Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 5

- Par l'auteur HDS Steve40 -
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Récit libertin : Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ambition et soumission : la promotion de Virginie Chapitre 5
Chapitre 5 : La soumission totale de Virginie

Lorsqu’elle retrouva son souffle, Virginie ouvrit lentement les yeux, un sourire de satisfaction étirant ses lèvres humides. Elle aimait cette sensation d’être totalement consumée par le plaisir, sous les regards avides de ceux qui venaient d’être témoins de son abandon le plus intime.
D’une voix ferme mais basse, il lui murmura à l’oreille :
—Mets-toi à genoux sur le fauteuil, les mains sur le dossier.
Un frisson parcourut Virginie. Elle se plaça lentement, savourant l’exhibition que Steve lui imposait. Son corps offert à la lueur vacillante de l’écran, elle sentit la tension dans la salle, les regards furtifs des inconnus éveillés par cette audace.
Steve s’approcha, glissant ses doigts le long de sa peau frémissante. Puis, avec une lenteur calculée, il écarta doucement ses lèvres intimes, exposant encore davantage son plaisir. Le souffle court, Virginie se mordit la lèvre, partagée entre gêne et délectation sous le regard de ceux qui devinaient la scène sans oser intervenir.
À genoux sur le fauteuil, les mains agrippées au dossier, elle sentait son excitation monter en flèche. Son sexe était déjà trempé, une chaleur moite s’écoulant lentement entre ses cuisses, trahissant son plaisir interdit.
Steve, debout derrière elle, observa son œuvre avec un sourire satisfait. Sa main encore humide glissa le long de sa hanche, étalant le nectar brûlant sur sa peau sensible. Il effleura ensuite ses seins lourds et tendus, traçant de légers cercles autour de ses tétons durs, ruisselants du plaisir qui l’avait submergée. Virginie laissa échapper un gémissement étouffé, les nerfs à vif, chaque caresse amplifiant son état de soumission extatique.
Mais ce qui l’excitait encore plus, c’était la prise de conscience du public autour d’eux. Le bruit humide de sa jouissance précédente avait brisé le murmure diffus de la salle. Désormais, plusieurs silhouettes s’étaient discrètement retournées, captées par ce spectacle impudique. Quelques respirations plus lourdes, quelques mouvements imperceptibles trahissaient l’effet qu’elle produisait sur ces inconnus.
Steve, sentant l’attention sur eux, glissa ses doigts entre les jambes de Virginie une nouvelle fois, jouant avec ses fluides, les étalant sur sa peau nue. Il approcha sa bouche de son oreille et murmura d’un ton autoritaire :
— Ils te regardent, Virginie… Ils voient à quel point tu es trempée… Et tu adores ça, n’est-ce pas ?
Un frisson la parcourut. Elle aurait dû être honteuse, mais au contraire, l’idée d’être le centre de toutes ces envies ne faisait qu’attiser son désir. Son dos s’arqua légèrement sous l’effet du plaisir renouvelé, ses seins fièrement dressés, ses tétons luisants sous l’humidité de sa propre jouissance.
Dans la salle, quelques silhouettes s’étaient rapprochées, cherchant à mieux voir, à mieux entendre… et à participer, peut-être, à cette exhibition interdite.
Steve, conscient des regards braqués sur eux, savourait ce pouvoir. Il posa ses mains sur les hanches de Virginie et, lentement, les fit glisser vers l'arrière, caressant ses courbes tremblantes. Puis, avec une assurance maîtrisée, il écarta davantage ses cuisses, exposant sans pudeur la source de son plaisir dégoulinant.
Un murmure plus distinct parcourut la salle lorsqu'il passa ses doigts entre les lèvres gonflées de Virginie, les séparant pour offrir à l’ombre des spectateurs un aperçu intime de son état. Son sexe palpitait sous l'excitation, encore ruisselant de sa jouissance précédente. Le liquide chaud coulait lentement le long de ses cuisses, perlant jusqu’à l’arête de ses genoux.
Mais Steve ne s’arrêta pas là. Ses mains remontèrent lentement, glissant sur les courbes rondes de son fessier. Puis, avec une lenteur calculée, il écarta aussi ses fesses, dévoilant sans retenue l’intimité la plus secrète de Virginie.
Un frisson parcourut le corps de la jeune femme. Elle savait que derrière eux, dans l’ombre complice du cinéma, des inconnus voyaient tout. Ils voyaient son sexe tremblant, ouvert et offert, les traces humides de son plaisir s’étalant sur sa peau.
Certains spectateurs s’étaient discrètement rapprochés, hypnotisés par cette exhibition impudique. Des respirations plus lourdes, des mouvements à peine perceptibles trahissaient leur excitation grandissante.
Steve, satisfait, glissa un doigt entre les chairs offertes de Virginie et laissa échapper un murmure rauque :
— Ils te voient complètement… Regarde comme tu les rends fous.
Virginie sentit une nouvelle vague de plaisir la submerger. Elle était totalement exposée, offerte aux regards avides, et elle adorait ça…
Steve savourait la scène, le regard brillant d’excitation. Virginie, toujours agenouillée sur le fauteuil, haletait sous l’effet de l’exposition. Son corps frissonnait entre la gêne et le plaisir intense d’être ainsi mise à nu devant ces inconnus.
D’une main ferme, Steve caressa sa nuque et, d’une voix basse mais impérieuse, il lui murmura :
— Regarde-les. Regarde ces hommes qui te dévorent des yeux…
Virginie ouvrit lentement les paupières, son regard embué de désir se posant sur les silhouettes autour d’eux. Dans l’ombre de la salle, certains avaient cessé de feindre l’indifférence. Elle perçut des regards braqués sur elle, des souffles plus lourds, des corps qui s’étaient imperceptiblement rapprochés. Un frisson lui parcourut l’échine. Elle aurait dû être honteuse, mais l’excitation qui la submergeait était plus forte. Son plaisir dégoulinant entre ses cuisses témoignait de son abandon total.
Steve ne se précipita pas. D’abord, il caressa doucement son intimité, étalant sa mouille abondante, appréciant la chaleur moite qui s’en dégageait. Puis, lentement, il enfonça un premier doigt en elle. Un bruit humide et obscène résonna dans la salle, amplifié par le silence des voyeurs suspendus à chaque mouvement.
Virginie ferma les yeux et laissa échapper un soupir tremblant. Steve ajouta un deuxième doigt, puis un troisième, accélérant progressivement ses va-et-vient. Chaque pénétration était accompagnée de ce son mouillé, glissant, terriblement excitant. Il voulait que tout le monde l’entende, que chaque spectateur puisse imaginer la chaleur et l’intensité de son plaisir.
— Écoute comme tu es excitée… souffla-t-il à son oreille, sa voix grave et teintée de désir.
Virginie gémit, se cambrant sous l’effet du plaisir. Ses jambes tremblaient, sa respiration devenait erratique. Elle s’accrochait au fauteuil devant elle, sentant la pression monter à nouveau en elle, prête à exploser sous ces caresses expertes qui la rendaient folle.
Dans l’ombre, les voyeurs observaient, hypnotisés, captifs de ce spectacle de luxure où chaque bruit de sa mouille trahissait son plaisir inassouvi… Elle était au bord de l’extase. Son corps tremblait sous les assauts de Steve, ses doigts experts s’enfonçant en elle avec une précision perverse, créant à chaque mouvement ce bruit mouillé et indécent qui résonnait dans la salle obscure. Chaque spectateur retenait son souffle, suspendu aux gémissements de la jeune femme, aux échos obscènes de son plaisir incontrôlable.
Mais au moment où elle sentait l’orgasme monter, où son corps s’apprêtait à basculer dans une jouissance brûlante, Steve ralentit brusquement ses mouvements. Virginie ouvrit les yeux, surprise, haletante. Il approcha sa bouche de son oreille et murmura, d’une voix grave et autoritaire :
— Dis-le… dis à tout le monde combien tu aimes ça. Dis-leur qui tu es.
Un frisson la parcourut. L’excitation de l’exhibition, l’envie de se livrer complètement, de briser toutes les barrières, rendait cette demande encore plus électrisante. Elle sentit le regard des voyeurs se poser sur elle avec encore plus d’intensité, attendant, suspendus à ses lèvres.
Steve enfonça ses doigts plus profondément, les tordant légèrement pour frapper ce point sensible en elle, arrachant un gémissement incontrôlé à Virginie.
— Dis-le… ou je m’arrête.
L’idée qu’il puisse lui refuser son plaisir la rendit folle. Elle voulait jouir, elle voulait que tous ces inconnus la voient s’abandonner totalement. Alors, dans un souffle tremblant, la voix brisée par l’excitation, elle lâcha enfin :
— J’aime ça…
Mais ce n’était pas assez pour Steve. Il accéléra ses va-et-vient, ses doigts jouant avec une intensité presque cruelle dans sa chatte dégoulinante.
— Plus fort.
Virginie bascula la tête en arrière, submergée par l’humiliation délicieuse et l’excitation dévorante. Les mots brûlaient sur ses lèvres, mais le plaisir était plus fort que tout.
— J’aime ça ! J’aime être une salope…
Un murmure d’excitation parcourut la salle. Steve, satisfait, la récompensa en pressant son pouce sur son clitoris, amplifiant encore ses sensations. Virginie n’avait plus aucune retenue. Son corps s’abandonnait totalement au plaisir, sous les regards avides des voyeurs hypnotisés par cette scène de luxure absolue…
Les mots de Virginie résonnaient encore dans la salle quand Steve décida de lui offrir la jouissance qu’elle méritait. Fier de la voir s’abandonner totalement, il raffermit sa prise sur ses hanches et intensifia ses mouvements, ses doigts s’enfonçant avec plus de force et de rapidité dans son intimité ruisselante.
Le bruit de sa mouille devint encore plus audible, obscène, résonnant dans le silence lourd de la salle. Chaque va-et-vient produisait un son glissant et percutant, témoignant de l’excitation incontrôlable de Virginie. Les spectateurs n’en perdaient pas une miette, certains se touchant déjà, hypnotisés par ce spectacle où elle se livrait entièrement, sans honte, sans retenue.
— Regarde-les, souffla Steve en mordillant son oreille. Regarde comme ils aiment te voir te faire prendre comme une salope.
Virginie ouvrit les yeux et balaya la salle du regard. Elle vit les hommes assis autour d’eux, leurs visages tendus par le désir, leurs mains actives sur eux-mêmes. Cette vision la fit frissonner de plus belle. Elle adorait ça. Elle adorait se donner ainsi, être le centre de leur plaisir.
— Oui… j’adore ça… souffla-t-elle dans un gémissement brisé, son corps entier parcouru de spasmes.
Steve, ravi de la voir si offerte, retira ses doigts de sa chatte dégoulinante et les porta à sa bouche pour les sucer lentement, savourant son goût sous les regards médusés des voyeurs. Puis, sans attendre, il la fit pivoter, l’allongeant sur l’un des fauteuils.
— Ouvre grand tes jambes, ordonna-t-il. Montre-leur à quel point tu es trempée.
Sans hésitation, Virginie écarta ses cuisses au maximum, révélant son sexe luisant de désir. Steve s’agenouilla entre elles et replongea ses doigts en elle, les enfonçant encore plus profondément tout en pressant son pouce contre son clitoris gonflé.
Elle cria sous l’intensité de la sensation, son corps entier crispé par l’orgasme qui montait à une vitesse fulgurante. Steve ne la ménageait plus, sa main martelant son intimité dans un rythme effréné. Le bruit de la pénétration devint assourdissant, chaque mouvement faisant éclabousser son jus contre ses doigts.
— Vas-y, jouis pour eux, grogna Steve. Laisse-les entendre à quel point tu es une putain de salope.
Les derniers mots furent l’élément déclencheur. Virginie bascula dans une explosion de plaisir brutale et incontrôlable. Elle hurla son orgasme, son corps tout entier se cambra, ses cuisses tremblèrent violemment alors que des vagues de plaisir l’emportaient loin, très loin. Sa chatte se contracta sur les doigts de Steve dans une série de spasmes incontrôlables, et un jet de mouille éclaboussa sa main et le fauteuil sous elle, sous les regards fascinés des spectateurs.
Elle haletait, vidée, tremblante, offerte encore sous la lumière tamisée de la salle. Steve la regarda, fier, puis tourna la tête vers les voyeurs.
— Vous voyez ? Elle est faite pour ça.
Un murmure d’excitation parcourut l’assemblée. Virginie, encore secouée par les dernières vagues de son orgasme, esquissa un sourire. Elle n’avait jamais ressenti une telle jouissance… et elle savait que la soirée était loin d’être terminée.
Virginie reprenait lentement son souffle, allongée sur le fauteuil, son corps encore tremblant sous les dernières vagues de son orgasme foudroyant. Ses cuisses étaient écartées, offertes sans honte, sa peau luisante de plaisir sous les faibles lumières de la salle. Sa chatte dégoulinait encore du traitement que Steve venait de lui infliger, laissant entre elle et le fauteuil une trace de son abandon total.
Autour d’eux, le silence se brisa peu à peu. Des murmures s’élevèrent, chargés de désir et d’admiration perverse.
— Putain, c’est une vraie cochonne…
— Regarde-moi ce jus, elle en pouvait plus…
— Elle en redemanderait encore, c’est sûr…
Virginie frissonna en entendant ces voix masculines commenter son plaisir sans aucune retenue. C’était comme si elle n’était plus qu’un objet d’adoration, une créature faite pour se donner sous les regards avides. Et au lieu de la gêner, cette idée l’excita encore plus.
Un homme assis plus loin la fixa avec un sourire en coin, sa main encore posée sur son pantalon tendu.
— T’as vraiment une chatte magnifique… j’aurais aimé être à la place de ton mec.
Un autre, la voix rauque, ajouta :
— Elle aime être vue comme ça… ça se voit. Elle en crève d’envie.
Virginie sentit son ventre se tordre sous une nouvelle montée d’excitation. Son corps réagissait, encore sensible aux caresses imaginaires que ces mots déposaient sur sa peau. Elle voulait qu’ils continuent, qu’ils la jugent, qu’ils la possèdent du regard.
Steve, toujours près d’elle, caressa lentement sa cuisse avant de l’aider à se redresser. Il lui tendit son manteau, mais avant qu’elle ne le referme, il lui glissa à l’oreille :
— Laisse-les bien profiter de la vue encore quelques secondes… qu’ils se souviennent de toi ce soir.
Un dernier murmure de désir parcourut la salle tandis qu’elle se levait, sa silhouette nue et tremblante encore offerte à leurs yeux avides. Puis, lentement, elle remit son manteau, prenant soin de ne le fermer qu’à moitié, laissant entrevoir ses courbes une dernière fois.
Alors qu’ils quittaient la salle, les murmures persistèrent derrière eux, et elle sentit encore les regards la suivre. Son corps était brûlant, ses jambes flageolantes, mais son sourire en disait long.
En sortant du cinéma, Virginie sentit l’air frais caresser sa peau encore brûlante de plaisir. Son corps frissonnait, non pas de froid, mais d’excitation persistante. Son cœur battait toujours la chamade, et l’humidité entre ses cuisses témoignait de l’effet que cette expérience avait eu sur elle.
Steve marchait à ses côtés, une main posée sur le bas de son dos, possessif, dominant. Il sentait qu’elle n’en avait pas eu assez. Son souffle court, la façon dont elle se mordait la lèvre en repensant aux regards des hommes dans la salle… il le savait, elle était encore avide.
Alors qu’ils longeaient une rue peu éclairée, il l’attira contre un mur, son corps chaud collé au sien. Son regard sombre plongea dans celui de Virginie, lisant en elle son désir inassouvi.
— Tu as aimé ça, avoue, murmura-t-il en effleurant ses lèvres du bout des siennes.
Elle hocha la tête, frémissante.
— Oui…
Après cette nuit enivrante, Steve et Virginie prirent la route de leur appartement, les corps encore vibrants du plaisir partagé. La chaleur de leurs désirs se mêlait à l'excitation de l’inconnu, et alors qu'ils franchissaient la porte, un sourire complice se dessina sur leurs lèvres. La nuit ne faisait que commencer, promettant d’autres jeux, d’autres explorations, et de nouveaux défis. La passion était loin d'être apaisée, bien au contraire, elle ne demandait qu'à s'intensifier.

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