Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 3

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 3
Chapitre 3 : Sous les projecteurs
Les hommes se mirent en place dans la salle, impatients. Steve et Bernard étaient là, leurs regards fixés sur les deux femmes, tout en échangeant quelques mots à voix basse.
Puis, le moment arriva. Marc fit son entrée dans la salle et annonça d’une voix calme mais pleine d’autorité. Les lumières s’adoucirent davantage, et la musique douce envahit la pièce. Les premières silhouettes s’avancèrent. Virginie se sentit envahie par une vague d’adrénaline et de plaisir alors qu’elle faisait ses premiers pas sous les regards curieux. Elle avança avec grâce, son regard balayant la pièce, capturant l’attention de tous les spectateurs. La lumière mettait en valeur chaque détail de sa silhouette, de son port de tête assuré à la courbe de ses hanches. Elle savait que les regards se concentraient sur elle, qu’ils étaient fascinés, et elle aimait ça.
Nathalie la suivit, ses pas un peu plus hésitants, son regard fuyant de temps en temps. Mais elle était là, dans l’arène, prête à jouer le jeu.
Les deux femmes défilèrent, l’atmosphère s’alourdissant de désir non exprimé. Les hommes observaient attentivement, les yeux rivés sur les courbes, les gestes, les réactions des deux modèles.
Virginie, sans aucune gêne, continua sa marche. Elle tourna une dernière fois pour faire face à la salle entière, sa silhouette s’étendant sous les projecteurs, avant de se retirer lentement en coulisse, son regard brulant encore des regards qu’elle venait de récolter.
L’ambiance dans la salle s’épaissit, l’atmosphère frémissante de désir et de curiosité grandissait à chaque seconde. Virginie, avec sa démarche assurée, avançait à nouveau, mais cette fois, sa tenue osée ne laissait plus place au doute. Les tissus transparents épousaient parfaitement ses formes, mettant en valeur sa silhouette. La lumière semblait la caresser, dessinant des ombres subtiles qui accentuaient la courbe de ses hanches et la douceur de sa peau. Sa poitrine, magnifiquement mise en valeur, captait tous les regards, en particulier ceux de Steve et de Bernard, qui semblaient maintenant complètement hypnotisés par chaque mouvement qu'elle faisait.
Elle avançait lentement, chaque pas calculé, chaque geste délicatement exagéré pour maintenir le mystère tout en dévoilant un peu plus à chaque instant. Le public était suspendu à ses moindres faits et gestes, dévorant des yeux sa silhouette sculpturale qui ondulait sous la lumière. La tension dans la salle montait, et les murmures des spectateurs se faisaient plus insistants, plus lourds, comme une promesse d’un désir non-dit qui se tapissait dans l’air.
Puis, Nathalie reprit sa marche. Bien que moins assurée que Virginie, sa tenue tout aussi osée ne laissait pas de place à l’indifférence. La transparence de sa robe laissait entrevoir des détails intimes de son corps, et bien que ses pas fussent encore hésitants, il y avait quelque chose de terriblement captivant dans sa vulnérabilité. Les regards, bien que toujours intenses, portaient un mélange de fascination et de tendresse. La salle se trouvait partagée entre l’admiration de la confiance de Virginie et l’appréciation plus douce mais tout aussi puissante de Nathalie, qui, dans sa fragilité, parvenait à capter l'attention d’une manière presque inconsciente.
Le climat devenait de plus en plus lourd, une tension palpable suspendue dans l'air.
Marc, voyant l'intensité du moment, décida d'interrompre le défilé pour permettre à la salle de reprendre son souffle. D’un geste fluide, il invita une petite pause, cassant momentanément l'élan. Les murmures dans la salle s’intensifièrent, les regards toujours rivés sur les deux femmes, mais avec une tension sous-jacente, une attente de ce qui allait suivre.
Les spectateurs se mirent à chuchoter, leurs voix basses et excitantes. La salle semblait reprendre son souffle avant la suite, comme si un voile venait de tomber sur la scène, laissant place à l’inconnu. Marc annonça le prochain segment, la présentation des accessoires, et tout de suite, les regards se réajustèrent, prêts à plonger à nouveau dans l’intensité du défilé, où chaque détail, chaque bijou ou accessoire, serait comme une promesse de davantage, de plus subtil encore.
La tension était palpable, suspendue dans l’air comme une promesse d’intensité à venir. Marc, avec une calme autorité, s’avança vers l’estrade. Il fit quelques gestes pour réorganiser la scène, installant deux chaises soigneusement placées au centre de l’espace. Les spectateurs, impatients, observaient chaque mouvement, fascinés par cette petite interruption qui ne faisait qu’alimenter leur curiosité. À côté des chaises, sur une petite table, étaient disposés des accessoires intimes, des pièces délicates mais suggestives, dont les matériaux luisants et les formes élégantes suggéraient une certaine sensualité cachée, en parfaite harmonie avec l’ambiance de la soirée.
Marc, observant la salle, laissa un instant de silence flotter, permettant à l’atmosphère de s’épaissir encore davantage. Puis, il se tourna vers le public, un sourire en coin, et d’une voix calme mais teintée de suspense, il prit la parole :
— Chers spectateurs, après ces premiers défilés envoûtants, nous allons désormais entrer dans une nouvelle phase, où l’intimité se mêle au désir. Les accessoires que vous voyez ici ne sont pas simplement des objets. Chaque pièce raconte une histoire, chaque bijou, chaque élément a sa propre énergie, et c’est à vous de percevoir ce qu’il évoque.
Marc fit une pause, observant les réactions dans la salle. Il laissa quelques regards se croiser, le mystère et l’excitation grandissant dans l’air.
— Nos mannequins feront leur entrée dans quelques instants. Mais cette fois, il ne s’agira pas seulement de défilé, il s’agira d’une exploration plus personnelle.
Il s’arrêta de parler un instant, pour s’assurer que l’attention était bien concentrée sur lui. Puis, son ton se fit plus bas, plus intense, accentuant chaque mot comme une invitation à une expérience sensuelle.
— Les filles prendront place ici, sur ces chaises, et les accessoires ne seront pas simplement présentés, ils deviendront un prolongement d’elles-mêmes. Nous entrerons dans une phase de découvertes subtiles, de jeux de sensations. Prenez le temps d’observer chaque détail, chaque mouvement, chaque interaction.
Marc observa le public une dernière fois avant de conclure :
— Sans plus attendre, laissez-vous emporter par la suite du spectacle.
Il se tourna alors vers les coulisses, signalant aux filles de faire leur entrée. L’atmosphère, déjà chargée d’énergie, semblait se tendre encore un peu plus, et la salle attendait, avide de ce qui allait suivre.
Virginie arriva sur scène, vêtue d’un ensemble de lingerie fine, elle portait un rehausse-seins qui libérait ses tétons fièrement dressés. Ses courbes généreuses captaient la lumière, et chaque mouvement éveillait le désir du public. D’un pas assuré, elle prit place sur une chaise au centre de la scène. À ses côtés, Nathalie, plus timide, semblait hésiter.
Marc s’approcha lentement. Il tenait entre ses mains un accessoire qu’il présenta au public avec un sourire complice. Puis, avec une douceur exquise, il l’effleura sur la peau de Virginie, traçant des frissons le long de son ventre, de ses cuisses, et remontant vers sa poitrine offerte…
Les frissons qui parcouraient le corps de Virginie s’intensifiaient à chaque passage de l’accessoire sur ses tétons durcis. Elle ferma les yeux, se laissant totalement emporter par les sensations exquises qui l’envahissaient. Un léger gémissement s’échappa de ses lèvres, discret mais chargé de plaisir.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, son regard croisa celui de Steve. Son homme la fixait avec une intensité brûlante, son désir évident, prêt à exploser. Ce simple échange visuel amplifia son excitation, la poussant à se cambrer légèrement sur sa chaise, offrant encore plus son corps aux caresses expertes de Marc.
Lentement, celui-ci fit glisser l’accessoire plus bas, effleurant son ventre, jouant avec l’expectative. L’air chaud de la salle se mêlait aux battements frénétiques de son cœur. Il se pencha alors à son oreille, sa voix à peine un murmure :
— Retire ton string… Laisse-toi aller totalement…
L’idée fit monter en elle une vague de frissons. Sous le regard brûlant de Steve et l’attention du public, elle sentit un feu la consumer de l’intérieur.
Un frisson d’excitation pure traversa Virginie lorsqu’elle glissa ses doigts le long de ses hanches et fit descendre lentement son string, le laissant glisser le long de ses jambes avant de l’abandonner sur le sol. Le silence brûlant du public amplifiait son excitation. Elle s’installa plus confortablement sur la chaise, écartant les cuisses avec une sensualité assumée, s’offrant totalement à l’instant.
Marc fit durer le suspense, promenant l’accessoire autour de l’intérieur de ses cuisses, frôlant sa peau sans jamais toucher directement son intimité. Virginie se cambra légèrement, anticipant le contact tant désiré. Lorsqu’enfin il fit glisser l’accessoire plus bas, un gémissement plus profond s’échappa de ses lèvres.
L’intensité de la sensation la submergea immédiatement. Une chaleur exquise envahit son ventre, chaque vibration se répercutant à travers tout son corps. Son souffle se fit plus court, plus erratique. Ses doigts s’agrippèrent aux bords de la chaise tandis qu’une vague de plaisir montait en elle, irrépressible.
Le regard de Steve ne la quittait pas. Il la dévorait des yeux, avide, fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Son excitation était évidente, et le voir ainsi ne faisait qu’amplifier le plaisir de Virginie.
À ses côtés, Nathalie semblait troublée, partagée entre gêne et fascination. Son regard oscillait entre l’accessoire qui s’occupait de Virginie et le visage de Steve, où brûlait une lueur de désir incontrôlable.
Virginie sentit l’extase se rapprocher, son corps entièrement offert à cette onde de plaisir qui ne demandait qu’à exploser…
Le corps de Virginie se tendit, sa poitrine se souleva dans un soupir brûlant alors que l’extase montait en elle, implacable. Les vibrations de l’accessoire devenaient insoutenables, chaque onde pulsant directement dans son intimité. Ses doigts se crispèrent sur la chaise, son dos se cambrant tandis qu’un cri de plaisir lui échappa, incontrôlable. Son orgasme éclata en vagues puissantes, la submergeant entièrement sous les regards captivés du public… et surtout celui de Steve, dont le désir était désormais au bord de l’explosion.
Le souffle court, le corps encore tremblant, Virginie resta nue sur sa chaise, savourant encore son plaisir pendant que Marc reprenait la parole.
— Voilà l’effet de cet accessoire révolutionnaire, expliqua-t-il en le montrant au public. Il stimule de manière subtile mais intense, favorisant une montée progressive du plaisir et une libération totale des tensions. Idéal pour se découvrir, s’explorer, et atteindre un plaisir profond…
Des murmures d’excitation parcouraient la salle tandis que Marc se tournait maintenant vers Nathalie. Il prit un nouvel accessoire, différent mais promettant des sensations tout aussi exquises. Avec douceur, il invita Nathalie à s’installer plus confortablement sur sa chaise.
— À ton tour, si tu en as envie…
Mais dès les premiers contacts, il était évident que Nathalie n’avait pas la même aisance que Virginie. Son corps restait tendu, son regard fuyant, comme si elle hésitait à se laisser aller devant tout ce monde. Marc le remarqua immédiatement. Il tenta de l’encourager par quelques caresses délicates, mais rien n’y fit : son plaisir restait bridé, son esprit visiblement ailleurs.
Après quelques minutes, Marc se redressa et recula légèrement. Il n’insisterait pas.
— Ce genre d’expérience doit être une envie personnelle, expliqua-t-il. Si l’on ne se sent pas à l’aise, il ne faut jamais se forcer. Le plaisir ne se commande pas, il se vit librement.
Dans la salle, un silence s’installa, rompu par un bruit sec : Bernard, le compagnon de Nathalie, venait de taper du poing sur l’accoudoir de son fauteuil. Furieux, il chuchota quelque chose à Nathalie, les mâchoires serrées.
— Pourquoi tu ne te laisses pas aller comme Virginie ? souffla-t-il entre ses dents. Tu me fais honte…
Nathalie baissa les yeux, mal à l’aise, tandis que Virginie, encore nue sur sa chaise, observait la scène avec un mélange de curiosité et de compassion.
Alors que la démonstration touchait à sa fin, Marc remercia chaleureusement le public avant de raccompagner Virginie et Nathalie en coulisses. Virginie, toujours nue, savourait encore les regards admiratifs posés sur elle, prolongeant ce sentiment d’excitation et de liberté. Son corps frémissait encore sous l’effet du plaisir qu’elle venait de vivre.
Nathalie, de son côté, semblait troublée, évitant le regard de son compagnon. Elle savait qu’il était en colère et que la soirée ne se terminerait pas sans une discussion tendue.
Marc les rejoignit dans le vestiaire, un sourire aux lèvres.
— Vous avez été superbes ce soir, dit-il en leur tendant un petit sac cadeau à chacune. Un souvenir de cette expérience… et de quoi prolonger le plaisir en privé.
Virginie ouvrit son sac, découvrant un ensemble de lingerie fine et un accessoire semblable à celui utilisé sur scène. Elle adressa un sourire complice à Steve, qui la fixait toujours avec cette même intensité brûlante. Nathalie, elle, hésita un instant avant de jeter un coup d’œil discret dans son sac.
Les hommes se mirent en place dans la salle, impatients. Steve et Bernard étaient là, leurs regards fixés sur les deux femmes, tout en échangeant quelques mots à voix basse.
Puis, le moment arriva. Marc fit son entrée dans la salle et annonça d’une voix calme mais pleine d’autorité. Les lumières s’adoucirent davantage, et la musique douce envahit la pièce. Les premières silhouettes s’avancèrent. Virginie se sentit envahie par une vague d’adrénaline et de plaisir alors qu’elle faisait ses premiers pas sous les regards curieux. Elle avança avec grâce, son regard balayant la pièce, capturant l’attention de tous les spectateurs. La lumière mettait en valeur chaque détail de sa silhouette, de son port de tête assuré à la courbe de ses hanches. Elle savait que les regards se concentraient sur elle, qu’ils étaient fascinés, et elle aimait ça.
Nathalie la suivit, ses pas un peu plus hésitants, son regard fuyant de temps en temps. Mais elle était là, dans l’arène, prête à jouer le jeu.
Les deux femmes défilèrent, l’atmosphère s’alourdissant de désir non exprimé. Les hommes observaient attentivement, les yeux rivés sur les courbes, les gestes, les réactions des deux modèles.
Virginie, sans aucune gêne, continua sa marche. Elle tourna une dernière fois pour faire face à la salle entière, sa silhouette s’étendant sous les projecteurs, avant de se retirer lentement en coulisse, son regard brulant encore des regards qu’elle venait de récolter.
L’ambiance dans la salle s’épaissit, l’atmosphère frémissante de désir et de curiosité grandissait à chaque seconde. Virginie, avec sa démarche assurée, avançait à nouveau, mais cette fois, sa tenue osée ne laissait plus place au doute. Les tissus transparents épousaient parfaitement ses formes, mettant en valeur sa silhouette. La lumière semblait la caresser, dessinant des ombres subtiles qui accentuaient la courbe de ses hanches et la douceur de sa peau. Sa poitrine, magnifiquement mise en valeur, captait tous les regards, en particulier ceux de Steve et de Bernard, qui semblaient maintenant complètement hypnotisés par chaque mouvement qu'elle faisait.
Elle avançait lentement, chaque pas calculé, chaque geste délicatement exagéré pour maintenir le mystère tout en dévoilant un peu plus à chaque instant. Le public était suspendu à ses moindres faits et gestes, dévorant des yeux sa silhouette sculpturale qui ondulait sous la lumière. La tension dans la salle montait, et les murmures des spectateurs se faisaient plus insistants, plus lourds, comme une promesse d’un désir non-dit qui se tapissait dans l’air.
Puis, Nathalie reprit sa marche. Bien que moins assurée que Virginie, sa tenue tout aussi osée ne laissait pas de place à l’indifférence. La transparence de sa robe laissait entrevoir des détails intimes de son corps, et bien que ses pas fussent encore hésitants, il y avait quelque chose de terriblement captivant dans sa vulnérabilité. Les regards, bien que toujours intenses, portaient un mélange de fascination et de tendresse. La salle se trouvait partagée entre l’admiration de la confiance de Virginie et l’appréciation plus douce mais tout aussi puissante de Nathalie, qui, dans sa fragilité, parvenait à capter l'attention d’une manière presque inconsciente.
Le climat devenait de plus en plus lourd, une tension palpable suspendue dans l'air.
Marc, voyant l'intensité du moment, décida d'interrompre le défilé pour permettre à la salle de reprendre son souffle. D’un geste fluide, il invita une petite pause, cassant momentanément l'élan. Les murmures dans la salle s’intensifièrent, les regards toujours rivés sur les deux femmes, mais avec une tension sous-jacente, une attente de ce qui allait suivre.
Les spectateurs se mirent à chuchoter, leurs voix basses et excitantes. La salle semblait reprendre son souffle avant la suite, comme si un voile venait de tomber sur la scène, laissant place à l’inconnu. Marc annonça le prochain segment, la présentation des accessoires, et tout de suite, les regards se réajustèrent, prêts à plonger à nouveau dans l’intensité du défilé, où chaque détail, chaque bijou ou accessoire, serait comme une promesse de davantage, de plus subtil encore.
La tension était palpable, suspendue dans l’air comme une promesse d’intensité à venir. Marc, avec une calme autorité, s’avança vers l’estrade. Il fit quelques gestes pour réorganiser la scène, installant deux chaises soigneusement placées au centre de l’espace. Les spectateurs, impatients, observaient chaque mouvement, fascinés par cette petite interruption qui ne faisait qu’alimenter leur curiosité. À côté des chaises, sur une petite table, étaient disposés des accessoires intimes, des pièces délicates mais suggestives, dont les matériaux luisants et les formes élégantes suggéraient une certaine sensualité cachée, en parfaite harmonie avec l’ambiance de la soirée.
Marc, observant la salle, laissa un instant de silence flotter, permettant à l’atmosphère de s’épaissir encore davantage. Puis, il se tourna vers le public, un sourire en coin, et d’une voix calme mais teintée de suspense, il prit la parole :
— Chers spectateurs, après ces premiers défilés envoûtants, nous allons désormais entrer dans une nouvelle phase, où l’intimité se mêle au désir. Les accessoires que vous voyez ici ne sont pas simplement des objets. Chaque pièce raconte une histoire, chaque bijou, chaque élément a sa propre énergie, et c’est à vous de percevoir ce qu’il évoque.
Marc fit une pause, observant les réactions dans la salle. Il laissa quelques regards se croiser, le mystère et l’excitation grandissant dans l’air.
— Nos mannequins feront leur entrée dans quelques instants. Mais cette fois, il ne s’agira pas seulement de défilé, il s’agira d’une exploration plus personnelle.
Il s’arrêta de parler un instant, pour s’assurer que l’attention était bien concentrée sur lui. Puis, son ton se fit plus bas, plus intense, accentuant chaque mot comme une invitation à une expérience sensuelle.
— Les filles prendront place ici, sur ces chaises, et les accessoires ne seront pas simplement présentés, ils deviendront un prolongement d’elles-mêmes. Nous entrerons dans une phase de découvertes subtiles, de jeux de sensations. Prenez le temps d’observer chaque détail, chaque mouvement, chaque interaction.
Marc observa le public une dernière fois avant de conclure :
— Sans plus attendre, laissez-vous emporter par la suite du spectacle.
Il se tourna alors vers les coulisses, signalant aux filles de faire leur entrée. L’atmosphère, déjà chargée d’énergie, semblait se tendre encore un peu plus, et la salle attendait, avide de ce qui allait suivre.
Virginie arriva sur scène, vêtue d’un ensemble de lingerie fine, elle portait un rehausse-seins qui libérait ses tétons fièrement dressés. Ses courbes généreuses captaient la lumière, et chaque mouvement éveillait le désir du public. D’un pas assuré, elle prit place sur une chaise au centre de la scène. À ses côtés, Nathalie, plus timide, semblait hésiter.
Marc s’approcha lentement. Il tenait entre ses mains un accessoire qu’il présenta au public avec un sourire complice. Puis, avec une douceur exquise, il l’effleura sur la peau de Virginie, traçant des frissons le long de son ventre, de ses cuisses, et remontant vers sa poitrine offerte…
Les frissons qui parcouraient le corps de Virginie s’intensifiaient à chaque passage de l’accessoire sur ses tétons durcis. Elle ferma les yeux, se laissant totalement emporter par les sensations exquises qui l’envahissaient. Un léger gémissement s’échappa de ses lèvres, discret mais chargé de plaisir.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, son regard croisa celui de Steve. Son homme la fixait avec une intensité brûlante, son désir évident, prêt à exploser. Ce simple échange visuel amplifia son excitation, la poussant à se cambrer légèrement sur sa chaise, offrant encore plus son corps aux caresses expertes de Marc.
Lentement, celui-ci fit glisser l’accessoire plus bas, effleurant son ventre, jouant avec l’expectative. L’air chaud de la salle se mêlait aux battements frénétiques de son cœur. Il se pencha alors à son oreille, sa voix à peine un murmure :
— Retire ton string… Laisse-toi aller totalement…
L’idée fit monter en elle une vague de frissons. Sous le regard brûlant de Steve et l’attention du public, elle sentit un feu la consumer de l’intérieur.
Un frisson d’excitation pure traversa Virginie lorsqu’elle glissa ses doigts le long de ses hanches et fit descendre lentement son string, le laissant glisser le long de ses jambes avant de l’abandonner sur le sol. Le silence brûlant du public amplifiait son excitation. Elle s’installa plus confortablement sur la chaise, écartant les cuisses avec une sensualité assumée, s’offrant totalement à l’instant.
Marc fit durer le suspense, promenant l’accessoire autour de l’intérieur de ses cuisses, frôlant sa peau sans jamais toucher directement son intimité. Virginie se cambra légèrement, anticipant le contact tant désiré. Lorsqu’enfin il fit glisser l’accessoire plus bas, un gémissement plus profond s’échappa de ses lèvres.
L’intensité de la sensation la submergea immédiatement. Une chaleur exquise envahit son ventre, chaque vibration se répercutant à travers tout son corps. Son souffle se fit plus court, plus erratique. Ses doigts s’agrippèrent aux bords de la chaise tandis qu’une vague de plaisir montait en elle, irrépressible.
Le regard de Steve ne la quittait pas. Il la dévorait des yeux, avide, fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Son excitation était évidente, et le voir ainsi ne faisait qu’amplifier le plaisir de Virginie.
À ses côtés, Nathalie semblait troublée, partagée entre gêne et fascination. Son regard oscillait entre l’accessoire qui s’occupait de Virginie et le visage de Steve, où brûlait une lueur de désir incontrôlable.
Virginie sentit l’extase se rapprocher, son corps entièrement offert à cette onde de plaisir qui ne demandait qu’à exploser…
Le corps de Virginie se tendit, sa poitrine se souleva dans un soupir brûlant alors que l’extase montait en elle, implacable. Les vibrations de l’accessoire devenaient insoutenables, chaque onde pulsant directement dans son intimité. Ses doigts se crispèrent sur la chaise, son dos se cambrant tandis qu’un cri de plaisir lui échappa, incontrôlable. Son orgasme éclata en vagues puissantes, la submergeant entièrement sous les regards captivés du public… et surtout celui de Steve, dont le désir était désormais au bord de l’explosion.
Le souffle court, le corps encore tremblant, Virginie resta nue sur sa chaise, savourant encore son plaisir pendant que Marc reprenait la parole.
— Voilà l’effet de cet accessoire révolutionnaire, expliqua-t-il en le montrant au public. Il stimule de manière subtile mais intense, favorisant une montée progressive du plaisir et une libération totale des tensions. Idéal pour se découvrir, s’explorer, et atteindre un plaisir profond…
Des murmures d’excitation parcouraient la salle tandis que Marc se tournait maintenant vers Nathalie. Il prit un nouvel accessoire, différent mais promettant des sensations tout aussi exquises. Avec douceur, il invita Nathalie à s’installer plus confortablement sur sa chaise.
— À ton tour, si tu en as envie…
Mais dès les premiers contacts, il était évident que Nathalie n’avait pas la même aisance que Virginie. Son corps restait tendu, son regard fuyant, comme si elle hésitait à se laisser aller devant tout ce monde. Marc le remarqua immédiatement. Il tenta de l’encourager par quelques caresses délicates, mais rien n’y fit : son plaisir restait bridé, son esprit visiblement ailleurs.
Après quelques minutes, Marc se redressa et recula légèrement. Il n’insisterait pas.
— Ce genre d’expérience doit être une envie personnelle, expliqua-t-il. Si l’on ne se sent pas à l’aise, il ne faut jamais se forcer. Le plaisir ne se commande pas, il se vit librement.
Dans la salle, un silence s’installa, rompu par un bruit sec : Bernard, le compagnon de Nathalie, venait de taper du poing sur l’accoudoir de son fauteuil. Furieux, il chuchota quelque chose à Nathalie, les mâchoires serrées.
— Pourquoi tu ne te laisses pas aller comme Virginie ? souffla-t-il entre ses dents. Tu me fais honte…
Nathalie baissa les yeux, mal à l’aise, tandis que Virginie, encore nue sur sa chaise, observait la scène avec un mélange de curiosité et de compassion.
Alors que la démonstration touchait à sa fin, Marc remercia chaleureusement le public avant de raccompagner Virginie et Nathalie en coulisses. Virginie, toujours nue, savourait encore les regards admiratifs posés sur elle, prolongeant ce sentiment d’excitation et de liberté. Son corps frémissait encore sous l’effet du plaisir qu’elle venait de vivre.
Nathalie, de son côté, semblait troublée, évitant le regard de son compagnon. Elle savait qu’il était en colère et que la soirée ne se terminerait pas sans une discussion tendue.
Marc les rejoignit dans le vestiaire, un sourire aux lèvres.
— Vous avez été superbes ce soir, dit-il en leur tendant un petit sac cadeau à chacune. Un souvenir de cette expérience… et de quoi prolonger le plaisir en privé.
Virginie ouvrit son sac, découvrant un ensemble de lingerie fine et un accessoire semblable à celui utilisé sur scène. Elle adressa un sourire complice à Steve, qui la fixait toujours avec cette même intensité brûlante. Nathalie, elle, hésita un instant avant de jeter un coup d’œil discret dans son sac.
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Les avis des lecteurs
On pressent que ça va aller plus loin entre Steve et Virginie. Vite, la suite!

