belle-mère formisable - histoire érotique

Une belle-mère formidable


En vacance chez son papa et sa belle-maman Laureen, Grégoire
et sa femme Murielle profitent des beaux jours, ils logent pour quelques jours au mas, que sa belle maman procède.

Un matin, Grégoire, surprend sa belle-mère dans la salle bain, elle avait omise de fermer la porte. Il se colle contre le mur, et ne fait pas un mouvement. Il regarde Laureen se frictionner le corps énergiquement. la coquine s'attarde sur ses parties intimes, ses doigts enduit de gel douche glissent sur ses grandes lèvres, caressent sa boule sensible, Grégoire voit sa belle mère grimacer. La gredine cramponne son clito en le masturbant violemment. Grégoire n'avait jamais imaginé, que sa belle-maman avait un corps aussi parfait. ses seins lourds pendent légèrement sur son torse, les mamelons larges et épais trônent fièrement au centre d'aréoles fortement grenelées. Il est étonné de voir la chatte de Laureen rasée, cela le fait saliver fortement.

Ses yeux écarquillés parcourent le corps de Laureen sans omettre une parcelle de peau. Sa verge de durcit dans son pantalon. Les doigts habiles de Laureen, secouent le clito avec rage. Cette femme qui a le double de son âge le fait bander comme un poney. Grégoire se frotte la verge au travers le pantalon pour calmer son excitation. Laureen se croyant seule gémit, elle se branle violement la boule de chair qui ne cesse de gonflée. Laureen ne retient plus ses gémissements, elle s'acharne sur son clito e grognant comme une bête agonisante. Pendant qu'elle se masturbe, de sa main libre, elle se taquine le muscle rectal en appuyant dessus. Elle pousse un petit cri, une partie de son doigts vient de s'enfoncer dans son anus. Une seconde poussée, le fait disparaitre entièrement dans le rectum. Grégoire n'en croit pas ses yeux sa belle-mère se doigte le cul, pour obtenir une jouissance plus forte. en effet, elle se cambre et en poussant un long gémissement, jouit.

Un deuxième doigt est nécessaire pour que la jouissance soit totale. Laureen se fouille le cul avec deux doigts, elle ne lâche pas le clito, qu'elle maltraite férocement. Une nouvelle jouissance la fait grimacer. Elle halète fortement, en prenant appuie contre la paroi transparente de la douche. Soudain, en apercevant son gendre, elle sursaute. Elle semble paniquer, elle ouvre la porte brusquement, et saisit une serviette pour cacher son corps. elle tremble de tout ses membres. Grégoire, s'Eclipse, il va se refugier au salon. Quelques temps après, Laureen apparait, elle est enveloppée sans un peignoir de bain. Elle entre dans le salon. Rouge de honte, elle regarde son gendre.

Elle tente de se justifier, sa voix est pleine de trémolos :

-Grégoire, j'ai honte de moi de m'avoir donnée en spectacle, mais n'imaginez pas que je suis une obsédée, mais j'ai des besoins sexuels, comme toutes femmes normalement constituées !

Grégoire, la regarde tendrement et répond :

-Mais belle-maman je ne vous juge pas, vous êtes libre de faire ce que bon vous semble, et rassurez-vous je n'imagine rien !

Laureen, serre les poings, et en déglutissant bruyamment répond :

-Il faut que je vous avoue, que Paul me néglige depuis de nombreuses années, il est en panne de libido, et je me satisfais comme je peux, j'espère que vous comprenez ça, et que vous n'allez pas le chanter sous tous les toits !

En souriant Grégoire réplique :

-Pourquoi ne prendriez-vous pas un amant ?

Laureen sursaute et lui dit en le foudroyant du regard :

-Mais Grégoire, vous n'y pensez pas sérieusement, moi un amant ?

Il répond :

-Et pourquoi pas, vous êtes désirable, il faut sauter le pas belle-maman, osez, soyez dévergondée, faites vous plaisir !

Laureen reste un instant sans voix, puis réagit :

-Alors d'après vous, il serait normale que je prenne un amant ?

Grégoire en souriant réplique :

-Mais belle maman, je vous le conseil fortement !

Il s'avance vers elle, lui relève le menton avec deux doigts et lui donne un baiser bruyant sur es lèvres. Laureen reste coite, elle rougit. Son gendre l'enlace et lui dit :

- Belle-maman, si cela vous dit je suis prêts à vous rendre service !

Il saisit sa verge au travers le pantalon, et dit :

- J'ai de quoi vous rendre heureuse !

Il lui prend la main et la pose sur la bosse. Inconsciemment, Laureen presse plusieurs fois le membre encire tendu. Mais rapidement elle lâche l'engin, et rougit encore plus, elle dit en béguant :

-Mais Grégoire, vous est fou !

Il hausse les épaules et répond :

-C'est juste une proposition, rien ne vous y oblige belle-maman !

Il se plaque contre elle les visages sont si près que les souffles se mêlent. Laureen défaille, elle sent contre son bas-ventre la verge tendue de son gendre. Le bougre agite son bassin, pour bien lui faire sentir, l'émotion qu'il a pour elle. La respiration de Laureen s'accélère, elle dit faiblement :

-Grégoire, soyez raisonnable, je vous en prie !

Mais au contraire il appuie plus fort sa verge contre le ventre de sa belle-maman, en ondulant en plus du bassin. Il dit en oubliant le vouvoiement :

-Tu l'as sens bien hein, dis que tu l'as veux, aller courage dis-le !

Laureen défaille, elle bègue :

-Non, non, Grégoire vous devenez fou, cessez, je vous prie !

Il donne de petits coups de reins pour simuler un accouplement. A chaque coup, Laureen sursaute la verge dure, glisse sur son ventre que seul le tissu éponge protège. Tout en enlaçant d'une main sa belle-mère, Grégoire, de l'autre, habilement sort son membre de son pantalon. Il écarte légèrement les pans du peignoir et insère sa verge, par l'ouverture. Au contact de la verge contre son ventre nu, Laureen défaille. le beau-fils audacieux fait coulisser lentement son membre épais contre le bas-ventre de Laureen, qui ne sait comment repousser son gendre. Elle geint faiblement :

-Grégoire, Grégoire, vous êtes un monstre !

Ses yeux s'emplissent de larmes, elle est sans force, elle tente de repousser vainement Grégoire, en appuyant sur son torse. En se débattant sans trop de conviction, elle réussit à saisit le manche brulant, elle le presse fortement en béguant :

-Grégoire, Grégoire vous êtes fou, mon Dieu, non, non, pensez à Murielle !

Laureen ne lâche pas le membre épais, inconsciemment, elle l'appuie fortement contre son bas-ventre. Grégoire dit entre deux souffles :

-Elle te fait envie, dis que que tu la veux dans le ventre, aller dis-le Laureen, tu en meurs d'envie !

Pour toute réponse, belle-maman répond :

-Je vous hais Grégoire, vous êtes le diable incarné !

Soudain la porte du garage s'ouvre, c'est Paul et Murielle la femme de Grégoire qui rentre. Rapidement Grégoire range son engin, Laureen se refugie à la salle de bain. Paul et sa belle fille rient à tu tête en entrant dans la maison, les deux sont très fusionnels. Murielle dit en regardant son mari :

-Ton papa Grégoire est un coquin !

Paul en souriant réplique :

-Cela doit être de famille, on n'aime que les belles choses !

Grégoire, ne peut que réponde par un sourire. Mais au fond de lui même, il se dit qu'il ferai mieux de s'occuper de sa femme qui est en manque. Laureen réapparait, ses yeux brillent, elle croise le regarde de son gendre, elle semble fébrile. Elle esquisse un léger sourire, sa jupe laisse admirer une bonne partie de ses cuisses magnifique, et son corsage laisse deviner une poitrine généreuse. Paul lui dit :

-Tu es en beauté ma chérie, c'est pour moi ?

Laureen hausse les épaules et répond avec ironie :

-Mais mon chéri, je suis chaque jour en beauté pour toi, mais est-ce que tu en profites ?

Paul se pince les lèvres et ne répond pas. Les deux femmes préparent le repas, Paul serre l'apéro, et Grégoire dresse la table à l'ombre d'un olivier. Murielle doit se changer, elle monte dans sa chambre. Grégoire profite de ce moment pour se rendre à la cuisine. Il se place derrière sa belle-mère et, il lui donne un baiser sur le cou. Il la sent frémir, elle se retourne et lui lance un regard triste elle dit faiblement :

-Vois êtes fou Grégoire, entre nous c'est impossible, ne pensez plus à ça, cessez de me torturer, je vous en prie !

Il se penche encore plus vers elle et ajoute :

-Donc si je comprends bien, tu as envie de moi, mais tu n'oses pas franchir le pas, avoue !

Les yeux de Maureen se remplissent de larmes et elle répond en reniflant :

-Je vous hais, vous me faites devenir folle !

Il lui donne un baiser sur le lèvres avant de rejoindre sa place à table. le repas se passe normalement, ils échangent quelques sourires. Laureen est mal à l'aise, un trouble s'installe en elle, et la rend fébrile. Grégoire lui jette des regards amoureux. Laureen tremble, soudain, elle sursaute. le pied nu de son beau-fils cogne le sien et monte doucement Le long de son mollet. le corps de belle-maman se parcourt de frissons incontrôlables, elle voudrez fuir, mais n'en à pas la force. le pied tente de s'insérer entre les cuisses entre ouvertes. Laureen, foudroie du regarde Grégoire qui lui fait un clin d'œil provocateur. Elle repousse l'intrus et se lève, elle se rend à la cuisine complétement déboussolée.

Elle tremble, elle est au bord des sanglots. Pendant que Paul baratine Murielle, Grégoire rejoint sa belle-mère, il se place derrière elle, l'enlace, et la serre très fort contre lui. Il agite doucement son bassin contre la croupe généreuse. Rapidement une érection se fait ressentir. Il lui dit à l'oreille :

-Je te désir Laureen, sois à moi, retrouve les joies du sexe, prends avec moi, les jouissances que Paul ne peut te donner !

Elle sent contre ses fesses la verge dure qui coulisse lentement, en cherchant à s'insérer dans le large sillon. Elle se retourne brusquement et prend Grégoire par le cou et lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres, et s'enfuit. Elle reprend place à table et se verse un verre de vin, qu'elle avale cul sec. Lorsque son gendre réapparait, elle rougit, elle baisse les yeux honteusement. Lui radieux, lui fait un large sourire.


Il sent que quelques chose a changé, lorsqu'il croise son regard, ses yeux pétillent comme du champagne. Murielle va s'étendre sur un transat, à coté de son beau-père, les deux bavardent comme des pies. Laureen monte dans sa chambre, elle enfile un maillot de bain deux pièces. Elle passe devant Grégoire qui ravale sa salive, le corps de sa belle-mère et divin, il la suit du regard jusqu'à ce qu'elle plonge dans l'eau tiède de la petite piscine, et entame quelques brasses.

Grégoire retire son pantalon et son t-shirt, et saute dans l'eau en slip. Il nage aux côtés de Laureen, les deux rient comme des enfants, cela ne trouble pas les deux papoteurs qui ne cessent de discuter, en éclatant de rire de temps en temps. Laureen un peu fatiguée s'accroche au bord du bassin, rapidement son gendre la rejoint, il se colle à elle comme une pieuvre à son rocher. Il lui caresse le ventre d'un main pendant que de l'autre il s'agrippe à sa belle-maman. Elle ronronne comme une chatte, la main glisse sur son ventre en s'approchant dangereusement de son entre jambe, elle se crispe mais ne refuse pas le contact de la main qui se pose délicatement sur son bas-ventre. Elle dit en rougissant :

-Grégoire nous sommes fous, si on nous surprenait !

-On lui pressant fortement la vulve, il répond :

-Ils sont trop occupés à draguer, qu'ils ne savent même plus que nous sommes là !

Plusieurs pressions font cabrer Laureen, elle dit en respirant plus rapidement :

-je suis méprisable, mon gendre me caresse et j'aime ça, mon dieu, moi aussi je te désir Grégoire, je suis une catin immorale mon Dieu comme j'ai honte de moi !

Grégoire lui écarte habilement la culotte, et enfonce deux dans l'antre de l'enfer. Laureen pousse un long gémissement. Les doigts agiles lui fouillent la chatte en s'enfonçant le plus loin possible. Laureen s'accroche au bord en geignant. les doigts en faisant un doux ramonage, lui arrache des gémissements rauques. Elle se mord la main pour couvrir les gémissements, qu'elle ne peut contenir.


Enfin, Grégoire s'empare du clito, qui étrangement est très gonflé. Il l'agite, le presse pour augmenter la tension dans les corps de belle-maman. Le branlage devient de plus en plus féroce. Laureen agite son bassin en répétant sans cesse :

-Mon dieu, mon Dieu, Grégoire je vais jouir, je suis une femme damnée !

Elle se mord la main au sang, pour étouffer le gémissement de jouissance qu'elle pousse. Grégoire l'encoure :

-Oui, oui, jouit ma chérie, ce n'est que le début je vais faire de toi une machine à jouir !

A l'abri des regards, les deux échangent un baiser fougueux, les langues se nouent, les salives s'échangent. Laureen semble revivre. Elle s'accroche au cou de son gendre en marmonnant :

-Oh toi, toi, je te hais

Elle lui reprend la bouche avec violence, elle lui aspire la langue, avant que les langues ne se cherchent à nouveau, pour se nouer. Il dit entre deux baisers:

-je n'en peux plus, sois à moi maintenant !

Il la retourne et la plaque contre le bord du bassin, elle se cramponne comme elle peut. Il s'accroche à elle d'une main et de l'autre il lui écarte le maillot. Il sort sa verge dure comme du béton de son slip, et l'enfonce lentement dans le ventre de Laureen qui pousse un long gémissement. Grégoire lui saisit les hanches et lui pilonne le ventre en grognant comme une bête. Prise en levrette comme jamais elle ne l'a était, Laureen défaille elle geint à chaque coup de reins que lui donne son gendre.


Le bougre devient violent, il la défonce comme un sauvage. A chaque estocade, elle dit :

-Oui, oui, encore mon Dieu, j'ai honte de moi, oui, encore, encore, c'est trop bon, Grégoire, Grégoire, je vais jouir !

Le verge infatigable, voyage dans le ventre de Laureen en lui arrachant des gémissements de bêtes blessées. le gland puissant lui racle le col de l'utérus si fort que belle-maman délire :

-Grégoire, Grégoire mon chéri, tu me tues, ou, oui, ça vient, ça vient ouiiiiii !

Une jouissance fabuleuse lui traverse les entrailles, son corps se met à trembler, en donnant des coups de reins terribles, elle défaille :

-Mon Dieu, j'ai trahi mon mari, je suis une pute !

Une giclée monstrueuse lui remplit le ventre, elle se cambre le plus qu'elle peut en offrant sa croupe à son amant :

-Oui mon chéri donne moi tout ta semence, remplis moi bien le ventre, oh comme c'est bon !

Grégoire demande :

-Suce-moi la queue Laureen, j'en ai trop envie !

Il se hisse sur le bord de la piscine et offre aux lèvres charnues de sa maitresse son gland violacé. Sans se poser de question , belle-maman aspire le gland. Elle le suce et le tète comme jamais elle ne l'avait fait à son mari. Comme il ne l'honore plus depuis bien longtemps, elle semble se venger, avec la verge de son beau-fils.

Sa bouche est magique, elle suce et tète divinement le gland qui ne cesse de prendre de l'épaisseur. A chaque sussions, Laureen geint, elle se tient d'une main au bord de la piscine et de l'autre, elle se cramponne à la verge fortement veinée. Une reçoit ce qu'il lui, fait défaut depuis que son mari, la délaisse. Un flot de sperme, lui remplit la gorge, elle recrache le gland et, en regardant son beau-fils, avale par petites gorgées la décharge si généreusement offerte. les deux infidèles, rassasiés, ressortent du bassin. En s'approchant de Murielle et de Paul. Sur les transats ça semble s'agiter, Paul est grimaçant, sa belle-fille, lui suce la bite comme une vorace. Les deux ne voyant pas arriver Grégoire et Laureen, réagissent tardivement.

Grégoire et Laureen, restent figés. Murielle recrache le gland, mais ne lâche pas la verge tendue de son beau-père, qui cherche le mots pour s'expliquer. Paul très gêné, dit en béguant :

-Je ne peux nier les faits, Murielle est moi sommes amants depuis plusieurs mois !

Murielle est rouge comme une pivoine, elle n'ose regarder son mari et sa maman tellement elle a honte. Mais contre toute attente, Laureen répond :

-N'ayez pas de regrets, Grégoire et moi, venons de commettre l'irréparable, je me suis, donnée à lui dans la piscine, à l'instant. Et je peux ajouter, que c'est un peu de ta faute Paul, tu ne me touches plus depuis des mois, je viens de comprendre enfin pourquoi ?

Paul reste sans voix, d'ailleurs il n'ose rien dire. Murielle tente de se rattraper aux branches comme elle peut, mais son mari ne lui en laisse pas le temps, il dit :

-Tu prends beaucoup de plaisir avec mon père, plus qu'avec moi ?

En se raclant la gorge fortement, Murielle répond :

-Ce n'est pas pareil, il tente d'innover à chaque fois, et je prends un pied d'enfer !

Grégoire la regarde et dit en souriant :

- Comme tu te cramponnes bien à son manche, il est souhaitable que tu termines ce que tu as commencée ma chérie !

Murielle réalise qu'elle tient toujours la verge de son beau-père. Paul en souriant dit :

-Puisqu'il te le demande, continue, Murielle !

Laureen croise le regarde de sa fille, qui ne sait ce qu'elle doit faire. Elle regarde le gland décalotté et rejette un regard vers sa maman. La décision est vite prise. Elle gobe le gland et le suce en faisant des aspirations bruyantes. Laureen yeux écarquillés est étonnée par l'ardeur que met sa fille à suce la verge de son beau-père. Rapidement sa chatte se met à suer. Grégoire regarde en souriant et dit :

C'est vrai que ma salope suce bien, hein, avoue que tu aimes sa bouche sur ton gland !

Paul en répond :

-Oh oui putain, ce qu'elle est bonne, et la mienne de salope comment elle suce ?

Grégoire ne peut retenir un :

-Ouah terrible, c'est une suceuse extraordinaire, Laureen montre à ton mari comment que tu me suce ma chérie !

Le gendre retire son slip, se laisse tomber sur un transat et offre sa verge qui est redevenue opérationnelle. Laureen regarde l'engin et le saisit. Elle l'agite férocement, le décalotte à fond, l'observe et reprend un branlage vigoureux. Grégoire est aux anges et dit :

-Papa, je ne comprends pas pourquoi tu délaisses Laureen, elle est une amante formidable, elle met du cœur à tous ce qu'elle entreprend, oh putain regarde comme elle me branle, je vais décharger !

En se cabrant, Grégoire dit :

-Suce-moi, suce-moi je vais jouir !

Laureen gobe le manche, et le suce comme une affamée devant son mari abasourdit. Les deux hommes déchargent pratiquement en même temps. les deux femmes, recrachent le gland et se regardent. Elles avalent sans cesser de se regarder. Laureen mouille comme une fontaine, elle enjambe son gendre et s'empale sur sa queue dressée. Elle s'agite en geignant comme une bête malade. Son corps monte et descend sur le pieu qui l'empale.
Murielle à chaque descente du corps de sa maman, lui appuie sur les épaules pour qu'elle soit empalée totalement. Paul bande comme un poney, il s'approche du trio, et plaque sa femme sur le torse de son fils et présente à l'anus de Laureen son gland large et épais. Il enfonce lentement sa verge dans le canal étroit. Prise en double pour la première fois de sa vie, Laureen geint comme une damnée.

Les deux verges voyagent dans son corps en la faisant gémir de plus en plus fort.
Tellement la paroi qui sépare les deux entrées et mince, elle a l'impression que les deux verges dans le même orifices. Laureen défaille, elle sent bien les deux manches coulisser en elle. Paul et son fils ne la ménagent pas. les couilles remplis de semence, qui lui frappent les orifices, l'a font gémir de plaisir. Paul dit en grimaçant :

-Putain, elle aime avoir deux bites dans le corps ma salope, je crois que maintenant Grégoire, nous aurons du pain sur la planche avec nos deux voraces, Murielle va surement aimer ça aussi !