sexe palpitant. Virginie était au bord de l’extase, offerte à ce double plaisir, totalement soumise à Steve et à Bernard ainsi que sous les regards de Nathalie et des deux hommes
Virginie était au bord de l’extase, consumée par le feu du désir. Son corps frémissait sous les caresses de Steve et celles de Bernard qui amplifiait chaque sensation. Mais elle savait que seule une chose pouvait la mener à l’apogée : l’union intense avec Steve, l’homme qu’elle aimait.
Sentant son impatience, Steve captura ses lèvres dans un baiser fiévreux, tandis que ses mains fermes s’ancrèrent sur ses hanches. Il écarta davantage ses cuisses, s’agenouillant entre elles, son sexe dur effleurant son intimité brûlante. Virginie retint son souffle, ses hanches ondulantes d’elles-mêmes, quémandant plus.
— Dis-moi que tu me veux, murmura-t-il, sa voix rauque et pleine de désir.
— Je te veux… maintenant, gémit-elle, ses ongles s’enfonçant dans la peau de ses épaules.
Dans un mouvement lent mais assuré, il s’enfonça en elle, la remplissant complètement. Virginie laissa échapper un cri de pur plaisir, s’accrochant à lui tandis qu’il entamait un va-et-vient puissant, profond, possessif. Chaque coup de reins l’envoyait plus loin dans l’extase, son corps vibrant sous les vagues de plaisir qui montaient en elle.
Devant eux, la scène atteignait son paroxysme. Le souffle de Nathalie s’accéléra tandis que les hommes prenaient pleinement possession de la situation, la submergeant de caresses et de sensations. C’était intense, brut, une expérience à laquelle elle n’aurait jamais imaginé céder… mais qui, à cet instant, lui semblait être l’exacte libération dont elle avait besoin.
Sous le regard abasourdi de Bernard, elle se perdit dans cette vague de plaisir, brisant définitivement les chaînes de son ancienne retenue…
Steve accéléra le rythme, sentant son propre plaisir approcher. Il agrippa ses hanches, la soulevant légèrement pour s’enfoncer encore plus profondément en elle. Virginie, submergée par cette intensité, sentit son orgasme exploser en elle comme une déferlante. Son corps se tendit, ses muscles se contractant autour de Steve alors qu’elle jouissait avec une force incontrôlable.
Ce fut la dernière étincelle qu’il lui fallait. Dans un dernier coup de rein puissant, Steve la rejoignit dans l’extase, son plaisir se déversant en elle dans un grognement rauque. Essoufflés, tremblants, ils restèrent enlacés, leurs corps collés dans une chaleur moite et délicieuse.
Leur fantasme s’évanouissait peu à peu, mais le frisson qu’il avait laissé en eux restait intense. Virginie ouvrit les yeux, croisant ceux de Steve, encore brûlants de désir.
— C’était… incroyable, souffla-t-elle, un sourire satisfait aux lèvres.
Il l’embrassa tendrement, caressant sa peau frémissante.
Virginie et Steve, encore bercés par l’intensité de leurs ébats, quittèrent la chambre de Bernard et Nathalie, laissant derrière eux l’aura de cette étreinte partagée. Virginie frissonna en sentant l’air tiède du couloir caresser sa peau nue. Son corps encore vibrant du plaisir partagé avec Steve et les autres, elle se laissa guider par Steve vers leur chambre. Ses pieds nus effleuraient la moquette tandis qu’un sourire complice illuminait son visage.
Steve ouvrit la porte, l’invitant à entrer avant de refermer derrière eux. Sans un mot, il se rapprocha, ses mains glissant sur les courbes de Virginie, redessinant avec délice les traces du plaisir passé. Elle frissonna sous ses caresses, son souffle s’accélérant à nouveau.
Ils s’abandonnèrent sur le lit, leurs corps s’entrelacèrent, cherchant encore cette chaleur enivrante. Virginie effleura du bout des lèvres le cou de Steve, son parfum mêlé aux effluves du désir encore présent dans l’air. Il la serra contre lui, leurs peaux brûlantes de cette passion insatiable.
Elle mordilla légèrement sa lèvre, hésitante, puis se tourna vers Steve, dont le regard brillait encore de luxure. Elle caressa son torse du bout des doigts avant de plonger ses yeux dans les siens.
— J’ai envie de vivre ça, murmura-t-elle d’une voix tremblante d’excitation.
— De vivre quoi ? répondit-il, un sourire en coin, bien conscient de ce qu’elle sous-entendait.
— D’être cette femme… Entre deux hommes.
Elle sentit son cœur s’accélérer en prononçant ces mots interdits. Steve ne sembla pas choqué, bien au contraire. Il la scruta un instant, son regard s’assombrissant de désir.
— Tu veux qu’on trouve deux hommes… pour toi ? Pour te prendre comme ça, intensément ?
Elle hocha la tête, le souffle court.
— Oui. Deux inconnus, choisis par nous, que l’on paierait. Pas d’attaches, juste du pur plaisir.
Elle s’attendait à une hésitation, mais au lieu de cela, Steve passa une main dans ses cheveux, son pouce effleurant ses lèvres.
— Rien que l’idée de te voir dans cette situation m’excite comme jamais, avoua-t-il dans un murmure rauque.
Virginie frissonna. Il n’y avait plus de doute. Leur prochain fantasme allait devenir réalité… et l’attente ne ferait que rendre l’expérience plus brûlante encore.

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