Loane déniaisée fin - histoire érotique

Loane déniaisée fin



Loane fait tourner sur elle-même Carole, et en admirant ses formes, dit :
— Tu es magnifique ma chérie, montre ta chatte, ouvre-la bien que Michel puisse l'admirer !

Sans chercher à comprendre, Carole, en se cambrant, écarte avec ses doigts sa chatte. Michel, salivant, ne peut s'empêcher de dire :

— Oh putain, je vais bien te le fendre ton abricot, ma salope, hum, fais-moi voir ta rondelle !

Carolle, un peu gênée, se penche en avant et, à l'aide de ses mains, écarte davantage ses fesses. Michel sursaute et ajoute :

— Oh la vache, qu'il est bel œillet, hum, il semble bien serré, je vais me faire un plaisir de l'éclater, tu vas en redemander crois moi !

Carole se redresse, elle paraît pas rassurée, maintenant c'est autour de Loane de présenter sa chatte à son beau-fils. Lui aussi ne peut retenir sa langue :

— Oh quel gros clito, depuis le temps que je fantasme sur toi, tu vas en prendre de la bite, je te le garantis, montre-moi ton cul maintenant !

Elle se penche en avant et, comme Carole, écarte ses fesses. Yoan sursaute :
— Oh putain comme il est boursoufflé, papa, tu as vu comme tu lui massacré le cul !

En souriant, Michel répond :
— Avec tout ce que je lui mets, c'est normal, je te conseille de ne pas la ménager, elle adore ça ma salope!

Loane bascule sur la petite table du salon son amante. Ses mains habiles caressent les seins avant de les malaxer, d'enfoncer profondément ses doigts dans les chairs souples. Carole grimace, geint doucement, son souffle s'accélère. Mais dès que son amante s'attaque à ses mamelons, elle se cabre. Loane les roule entre ses doigts, les étire, les presse sans quitter du regard les réactions de sa soumise. Les bouts sous les manipulations de l'experte deviennent énormes. Carole souffle comme un bœuf, elle se tend comme un arc, lorsque Loane lui aspire un après l'autre les mamelons. Loane comme prise de démence, s'acharne sur les mats de chair. Elle étire, les mordille, les suce avec force. Carole s'agrippe à la table en gémissant comme une bête malade.


Les deux voyeurs restent scotchés sur les deux apprenties lesbiennes. Michel est ravi que sa femme mette autant d'énergie. De jour en jour, cette femme qui était ignorante des plaisirs du sexe fait d'énormes progrès. Sa bouche descend sur le corps fébrile de Carole qui ne cesse de gémir. La langue fouille le nombril, avant de plonger dans la vulve bouillonnante.

Carole agite son bassin, appuie sur la tête de son amante, en marmonnant :

— C'est bon, c'est bon, oui, oui, encore, encore !

La coquine se fait dévorer la chatte comme jamais. Ses râles sont rauques et longs, et au fil des minutes deviennent plus intenses. Un cri terrible fait sursauter les hommes. Carole vient de jouir pour la première fois sous la bouche d'une femme. Elle se cabre comme un cheval lorsque son amante lui aspire le clito. Loane suce et tète la boule de chair avec voracité. Les succions sur le clito gonflé à l'extrême font grogner comme une bête Carole, qui pâme :

— Oh que c'est bon ma chérie, vas-y, vas-y !


Soudain, en poussant un gémissement terrible, elle explose, son corps se décolle de la table, reste un instant en extension puis retombe lourdement, en faisant un bruit sourd. Loane se détache d'elle, regarde un instant le corps qui ne cesse de frissonner, et dit.

— Ouh la vache, quelle jouissance, bravo Carole, maintenant à ton tour de me faire grimper aux rideaux !


Péniblement, Carole cède sa place. Comme elle est bonne élève, à l'aide de ses doigts et de sa bouche, elle fait jouir son amie de nombreuses fois avant de se placer tête bêche sur elle. Michel et son fils sont éblouis par la performance des deux amantes, qui se broutent comme des voraces. Ils sont tellement impatients d'intervenir qu'ils giclent sur le sol. Yoan saisit sa queue gluante, il la presse fortement en grimaçant. Il regarde sa belle-mère agiter sa croupe pendant qu'elle dévore la chatte de son amie. Il ne tient plus, c'est en prenant un risque de chute qu'il monte aussi sur la table. Sa compagne comprend ce que son chéri veut faire, elle écarte sa tête. Yoan en profite pour planter sa verge dans le vagin gorgé de cyprine de Loane, qui pousse un gémissement sans lâcher sa proie.


Le ramonage qu'impose Yoan est vigoureux. La cyprine abondante que rejette la chatte fait que les allers et retours de la verge dans le conduit vaginal, produisent un son étrange. Michel encourage son fils :

— Oui, oui, Yoan tape fort, elle aime ça ma salope, fais-lui mal !

Les assauts constants portent leurs fruits. Loane se cabre et, en redressant la tête, pousse un gémissement terrible. Sa jouissance est si intense qu'elle tremble. Son jeune amant continue de la défoncer, maintenant le coquin cherche sa propre jouissance, qui ne tarde pas à arriver. Il se raidit et, en poussant un rugissement de fauve, explose. Le ventre accueillant de Loane est rempli de son sperme, ce qui procure à la soumise une seconde jouissance, mais moins intense que la première.

Yoan continue de lui pilonner la chatte, à chaque fois que sa verge ressort du ventre de Loane, Carole donne un coup de langue dessus. Il marmonne :

— Ouah ce qu'elle est bonne ta femme, papa, sa chatte est brulante, je me régale !

Michel, en agitant sa queue vigoureusement, répond :

— Prends-lui le cul, encule-la, oh putain, je vais encore décharger, encule-la, encule-la que je te dis !


Carole repousse son compagnon et dit en élevant la voix :
— Ah non, pas tout pour elle, moi aussi, je veux de la queue !

Michel entre deux souffles lui répond :
— Je vais bien m'occuper de toi, tu verras, tu vas être ma salope, je vais bien t'éclater, viens sur la queue, ma chérie !

Michel s'allonge sur le sol, sa queue dressée vers le plafond, c'est une invitation.

Loane libère son amie et se prépare pour la sodomie. Elle récupère dans sa chatte du sperme et s'enduit l'anus avec. Yoan pose son mandrin contre la rosette, s'accroche aux hanches de sa belle-mère et pousse. Le membre s'enfonce jusqu'aux testicules dans le rectum de Loane, qui émet un long gémissement. Michel, dans une excitation extrême, dit :

— Défonce-la, elle adore ça, ma salope, bourre-la à fond, je ferai de même à Carole .


Yoan se lâche totalement, sa bite voyage dans le rectum de sa belle-mère, en lui arrachant des râles affreux. Pendant ce temps, Carole enjambe Michel, saisit sa queue et la dirige vers sa chatte en ébullition. Elle s'empale d'un coup, en poussant un long grognement. Elle s'agite comme une hystérique sur le membre qui lui laboure le ventre. Ses gémissements sonores font tourner la tête à Yoan. Il jubile, en voyant sa compagne se défoncer sur la queue de son père, il l'encourage même :

— Vas-y, papa, vas-y, avoue qu'elle te faisait envie, hein, ma salope. Elle aime être pleine de sperme, ma cochonne, donne-lui s'en, vide tes couilles dans sa chatte et son cul !

Carole souffle comme un bœuf, son corps monte et descend sur le pieu qui l'empale en prenant encore plus de vitesse. Ses gémissements sont bruyants, elle se cramponne à son amant en marmonnant :

— Donne ton jus, oh comme ta queue me laboure bien la chatte, ouah ça vient, ça vient, donne, donne !

Carole bascule sa tête en arrière, se cambre, son visage est grimaçant. Un gémissement plus prolongé que les autres prouve sa jouissance. Elle halète fortement et après une très courte pause, reprend ses agitations. Son bassin ondule comme une danseuse orientale. Soudain elle se désaccouple, saisit vivement la verge et la dirige vers son anus. Elle se laisse tomber de tout son poids sur le manche de chair, qui s'enfonce en elle jusqu'aux couilles.

Avec agilité, elle s'active sur le membre puissant. Michel grimace, son visage est marqué par une moue affreuse. Il se raidit, et en poussant un grognement de bête blessée, envoie dans le rectum de son amante un flot de sperme. Carole sent la chaleur du liquide lui remplir la gaine anale. Cela provoque chez elle comme un déclic. Elle se désaccouple plusieurs fois pour se réempaler sur le manche de chair, qui déverse encore quelques jets de substance visqueuse dans le fondement accueillant. Elle agite son bassin comme une forcenée. Une seconde jouissance la fait hurler. Elle s'écroule sur le corps de son amant, en restant empalée.

Yoan donne de violents coups de reins, il suit les conseils de son père, en ne ménageant pas sa belle-mère. Loane est aux anges, elle affectionne la sodomie, elle incite même son beau-fils à la déglinguer plus fortement :

— Vas-y, vas-y mon chéri, tape fort, éclate le cul de ta salope de belle-mère, oui comme ça, encore, encore, oh comme c'est bon !


Soudain, le beau-fils retire son engin du cul de Loane et le lui plonge dans la chatte dégoulinante. Il donne quelques coups de reins puissants puis réinvestit dans l'anus. Le bougre reproduit ce mouvement de nombreuses fois. Cette pratique pourtant violente fait gémir de plaisir la soumise :

— Oui, oui, Yoan, Yoan, encore, encore !

Michel, haletant sur le sol, toujours emboité dans Carole, dit entre deux respirations :
— Oh mon salaud, tu es digne de ton papa, vas-y défonce-lui le cul, fais-la gueuler, oh que c'est bon de la voir se faire démonter, elle va jouir, vas-y, vas-y !

En effet, Loane se cambre fortement et hurle sa jouissance. Au même instant qu'elle jouit, son amant déverse en elle son jus visqueux. La queue de Michel redevient dure, Carole la senti grossir dans son rectum, elle relève la tête et dit :

Défonce-moi encore, j'ai tellement envie de ta queue, elle est si bonne !

Michel la regarde et lui demande :

— Replace la dans ta chatte, Yoan va te prendre par le cul, tu vas adorer une double pénétration ma chérie !

Carole rêvait de la double, elle va enfin la subir. Yoan délaisse sa belle-mère, qui récupère des assauts violents de son beau-fils.
L'amant infatigable se dirige vers sa compagne et, lorsqu'elle sent contre son anus entrouvert le gland gluant, se cambre davantage pour recevoir sa première double pénétration. Pour elle c'est le summum du bonheur. Les deux hommes la défoncent comme des soudards, sans la ménager. Ses jouissances sont exceptionnelles, elle ne sait plus si elle jouit du cul ou de la chatte. C'est rempli de sperme, que les deux baiseurs la libèrent.

Pour faire subir à Loane le même délice, ils doivent recharger les batteries. Après avoir repris des forces, ils embrochent Loane. La synchronisation est parfaite, les bites coulissent dans ses orifices comme deux pistons bien réglés. Elle jouit plusieurs fois avant de demander grâce.