Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 2

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 2
Chapitre 2 : Face aux exigences de Steve
L’attente était exquise, presque insoutenable, chaque minute rallongeant le feu qui consumait encore son corps marqué par le plaisir pris sous d’autres regards. Virginie frissonnait, le souffle court, savourant déjà l’instant où Steve découvrirait son audace et la plongerait dans ces jeux intimes où elle ne serait qu’à lui. L’idée de sa domination prochaine électrisait ses sens, attisant son impatience jusqu’à l’obsession.
Un frisson d’excitation la traversa, une onde délicieuse remontant le long de ses cuisses. Son intimité, déjà fébrile, se contracta sous l’anticipation du moment où il la réclamerait, où elle se donnerait à lui sans retenue.
Après une journée de travail, elle prit un taxi, l’impatience battant dans ses veines. Chaque kilomètre la rapprochait de Steve, et son ventre se nouait d’excitation à l’idée de ce qui l’attendait.
Alors qu’elle descendait du véhicule, son téléphone vibra dans son sac. Son cœur s’accéléra aussitôt. Un message de Steve, peut-être ? Un ordre, un avertissement, une promesse ? Ses doigts fébriles fouillèrent son sac, sa respiration suspendue alors qu’elle sortait l’appareil, frémissante d’envie et de soumission…
— En arrivant dans le hall de l'immeuble, je veux que tu retires tous tes vêtements et que tu montes nue par les escaliers. Je t’attends avec impatience...
D’un pas assuré, elle pénétra dans le hall d’entrée de l’immeuble. Ses joues s’empourprèrent sous l’excitation et la crainte d’être surprise. Elle jeta un regard autour d’elle : personne. Son cœur battait la chamade. Elle hésita une seconde, puis, le désir l’emportant sur la raison, elle défit lentement les boutons de son chemisier.
Le tissu glissa sur ses épaules et tomba à ses pieds. Son soutien-gorge ne tarda pas à suivre, libérant sa poitrine généreuse que Steve aimait tant admirer. Elle ferma les yeux une seconde, savourant la montée d’adrénaline, puis elle fit glisser sa jupe le long de ses hanches. Bientôt, elle se retrouva complètement nue, ses vêtements en tas à ses pieds.
Le hall était silencieux, seulement troublé par sa respiration saccadée. Un pas après l’autre, elle avança vers l’escalier. Chaque mouvement faisait danser sa peau sous l’éclairage tamisé du bâtiment. Ses tétons durcis frissonnaient au contact de l’air.
En montant, elle sentit une chaleur humide entre ses cuisses, signe de son excitation croissante. Et lui, là-haut, l’attendait, imaginant sûrement la scène, durcissant à l’idée de sa soumise exécutant son ordre avec un mélange d’appréhension et de plaisir interdit…
Virginie gravit lentement les marches, ses talons claquant doucement sur le béton, son souffle court trahissant l’excitation qui montait en elle. Chaque pas la rendait plus consciente de sa nudité, de l’interdit délicieux qu’elle était en train de braver. Son cœur battait furieusement alors qu’elle s’imaginait une porte qui s’ouvrirait soudainement, un voisin qui surgirait… qui la surprendrait ainsi, offerte et vulnérable.
Elle atteignit le premier palier et jeta un regard autour d’elle. Toujours personne. Mais l’idée d’être vue, de capter un regard avide sur sa poitrine pleine et fière, sur son ventre contracté par l’adrénaline, sur cette humidité qui brillait entre ses cuisses, l’électrisait encore plus.
Elle posa une main contre le mur, prenant une seconde pour calmer le tremblement de ses jambes, puis continua son ascension. Chaque marche faisait bouger sa poitrine, ses pointes dressées frôlant l’air. Elle adorait cette sensation, ce frisson du danger mêlé au plaisir brut de l’exhibition.
Arrivée au deuxième étage, un bruit la figea. Une porte qui s’ouvrait en contrebas. Son cœur rata un battement. Elle entendit des pas, quelqu’un montait l’escalier. Son premier réflexe fut de courir, mais une chaleur moite s’étendit entre ses cuisses. L’idée d’être découverte l’excitait au-delà de tout.
L’inconnu s’approchait, elle pouvait déjà entendre sa respiration. Dans un mélange de panique et d’exaltation, elle accéléra, atteignant presque en courant la porte de l’appartement de Steve. Fébrile, elle tourna la poignée.
Il était là, assis sur le canapé, un verre à la main, un sourire carnassier sur les lèvres. Il l’avait entendue. Il avait tout imaginé. Ses yeux brillèrent d’un désir brut en la voyant nue, haletante, encore vibrante du danger.
— Tu es une élève exemplaire, murmura-t-il en se levant lentement.
Steve s’adressa à Virginie :
— Puisque tu aimes t’exhiber et prendre du plaisir sous le regard du docteur Morel et de son confrère, ce soir, je t’organise une soirée spéciale.
Son regard descendit sur elle, s’attardant sur sa poitrine qui se soulevait au rythme de son souffle saccadé, sur son ventre tendu, sur l’humidité visible entre ses cuisses.
— Mets-toi à genoux. Maintenant.
Virginie s’agenouilla devant lui, le regard brillant d’un mélange de soumission et d’excitation pure. Son corps frémissait sous la tension qui vibrait dans l’air. Steve laissa un instant planer un silence chargé d’attente, savourant la vision de sa soumise nue à ses pieds, offerte, vulnérable… et terriblement excitée.
D’un geste lent et assuré, il tendit la main et captura un de ses tétons dressés entre ses doigts. Un frisson parcourut Virginie lorsqu’il pinça fermement, tirant légèrement dessus, jouant avec la sensibilité exacerbée de sa peau. Elle lâcha un petit gémissement, ses lèvres entrouvertes laissant échapper son souffle saccadé.
— Déjà si dure… souffla-t-il en abaissant le regard vers elle. Tu n’attendais que ça, n’est-ce pas ?
Il pinça plus fort, savourant la façon dont elle se cambrait légèrement sous son toucher, se perdant entre la douleur et le plaisir. Puis sa main glissa lentement le long de son ventre, ses doigts effleurant la peau brûlante jusqu’à atteindre l’intérieur de ses cuisses.
Virginie écarta instinctivement les jambes, l’invitant sans un mot. Elle était trempée. Humide au-delà de toute mesure.
Steve glissa un doigt contre sa fente, remontant lentement jusqu’à son clitoris qu’il frôla à peine. Elle retint un gémissement, ses cuisses frémissant sous l’anticipation. Il appuya légèrement contre son intimité, laissant son doigt s’enduire de son excitation avant de le retirer et de le porter sous ses yeux.
— Regarde-toi, murmura-t-il avec un sourire satisfait. Tu es trempée… Tu aimes ça.
Virginie mordilla sa lèvre inférieure, rougissante mais incapable de nier l’évidence. Il avait raison. L’excitation de l’exhibition, le frisson du danger, sa domination sans faille… tout cela la rendait folle.
Steve lécha lentement son doigt, goûtant à son désir. Son regard s’assombrit d’une lueur prédatrice.
— Maintenant, montre-moi jusqu’où tu peux aller…
Son pantalon se défit dans un mouvement fluide, révélant son excitation sans équivoque. Il se recula légèrement, s’appuyant contre le dossier du canapé, l’invitant silencieusement à se pencher vers lui…
Virginie comprit aussitôt. Un feu ardent s’alluma en elle alors qu’elle avançait lentement, sa langue passant sur ses lèvres humides. Elle s’approcha lentement, ses yeux fixés sur Steve, sur l’excitation évidente qui se dressait devant elle. Son souffle était court, brûlant d’anticipation. Elle savait ce qu’il attendait d’elle, et elle comptait bien lui montrer à quel point elle aimait lui obéir.
Ses mains effleurèrent ses cuisses avant de remonter lentement, effleurant à peine la dureté de son désir. Steve ne bougea pas, se contentant de la regarder avec ce regard dominateur qui l’électrisait à chaque instant.
— Tu sais quoi faire, murmura-t-il. Montre-moi à quel point tu as envie de moi.
Virginie lécha ses lèvres et se pencha, laissant sa langue glisser lentement contre la peau brûlante de son sexe. Un frisson parcourut Steve, et elle sentit son corps réagir sous son toucher humide. Elle aimait ça. Savoir qu’elle avait ce pouvoir sur lui, même s’il était celui qui contrôlait tout.
Elle l’engloutit lentement, savourant chaque centimètre, jouant avec sa langue, le torturant de sa bouche chaude. Steve laissa échapper un grondement de plaisir, sa main venant agripper ses cheveux, guidant ses mouvements avec fermeté.
— Regarde-moi, ordonna-t-il.
Virginie leva les yeux vers lui, ses pupilles brillantes de désir, sa bouche travaillant avec dévotion. Voir son plaisir la faisait mouiller encore plus. Elle savait qu’elle était une bonne soumise, et elle adorait lui prouver.
Steve la laissa continuer, savourant chaque instant, chaque gémissement étouffé, avant de tirer légèrement sur ses cheveux pour la faire reculer.
Elle haletait, ses lèvres humides, son regard embué de plaisir.
— Tu es parfaite, murmura-t-il en caressant sa joue. Mais j’ai envie de plus. Beaucoup plus.
L’attente était exquise, presque insoutenable, chaque minute rallongeant le feu qui consumait encore son corps marqué par le plaisir pris sous d’autres regards. Virginie frissonnait, le souffle court, savourant déjà l’instant où Steve découvrirait son audace et la plongerait dans ces jeux intimes où elle ne serait qu’à lui. L’idée de sa domination prochaine électrisait ses sens, attisant son impatience jusqu’à l’obsession.
Un frisson d’excitation la traversa, une onde délicieuse remontant le long de ses cuisses. Son intimité, déjà fébrile, se contracta sous l’anticipation du moment où il la réclamerait, où elle se donnerait à lui sans retenue.
Après une journée de travail, elle prit un taxi, l’impatience battant dans ses veines. Chaque kilomètre la rapprochait de Steve, et son ventre se nouait d’excitation à l’idée de ce qui l’attendait.
Alors qu’elle descendait du véhicule, son téléphone vibra dans son sac. Son cœur s’accéléra aussitôt. Un message de Steve, peut-être ? Un ordre, un avertissement, une promesse ? Ses doigts fébriles fouillèrent son sac, sa respiration suspendue alors qu’elle sortait l’appareil, frémissante d’envie et de soumission…
— En arrivant dans le hall de l'immeuble, je veux que tu retires tous tes vêtements et que tu montes nue par les escaliers. Je t’attends avec impatience...
D’un pas assuré, elle pénétra dans le hall d’entrée de l’immeuble. Ses joues s’empourprèrent sous l’excitation et la crainte d’être surprise. Elle jeta un regard autour d’elle : personne. Son cœur battait la chamade. Elle hésita une seconde, puis, le désir l’emportant sur la raison, elle défit lentement les boutons de son chemisier.
Le tissu glissa sur ses épaules et tomba à ses pieds. Son soutien-gorge ne tarda pas à suivre, libérant sa poitrine généreuse que Steve aimait tant admirer. Elle ferma les yeux une seconde, savourant la montée d’adrénaline, puis elle fit glisser sa jupe le long de ses hanches. Bientôt, elle se retrouva complètement nue, ses vêtements en tas à ses pieds.
Le hall était silencieux, seulement troublé par sa respiration saccadée. Un pas après l’autre, elle avança vers l’escalier. Chaque mouvement faisait danser sa peau sous l’éclairage tamisé du bâtiment. Ses tétons durcis frissonnaient au contact de l’air.
En montant, elle sentit une chaleur humide entre ses cuisses, signe de son excitation croissante. Et lui, là-haut, l’attendait, imaginant sûrement la scène, durcissant à l’idée de sa soumise exécutant son ordre avec un mélange d’appréhension et de plaisir interdit…
Virginie gravit lentement les marches, ses talons claquant doucement sur le béton, son souffle court trahissant l’excitation qui montait en elle. Chaque pas la rendait plus consciente de sa nudité, de l’interdit délicieux qu’elle était en train de braver. Son cœur battait furieusement alors qu’elle s’imaginait une porte qui s’ouvrirait soudainement, un voisin qui surgirait… qui la surprendrait ainsi, offerte et vulnérable.
Elle atteignit le premier palier et jeta un regard autour d’elle. Toujours personne. Mais l’idée d’être vue, de capter un regard avide sur sa poitrine pleine et fière, sur son ventre contracté par l’adrénaline, sur cette humidité qui brillait entre ses cuisses, l’électrisait encore plus.
Elle posa une main contre le mur, prenant une seconde pour calmer le tremblement de ses jambes, puis continua son ascension. Chaque marche faisait bouger sa poitrine, ses pointes dressées frôlant l’air. Elle adorait cette sensation, ce frisson du danger mêlé au plaisir brut de l’exhibition.
Arrivée au deuxième étage, un bruit la figea. Une porte qui s’ouvrait en contrebas. Son cœur rata un battement. Elle entendit des pas, quelqu’un montait l’escalier. Son premier réflexe fut de courir, mais une chaleur moite s’étendit entre ses cuisses. L’idée d’être découverte l’excitait au-delà de tout.
L’inconnu s’approchait, elle pouvait déjà entendre sa respiration. Dans un mélange de panique et d’exaltation, elle accéléra, atteignant presque en courant la porte de l’appartement de Steve. Fébrile, elle tourna la poignée.
Il était là, assis sur le canapé, un verre à la main, un sourire carnassier sur les lèvres. Il l’avait entendue. Il avait tout imaginé. Ses yeux brillèrent d’un désir brut en la voyant nue, haletante, encore vibrante du danger.
— Tu es une élève exemplaire, murmura-t-il en se levant lentement.
Steve s’adressa à Virginie :
— Puisque tu aimes t’exhiber et prendre du plaisir sous le regard du docteur Morel et de son confrère, ce soir, je t’organise une soirée spéciale.
Son regard descendit sur elle, s’attardant sur sa poitrine qui se soulevait au rythme de son souffle saccadé, sur son ventre tendu, sur l’humidité visible entre ses cuisses.
— Mets-toi à genoux. Maintenant.
Virginie s’agenouilla devant lui, le regard brillant d’un mélange de soumission et d’excitation pure. Son corps frémissait sous la tension qui vibrait dans l’air. Steve laissa un instant planer un silence chargé d’attente, savourant la vision de sa soumise nue à ses pieds, offerte, vulnérable… et terriblement excitée.
D’un geste lent et assuré, il tendit la main et captura un de ses tétons dressés entre ses doigts. Un frisson parcourut Virginie lorsqu’il pinça fermement, tirant légèrement dessus, jouant avec la sensibilité exacerbée de sa peau. Elle lâcha un petit gémissement, ses lèvres entrouvertes laissant échapper son souffle saccadé.
— Déjà si dure… souffla-t-il en abaissant le regard vers elle. Tu n’attendais que ça, n’est-ce pas ?
Il pinça plus fort, savourant la façon dont elle se cambrait légèrement sous son toucher, se perdant entre la douleur et le plaisir. Puis sa main glissa lentement le long de son ventre, ses doigts effleurant la peau brûlante jusqu’à atteindre l’intérieur de ses cuisses.
Virginie écarta instinctivement les jambes, l’invitant sans un mot. Elle était trempée. Humide au-delà de toute mesure.
Steve glissa un doigt contre sa fente, remontant lentement jusqu’à son clitoris qu’il frôla à peine. Elle retint un gémissement, ses cuisses frémissant sous l’anticipation. Il appuya légèrement contre son intimité, laissant son doigt s’enduire de son excitation avant de le retirer et de le porter sous ses yeux.
— Regarde-toi, murmura-t-il avec un sourire satisfait. Tu es trempée… Tu aimes ça.
Virginie mordilla sa lèvre inférieure, rougissante mais incapable de nier l’évidence. Il avait raison. L’excitation de l’exhibition, le frisson du danger, sa domination sans faille… tout cela la rendait folle.
Steve lécha lentement son doigt, goûtant à son désir. Son regard s’assombrit d’une lueur prédatrice.
— Maintenant, montre-moi jusqu’où tu peux aller…
Son pantalon se défit dans un mouvement fluide, révélant son excitation sans équivoque. Il se recula légèrement, s’appuyant contre le dossier du canapé, l’invitant silencieusement à se pencher vers lui…
Virginie comprit aussitôt. Un feu ardent s’alluma en elle alors qu’elle avançait lentement, sa langue passant sur ses lèvres humides. Elle s’approcha lentement, ses yeux fixés sur Steve, sur l’excitation évidente qui se dressait devant elle. Son souffle était court, brûlant d’anticipation. Elle savait ce qu’il attendait d’elle, et elle comptait bien lui montrer à quel point elle aimait lui obéir.
Ses mains effleurèrent ses cuisses avant de remonter lentement, effleurant à peine la dureté de son désir. Steve ne bougea pas, se contentant de la regarder avec ce regard dominateur qui l’électrisait à chaque instant.
— Tu sais quoi faire, murmura-t-il. Montre-moi à quel point tu as envie de moi.
Virginie lécha ses lèvres et se pencha, laissant sa langue glisser lentement contre la peau brûlante de son sexe. Un frisson parcourut Steve, et elle sentit son corps réagir sous son toucher humide. Elle aimait ça. Savoir qu’elle avait ce pouvoir sur lui, même s’il était celui qui contrôlait tout.
Elle l’engloutit lentement, savourant chaque centimètre, jouant avec sa langue, le torturant de sa bouche chaude. Steve laissa échapper un grondement de plaisir, sa main venant agripper ses cheveux, guidant ses mouvements avec fermeté.
— Regarde-moi, ordonna-t-il.
Virginie leva les yeux vers lui, ses pupilles brillantes de désir, sa bouche travaillant avec dévotion. Voir son plaisir la faisait mouiller encore plus. Elle savait qu’elle était une bonne soumise, et elle adorait lui prouver.
Steve la laissa continuer, savourant chaque instant, chaque gémissement étouffé, avant de tirer légèrement sur ses cheveux pour la faire reculer.
Elle haletait, ses lèvres humides, son regard embué de plaisir.
— Tu es parfaite, murmura-t-il en caressant sa joue. Mais j’ai envie de plus. Beaucoup plus.
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