Pour son plaisir… et celui des autres Chapitre 2

- Par l'auteur HDS Steve40 -
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Récit libertin : Pour son plaisir… et celui des autres Chapitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pour son plaisir… et celui des autres Chapitre 2
Elle était là, dans un abandon total, remplie à double, bercée par les gémissements, les mains qui l’agrippaient, les langues qui parcouraient son dos, ses seins toujours pincés, léchés. Son plaisir explosait, libre, brut, animal.
Les deux hommes la pénétraient avec une énergie animale, synchronisés dans un va-et-vient puissant et précis. Chaque poussée faisait trembler son corps suspendu, la faisant gémir, haleter, s’abandonner toujours un peu plus. Ses seins lourds, pendants dans le vide, rebondissaient à chaque coup de reins, fouettés par l’air et par le rythme effréné de la baise.
Une main brutale vint agripper sa poitrine, pinçant un téton durci, le tirant en arrière, déclenchant une vague de plaisir brutale. Virginie hurla presque, entre douleur délicieuse et extase pure. Elle adorait ça. Elle le savait. Ils le savaient.
La voix grave de Steve claqua derrière elle, implacable :
— Avoue. Dis-le. Avoue que tu aimes ça, petite salope.
Ses yeux embués se levèrent vers lui, sa bouche entrouverte, soumise, avide, perdue dans le plaisir. Sans honte, sans détour, elle répondit d’une voix rauque, brisée de jouissance :
— Oui… j’adore ça… j’aime être prise… comme une salope… remplie, utilisée…
Son aveu fit redoubler les assauts. Les coups de reins devinrent plus rapides, plus profonds, plus brutaux. Ses cris se mêlèrent aux claquements de chair, aux halètements mâles, à l’ambiance brûlante de la pièce. Elle n’était plus qu’un corps offert, possédé, adoré dans sa dévotion sensuelle.
Les coups de reins s’enchaînaient, puissants, rythmés, sans relâche. Virginie n’était plus qu’un cri, une onde de plaisir vivant. Chaque pénétration envoyait des ondes brûlantes dans tout son bas-ventre, son corps tremblait, prêt à exploser. Le bruit obscène de sa mouille résonnait à chaque aller-retour — un clapotis humide, salace, qui en disait bien plus que des mots.
Ses cuisses ruisselaient, sa chatte dégoulinait. Elle entendait tout, elle sentait tout. Ses seins, toujours tirés, secoués, douloureusement tendres, étaient le point d’ancrage de son délire. Et soudain, elle sentit le sperme chaud couler sur son dos, sur ses reins, puis un autre jet, puissant, jaillir contre sa joue, glisser sur ses lèvres entrouvertes.
— Oh putain… oui… j’en veux encore… j’adore ça, crachez sur moi, remplissez-moi ! Je suis qu’une salope pour votre plaisir…
Sa voix n’était plus que luxure pure, sa langue roulait des mots crus, obscènes, qu’elle n’aurait jamais osé dire ailleurs. Mais là, maintenant, elle s’abandonnait à ce qu’elle était vraiment, à ce qu’elle aimait devenir entre les mains de Steve : une femme libre, offerte, une putain heureuse, jouissante. Et son corps explosa.
Un orgasme brutal, déchirant, incontrôlable. Elle cria, fort, sans pudeur, tandis que sa chatte se contractait autour des deux sexes qui l’avaient possédée. Sa mouille éclaboussait, trempait leurs reins, dégoulinait le long de ses cuisses.
Elle en tremblait encore quand elle s’affaissa, le corps couvert de foutre, de sueur, de plaisir.
Le silence retomba comme un voile sur la pièce, chaud, dense, chargé de ce qui venait de se passer. Virginie restait là, à genoux sur le lit, le souffle court, les cuisses encore tremblantes, le corps vibrant de plaisir. Son ventre, sa poitrine, son dos... tout était maculé de sperme, de sueur, de traces laissées par leurs corps mêlés dans cette étreinte sauvage.
Ses seins pendaient, marqués, rougis par les mains et les bouches qui les avaient adorés, malmenés, tirés. Sa peau, couverte de frissons, gardait la mémoire vivante de chaque contact, de chaque poussée, de chaque mot sale qu’elle avait prononcé sans retenue. Elle avait joui fort, sans limite, comme rarement auparavant. Et maintenant, elle flottait dans cet entre-deux délicieux, entre l’épuisement et l’extase prolongée.
Steve s’approcha doucement d’elle, presque avec révérence. Il posa une main sur sa joue, la caressa avec une infinie douceur, contraste absolu avec la brutalité assumée d’avant. Puis, lentement, il retira le bandeau de ses yeux.
Virginie cligna plusieurs fois des paupières, désorientée. La lumière douce de la chambre l’enveloppa, familière mais presque irréelle. Elle tourna la tête, reconnaissant les murs, le lit, les rideaux… et soudain, l’évidence la frappa.
— On est… ici ? murmura-t-elle, surprise.
Elle avait eu l’impression d’être ailleurs. Arrachée à la réalité, comme emportée dans un monde parallèle fait uniquement de plaisir, de chair, de gémissements et de domination. Pendant un instant, elle avait tout oublié, même où elle se trouvait.
— J’étais… partie, souffla-t-elle. Je croyais être dans un autre endroit… comme si plus rien d’autre n’existait.
Steve la regarda avec ce mélange de tendresse et de désir encore présent dans ses yeux.
— C’est exactement là que je voulais t’emmener, répondit-il doucement. Loin de tout. Et maintenant, je te ramène… chez nous.
Un sourire se dessina sur ses lèvres, un sourire fatigué mais heureux. Elle se laissa glisser contre lui, dans ses bras ouverts, s’abandonnant à cette chaleur familière. Il la couvrit d’un plaid léger, l’enlaça, déposa un baiser sur son front.
Elle était encore nue, salie, marquée. Et pourtant, jamais elle ne s’était sentie aussi belle, aussi vivante. Elle murmura d’une voix encore voilée :
— J’adore quand tu me laisses aller si loin… quand je peux tout lâcher… T’as vu comme j’étais ? Sale, incontrôlable… et heureuse.
— Et magnifique, répondit Steve. Absolument magnifique.
Le calme était revenu. Mais leur lien, lui, brillait encore plus fort dans cette intimité retrouvée, dans ce silence complice, dans ces regards où tout se disait sans un mot de plus.
— Mon corps est en feu… j’ai mal partout, chuchote-t-elle.
— T’es sublime comme ça, répond.
Steve la conduit dans la salle de bain, la fait s’asseoir sur le rebord de la baignoire, prend un gant tiède, doux, et commence à la nettoyer avec lenteur, presque religieusement. Il s’attarde sur ses seins, les savonne doucement, les caresse du regard autant que de la main. Il nettoie le sperme qui sèche encore autour de ses tétons, les embrasse tendrement.
— T’as été magnifique. Je n’ai jamais été aussi excité de toute ma vie.
— Je n’ai jamais été aussi vivante, murmure-t-elle en fermant les yeux.
Il glisse le gant entre ses jambes, recueille ce qui s’écoule encore d’elle, la lave sans précipitation. Elle gémit doucement, trop sensible pour jouir, mais incapable de ne pas frissonner.
Après le bain, il la porte presque jusqu’au lit. Elle se blottit contre lui, nue, épuisée, marquée, mais radieuse. Il passe une main dans ses cheveux, l’embrasse sur le front.
— On le refera, hein ?
— Oh oui, souffle-t-elle, déjà à moitié endormie. Mais la prochaine fois… j’prends deux jours de repos après.
Ils rient tous les deux.
Et s’endorment, collés, encore empreints du parfum du plaisir.
Le soleil perçait timidement à travers les rideaux entrouverts, projetant une lumière dorée sur les draps froissés. L'air sentait encore le sexe, la chaleur, le souvenir vibrant de la nuit passée. Virginie ouvrit lentement les yeux, ses muscles endoloris lui rappelant chaque instant, chaque mouvement, chaque cri arraché à son corps.
Elle était toujours nue sous la couverture, lovée contre Steve, sa peau collée à la sienne. Il dormait encore, son torse nu soulevé par une respiration profonde, régulière. Elle le regarda longuement, les traits détendus, la mâchoire encore légèrement serrée comme s’il rêvait encore de la dominer.
Un sourire naquit sur ses lèvres. Elle se redressa doucement, laissant le drap glisser le long de son dos. Ses seins encore sensibles frôlèrent l’air tiède. Son corps portait encore les marques : quelques rougeurs sur les hanches, des traces de doigts sur ses seins, la légère tension délicieuse entre ses cuisses.
Elle se leva à pas feutrés, alla jusqu’à la salle de bain. Se regarda dans le miroir.
Ses cheveux en bataille, sa peau couverte de fines traînées séchées, ses lèvres encore gonflées… Elle se trouvait belle, terriblement belle. Marquée, assumée. Elle se passa un peu d’eau sur le visage, sans se nettoyer complètement. Elle voulait encore sentir les restes de lui sur elle. Quand elle revint dans la chambre, Steve ouvrait les yeux. Il la regarda approcher, nue, l’air félin, comme si elle revenait d’un rêve interdit.
— Bonjour, souffla-t-il en tendant la main vers elle.
— Bonjour, répondit-elle avec un sourire à la fois tendre et allumeur.
Elle grimpa à califourchon sur lui, sa peau nue pressée contre la sienne. Elle se pencha, l’embrassa longuement, sans urgence, goûtant sa bouche, jouant avec sa langue. Puis elle murmura contre ses lèvres :
— Et si c’était mon tour… de jouer un peu avec toi ?
Steve haussa un sourcil, intrigué, amusé, excité. Virginie descendit lentement le long de son torse, traçant une ligne de baisers humides, sensuels, jusqu’à sentir sous elle la réponse déjà dure de son excitation matinale.
— Tu m’as emmenée loin, très loin hier soir, chuchota-t-elle en effleurant son sexe de ses doigts, légers comme une promesse. À mon tour de te faire décoller…
Leurs souffles se mêlaient à nouveau, doux et chauds. Virginie, nue sur lui, ses cheveux en cascade autour de son visage, l’embrassait lentement, avec une faim délicate, presque câline. Elle frottait doucement son bassin contre le sien, le sentant durcir encore sous elle, gonfler contre sa chaleur déjà prête à l’engloutir.
Elle leva les yeux vers lui, les siens encore humides de désir, brillants d’une vérité qu’elle ne voulait plus cacher. Son doigt traça une ligne paresseuse sur son torse, jusqu’à son cou, qu’elle embrassa.
— J’aime quand tu me baises comme ta petite salope, souffla-t-elle contre sa peau. J’aime ça plus que tout…
Elle s’arrêta une seconde, le fixa.
— Mais ce que j’aime encore plus… c’est que ce soit toi. Toi qui me fais ça. Toi qui me regardes comme ça après. Toi qui me prends, me marque, et puis me tiens contre toi comme si j’étais la seule au monde.
Steve ne disait rien, hypnotisé par sa voix, par la chaleur de son corps qui ondulait lentement contre le sien.
— J’ai envie de toi tout le temps, continua-t-elle, un murmure entre deux soupirs. Tout le temps. Dans ma tête, dans mon ventre, dans ma chatte, dans mon cœur.
Elle se pencha, glissa sa langue sur son oreille, le mordilla doucement.
— Je veux être à côté de toi toute ma vie. Baisée, aimée, salie, caressée… mais toujours là. Ta salope, ta femme. Ta putain fidèle.
Elle s’enfonça sur lui d’un mouvement lent, en une seule coulée profonde. Un long gémissement s’échappa de ses lèvres, tremblant, chargé d’amour et de luxure entremêlés. Puis elle commença à bouger doucement, à onduler au rythme de son propre plaisir, ses mains posées à plat sur son torse, le regard planté dans le sien.
— Regarde-moi… je suis à toi. Entièrement. Et je veux que tu restes en moi… toujours.
Leur lente étreinte devint presque une danse, un cri silencieux d’attachement, de passion, de promesse charnelle et éternelle.
Virginie ondulait lentement sur lui, chaque mouvement amplifié par les soupirs qui montaient de sa gorge. Elle le sentait, profondément, pleinement, glisser en elle à chaque va-et-vient, comme une caresse brûlante qui remontait jusque dans sa poitrine.
Ses mains posées sur son torse le maintenaient en place, ses hanches le chevauchaient avec autorité et grâce. Elle prenait son temps, elle le savourait. Ce n’était plus une baise folle et incontrôlée — c’était une offrande, une étreinte intense et volontaire. Elle voulait qu’il la sente, qu’il l’imprime en lui, qu’il n’oublie jamais cette sensation-là.
— Tu sens comme je te serre ? murmura-t-elle, la voix tremblante. C’est pour toi… Rien que pour toi…
Steve la fixait, hypnotisé, les mains glissant le long de ses cuisses, puis remontant sur ses hanches pour la guider, l’encourager. Il haletait, les lèvres entrouvertes, la mâchoire serrée. Il sentait la tension monter, incontrôlable, violente dans sa douceur.
Elle se pencha en avant, leurs corps se collant à nouveau, leurs souffles se confondant. Elle le chevauchait plus vite, le regard brûlant planté dans le sien.
— Jouis en moi, Steve… Je te veux… Je veux tout de toi…
Ses mots, son rythme, la chaleur de sa chatte qui se contractait autour de lui… c’était trop.
Steve agrippa ses hanches, poussa son bassin contre elle avec un grognement rauque, et dans un râle étouffé, il se libéra, profondément en elle, dans un jet puissant, brûlant, comme une décharge d’âme. Son corps se tendit sous elle, sa tête bascula en arrière, et il se vida en elle, totalement.
Virginie ne bougea pas. Elle resta là, en lui, le corps frémissant, savourant la chaleur de sa semence qui la remplissait doucement. Elle ferma les yeux, posa son front contre le sien, puis murmura, d’une voix tremblante d’émotion :
— Épouse-moi.
Un silence.
Elle rouvrit les yeux, le regarda, nue, trempée, encore habitée de lui, les joues rougies et la voix pleine de vérité :
— Fais de moi ta femme. Ta salope pour la vie. La tienne, complètement. Je veux que ce soit toi, toujours. Dans ma chatte, dans mon cœur, dans ma vie.
Steve la regarda, le souffle court, bouleversé. Le plaisir laissait place à une intensité encore plus grande. Un amour cru, vrai, viscéral.
Il posa sa main sur sa joue, l’embrassa longuement. Et dans ce baiser, elle comprit que c’était oui.

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