Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 2

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le shopping qui réveille les désirs Chapitre 2
Chapitre 2 : Dans les coulisses
Virginie attrapa la tenue du bout des doigts, frémissante sous l’adrénaline. Elle suivit Marc à travers un couloir discret menant à l’arrière-boutique. Lorsqu’elle pénétra dans la réserve, son regard glissa sur l’espace aménagé spécialement pour l’événement.
Une longue tringle métallique trônait au centre de la pièce, sur laquelle étaient suspendues plusieurs tenues : robes osées, lingerie sophistiquée, et même des pièces bien plus provocantes. Sur une table voisine, divers accessoires attendaient d’être sélectionnés.
Mais ce qui attira le plus son attention fut la présence d’un autre couple.
Bernard, à l’air détendu, se tenait nonchalamment contre un meuble, observant la scène avec curiosité. À ses côtés, Nathalie, aux traits fins et à la silhouette délicate, paraissait légèrement mal à l’aise. Elle jetait des regards furtifs aux tenues, jouant nerveusement avec l’ourlet de sa robe.
Virginie comprit immédiatement. Elle était plus réservée. Moins assurée.
Marc brisa le silence avec son calme habituel.
— Messieurs, mesdames, voici une sélection des tenues prévues pour ce soir. Il fit un geste vers la tringle. Vous pouvez les essayer pour voir lesquelles vous mettent le plus en valeur… et lesquelles feront le plus d’effet sur scène.
Virginie parcourut les vêtements du regard, déjà impatiente de se prêter au jeu. Elle tendit la main et fit glisser un cintre entre ses doigts. Une robe courte, fendue sur le côté, d’un tissu si fin qu’il promettait plus qu’il ne cachait.
Elle allait se tourner vers une cabine… quand elle réalisa qu’il n’y en avait aucune.
Elle échangea un regard avec Nathalie, qui semblait avoir fait la même découverte.
Marc sourit en captant leur hésitation.
— Oh, j’ai oublié de préciser… Il marqua une pause, amusé. Il n’y a pas de cabine ici. Il faudra essayer les tenues directement.
Bernard afficha un sourire en coin en voyant la gêne de sa compagne.
Virginie, elle, sentit une montée d’adrénaline. Elle savait que cette absence de cabine n’était pas un oubli. C’était une manière de tester leur assurance. Elle tourna légèrement la tête vers Steve, qui l’observait avec une attention particulière. Il ne disait rien, ne la poussait pas… mais elle voyait dans son regard qu’il voulait la voir jouer le jeu.
Elle inspira, puis haussa un sourcil vers Nathalie.
— On dirait qu’on n’a pas vraiment le choix… murmura-t-elle avec un sourire complice.
L’autre femme lui répondit par un léger rire nerveux.
— C’est… un peu intimidant, non ?
Virginie haussa les épaules, puis, dans un geste lent, défit le premier bouton de sa robe.
— Seulement si on y réfléchit trop.
Elle laissa glisser le tissu sur ses épaules, exposant son épaule nue, puis plus bas encore, jusqu’à ce que sa robe tombe à ses pieds. Se tenant là, en lingerie fine devant les trois hommes, elle ressentit un frisson délicieux lui parcourir la peau.
Nathalie se mordit la lèvre. Hésitante. Partagée entre la gêne et l’envie.
Virginie attrapa une des robes, l’enfila doucement, profitant du moment où tous les regards étaient posés sur elle. Puis, sans se départir de son assurance, elle tourna son regard vers l’autre femme.
— À toi.
Marc, satisfait de voir que l’essayage prenait la tournure qu’il espérait, jeta un dernier regard aux deux jeunes femmes avant d’annoncer d’une voix posée :
— Je vais vous laisser choisir et vous préparer. Je dois encore régler quelques détails avant l’événement de ce soir.
Il adressa un regard complice à Virginie avant de quitter la pièce, les laissant seules sous l’attention soutenue de Steve et de Bernard.
Nathalie, toujours en sous-vêtements après avoir enfilé sa première robe, croisa les bras sur sa poitrine, visiblement troublée par la situation.
— C’est… vraiment spécial comme expérience, murmura-t-elle, sa voix teintée d’un mélange d’embarras et d’excitation.
Virginie, qui venait tout juste d’enlever sa tenue pour choisir une nouvelle pièce, lui adressa un sourire malicieux.
— C’est amusant, non ?
Elle fit exprès de laisser glisser lentement la bretelle de son soutien-gorge, mesurant l’effet que cela produisait sur la jeune femme… et sur les hommes qui observaient la scène en silence.
Steve, lui, se contentait d’observer, comme toujours, laissant Virginie mener le jeu.
Nathalie hésita un instant, puis, dans un élan de courage, glissa maladroitement sa robe le long de son corps, révélant un ensemble en dentelle sobre, contrastant avec l’audace de Virginie. Elle attrapa un nouveau soutien-gorge sur la tringle, un modèle fait d’un tissu presque transparent, avec des ouvertures audacieuses pensées pour la mise en valeur du corps. Elle le tendit à la jeune femme avec un sourire encourageant.
— Tiens, essaye ça.
Nathalie hésita, rougissant légèrement, avant de saisir le vêtement.
— Devant eux ? demanda-t-elle à voix basse, jetant un regard furtif aux deux hommes.
Virginie haussa un sourcil, amusée.
— Tu crois qu’ils vont détourner les yeux ?
Un frisson parcourut Nathalie, et elle se mordit la lèvre.
Inspirant profondément, elle fit glisser son soutien-gorge actuel le long de ses bras.
Les deux femmes se trouvent quasi nues devant leurs compagnons. La poitrine de Virginie, plus lourd et plus généreuse, semblait répondre aux lois du temps avec une grâce tranquille. Les mamelons, plus larges, offraient une présence douce et évidente, comme un murmure invitant à la caresse. La peau, encore lisse, conservait cette fermeté apaisée, et chaque mouvement semblait dessiner une silhouette qui, bien qu’un peu plus inclinée sous le poids de ses courbes, ne perdait rien de sa beauté naturelle.
Tandis que la poitrine de Nathalie, plus discrète, plus tendue, respirait une allure de calme et de légèreté. Ses seins, plus jeunes et plus fermes, portaient des mamelons plus fins, qui semblaient à peine effleurer l’air. Elle dégageait cette sensation de douceur sous-jacente, un équilibre parfait entre douceur et discrétion. Moins proéminente, la poitrine semblait presque effacée dans l’espace, mais son harmonie silencieuse en faisait une vision de beauté pleine de tendresse.
Nathalie attrapa le nouveau pour l’enfiler. Ses gestes étaient plus hésitants que ceux de Virginie, mais le simple fait qu’elle le fasse, qu’elle ose, rendait la scène d’autant plus intense.
Virginie, elle, choisit un ensemble encore plus provocant, un soutien-gorge qui rehaussait sans masquer, et une culotte fine dont les attaches laissaient deviner qu’elle était faite pour être retirée facilement.
Nathalie, à ses côtés, s’adaptait lentement, essayant de se fondre dans cette audace, bien que son regard trahisse son trouble.
Bernard était suspendu à chacun de ses gestes.
Les préparatifs étaient terminés, et l’heure du défilé approchait. Marc fit un dernier tour dans les coulisses pour s’assurer que tout était en place avant l’entrée des participants. Le décor était sobre mais élégant, une salle tamisée avec des lumières douces et une ambiance feutrée, prête à accueillir le public.
Virginie et Nathalie étaient prêtes, chacune ayant trouvé sa place dans l’excitation de ce moment particulier. Clara, la vendeuse, leur donna les dernières instructions, veillant à ce que chaque détail soit parfait.
— Vous êtes splendides, mesdames. Elle adressa un sourire à chacune d’elles. N’oubliez pas de laisser les regards se poser sur vous, de jouer avec la lumière et les ombres.
Nathalie, toujours un peu nerveuse, ajusta son ensemble une dernière fois, tandis que Virginie se tenait droite, pleine d’assurance. Elle savait que tout le monde l’observerait, et cela ne faisait qu’augmenter son plaisir.
Virginie attrapa la tenue du bout des doigts, frémissante sous l’adrénaline. Elle suivit Marc à travers un couloir discret menant à l’arrière-boutique. Lorsqu’elle pénétra dans la réserve, son regard glissa sur l’espace aménagé spécialement pour l’événement.
Une longue tringle métallique trônait au centre de la pièce, sur laquelle étaient suspendues plusieurs tenues : robes osées, lingerie sophistiquée, et même des pièces bien plus provocantes. Sur une table voisine, divers accessoires attendaient d’être sélectionnés.
Mais ce qui attira le plus son attention fut la présence d’un autre couple.
Bernard, à l’air détendu, se tenait nonchalamment contre un meuble, observant la scène avec curiosité. À ses côtés, Nathalie, aux traits fins et à la silhouette délicate, paraissait légèrement mal à l’aise. Elle jetait des regards furtifs aux tenues, jouant nerveusement avec l’ourlet de sa robe.
Virginie comprit immédiatement. Elle était plus réservée. Moins assurée.
Marc brisa le silence avec son calme habituel.
— Messieurs, mesdames, voici une sélection des tenues prévues pour ce soir. Il fit un geste vers la tringle. Vous pouvez les essayer pour voir lesquelles vous mettent le plus en valeur… et lesquelles feront le plus d’effet sur scène.
Virginie parcourut les vêtements du regard, déjà impatiente de se prêter au jeu. Elle tendit la main et fit glisser un cintre entre ses doigts. Une robe courte, fendue sur le côté, d’un tissu si fin qu’il promettait plus qu’il ne cachait.
Elle allait se tourner vers une cabine… quand elle réalisa qu’il n’y en avait aucune.
Elle échangea un regard avec Nathalie, qui semblait avoir fait la même découverte.
Marc sourit en captant leur hésitation.
— Oh, j’ai oublié de préciser… Il marqua une pause, amusé. Il n’y a pas de cabine ici. Il faudra essayer les tenues directement.
Bernard afficha un sourire en coin en voyant la gêne de sa compagne.
Virginie, elle, sentit une montée d’adrénaline. Elle savait que cette absence de cabine n’était pas un oubli. C’était une manière de tester leur assurance. Elle tourna légèrement la tête vers Steve, qui l’observait avec une attention particulière. Il ne disait rien, ne la poussait pas… mais elle voyait dans son regard qu’il voulait la voir jouer le jeu.
Elle inspira, puis haussa un sourcil vers Nathalie.
— On dirait qu’on n’a pas vraiment le choix… murmura-t-elle avec un sourire complice.
L’autre femme lui répondit par un léger rire nerveux.
— C’est… un peu intimidant, non ?
Virginie haussa les épaules, puis, dans un geste lent, défit le premier bouton de sa robe.
— Seulement si on y réfléchit trop.
Elle laissa glisser le tissu sur ses épaules, exposant son épaule nue, puis plus bas encore, jusqu’à ce que sa robe tombe à ses pieds. Se tenant là, en lingerie fine devant les trois hommes, elle ressentit un frisson délicieux lui parcourir la peau.
Nathalie se mordit la lèvre. Hésitante. Partagée entre la gêne et l’envie.
Virginie attrapa une des robes, l’enfila doucement, profitant du moment où tous les regards étaient posés sur elle. Puis, sans se départir de son assurance, elle tourna son regard vers l’autre femme.
— À toi.
Marc, satisfait de voir que l’essayage prenait la tournure qu’il espérait, jeta un dernier regard aux deux jeunes femmes avant d’annoncer d’une voix posée :
— Je vais vous laisser choisir et vous préparer. Je dois encore régler quelques détails avant l’événement de ce soir.
Il adressa un regard complice à Virginie avant de quitter la pièce, les laissant seules sous l’attention soutenue de Steve et de Bernard.
Nathalie, toujours en sous-vêtements après avoir enfilé sa première robe, croisa les bras sur sa poitrine, visiblement troublée par la situation.
— C’est… vraiment spécial comme expérience, murmura-t-elle, sa voix teintée d’un mélange d’embarras et d’excitation.
Virginie, qui venait tout juste d’enlever sa tenue pour choisir une nouvelle pièce, lui adressa un sourire malicieux.
— C’est amusant, non ?
Elle fit exprès de laisser glisser lentement la bretelle de son soutien-gorge, mesurant l’effet que cela produisait sur la jeune femme… et sur les hommes qui observaient la scène en silence.
Steve, lui, se contentait d’observer, comme toujours, laissant Virginie mener le jeu.
Nathalie hésita un instant, puis, dans un élan de courage, glissa maladroitement sa robe le long de son corps, révélant un ensemble en dentelle sobre, contrastant avec l’audace de Virginie. Elle attrapa un nouveau soutien-gorge sur la tringle, un modèle fait d’un tissu presque transparent, avec des ouvertures audacieuses pensées pour la mise en valeur du corps. Elle le tendit à la jeune femme avec un sourire encourageant.
— Tiens, essaye ça.
Nathalie hésita, rougissant légèrement, avant de saisir le vêtement.
— Devant eux ? demanda-t-elle à voix basse, jetant un regard furtif aux deux hommes.
Virginie haussa un sourcil, amusée.
— Tu crois qu’ils vont détourner les yeux ?
Un frisson parcourut Nathalie, et elle se mordit la lèvre.
Inspirant profondément, elle fit glisser son soutien-gorge actuel le long de ses bras.
Les deux femmes se trouvent quasi nues devant leurs compagnons. La poitrine de Virginie, plus lourd et plus généreuse, semblait répondre aux lois du temps avec une grâce tranquille. Les mamelons, plus larges, offraient une présence douce et évidente, comme un murmure invitant à la caresse. La peau, encore lisse, conservait cette fermeté apaisée, et chaque mouvement semblait dessiner une silhouette qui, bien qu’un peu plus inclinée sous le poids de ses courbes, ne perdait rien de sa beauté naturelle.
Tandis que la poitrine de Nathalie, plus discrète, plus tendue, respirait une allure de calme et de légèreté. Ses seins, plus jeunes et plus fermes, portaient des mamelons plus fins, qui semblaient à peine effleurer l’air. Elle dégageait cette sensation de douceur sous-jacente, un équilibre parfait entre douceur et discrétion. Moins proéminente, la poitrine semblait presque effacée dans l’espace, mais son harmonie silencieuse en faisait une vision de beauté pleine de tendresse.
Nathalie attrapa le nouveau pour l’enfiler. Ses gestes étaient plus hésitants que ceux de Virginie, mais le simple fait qu’elle le fasse, qu’elle ose, rendait la scène d’autant plus intense.
Virginie, elle, choisit un ensemble encore plus provocant, un soutien-gorge qui rehaussait sans masquer, et une culotte fine dont les attaches laissaient deviner qu’elle était faite pour être retirée facilement.
Nathalie, à ses côtés, s’adaptait lentement, essayant de se fondre dans cette audace, bien que son regard trahisse son trouble.
Bernard était suspendu à chacun de ses gestes.
Les préparatifs étaient terminés, et l’heure du défilé approchait. Marc fit un dernier tour dans les coulisses pour s’assurer que tout était en place avant l’entrée des participants. Le décor était sobre mais élégant, une salle tamisée avec des lumières douces et une ambiance feutrée, prête à accueillir le public.
Virginie et Nathalie étaient prêtes, chacune ayant trouvé sa place dans l’excitation de ce moment particulier. Clara, la vendeuse, leur donna les dernières instructions, veillant à ce que chaque détail soit parfait.
— Vous êtes splendides, mesdames. Elle adressa un sourire à chacune d’elles. N’oubliez pas de laisser les regards se poser sur vous, de jouer avec la lumière et les ombres.
Nathalie, toujours un peu nerveuse, ajusta son ensemble une dernière fois, tandis que Virginie se tenait droite, pleine d’assurance. Elle savait que tout le monde l’observerait, et cela ne faisait qu’augmenter son plaisir.
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L'exhibitionnisme est un plaisir raffiné, surtout avec un mari complice

