Loane déniaisée
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Loane déniaisée
Michel, la cinquantaine, est divorcé. Il a un fils d'une vingtaine d'années, Yoan. Au cours d'un voyage organisé, il fait la connaissance de Loane. Cette femme très réservée d'une trentaine d'années. S'est laissé séduire par Michel au cours du voyage. Bon parleur, il l'a mis en confiance et ils ont pratiquement passé l'excursion sans se quitter. Par la suite, ils se sont revus plusieurs fois. Au cours de ses rencontres, la jeune femme lui a confié qu'elle n'avait connu qu'un seul homme pendant qu'elle était étudiante. L'étreinte avec ce premier amour fut brève et bâclée, Loane en a gardé un très mauvais souvenir.
Michel, pour son désespoir, n'a jamais voulu la brusquer. Leurs rendez-vous se limitaient qu'à des embrassades interminables. Loane ne pouvait ignorer l'érection de Michel qui, lui, labourait le ventre. Très excité, il rentrait chez lui pour se masturber férocement. Yoan de son côté s'entend très bien avec Loane, ils sont complices et fusionnels. Michel et Loane décident de se marier.
L'ambiance est telle que les invités quittent la salle très tard. Il ne reste que les mariés, et Yoan. Le jeune homme, qui a maintenant une belle-mère, lui offre un cadeau. Il dit en souriant :
— Loane, tu l'ouvriras dans ta chambre !
Il va dormir chez un pote pour laisser les amoureux seuls
Une fois dans leur chambre, les mariés se regardent longuement. Ils s'enlacent et échangent un baiser brulant. Les langues se nouent, son mari en profite pour déverser un flot de salive dans la bouche de la jeune mariée, cette action la surprend. Elle veut repousser son mari, mais ne le fait pas. Elle se dit que, comme elle est ignare, c'est surement naturel de s'embrasser de la sorte. Elle décide d'avaler l'offrande, et de rendre la pareille à son mari. Lui, sans rechigner, avale le liquide un peu salé.
Le baiser cesse, Michel effeuille Loane, c'est la première fois qu'il la voit nue. Ses yeux s'attardent sur ses formes, il salive abondamment, en contemplant le corps qu'il vient de découvrir, sa verge se raidit dans son pantalon. Michel regarde sa femme, elle comprend qu'elle doit le dévêtir. Avec des gestes habiles, elle lui retire sa chemise, dégrafe sa ceinture et lentement baisse le pantalon. Elle agrippe le slip pendant la descente. Et peu à peu découvre la verge qui se détend comme un ressort. Surprise par le jaillissement soudain du membre, elle a un geste de recul. Elle regarde un long moment la verge osciller sur le bas-ventre de son mari. Elle croise le regard de Michel qui lui sourit, elle rougit. Mal à l'aise, elle continue de dénuder Michel. Le bougre, en bondant le torse, dit :
— Alors ma chérie, comment que tu la trouves, elle te fait envie ?
En ne quittant pas des yeux le manche dressé, elle dit en bégayant :
— Elle, elle, est énorme, mon Dieu, quel monstre !
Michel ajoute :
— Elle va te faire te donner beaucoup de plaisir ma chérie. Au fait, ouvre le cadeau de Yoan !
Fébrilement, Loane déballe le paquet. Elle sort de son écrin un vibro de bonne taille. C'est le premier qu'elle voit, elle le regarde sous toutes ses coutures et met la vibration. Elle sursaute et manque de laisser tomber l'engin. Elle dit avec des trémolos dans la voix :
— Il en a de drôles d'idées, Yoan, tu comptes te servir de cet engin, Michel ?
En souriant, il réplique :
— Mais ma chérie, il est fait pour cela, je suis sûr que tu vas en redemander !
Loane rougit encore plus, et pose l'engin sur la table de nuit. Elle s'allonge sur le lit. Michel lui demande de placer sous ses reins l'oreiller. Pas très rassurée, Loane obtempère. Michel s'empare du vibro et enclenche la vibration au minimum. Il joue avec les mamelons, l'engin tourne autour, appuie dessus. Rapidement, ils prennent du volume et durcissent, Loane ferme les yeux. Le vibro descend lentement sur les corps, tente d'investir le nombril et approche de plus en plus de l'entrejambe.
Dès qu'il le pose sur le clitoris, Loane se cambre, son corps se met à trembler, Michel augmente la vibration. Loane s'agite comme un ver sur un hameçon, elle geint comme une bête blessée. Le clito devient énorme, Loane défaille :
— Mon Dieu, mon Dieu, Michel, Michel !
Le bougre appuie fortement l'engin sur la boule de chair. En poussant un hurlement, Loane explose de jouissance, jamais elle n'a connu ça. C'est si intense qu'elle repousse l'engin.
Plaque ses mains sur sa chatte en feu et se recroqueville en grimaçant. Elle dit en articulant mal :
— Michel, Michel, qu'est-ce qui m'arrive, je vais mourir !
Le coquin, en souriant, déclare :
— C'est la jouissance, ma chérie, tu vas en avoir encore, et beaucoup, crois-moi. Laisse-moi faire, fais-moi confiance la chérie !
Loane, pas très rassurée, mais curieuse de connaitre d'autres jouissances, déplie les jambes.
Michel place le vibro à l'entrée de la fente ruisselante. Les vibrations font trembler les grandes lèvres. Michel enfonce lentement la bite factice dans la gaine. Elle se cambre comme un pont en gémissant :
— Michel, Michel, c'est démoniaque ce truc, mon Dieu, je vais encore jouir !
Le bougre met la vibration au maximum, et enfonce au plus profond de la chatte l'engin. Il le maintient un instant, avant de faire des allers et des retours dans le conduit qui rejette sa cyprine. Loane grince des dents, ses yeux sont presque exorbités, un rictus affreux déforme son visage. Une jouissance encore plus violente que la première la fait hurler.
Michel retire le vibro, diminue l'intensité de la vibration et le place contre l'anus. Au contact de l'engin vibrant, le muscle rectal est pris de frémissements. Loane agite sa croupe en geignant comme un animal. Progressivement, Michel enfonce l'engin dans le conduit anal, en arrachant à sa femme de longs gémissements rauques.
Pour Loane, ces attouchements sont une découverte. Elle qui ne connaissait que ceux de ses doigts sur son clito, là elle délire de plaisir :
— Michel, Michel, oh mon Dieu, ce que tu me fais est monstrueux !
Michel, en souriant, augmente la vibration, sa femme se tend comme un arc en hurlant :
— Je meurs, je meurs !
L'engin est maintenant entièrement dans le rectum de la novice, qui s'agite en marmonnant :
Michel, Michel, je vais jouir, non, non, c'est trop, arrête, arrête !
Le coquin met la vibration au maximum, en maintenant l'engin bien enfoncé dans la gaine étroite. En se cabrant, Loane, elle, pousse un hurlement inhumain, elle subit sa première jouissance anale. Elle retombe lourdement sur le lit en s'agrippant, comme elle peut, au matelas. Elle regarde son mari, ses yeux sont vitreux, elle halète fortement, sa respiration est bruyante. Lentement Michel retire l'engin du fondement de sa femme. Il lui dit avec beaucoup de tendresse :
— J'aime comme tu jouis, ma chérie, je vais te faire connaitre des plaisirs que tu ne peux soupçonner, et des jouissances encore plus intenses !
Malgré sa respiration accélérée, Loane répond :
— Oui mon chéri, ignare comme je le suis, il est temps que j'apprenne les plaisirs dont j'étais privé jusqu'à présent !
Il l'enlace et l'embrasse fougueusement. Une fois le baiser terminé, sa bouche se pose sur les mamelons, il les suce, les tète, les étire avec ses dents, les mordille jusqu'au sang. Loane geint comme une bête blessée, mais accepte le traitement spécial que lui inflige son mari. Enfin la bouche avide délaisse les mamelons, et descend sur le ventre. La pointe de langue fouille un instant le nombril, avant que la bouche se plaque sur l'abricot. Le fruit trop mûr rejette son jus, Michel l'aspire, puis enfonce sa langue dans le vagin.
Il en fouille chaque recoin, les plaintes de Loane ressemblent à ceux d'une agonisante, son corps fortement cambré reste en suspension. Mais lorsqu'il lui gobe le clito, elle pousse un long gémissement et appuie sur la tête de son mari.
Le bougre suce avec force la boule de chair, un cri terrible résonne. Loane explose de jouissance, son corps retombe sur le lit. Elle semble en plein délire, elle tremble de tous ses membres, et en marmonnant :
— Encore, encore, putain, oh putain c'est monstrueux !
Michel se redresse, sa verge est bondée au maximum. Il l'agite sous les yeux de sa femme et lui dit :
— Suce ma chérie !
Loane, qui n'a jamais fait de fellation, regarde l'engin avec angoisse. Elle le saisit et délicatement le décalotte. Ses yeux se posent sur le gland, elle hésite. Michel lui répéte :
— Suce-le ma chérie, tu verras, tu seras récompensée !
Loane donne quelques coups de langue sur le cèpe marbré, sa langue descend sur la hampe plusieurs fois. Puis lèche les perles visqueuses qui s'échappent du méat. Enfin elle gobe le gland et le suce voracement, cela semble lui plaire car la coquine s'applique.
Il faut dire, qu'elle apprend vite. Michel grogne comme un animal, soudain il se raidit, pousse un rugissement et envoie dans la bouche de la suceuse sa semence épaisse.
Loane, surprise par la puissante décharge, repousse son mari, se pince les lèvres et le regarde. Ses yeux sont exorbités, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Michel lui dit :
— Avale, ma chérie, avale !
Loane hésite, puis par petites gorgées avale la semence. Elle sent descendre dans sa gorge la crème onctueuse. Elle se dit qu'après tout ce n'est pas aussi mauvais que ça, au contraire. Elle reprend en bouche le manche et le suce, elle presse la hampe pour bien la vider de son nectar. Michel lui caresse la chevelure en disant :
— C'est magnifique ma chérie, tu en recevras encore, je vois que tu aimes mon offrande, ouvre bien les cuisses ma chérie, je vais t'enfoncer ma queue dans le ventre et te faire connaitre une nouvelle jouissance !
Il prend place et place contre la fente dégoulinante son mandrin. Il saisit sa femme par les hanches et pousse. Lentement la verge s'enfonce dans la gaine. Loane s'agrippe à son mari en le serrant très fort. Une fois que ces couilles frappent la chatte, il commence le travail de sape. Sa queue voyage dans le ventre de sa femme en la faisant gémir. Elle se surprend même à donner elle aussi des coups de reins. Elle grimace, le gland épais rabote à chaque passage le col de son utérus. L'effet produit, est indescriptible. Elle plane de bonheur, grogne comme une bête tombée dans un piège. Elle marmonne :
— Oui, oui, encore, encore !
Pendant de longues minutes, elle subit les assauts de son mari amant, avant d'exploser de jouissance. Il lui fait connaitre dans la même nuit la sodomie.
Michel, pour son désespoir, n'a jamais voulu la brusquer. Leurs rendez-vous se limitaient qu'à des embrassades interminables. Loane ne pouvait ignorer l'érection de Michel qui, lui, labourait le ventre. Très excité, il rentrait chez lui pour se masturber férocement. Yoan de son côté s'entend très bien avec Loane, ils sont complices et fusionnels. Michel et Loane décident de se marier.
L'ambiance est telle que les invités quittent la salle très tard. Il ne reste que les mariés, et Yoan. Le jeune homme, qui a maintenant une belle-mère, lui offre un cadeau. Il dit en souriant :
— Loane, tu l'ouvriras dans ta chambre !
Il va dormir chez un pote pour laisser les amoureux seuls
Une fois dans leur chambre, les mariés se regardent longuement. Ils s'enlacent et échangent un baiser brulant. Les langues se nouent, son mari en profite pour déverser un flot de salive dans la bouche de la jeune mariée, cette action la surprend. Elle veut repousser son mari, mais ne le fait pas. Elle se dit que, comme elle est ignare, c'est surement naturel de s'embrasser de la sorte. Elle décide d'avaler l'offrande, et de rendre la pareille à son mari. Lui, sans rechigner, avale le liquide un peu salé.
Le baiser cesse, Michel effeuille Loane, c'est la première fois qu'il la voit nue. Ses yeux s'attardent sur ses formes, il salive abondamment, en contemplant le corps qu'il vient de découvrir, sa verge se raidit dans son pantalon. Michel regarde sa femme, elle comprend qu'elle doit le dévêtir. Avec des gestes habiles, elle lui retire sa chemise, dégrafe sa ceinture et lentement baisse le pantalon. Elle agrippe le slip pendant la descente. Et peu à peu découvre la verge qui se détend comme un ressort. Surprise par le jaillissement soudain du membre, elle a un geste de recul. Elle regarde un long moment la verge osciller sur le bas-ventre de son mari. Elle croise le regard de Michel qui lui sourit, elle rougit. Mal à l'aise, elle continue de dénuder Michel. Le bougre, en bondant le torse, dit :
— Alors ma chérie, comment que tu la trouves, elle te fait envie ?
En ne quittant pas des yeux le manche dressé, elle dit en bégayant :
— Elle, elle, est énorme, mon Dieu, quel monstre !
Michel ajoute :
— Elle va te faire te donner beaucoup de plaisir ma chérie. Au fait, ouvre le cadeau de Yoan !
Fébrilement, Loane déballe le paquet. Elle sort de son écrin un vibro de bonne taille. C'est le premier qu'elle voit, elle le regarde sous toutes ses coutures et met la vibration. Elle sursaute et manque de laisser tomber l'engin. Elle dit avec des trémolos dans la voix :
— Il en a de drôles d'idées, Yoan, tu comptes te servir de cet engin, Michel ?
En souriant, il réplique :
— Mais ma chérie, il est fait pour cela, je suis sûr que tu vas en redemander !
Loane rougit encore plus, et pose l'engin sur la table de nuit. Elle s'allonge sur le lit. Michel lui demande de placer sous ses reins l'oreiller. Pas très rassurée, Loane obtempère. Michel s'empare du vibro et enclenche la vibration au minimum. Il joue avec les mamelons, l'engin tourne autour, appuie dessus. Rapidement, ils prennent du volume et durcissent, Loane ferme les yeux. Le vibro descend lentement sur les corps, tente d'investir le nombril et approche de plus en plus de l'entrejambe.
Dès qu'il le pose sur le clitoris, Loane se cambre, son corps se met à trembler, Michel augmente la vibration. Loane s'agite comme un ver sur un hameçon, elle geint comme une bête blessée. Le clito devient énorme, Loane défaille :
— Mon Dieu, mon Dieu, Michel, Michel !
Le bougre appuie fortement l'engin sur la boule de chair. En poussant un hurlement, Loane explose de jouissance, jamais elle n'a connu ça. C'est si intense qu'elle repousse l'engin.
Plaque ses mains sur sa chatte en feu et se recroqueville en grimaçant. Elle dit en articulant mal :
— Michel, Michel, qu'est-ce qui m'arrive, je vais mourir !
Le coquin, en souriant, déclare :
— C'est la jouissance, ma chérie, tu vas en avoir encore, et beaucoup, crois-moi. Laisse-moi faire, fais-moi confiance la chérie !
Loane, pas très rassurée, mais curieuse de connaitre d'autres jouissances, déplie les jambes.
Michel place le vibro à l'entrée de la fente ruisselante. Les vibrations font trembler les grandes lèvres. Michel enfonce lentement la bite factice dans la gaine. Elle se cambre comme un pont en gémissant :
— Michel, Michel, c'est démoniaque ce truc, mon Dieu, je vais encore jouir !
Le bougre met la vibration au maximum, et enfonce au plus profond de la chatte l'engin. Il le maintient un instant, avant de faire des allers et des retours dans le conduit qui rejette sa cyprine. Loane grince des dents, ses yeux sont presque exorbités, un rictus affreux déforme son visage. Une jouissance encore plus violente que la première la fait hurler.
Michel retire le vibro, diminue l'intensité de la vibration et le place contre l'anus. Au contact de l'engin vibrant, le muscle rectal est pris de frémissements. Loane agite sa croupe en geignant comme un animal. Progressivement, Michel enfonce l'engin dans le conduit anal, en arrachant à sa femme de longs gémissements rauques.
Pour Loane, ces attouchements sont une découverte. Elle qui ne connaissait que ceux de ses doigts sur son clito, là elle délire de plaisir :
— Michel, Michel, oh mon Dieu, ce que tu me fais est monstrueux !
Michel, en souriant, augmente la vibration, sa femme se tend comme un arc en hurlant :
— Je meurs, je meurs !
L'engin est maintenant entièrement dans le rectum de la novice, qui s'agite en marmonnant :
Michel, Michel, je vais jouir, non, non, c'est trop, arrête, arrête !
Le coquin met la vibration au maximum, en maintenant l'engin bien enfoncé dans la gaine étroite. En se cabrant, Loane, elle, pousse un hurlement inhumain, elle subit sa première jouissance anale. Elle retombe lourdement sur le lit en s'agrippant, comme elle peut, au matelas. Elle regarde son mari, ses yeux sont vitreux, elle halète fortement, sa respiration est bruyante. Lentement Michel retire l'engin du fondement de sa femme. Il lui dit avec beaucoup de tendresse :
— J'aime comme tu jouis, ma chérie, je vais te faire connaitre des plaisirs que tu ne peux soupçonner, et des jouissances encore plus intenses !
Malgré sa respiration accélérée, Loane répond :
— Oui mon chéri, ignare comme je le suis, il est temps que j'apprenne les plaisirs dont j'étais privé jusqu'à présent !
Il l'enlace et l'embrasse fougueusement. Une fois le baiser terminé, sa bouche se pose sur les mamelons, il les suce, les tète, les étire avec ses dents, les mordille jusqu'au sang. Loane geint comme une bête blessée, mais accepte le traitement spécial que lui inflige son mari. Enfin la bouche avide délaisse les mamelons, et descend sur le ventre. La pointe de langue fouille un instant le nombril, avant que la bouche se plaque sur l'abricot. Le fruit trop mûr rejette son jus, Michel l'aspire, puis enfonce sa langue dans le vagin.
Il en fouille chaque recoin, les plaintes de Loane ressemblent à ceux d'une agonisante, son corps fortement cambré reste en suspension. Mais lorsqu'il lui gobe le clito, elle pousse un long gémissement et appuie sur la tête de son mari.
Le bougre suce avec force la boule de chair, un cri terrible résonne. Loane explose de jouissance, son corps retombe sur le lit. Elle semble en plein délire, elle tremble de tous ses membres, et en marmonnant :
— Encore, encore, putain, oh putain c'est monstrueux !
Michel se redresse, sa verge est bondée au maximum. Il l'agite sous les yeux de sa femme et lui dit :
— Suce ma chérie !
Loane, qui n'a jamais fait de fellation, regarde l'engin avec angoisse. Elle le saisit et délicatement le décalotte. Ses yeux se posent sur le gland, elle hésite. Michel lui répéte :
— Suce-le ma chérie, tu verras, tu seras récompensée !
Loane donne quelques coups de langue sur le cèpe marbré, sa langue descend sur la hampe plusieurs fois. Puis lèche les perles visqueuses qui s'échappent du méat. Enfin elle gobe le gland et le suce voracement, cela semble lui plaire car la coquine s'applique.
Il faut dire, qu'elle apprend vite. Michel grogne comme un animal, soudain il se raidit, pousse un rugissement et envoie dans la bouche de la suceuse sa semence épaisse.
Loane, surprise par la puissante décharge, repousse son mari, se pince les lèvres et le regarde. Ses yeux sont exorbités, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Michel lui dit :
— Avale, ma chérie, avale !
Loane hésite, puis par petites gorgées avale la semence. Elle sent descendre dans sa gorge la crème onctueuse. Elle se dit qu'après tout ce n'est pas aussi mauvais que ça, au contraire. Elle reprend en bouche le manche et le suce, elle presse la hampe pour bien la vider de son nectar. Michel lui caresse la chevelure en disant :
— C'est magnifique ma chérie, tu en recevras encore, je vois que tu aimes mon offrande, ouvre bien les cuisses ma chérie, je vais t'enfoncer ma queue dans le ventre et te faire connaitre une nouvelle jouissance !
Il prend place et place contre la fente dégoulinante son mandrin. Il saisit sa femme par les hanches et pousse. Lentement la verge s'enfonce dans la gaine. Loane s'agrippe à son mari en le serrant très fort. Une fois que ces couilles frappent la chatte, il commence le travail de sape. Sa queue voyage dans le ventre de sa femme en la faisant gémir. Elle se surprend même à donner elle aussi des coups de reins. Elle grimace, le gland épais rabote à chaque passage le col de son utérus. L'effet produit, est indescriptible. Elle plane de bonheur, grogne comme une bête tombée dans un piège. Elle marmonne :
— Oui, oui, encore, encore !
Pendant de longues minutes, elle subit les assauts de son mari amant, avant d'exploser de jouissance. Il lui fait connaitre dans la même nuit la sodomie.
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