Véronique

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Véronique Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Véronique
Véronique, mariée depuis de nombreuses années, avec Paul est de plus en plus délaissée sexuellement par lui, trop pris par son travail, il la néglige. Quelquefois des pulsions incontrôlables lui tiraillent les entrailles. Pour les assouvir, elle monte dans sa chambre et se masturbe férocement pendant de longues minutes. C'est une fois apaisée qu'elle réapparait

Depuis quelque temps, un jeune homme a emménagé dans la maison d'à côté. Et depuis cet instant, malgré la différence d'âge, Véronique bien qu'elle ne connaisse que son prènom Loic, fantasme sur son jeune voisin. Lorsqu'elle l'aperçoit qui prend le soleil, étendu sur sa pelouse, son cœur s'emballe, son souffle devient rapide. Ils ne se sont jamais parlé, sauf pour se saluer. Elle s'approche de la haie qui n'est pas très haute, en faisant semblant de s'intéresser à elle en coupant quelques petites branches. Les regards se croisent, Loïc lui fait un large sourire en la saluant, elle répond timidement à son salut. Ses yeux restent sur le jeune homme un bon moment. Elle admire le torse aux muscles saillants, que le coquin gonfle en se sachant observé. Véronique est fascinée par le corps du jeune homme. Sa vulve devient brûlante, elle laisse échapper quelques perles de rosée. Bien qu'elle serre fortement les cuisses, elle ne peut les retenir.

Elle est si troublée qu'elle se sent mal, elle rentre s'étendre sur le canapé. Dans sa tête c'est un film qui se déroule. Sa main tremblante glisse sous le fin tissu de sa jupe. Caresse son entrejambe qui a comme seul rempart sa culotte humide. Plusieurs fois sa main la caresse. Étrangement elle est insérée entre les grandes lèvres en les séparant. Le tissu humide cerne la boule de tous les plaisirs. Au fur et à mesure que les doigts passent sur elle, elle prend du volume.



Son souffle saccadé s'accélère, Véronique presse plusieurs fois la boule de chair. À chaque pression elle se cabre en poussant un long soupir. La tension ne cesse de monter dans son corps. De sa main libre, elle écarte sa culotte et de l'autre saisit son clito. Elle le presse, à chaque pression, elle se cambre en se contorsionnant. comme un ver. Enfin, elle commence un branlage bien dosé dont elle a le secret et qu'elle pratique fréquemment, à l'insu de son mari De faibles gémissements sortent de sa gorge. La masturbation s'accélère, la coquine grimace, ses râles deviennent plus expressifs. La jouissance tant recherchée arrive enfin. Elle se cabre comme un cheval fougueux, en poussant un râle affreux.

Elle est tellement éprise par Loïc qu'elle n'en dort plus la nuit. Plus les jours passent, plus elle devient amère et nerveuse. Sans s'en rendre compte, elle devient même agressive, elle qui est d'une douceur naturelle, Paul ne la reconnait plus. Il comprend qu'il y a quelque chose qui cloche et ose le lui demander quitte à la froisser :

— Véronique, qu'est-ce qui se passe, tu n'es plus la même, je veux savoir ce que tu as ma chérie ?

Enserrant les poings et en ravalant sa salive plusieurs fois, elle décide de tout lui dire :

— Je sais que je vais te faire du mal, Paul, mais ce que j'ai à t'avouer est grave. Eh bien voilà, je suis amoureuse de notre voisin, c'est si intense que j'en deviens folle, il hante mes nuits !

Paul vient de recevoir un coup de poing, il est KO debout. Il blêmit et, en cherchant ses mots, dit :

— Mais il pourrait être ton fils, tu te rends compte de ce que tu me dis. Et lui, il t'aime ?

En baissant la tête honteusement, elle répond :

-Non je ne lui ai jamais avoué que je l'aime !

Paul la regarde en fronçant les sourcils et ajoute :

— Eh bien, avec ça tu es bien avancée ma chérie, bien que cela me fasse beaucoup de mal, je te conseille, pour que tu retrouves ta stabilité et qu'enfin tu te sentes bien dans ta peau, parle-lui des sentiments que tu éprouves pour lui!

Surprise par la réaction de son mari, c'est en bafouillant affreusement qu'elle réplique :


— Tu penses vraiment que je dois lui parler, mon chéri ?

En haussant les épaules, Paul déclare :

-Je sais que tu es très timide, mais si tu veux connaitre ses sentiments, la moindre des choses, c'est que tu lui en parles !

Véronique, très émue, se jette dans les bras de son mari en sanglotant. Elle renifle fortement en disant:

— Je ne te mérite pas mon chéri !

Il la serre très fort dans ses bras et l'embrasse comme pour lui pardonner son délire. Un jour qu'elle faisait ses achats dans une grande surface, elle tombe nez à nez avec Loïc. Son cœur semble s'arrêter. Il lui fait un grand sourire, et me tend ma main pour me saluer. En tremblant, Véronique serre la main de son amour secret. Elle ressent comme une décharge électrique lui traverser les entrailles. L'émotion est telle qu'elle reste figée en regardant Loïc, qui lui dit :

— Cela fait déjà un bon bout de temps que nous sommes voisins, et nous n'avons jamais véritablement dialogué. Pour combler cette lacune, je vous invite ce soir avec votre mari bien sûr, à prendre un verre pour que nous puissions enfin faire connaissance!

Véronique reste sans voix, Loïc lui lâche la main et ajoute :

— À ce soir dix-huit heures, je compte sur vous !

Elle reste de longues minutes avant de retrouver ses esprits. Elle devient comme euphorique, entre chez elle rapidement et annonce la bonne nouvelle à Paul. Qui, quand même un peu inquiet, répond :

— C'est parfait, je vais enfin faire la connaissance de cet oiseau rare !

L'heure approche, Véronique ne cesse de faire la navette de la salle de bain à son dressing. Elle essaie plusieurs vêtements, ne semble jamais satisfaite de son choix. Enfin pressée par son mari, elle opte pour une jupe assez courte, le galbe de ses jambes lui permet de mettre une telle jupe. Elle se tourne, se contorsionne devant le miroir, jusqu'à ce que Paul lui rappelle l'heure.

Enfin, ils arrivent devant la porte de Loïc, Véronique stresse de plus en plus. Paul appuie sur ma sonnette, le voisin vient ouvrir. Une fois les salutations faites, il les installe au salon et leur sert un verre, le champagne est de rigueur. La discussion s'engage, les trois parlent un peu de tout, plutôt les deux car Véronique reste muette, elle dévore des yeux Loïc. Les verres se suivent, Véronique commence à ressentir l'effet de l'alcool, elle qui ne boit jamais, là elle ne peut refuser de trinquer avec son amour. Le vouvoiement est remplacé par le tutoiement.

Paul se lance et dit en regardant sa femme :

— Ma chérie, c'est le moment de parler à Loïc !

Véronique pâlit, boit son verre d'un trait, ne trouve pas les mots. C'est Paul qui prend la parole :

— C'est vrai que ce n'est pas simple à dire mais voilà. Ma femme m'a avoué qu'elle est amoureuse de toi, et depuis elle déprime, je suis malheureux de la voir dans cet état. Toi tu éprouves quelque chose pour elle ?

Surpris, Loïc regarde Véronique et dit :

— J'avoue que c'est une belle femme, mais de là à dire que je suis amoureux d'elle, il y a une marge !

Les yeux de Véronique se remplissent de larmes. Paul regarde sa femme qui semble dévastée par les paroles de son voisin, en se pinçant les lèvres, il ajoute :

— Elle ne te fait pas envie ?

Loïc, un peu gêné, répond :

— Pour être franc, elle a tout là où il faut, avec le cul qu'elle a, j'avoue que je lui donnerais bien un coup de bite !

Les yeux de Paul s'illuminent, et sans vraiment réfléchir, il :

— Baise-la, vas-y, baise-la !

Véronique reste muette, elle ne sait plus à quel saint se vouer, elle serre les poings et commence à trembler comme une feuille. Loïc la dévisage et demande à Paul avec une certaine inquiétude :

— C'est sérieux, je peux la baiser ?

Paul en regardant sa femme :

— Tu veux toujours que Loïc te fasse l'amour, qu'il te défonce, c'est le moment de réaliser ton fantasme ma chérie.
Elle est vachement timide, chauffe-la un peu, Loïc !


Véronique reste muette, elle ne peut contrôler les tremblements de son corps. Loïc s'avance ses fesses sur le bord de son fauteuil, et lentement ouvre sa braguette, il en sort la verge qui sommeille encore Avec des gestes lents et bien mesurés, il l'agite en décalottant à chaque descente de son poignet le gland marbré. Véronique écarquille les yeux, sa respiration s'accélère. Elle ne quitte pas des yeux le membre qui ne cesse de prendre du volume.


Pour Véronique c'est comme une torture, sa chatte laisse échapper un filet continu de cyprine, qui humidifie grandement sa culotte. Paul, comme si cela lui faisait plaisir, lui souffle:

— Tu mouilles, ma chérie, profite du spectacle, caresse-toi, prépare ta chatte à la bonne queue de Loïc !

Comme un automate, elle retrousse doucement sa jupe et pose sa main sur sa culotte humide, et se caresse en soupirant fortement. Paul lui conseil :

— Retire la chérie, tu seras plus à l'aise !

Avec des gestes maladroits, Véronique fait tomber sur le sol l'entrave de tissu. Elle ouvre timidement les cuisses et commence à se caresser la vulve sans quitter des yeux Loïc, qui continue sans complexe de faire grossir son mandrin. La cadence augmente, les deux se regardent, leurs yeux brillent de mille feux. Les corps se tendent, les visages se déforment par une grimace incontrôlable.


Loïc se cambre en disant :

— Oh putain, je vais décharger, viens me sucer Véro, viens ma chérie !

Surprise, Surprise d'être appelée ma chérie, cesse de se masturber, regarde son mari en attendant son feu vert :


L'approbation ne se fait pas attendre.


— Vas-y ma chérie, ne le fais pas attendre, sa semence doit être vachement bonne !


Elle se lève, se sent faible, elle a beaucoup de mal à faire un pas devant l'autre. Heureusement que la distance qui les sépare est très courte. Elle s'agenouille face à Loïc, elle regarde longuement la verge épaisse, avant de la saisir timidement. Elle donne quelques coups de poignet, avant que Loïc ne se manifeste :

— Suce, suce, j'en peux plus !

Véronique ouvre la bouche et gobe le gland. Elle le suce en prenant de plus en plus d'assurance, sa bouche devient vorace, et les succions bruyantes. Loïc n'en revient pas, il ne peut s'empêcher de dire :

— Paul, ta femme est une suceuse de première, oh la vache elle est bonne la salope !



Il lui saisit la tête et tire dessus pour lui enfoncer sa queue jusque dans la gorge. Il lui baise la bouche férocement, en grognant comme un animal. Des larmes remplissent les yeux de Véronique, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Les couilles de Loïc cognent la bouche de la soumise qui a des hauts le cœur. L'amant ne cesse de répéter :

— Oh qu'elle est bonne, c'est une salope comme je les aime, tiens, tiens, avale, oh putain comme elle est bonne !

Véronique reçoit une formidable giclée de sperme dans la bouche, elle repousse son amant car elle manque de souffle. Complètement déstabilisée, elle regarde son mari en cherchant une solution. Paul la trouve, lui la solution :

— Avale ma chérie, avale !

C'est en déglutissant lentement qu'elle sent glisser dans sa gorge la crème onctueuse. Plusieurs fois elle déglutit, et parvient à avaler la totalité de la décharge. Loïc retire ses vêtements. Saisit Véronique et la bascule sur la table. Il lui ouvre les cuisses et plaque sa bouche sur ma vulve dégoulinante, fraichement rasée. Il aspire tout ce qu'elle lui offre, avant d'enfoncer sa langue profondément dans la gaine juteuse. Il en fouille chaque recoin, en arrachant à Véronique des gémissements de plaisir. Paul est en admiration devant le spectacle, sa femme ondule du bassin en poussant de longs râles. Ses yeux embués cherchent ceux de son mari. Le voyeur commence à bander comme un cerf en rut.

Un hurlement le fait sursauter, sa femme vient de jouir. Cambrer fortement son corps et secoué de spasmes violents. Elle retombe lourdement sur ma table en haletant. Paul dit :

— Putain quel pied ma chérie, tu n'as jamais joui comme cela avec moi, c'est démentiel ce que te fait Loïc !

L'amant ne lâche pas sa proie, il continue de lui lécher la chatte, suce les lèvres une à une. Puis aspire brutalement le clitoris, Véronique pousse un grognement en se cabrant. Les succions féroces sont prolongées. Son mari absent de sa vie sexuelle, là, il en prend plein les yeux. La soumise geint terriblement. Elle a l'impression que son clito va exploser, une seconde jouissance la fait hurler. Le jeune homme se redresse, regarde la femme haletante et décide d'en remettre
une couche.

Il enfonce trois doigts dans la vulve, en formant un crochet. Puis fait un rapide va-et-vient, qui ne dure que quelques secondes, en raclant le haut du vagin, avant qu'il ne retire brusquement ses doigts. L'effet est immédiat. En poussant un long râle, que Véronique tente d'étouffer en se mordant la main, elle gicle comme un geyser. Paul n'a jamais vu sa femme gicler de la sorte, il reste en reste baba.

Loïc prend le temps de la laisser récupérer. Le souffle de Véronique redevient régulier.
Il lui caresse les seins avec douceur, joue un instant avec les mamelons qui sont dressés au centre de leur aréole brune. Puis les gobe à tour de rôle, il les suce comme un enfant qui s'allaite les bouts deviennent durs. Véro, reprend ses gémissements, Loïc lui travaille les mamelons en la faisant couiner de plaisir.


Paul caresse doucement la bosse qui déforme son pantalon, en ne quittant pas du regard le couple. Le jeunot se place entre les cuisses ouvertes de la soumise aimante, et dirige son membre vers le puits d'amour. Il le frotte à plusieurs reprises contre les lèvres suintantes. La chatte est tellement affamée qu'un petit coup de reins suffit pour que le mandrin épais s'enfonce jusqu'aux couilles dans la grotte profonde.

Immédiatement Véronique s'accroche à son amant en poussant un long gémissement. Les mains puissantes de Loïc s'agrippent à ses hanches et tirent dessus à chaque fois que le coquin donne un coup de reins. Empalée totalement sur le pieu fortement veiné, elle aussi se met à donner des coups de reins en soufflant comme un dragon. L'étreinte devient de plus en plus violente, les grognements et les râles des deux amants ne sont pas simulés.

La verge voyage dans le ventre de Véro, en prenant de la vitesse. Le gland épais racle les parois sensibles du conduit, bute fortement sur le col de l'utérus à chaque enfoncement. Ce que ressent Véronique est indescriptible, elle marmonne des phrases inaudibles, en s'accrochant à son amant comme un rapace sur sa proie. Paul ne se retient plus, il hurle :

— Fais la, fais-la gueuler, oh putain que c'est bon de la voir se faire bourrer par une bonne queue, vas à fond, tape fort, fais-lui mal !


L'assaut dure de longues minutes sans aucun répit. Les deux corps sont en sueur, des perles de rosée ruissellent sur les peaux fébriles. Les deux corps souples s'agitent comme deux serpents qui s'accouplent. Les gémissements se confondent jusqu'à ce qu'un hurlement se fasse entendre. Véronique cambrée fortement vient de jouir. Loïc souffle comme un bœuf, soudain en rugissant comme un fauve, il remplit le ventre de Véronique qui dit entre deux respirations :

— Donne-moi tout, mon chéri, vide-toi bien en moi jusqu'à la dernière goutte !

La douce chaleur du sperme qui se répand dans son ventre la rend hystérique. Elle agite son bassin comme une forcenée, ses grognements ressemblent à ceux d'une bête enragée. Elle s'agrippe à son amour, en donnant des coups de reins monstrueux. Une seconde jouissance la fait hurler. C'est apaisée qu'elle ralentit la cadence, pour la cesser totalement.

Les deux amants restent accouplés un bon moment, avant de reprendre leurs esprits. Loïc se retire et dit en regardant Paul :

— Ta femme c'est une bombe sexuelle très gourmande, je crois qu'il faut lui en donner plus, tu es prêt à te joindre à nous ?

Paul reste un moment perplexe puis demande :

— Tu veux qu'on la prenne en double ?

— Ben oui, mais avant je veux que tu l'encules, j'ai besoin de récupérer un peu !


Paul retire ses vêtements, sa verge est secouée de spasmes, quelques gouttelettes visqueuses s'échappent du méat. Il regarde sa femme et dit :

— Ma chérie, tu connais le désir de Loïc, alors je te prie de te mettre sur le ventre !

Bien que Paul ne la prenait que très rarement par le cul, Véronique ne détestait pas cette pratique. Elle prend la pose et offre sa croupe à son mari. Loïc intervient :

— Bouffe lui le cul, qu'elle prenne encore un orgasme avant que tu ne lui fores le cul !

Paul s'agenouille derrière sa femme, et lui écarte avec ses mains les fesses. Il observe un instant l'œillet fripé qu'il va dévorer. Puis commence l'agression, en donnant des coups de langue sur le muscle rectal. Il tente de le pénétrer mais l'anus en refuse l'accès. Il l'aspire de toutes ses forces. Véronique se cambre en grimaçant petit à petit, l'anus fortement sollicité, sort de son logement. Paul lui suce la tête, en arrachant à sa femme des couinements qu'elle tente de retenir en vain.


Mais lorsqu'il lui enfonce sa langue dans l'anus, elle pousse un cri en se cambrant davantage. Paul fouille la grotte le plus profondément qu'il peut. Comme un affamé, il s'acharne dans le conduit étroit. Une violente jouissance anale fait hurler la soumise consentante. Paul place immédiatement sa queue contre l'anus qui ne cesse de frémir, et pousse. Lentement la queue, qui souvent omet cet endroit, s'enfonce en dilatant la gaine étroite. Véronique s'accroche à la petite table en gémissant. Enfin Paul est au taquet, ses couilles frappent les fesses de sa femme.

Loïc, souriant, regarde la sodomie avec intérêt. Paul défonce sa femme avec une certaine brutalité comme pour se venger. Mais la coquine ne geint pas de douleur, mais de plaisir. Plus la défonce est brutale, plus elle agite sa croupe. La sodomie dure un long moment, Paul se retient le plus longtemps possible, il veut que ce soit sa femme qui jouisse avant lui. En effet, Véronique explose, sa jouissance anale est très forte. Paul enfin peut lâcher son jus. Il donne encore quelques estocades avant de sortir sa bite du cul de sa femme.

Véronique subit la première double pénétration de sa vie. Dont elle se souviendra longtemps. Dilatée et ramonée sauvagement par les deux queues vigoureuses, elle jouit plusieurs fois avant de demander grâce.

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Texte coquin : Véronique
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