BEAUX ENDORMIS (2)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : BEAUX ENDORMIS (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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BEAUX ENDORMIS (2)
Partie 1: Chambres.
Il attend qu'IL veuille bien se lever. Il a passé la nuit allongé près de lui, sur la moquette de leur chambre. Comme toutes les nuits...
Hier soir, IL l'a poussé au pied du lit en lui interdisant de le réveiller.
Maintenant, il l'entend s'étirer au dessus. Il n'ose bouger, de peur de désobéir. Sa tête est soudain frappée. Il ouvre les yeux pour voir SON MAÎTRE assis sur le rebord, jambes écartées de chaque côté de lui avec ses pieds ancrés au sol. IL le fixe sans expression.
Alors que ses yeux le scrutent, il remarque sa grosse bite semi-dressée, tournée vers lui. Elle paraît énorme entre ses cuisses. IL se penche en avant et lui saisit la tête. IL la tire contre son sexe. Instinctivement, il ouvre la bouche pour accepter son breuvage matinal. IL a pénétré sa bouche et a juste laissé le gland reposer sur sa langue.
Un premier filet d'urine a touché ses papilles, puis le flux s'est fait plus dense. Il s'efforce de tout avaler s'il ne veut pas avoir à nettoyer, ensuite. IL a planté son sexe un peu plus loin dans sa gorge et finit de se soulager dans son œsophage.
Malgré son entraînement, le déluge semble interminable. IL déverse ses toxiques du matin dans son estomac puis lui demande de bien faire reluire son manche pour l'étape suivante.
IL le fait se relever et le jette à plat ventre sur le lit. Il sent quelque chose tâtonner puis lui écarter les fesses. Un doigt pénètre son trou sec, suivi d'un autre. Son cul commence à le brûler mais il ne dit rien. Interdit de se plaindre, sinon la punition sera terrible. Il se soulève et cale ses genoux sous l'oreiller.
Il sent une forte gifle sur son cul, suivie de plusieurs autres. Il serre les dents et encaisse avec courage. Ce matin, SON MAÎTRE est de mauvaise humeur et c'est sur lui qu'IL va passer ses nerfs.
IL lui saisit les couilles et commence à tirer dessus. Des larmes lui viennent aux yeux. IL finit par les tordre sans qu'un seul son ne sorte de sa bouche. IL a ensuite écarté ses fesses douloureuses pour présenter son gland contre son trou. Il panique un peu à l'idée de se faire prendre sans lubrifiant ni crachat mais comme IL a décidé de se défouler dessus, il accepte sans broncher.
IL commence à le baiser fort, frappant son bassin à chaque poussée. Il est au bord de l'évanouissement, mais son cul en a vu d'autres. En trois ans qu'ils se connaissent, les pires sévices se sont produits... et il a aimé. Mieux, il a adoré!
SON MAÎTRE le laboure sans ménagement. Les coups de reins deviennent plus violents, son bassin claquant plus fort à chaque poussée. Il se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier. Il souffre mais la douleur fait vite place au plaisir. Il se sent totalement chienne entre les mains de SON MAÎTRE. IL sait l'humilier, le dominer, le remettre à sa vraie place. Celle d'un soumis qui ne s'appartient plus.
IL lui gifle le cul, le martèle de coups, tire ses cheveux jusqu'à l'entendre gémir. IL marque son territoire lorsque sa hampe disparaît entièrement dans son fondement et que ses boules viennent claquer contre sa raie.
IL pose ses pieds sur ses épaules et se sert de ses avant-bras comme levier. IL le baise comme s'IL s'entraînait sur l'un des appareils de la salle de gym. L'endroit où ils se sont croisés pour la première fois...
Il le regarde s'écraser contre lui, sa bouche à quelques centimètres de la sienne mais jamais IL n'a daigné l'embrasser. Pourtant, il en meurt d'envie. C'est son fantasme, son péché mignon, le pourquoi il s'est tourné vers les hommes, délaissant sa femme et son fils.
Il se sent comme une poupée de chiffon entre ses mains. Sans réaction, mais heureux de son sort.
IL le besogne encore un instant puis le tire vers la chambre de Théo. Il peut voir le berceau vide et les autocollants pour bébés que Lucie a placardé sur la porte. IL le force à entrer et l'oblige à enjamber le petit lit en bois. Il se retrouve comme un enfant, prisonnier dans ce carré où il a tant de fois bercé son petiot. Sans qu'on le lui demande, il ouvre la bouche, les mains agrippées à la rambarde et attend la béquée comme un nouveau-né attendrait son biberon. IL lui enfonce alors sa tétine sans ménagement et lui déboîte la mâchoire. Des images de son gosse brouillent sa vue et il se surprend à aimer ça. Depuis trois ans qu'il lui appartient, il a finit par s'habituer et même si les débuts ont été durs, même si sa famille lui manquait, il savait au fond de lui qu'il était destiné à servir. Trop longtemps, sa vie avait tourné autour du pouvoir et de l'argent. Aujourd'hui, il était enfin libéré de ce fardeau et pouvait lasser libre cours à sa vraie nature.
SON MAÎTRE se retire et le force à s'accroupir à quatre pattes, dos face à lui. IL dirige son mandrin à travers les barreaux et investit une nouvelle fois son côlon. Ses dents claquent à cause des vibrations et chaque saillie le secoue comme un prunier. Sans même s'en rendre compte, sa croupe se soulève pour venir au contact de la matraque de chair. Tel un réflexe pavlovien, son cul commence à réagir favorablement. Il ressent l'énorme bazooka le pulvériser de l'intérieur et son trou s'accrocher désespérément à lui. Derrière, SON MAÎTRE ne faiblit pas. IL se déchaîne.
Bientôt, des râles plus soutenus se font entendre. IL lui attrape les hanches pour les tirer vers le bas et inonde ses tripes d'une première charge.
Sans dire un mot, IL se dirige vers la salle de bains.
Il comprend alors que sa matinée ne fait que commencer.

Partie 2: Salle de bains.
«Je le suis dans la salle de bains et m'agenouille dans la baignoire. IL s'avance vers moi, se penche et me tire la tignasse en arrière pour que je puisse le regarder. Ses yeux sont encore rouges de colère. IL m'intime l'ordre d'ouvrir la bouche puis crache plusieurs fois à l'intérieur en m'ordonnant de bien tout avaler. Je répugne à faire ce genre de chose mais je m'exécute pour plaire à MON MAÎTRE. J'avale tant bien que mal son flot de salive. Ma docilité semble le calmer un peu. IL me demande ensuite de baisser son slip juste avec les dents. J'avoue, qu'en revanche, je raffole de cette situation. J'essaie de mordre l'élastique tout en humant au passage le tissus chaud, imprégné de son odeur de mâle. Je fais durer le plaisir mais IL s'en aperçoit et me biffe le visage de ses larges battoirs.
J'arrive finalement à mes fins et son sexe bandé à mort me saute au visage. Il n'en faut pas plus pour réveiller la salope qui sommeille en moi. Sans même son autorisation, je gobe cet engin de vingt centimètres que je connais dans les moindres détails. La manœuvre est risquée car, dans ses mauvais jours, IL me fait chèrement payer mon initiative. Je sais que je ne dois rien entreprendre sans y avoir été autorisé au préalable. IL ressort sa bite et me gifle plusieurs fois le visage. Je ne sais à quoi m'attendre. Je sens son liquide pré-éjaculatoire me couler le long des joues, jusque dans le cou. Soudain, IL me tire par les oreilles. La douleur est telle que mes lèvres s'ouvrent d'elles-même dans un cri muet. IL en profite pour m'enfourner son pieu jusqu'à la garde. C'est lui qui décide quand je dois lui gober la queue et, ce matin, IL est bien décidé à me rappeler quelle est ma place.
IL reste enfoncé bien droit, dans ma gorge. Je me sens bâillonné alors que ma vision se voile.
IL ressort à moitié puis renfourne presque aussitôt, me laissant juste le temps de respirer. IL me baise la bouche comme s'il s'agissait d'une chatte de meuf. Je sais qu'il va voir ailleurs, des mecs mais aussi des prostituées et cela me rend fou. Je suis tellement jaloux que je pourrais tuer. Mais lui, n'a rien à faire de mes états d'âme. Tout ce qui l'importe, c'est d'avoir un soumis à dispos dont IL peut profiter à tout moment.
Alors que je continue à le pomper, deux doigts pénètrent mon trou sec, suivi d'un autre. Mon cul commence à me brûler tandis que ses phalanges écartent mon œillet avant d'atteindre ma prostate. Une décharge électrique parcourt mon corps et je suis à la limite de jouir. Au prix d'un effort surhumain, j'arrive à me contrôler. Heureusement, car MON MAÎTRE m'aurait puni en m'obligeant à porter une cage de chasteté pendant toute la semaine.
À force de marteler ma gorge, IL finit par déverser sa deuxième rasade matinale dans mon gosier. Je sens le gland tressauter dans ma trachée et le liquide s'écouler directement dans mon ventre. Aujourd'hui, je n'aurais pas le droit de goûter à son nectar. IL m'a utilisé comme une trayeuse, me nourrissant telle une oie que l'on gave avant de l'égorger.
Je suis pareil à cette oie blanche, je me laisse remplir comme bon lui semble. J'ai peur qu'à la longue, IL ne se lasse de moi et qu'IL finissent par me remplacer. Je préférerais mourir plutôt que de le perdre. J'ai toujours peur qu'IL me répudie pour un(e) autre.
Perdu dans mes pensées, je n'ai pas vu qu'IL était entré dans la douche et qu'IL attendait que je le rejoigne. Je me suis précipité à ses côtés puis j'ai saisis le pommeau. Mon empressement m'a fait actionner le robinet d'eau chaude trop fort. IL m'a giflé pour que je me reprenne.
Je cale le débit comme il aime et entreprends de le laver. Je frotte l'arrière de ses jambes et de ses cuisses puis m'applique à lui savonner le bas-ventre. Je fais mousser sa bite semi-dressée avant de m'attaquer à ses lourds testicules. Cette simple manipulation me fait bander. Je tente de cacher mon excitation en serrant les cuisses mais rien ne lui échappe. IL ne dit mot et ferme les yeux.
Je me revois dans cette douche avec Lucie qui me passait le gant sur tout le corps. Nos jeux aquatiques se terminaient invariablement par des parties de jambes en l'air mémorables et nous prenions plaisir à faire l'amour pendant que l'eau chaude ruisselaient sur nos corps.
Aujourd'hui, tout cela est bien loin. Je suis toujours dans cette douche mais je caresse une queue en la regardant fixement de près pendant que je nettoie le gland et la longue hampe veineuse.
IL respire fort. C'est souvent le signal pour passer à autre chose. Je prends une noisette de savon plus importante et mes mains accélèrent le long de son manche. Je fais ce qu'IL attend de moi, les yeux tournés vers son visage qui grimace de plaisir. Sa bite est bien épaisse, bien raide, prête à cracher une nouvelle fois, mais MON MAÎTRE arrête la séance.
Je me redresse et attrape le drap de bain. Je sèche mon homme de la tête aux pieds. IL me demande de le parfumer puis de lui tailler la barbe. J'en profite pour respirer son odeur de mâle alpha. IL n'est pas dupe, mon attitude ne le trompe pas mais en bon prince, IL me laisse partager quelques miettes de son anatomie.
Une fois présentable, nous nous dirigeons vers la cuisine.»


Partie 3: Cuisine.
... Avant de rejoindre la cuisine nous repassons par ma chambre. Il est important de choisir les vêtements appropriés pour bien débuter la journée. Je me dirige vers le lit et m'assois du côté gauche, l'endroit qu'occupait Lucie. Ce n'est plus qu'un lointain souvenir. J'ai tenu à marquer le coup. La première fois, je me suis allongé à sa place et il est venu s'empaler sur ma queue. Il alignait son trou sur mon dard et se l'est enfoncé d'une seule traite. Je l'ai baisé dans le lit conjugal à l'endroit exact où dormait sa femme. Ce con n'a pas moufté et s'est laissé démonter comme une pute bon marché. Il bandait à l'idée de commettre l'adultère dans leur propre maison. Il s'imaginait sans doute que cette aventure resterait sans lendemain mais j'en avais décidé autrement. Au moment de jouir, je l'ai poussé et me suis branlé jusqu'à ce que mon jus inonde son oreiller. La dose était tellement forte que j'ai trempé les draps. J'ai essuyé ma queue sur la robe de nuit de sa rombière. Il ne comprenait pas trop ce qui se passait. C'était juste le début de la fin.
Le début de l'enfer.
Je l'ai fait rouler hors du lit et lui ai interdit de changer les draps ni de laver la taie ou la nuisette.
Quand je suis parti, il savait que je reviendrais.
… Il ne bouge pas, assis sur la moquette. Je fouille son placard et en retire une ceinture. Je vois l'effroi dans ses yeux. Il s'imagine que je vais le fouetter comme la dernière fois quand il a fait griller mon steak. Mais j'ai une autre idée en tête. Je lui fais signe d'approcher, à quatre pattes, et lui passe le cuir autour du cou. Voici un collier authentique.
Je le promène ainsi dans toute la maison, lui, trottinant gentiment derrière moi. Il doit même uriner contre un des barreaux du lit de son fils, en levant la jambe bien haut, tel un clébard.
Une fois dans la cuisine, je me laisse servir. Le bacon et les œufs sont prêts en un rien de temps. J'ai horreur d'attendre. Je commence à manger tout en consultant les dernières nouvelles sur mon I-Phone.
En bon toutou fidèle, il attend aux pieds de son maître. Je lui balance quelques miettes de pain qu'il s'empresse de manger à même le sol avec sa bouche, uniquement. De temps à autre, je lui caresse la nuque, en signe de satisfaction. Il me lape les doigts et je vois ses yeux briller de reconnaissance.
Une fois terminé, il est autorisé à se lever pour débarrasser et faire la vaisselle. J'envoie quelques mails puis le reprends en main. Je le positionne contre la fenêtre la plus haute. Celle qui donne sur la rue. Le voisin d'en face ne manque jamais de le saluer. Diable, le directeur général de la Banque de France, cela se respecte. Le voisinage ne fait jamais de commentaires sur l'absence de sa famille ou de ses proches, même si je sais que ça interroge certains.
Je prends son portable et couple la connexion avec le mien. Il voit son propre visage s'animer sur l'écran. Je m'en sers comme d'une caméra. Ses moindres gestes sont enregistrés. Je positionne son téléphone sur la table basse du salon et lui intime l'ordre de se mettre à genoux bien en face. Il est filmé en gros plan et l'image se répercute sur mon écran.

- Tu restes immobile pendant une heure.

C'est ma seule phrase de la matinée. Je prends bien soin de claquer la porte derrière moi pour donner le top départ.
Trois ans que je l'ai à ma botte. Trois ans que mon joujou me comble.

Mais moins que sa femme...

FIN

De ces sombres douleurs
Au crépuscule des vies
J'ai appris la douleur
Cachée aux yeux du monde.
Une main sur mes yeux
Pour ne plus discerner
Les ruines en cette nuit.

A-D

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai adoré ton histoire, elle est très bien narré . J'apprécie particulièrement la fin avec cette chute , comme quoi pourquoi se contenter que d'une personne si on peut en avoir une autre . C'est fou ça d'avoir et le mari et la femme , c'est plutôt bât*rd de la part du maître .



Texte coquin : BEAUX ENDORMIS (2)
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