Loane se dé,iaise 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Loane se dé,iaise 2
Les années passent, Michel et Loane filent le parfait amour. Maintenant Yoan a une petite amie, Carole, les deux logent chez Michel et Loane.
Les deux femmes, au fil des mois, sympathisent, et s'apprécient à un tel point qu'elles sont devenues presque inséparables. Bras dessus, bras dessous, elles font les courses, font du shopping. Michel voit ça d'un bon œil. Mais son fils Yoan se demande si entre les deux femmes, il n'y a pas autre chose que de l'amour platonique. Un soir pendant le diner, durant que les deux complices se taquinaient à la cuisine. Il dit à son père :
— Je suis sûr que les deux fricotent ensemble !
Michel fronce les sourcils et demande en faisant une moue :
— Tu crois qu'elles couchent ensemble ? Moi, je n'en crois pas un mot, elles sont complices, rien de plus !
Une fois les deux femmes à table, Yoan, en posant un regard accusateur sur elles, dit :
— Je me pose la question, est-ce que vous couchez ensemble ?
Les deux amies se regardent, étonnées par la question, puis éclatent de rire, c'est Carole qui répond :
— Mais quelle idée, nous sommes juste fusionnelles, cela te ferait plaisir d'entendre que nous sommes amantes, eh bien NON mon chéri !
En riant, Loane réplique :
— Mais si c'est ce que tu souhaites, nous pouvons le devenir !
Michel la regarde, il croit rêver. Yoan se racle fortement la gorge avant de passer à autre chose. Une fois dans leur lit, Michel enlace sa femme et lui demande avec tendresse :
— C'est vrai, que tu coucherais avec Carole ?
Loane se redresse et dit :
— Mais mon chéri, je plaisantais, c'était une boutade, tu ne penses pas sérieusement que je pourrais coucher avec Carole ?
En ravalant sa salive, Michel réplique :
— Pourquoi pas, je serais curieux de te voir faire l'amour avec une femme, depuis que Yoan en a parlé, j'ai des fourmis dans le ventre !
Loane saisit la verge de son mari à travers le boxer, et en la pressant très fort dit :
— Mais tu es un gros cochon mon chéri, tu me livrerais sans regret à une femme et pourquoi pas aussi à un autre homme ?
Michel, très gêné, répond :
— Tu sais, le sexe pluriel excite ma chérie, il suffit de franchir le pas !
Tout en agitant le membre emprisonné dans son carcan de tissu, Loane réplique :
— Je suis certaine que tu y penses depuis longtemps, à m'offrir à un autre homme, avoue, Michel ?
En déglutissant bruyamment, il répond :
— Pour être honnête, oui, je l'avoue, je m'en faisais un film, et je bandais comme un poney !
Loane le regarde en secouant négativement la tête, et demande :
— C'est avec quel homme que tu m'imaginais te faire cocu ?
En bégayant, Michel dit :
— Avec, avec Yoan, il te trouve à son gout, il me l'a déjà fait comprendre !
Loane reste un instant sans voix puis parvient à articuler :
— Tu, tu me vois faire l'amour avec ton fils ?
En prenant une grande inspiration, Michel ajoute :
— Avec Carole aussi !
Loane extirpe du boxer la verge raide comme du bois et l'agite férocement en marmonnant :
— Tu délires mon chéri !
Elle décalotte au maximum le gland, le gobe, et comme une enragée, le suce, jusqu'à ce que son mari lui remplisse la bouche de sperme. Il est vrai que c'était rapide. En avalant la semence, elle enjambe Michel et, en retroussant sa nuisette, s'empale sur sa queue gluante. Elle s'agite comme jamais, elle ne l'avait fait. Une jouissante, elle aussi, rapide, la fait gémir. Elle se laisse retomber sur le corps de son mari en disant faiblement :
— Tu en as de ces idées mon chéri !
En lui caressant la croupe, il répond :
— Tu es chaude comme de la braise, ne le nie pas, mon idée t'a excitée, hein, petite salope !
En rapprochant ses lèvres des siennes, Loane réplique :
— Tais-toi, idiot, embrasse-moi !
Effectivement Loane est très excitée, après le baiser, elle remonte sur sa monture pour une nouvelle chevauchée. Elle s'accroche aux reins de son mari et à chaque descente de son corps sur le pal, elle tire le plus fort possible en grognant, pour être empalée totalement. Pendant un long moment, les deux se défoncent. Comme par miracle, ils jouissent en même temps. Mais insatiable, Loane repart à la charge.
Durant le petit déjeuner, Loane ne cesse de dévisager Carole et Yoan. Les deux répondent par de grands sourires. Une fois à la cuisine, seule avec Carole, elle lui souffle à l'oreille :
— Tu sais, la dernière lubie de mon mari, c'est que je fasse l'amour avec toi et Yoan. Tu te rends compte jusqu'où vont ses délires !
Les deux femmes éclatent de rire, mais Loane ajoute :
— Je dois te dire que cela nous a excités, et nous avions fait l'amour comme des bêtes toute la nuit !
Loane, en souriant, enlace Carole, et lui dit en déposant un baiser sur ses lèvres :
— Oui, nous nous sommes envoyés en l'air en pensant à moi, je sais que c'est immoral, mais ce fut merveilleux !
En regardant Carole dans les yeux, et en poussant un gros soupir, dit :
— Oh la vache, j'ai joui comme une dingue !
Loane la serre très fort, et avec un regard vicieux lui demande :
— Et si nous le faisions vraiment, cela te tenterait ?
Carole, surprise, et en articulant mal, répond :
— Cela serait de la folie, arrête, cela me met mal à l'aise !
Loane, sûre d'elle, devient plus audacieuse et réplique :
— Ma salope, avoue que tu en meurs d'envie, je suis certaine que tu mouilles !
En exprimant ces mots, elle passe sa main sous la jupe de Carole et la plaque contre son bas-ventre. Elle le caresse un instant puis dit :
— Oh la vache, elle est trempée !
Carole, en rougissant, ne trouve rien d'autre à déclarer :
— Tu es un monstre, je te hais !
Mais elle reste accrochée à son amie qui continue de lui caresser l'entrejambe. La culotte s'humidifie de plus en plus. Carole n'en peut plus :
— Arrête, arrête, je t'en prie !
Loane écarte habilement la culotte de Carole, et y glisse deux doigts. Les deux intrus trouvent aisément refuge dans le conduit brulant. Carole souffle comme un dragon, puis trouve la force de dire :
— Loane, arrête, arrête, non pas ici !
L'agresseur retire ses doigts et, en souriant :
— Tu as raison ma chérie, pas ici. Retire ta culotte, elle est trempée !
Fébrilement, elle ôte sa culotte et va la déposer dans le panier à linge. Elle revient, Loane a changé de place, Carole n'a pas d'autre choix que de s'assoir à côté d'elle. Presque immédiatement, Loane pose sa main sur la cuisse de son amie. Elle la caresse discrètement sous la table, et lentement sa main s'enfonce sous la jupe. Carole frissonne, instinctivement, elle ouvre légèrement les cuisses, la main agile glisse entre, et du bout des doigts, la coquine agace la chatte qui rapidement se met à suinter. Carole agite doucement son bassin en espérant ne pas se faire remarquer par Michel et son fils qui sont en pleine conversation.
Entre son pouce et son index, Loane saisit la protubérance de chair qui est déjà bien gonflée, et commence un doux branlage. Le risque d'être surprises excite les deux femmes. Carole s'agrippe à sa chaise, sa respiration s'accélère, son cœur s'emballe.
Les deux hommes, trop occupés à papoter, ne prêtent pas attention à la femme qui est au bord de l'explosion. Loane semble prendre un malin plaisir à agresser le clito sensible de Carole. Puis n'y tenant plus, Carole se cabre, pousse un gémissement qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Mais même atténué, le gémissement fait sursauter les deux parleurs. Carole, grimaçante, se lève brusquement de sa chaise, et à travers sa jupe plaque ses mains sur sa chatte en ébullition.
Les deux hommes restent bouche bée, Yoan mort d'inquiétude demande :
— Mais qu'est-ce que tu as ma chérie, tu ne te sens pas bien ?
Carole retombe sur la chaise en haletant, et dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— Ce, ce n'est rien, cela va passer, oui, ça, ça va passer !
Loane réagit, elle va peut-être avoir la réponse à la question qu'elle se pose : Yoan va-t-il participer à L'amour pluriel que son mari souhaite ? Elle, depuis la suggestion de Michel, a réfléchi et n'y est pas contre, au contraire cela l'excite.
— Tout est ma faute, je l'ai chauffée à la cuisine et sous la table, je viens de la branler, il faut dire qu'elle ne simule pas la coquine, vous avez vu cette jouissance ! Il faut dire que ton père m'y a un peu poussé !
Michel sourit, son fils, lui, fait les gros yeux. Après quelques hésitations, il interroge :
— Donc je suppose que je peux faire de même à ta femme, papa ?
Michel, en regardant sa femme, dit en souriant :
— Ben, j'avais dans l'idée de faire une partouze, si vous n'êtes pas contre bien sûr. Carole, on a déjà sa réponse, il ne manque que ton approbation, Yoan !
En regardant son père, il répond :
— Je t'ai déjà fait comprendre que Loane ne me laissait pas indifférente, donc je ne peux qu'accepter !
Carole est surprise par l'approbation de son compagnon, mais ne peut que l'approuver. Elle aimerait connaitre d'autres pratiques sexuelles, et rien que d'y penser cela l'émoustille. Michel et Loane, plus âgés qu'elle, doivent en connaitre plus sur ces pratiques. Après le petit déjeuner, Yoan, en regardant sa belle-mère, dit :
— J'aimerais que tu achèves ce que tu avais commencé avec Carole !
Michele, ajoute en souriant :
— Oh oui, cela serait génial, vas-y ma chérie !
Les deux femmes se regardent, Carole stresse un peu, mais lorsque Loane lui prend la main pour l'entrainer au salon, elle la suit sans rechigner. Les deux hommes, voyeurs pour l'instant, prennent place dans un profond fauteuil. Laone enlace Carole et la serre entre ses bras. Depuis que son mari l'a décoincée, elle ose faire des choses qui étaient inimaginables il y a quelques années. Elle pose ses lèvres sur celles de son amie et l'embrasse, goulument. Carole se prête au jeu, elle noue sa langue à celle de son amante. Avant qu'un échange de salive ne se fasse. Le baiser dure de longues minutes, les hommes sont étonnés de la fougue des deux complices.
Les respirations bruyantes des deux amantes font saliver les deux voyeurs qui commencent à bander. Yoan dit :
— J'en étais sûr qu'il y avait quelque chose entre eux, regarde papa comme elles s'embrassent !
En souriant, Michel ajoute :
— Elles sont dans le feu de l'action, elles ne simulent pas c'est tout, profites du spectacle !
Une fois le baiser terminé, les deux amantes se regardent longuement. Loane, plus audacieuse que son amie, commence à s'effeuiller, avec des gestes maladroits, Carole fait de même. Les hommes ne perdent pas une image. Leur queue devient douloureuse dans leur prison de tissu. Michel est le premier à l'extraire du carcan, son fils l'imite. Les deux hommes soulagés, la caressent doucement, en matant les deux femmes nues.
Les deux femmes, au fil des mois, sympathisent, et s'apprécient à un tel point qu'elles sont devenues presque inséparables. Bras dessus, bras dessous, elles font les courses, font du shopping. Michel voit ça d'un bon œil. Mais son fils Yoan se demande si entre les deux femmes, il n'y a pas autre chose que de l'amour platonique. Un soir pendant le diner, durant que les deux complices se taquinaient à la cuisine. Il dit à son père :
— Je suis sûr que les deux fricotent ensemble !
Michel fronce les sourcils et demande en faisant une moue :
— Tu crois qu'elles couchent ensemble ? Moi, je n'en crois pas un mot, elles sont complices, rien de plus !
Une fois les deux femmes à table, Yoan, en posant un regard accusateur sur elles, dit :
— Je me pose la question, est-ce que vous couchez ensemble ?
Les deux amies se regardent, étonnées par la question, puis éclatent de rire, c'est Carole qui répond :
— Mais quelle idée, nous sommes juste fusionnelles, cela te ferait plaisir d'entendre que nous sommes amantes, eh bien NON mon chéri !
En riant, Loane réplique :
— Mais si c'est ce que tu souhaites, nous pouvons le devenir !
Michel la regarde, il croit rêver. Yoan se racle fortement la gorge avant de passer à autre chose. Une fois dans leur lit, Michel enlace sa femme et lui demande avec tendresse :
— C'est vrai, que tu coucherais avec Carole ?
Loane se redresse et dit :
— Mais mon chéri, je plaisantais, c'était une boutade, tu ne penses pas sérieusement que je pourrais coucher avec Carole ?
En ravalant sa salive, Michel réplique :
— Pourquoi pas, je serais curieux de te voir faire l'amour avec une femme, depuis que Yoan en a parlé, j'ai des fourmis dans le ventre !
Loane saisit la verge de son mari à travers le boxer, et en la pressant très fort dit :
— Mais tu es un gros cochon mon chéri, tu me livrerais sans regret à une femme et pourquoi pas aussi à un autre homme ?
Michel, très gêné, répond :
— Tu sais, le sexe pluriel excite ma chérie, il suffit de franchir le pas !
Tout en agitant le membre emprisonné dans son carcan de tissu, Loane réplique :
— Je suis certaine que tu y penses depuis longtemps, à m'offrir à un autre homme, avoue, Michel ?
En déglutissant bruyamment, il répond :
— Pour être honnête, oui, je l'avoue, je m'en faisais un film, et je bandais comme un poney !
Loane le regarde en secouant négativement la tête, et demande :
— C'est avec quel homme que tu m'imaginais te faire cocu ?
En bégayant, Michel dit :
— Avec, avec Yoan, il te trouve à son gout, il me l'a déjà fait comprendre !
Loane reste un instant sans voix puis parvient à articuler :
— Tu, tu me vois faire l'amour avec ton fils ?
En prenant une grande inspiration, Michel ajoute :
— Avec Carole aussi !
Loane extirpe du boxer la verge raide comme du bois et l'agite férocement en marmonnant :
— Tu délires mon chéri !
Elle décalotte au maximum le gland, le gobe, et comme une enragée, le suce, jusqu'à ce que son mari lui remplisse la bouche de sperme. Il est vrai que c'était rapide. En avalant la semence, elle enjambe Michel et, en retroussant sa nuisette, s'empale sur sa queue gluante. Elle s'agite comme jamais, elle ne l'avait fait. Une jouissante, elle aussi, rapide, la fait gémir. Elle se laisse retomber sur le corps de son mari en disant faiblement :
— Tu en as de ces idées mon chéri !
En lui caressant la croupe, il répond :
— Tu es chaude comme de la braise, ne le nie pas, mon idée t'a excitée, hein, petite salope !
En rapprochant ses lèvres des siennes, Loane réplique :
— Tais-toi, idiot, embrasse-moi !
Effectivement Loane est très excitée, après le baiser, elle remonte sur sa monture pour une nouvelle chevauchée. Elle s'accroche aux reins de son mari et à chaque descente de son corps sur le pal, elle tire le plus fort possible en grognant, pour être empalée totalement. Pendant un long moment, les deux se défoncent. Comme par miracle, ils jouissent en même temps. Mais insatiable, Loane repart à la charge.
Durant le petit déjeuner, Loane ne cesse de dévisager Carole et Yoan. Les deux répondent par de grands sourires. Une fois à la cuisine, seule avec Carole, elle lui souffle à l'oreille :
— Tu sais, la dernière lubie de mon mari, c'est que je fasse l'amour avec toi et Yoan. Tu te rends compte jusqu'où vont ses délires !
Les deux femmes éclatent de rire, mais Loane ajoute :
— Je dois te dire que cela nous a excités, et nous avions fait l'amour comme des bêtes toute la nuit !
Loane, en souriant, enlace Carole, et lui dit en déposant un baiser sur ses lèvres :
— Oui, nous nous sommes envoyés en l'air en pensant à moi, je sais que c'est immoral, mais ce fut merveilleux !
En regardant Carole dans les yeux, et en poussant un gros soupir, dit :
— Oh la vache, j'ai joui comme une dingue !
Loane la serre très fort, et avec un regard vicieux lui demande :
— Et si nous le faisions vraiment, cela te tenterait ?
Carole, surprise, et en articulant mal, répond :
— Cela serait de la folie, arrête, cela me met mal à l'aise !
Loane, sûre d'elle, devient plus audacieuse et réplique :
— Ma salope, avoue que tu en meurs d'envie, je suis certaine que tu mouilles !
En exprimant ces mots, elle passe sa main sous la jupe de Carole et la plaque contre son bas-ventre. Elle le caresse un instant puis dit :
— Oh la vache, elle est trempée !
Carole, en rougissant, ne trouve rien d'autre à déclarer :
— Tu es un monstre, je te hais !
Mais elle reste accrochée à son amie qui continue de lui caresser l'entrejambe. La culotte s'humidifie de plus en plus. Carole n'en peut plus :
— Arrête, arrête, je t'en prie !
Loane écarte habilement la culotte de Carole, et y glisse deux doigts. Les deux intrus trouvent aisément refuge dans le conduit brulant. Carole souffle comme un dragon, puis trouve la force de dire :
— Loane, arrête, arrête, non pas ici !
L'agresseur retire ses doigts et, en souriant :
— Tu as raison ma chérie, pas ici. Retire ta culotte, elle est trempée !
Fébrilement, elle ôte sa culotte et va la déposer dans le panier à linge. Elle revient, Loane a changé de place, Carole n'a pas d'autre choix que de s'assoir à côté d'elle. Presque immédiatement, Loane pose sa main sur la cuisse de son amie. Elle la caresse discrètement sous la table, et lentement sa main s'enfonce sous la jupe. Carole frissonne, instinctivement, elle ouvre légèrement les cuisses, la main agile glisse entre, et du bout des doigts, la coquine agace la chatte qui rapidement se met à suinter. Carole agite doucement son bassin en espérant ne pas se faire remarquer par Michel et son fils qui sont en pleine conversation.
Entre son pouce et son index, Loane saisit la protubérance de chair qui est déjà bien gonflée, et commence un doux branlage. Le risque d'être surprises excite les deux femmes. Carole s'agrippe à sa chaise, sa respiration s'accélère, son cœur s'emballe.
Les deux hommes, trop occupés à papoter, ne prêtent pas attention à la femme qui est au bord de l'explosion. Loane semble prendre un malin plaisir à agresser le clito sensible de Carole. Puis n'y tenant plus, Carole se cabre, pousse un gémissement qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Mais même atténué, le gémissement fait sursauter les deux parleurs. Carole, grimaçante, se lève brusquement de sa chaise, et à travers sa jupe plaque ses mains sur sa chatte en ébullition.
Les deux hommes restent bouche bée, Yoan mort d'inquiétude demande :
— Mais qu'est-ce que tu as ma chérie, tu ne te sens pas bien ?
Carole retombe sur la chaise en haletant, et dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— Ce, ce n'est rien, cela va passer, oui, ça, ça va passer !
Loane réagit, elle va peut-être avoir la réponse à la question qu'elle se pose : Yoan va-t-il participer à L'amour pluriel que son mari souhaite ? Elle, depuis la suggestion de Michel, a réfléchi et n'y est pas contre, au contraire cela l'excite.
— Tout est ma faute, je l'ai chauffée à la cuisine et sous la table, je viens de la branler, il faut dire qu'elle ne simule pas la coquine, vous avez vu cette jouissance ! Il faut dire que ton père m'y a un peu poussé !
Michel sourit, son fils, lui, fait les gros yeux. Après quelques hésitations, il interroge :
— Donc je suppose que je peux faire de même à ta femme, papa ?
Michel, en regardant sa femme, dit en souriant :
— Ben, j'avais dans l'idée de faire une partouze, si vous n'êtes pas contre bien sûr. Carole, on a déjà sa réponse, il ne manque que ton approbation, Yoan !
En regardant son père, il répond :
— Je t'ai déjà fait comprendre que Loane ne me laissait pas indifférente, donc je ne peux qu'accepter !
Carole est surprise par l'approbation de son compagnon, mais ne peut que l'approuver. Elle aimerait connaitre d'autres pratiques sexuelles, et rien que d'y penser cela l'émoustille. Michel et Loane, plus âgés qu'elle, doivent en connaitre plus sur ces pratiques. Après le petit déjeuner, Yoan, en regardant sa belle-mère, dit :
— J'aimerais que tu achèves ce que tu avais commencé avec Carole !
Michele, ajoute en souriant :
— Oh oui, cela serait génial, vas-y ma chérie !
Les deux femmes se regardent, Carole stresse un peu, mais lorsque Loane lui prend la main pour l'entrainer au salon, elle la suit sans rechigner. Les deux hommes, voyeurs pour l'instant, prennent place dans un profond fauteuil. Laone enlace Carole et la serre entre ses bras. Depuis que son mari l'a décoincée, elle ose faire des choses qui étaient inimaginables il y a quelques années. Elle pose ses lèvres sur celles de son amie et l'embrasse, goulument. Carole se prête au jeu, elle noue sa langue à celle de son amante. Avant qu'un échange de salive ne se fasse. Le baiser dure de longues minutes, les hommes sont étonnés de la fougue des deux complices.
Les respirations bruyantes des deux amantes font saliver les deux voyeurs qui commencent à bander. Yoan dit :
— J'en étais sûr qu'il y avait quelque chose entre eux, regarde papa comme elles s'embrassent !
En souriant, Michel ajoute :
— Elles sont dans le feu de l'action, elles ne simulent pas c'est tout, profites du spectacle !
Une fois le baiser terminé, les deux amantes se regardent longuement. Loane, plus audacieuse que son amie, commence à s'effeuiller, avec des gestes maladroits, Carole fait de même. Les hommes ne perdent pas une image. Leur queue devient douloureuse dans leur prison de tissu. Michel est le premier à l'extraire du carcan, son fils l'imite. Les deux hommes soulagés, la caressent doucement, en matant les deux femmes nues.
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Un vrai régal pour moi.
Merci
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